
Michel Valadier, directeur de la Fondation pour l’école, nous informe que 5000 classes de l’école publique n’ouvriront pas leurs portes le 1er septembre.
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Michel Valadier, directeur de la Fondation pour l’école, nous informe que 5000 classes de l’école publique n’ouvriront pas leurs portes le 1er septembre.
IL EST COMPLÈTEMENT TIMBRÉ !!!
Tous les signes confirment que Macron rêve d’embarquer la France dans une guerre fatale avec la Russie. L’apothéose du travail de destruction de la France entamé il y a 10 ans, et mis en place depuis 8 ans qu’il est à l’Élysée. https://lemediaen442.fr/guerre-en-europe-la-note-secrete-qui-revele-les-preparatifs-macronistes-pour-accueillir-100-000-blesses/
Depuis son accession à l’Élysée, Emmanuel Macron aime user de la rhétorique guerrière. Sans forcément avoir les moyens de ses ambitions. Car n’est pas Malbrough qui veut.
Qui l’eût cru ? C’est François Bayrou, l’homme des coteaux béarnais et de la ville du bon roi Henri, qui sonne le tocsin. C’est Bayrou, le grand méchant mou, qui ose dire – enfin – la vérité sur la situation financière catastrophique de la France. Les marchés bruissent et le Wall Street Journal s’inquiète désormais de la capacité du gouvernement à lever l’impôt. Soyons clairs. À analyse radicale, solution radicale. Il y a 170 milliards de déficit budgétaire annuel. Il faut donc sabrer 170 milliards de dépenses. Où ? Dans les dépenses nuisibles, pardi ! Ce qui suppose une rupture radicale avec l’idéologie dominante et les politiques qui la servent.
La ministre de la Ville, Juliette Méadel, a réagi avec mépris sur X (ex Twitter) à la proposition de Sarah Knafo de supprimer le budget politique de la ville cliquez ici.
Voici la réponse que lui a adressé la députée européenne de Reconquête ! :
Madame la Ministre,
Merci pour ce charabia sentimental. Maintenant, je vais vous répondre point par point.
C’est l’artillerie lourde, au nouveau du gouvernement et de ses soutiens, pour culpabiliser les Français qui oseraient ne pas se montrer favorables au plan Bayrou et à ses prétendus 43 milliards d’économie qui sauveraient le pays de la banqueroute. Le Premier ministre en est à appeler au secours tous les anciens qui auraient profité des Trente Glorieuses, en nous expliquant qu’ils devraient être à ses côtés.
par Martin Roux
La guerre en Ukraine dure depuis près de trois ans et demi mais le sujet des négociations de paix est quasiment absent de l’espace politique et médiatique français. De plus, toute mention de négociations et de dialogue suscite des soupçons et des accusations de position «pro-russe». Une récente déclaration de Florian Philippot, chef du parti Les Patriotes, soulève une question aiguë et dérangeante : la poursuite du conflit est-elle devenue une stratégie politique lucrative pour certains dirigeants européens. Dans un tel contexte toute tentative de discuter de paix constitue un risque politique. Ce risque est particulièrement grand dans un contexte où les débats publics devraient être aussi ouverts et diversifiés que possible.