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Avez-vous suivi l'affaire de ce professeur d'histoire accusé par une députée LR de faire de la propagande en cours ? C'était à Mennecy. La députée, comme les médias, ont livré en pâture le nom du professeur, mais aussi le nom du lycée et celui de la famille qui avait écrit au rectorat.
Allez, je vais commencer par une pointe de taquinerie. Si vous ne connaissiez pas le ministre de l’industrie, et bien voilà que l’occasion se présente avec ces annonces de plans de licenciements majeurs qui se profilent pour les mois qui viennent et qui vont entraîner la suppression sans doute de plusieurs milliers d’emplois.
La propagande mondialiste est à son apogée, hallali, chant du cygne, ou trompette de Jéricho ? En tout état de cause la télévision, aux ordres de l’Élysée, ce n’est plus un secret pour personne depuis l’affaire C8, fait magnifiquement bien son travail. Les consignes ont été passées et les courtisans s’acquittent de leur tâche avec un zèle qu’il ne faudra pas oublier. Il est impératif de distiller les bons réflexes, d’ôter les doutes, d’éviter les réflexions. Il faut donner au public une pensée déjà digérée, afin qu’il n’ait que le souci de la répéter à l’envi sans plus se poser de questions. Ainsi, nous avons eu le présentateur Nagui, qui n’a rien trouvé de mieux que d’expliquer à un artisan qui disait vouloir acheter un fourgon pour son travail, que c’était très mal, car ce n’était pas « bon pour la planète ». Nagui, en représentant de l’ordre moral estampillé éco-responsable à donc recadré cette brebis égarée. Son achat était totalement irresponsable. L’air chafouin, le regard noir, il a tancé l’artisan !
Il persiste et signe. Indifférent à la consternation générale ayant suivi ses propos pour le moins extravagants sur la colonisation française en Algérie, Jean-Michel Aphatie s’obstine.
L’émission Face à Philippe de Villiers rassemble, chaque semaine, sur CNews, à peu près un million de téléspectateurs. Entouré d’Eliot Deval et de Geoffroy Lejeune, l’ancien homme politique s’est mué en oracle. C’est à l’âge des regrets que Philippe de Villiers, réhabilité de son vivant, découvre qu’il n’a aucune raison d’en avoir. Dans ce rendez-vous hebdomadaire, il est écouté, aimé, compris. Il est à la fois conteur d’apologues poétiques, analyste sans concession de la vie publique et, surtout, c’est l’homme qui crève malicieusement toutes les baudruches médiatiques. Il est à sa place comme jamais. Et il n’y a rien de plus jubilatoire que de le voir, avec quatre décennies d’expérience politique, remettre Emmanuel Macron à sa juste place, celle qu’on est prié de laisser aussi propre qu’en entrant. Dernier exemple en date : l’analyse de son intervention… et de l’agenda personnel caché du Président.
L’académicien Jean-Marie Rouart dans un texte paru dans Le Figaro (8/3) intitulé : « Comment comprendre cet engouement pour la guerre qui semble saisir Emmanuel Macron ? » s’interroge sur le soudain prurit guerrier du président. Nous en avons extrait les passages suivants.
Il y a plusieurs façons de rendre compte de la (ou peut-être faudrait-il parler au pluriel) manifestation parisienne du 8 mars pour la Journée des droits des femmes. Avec Le HuffPost, on peut se pâmer devant l'inventivité verbale des pancartes, tout au moins dans le titre. Car, dès ce seuil franchi, le vestibule dégage de sinistres effluves : le même journal est bien obligé de rendre compte, dans un second papier, des insultes antisémites reçues par le socialiste Jérôme Guedj venu manifester aux côtés du collectif féministe né après l'attaque du 7 octobre « Nous vivrons ». Mais, précise le journal, sa présence « n’était pas forcément souhaitée par les organisateurs de l’événement, dont l’association "Nous toutes", qui considère que la structure porte un autre agenda que celui de l’égalité entre les femmes et les hommes ». Une façon polie de dire que les Juifs n'y avaient pas leur place et de justifier par la litote les insultes antisémites.
Paris n'a pas tenu ses engagements sur le dossier ukrainien et menti à plusieurs reprises, mais le Président Macron n'en dit rien dans sa récente déclaration où il accuse Moscou, a indiqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov à la télévision russe.
Emmanuel Macron et le système politico-médiatique qui l’entoure ont un modus operandi bien rodé : terroriser les Français pour mieux les manipuler. Hier, c’était le Covid, avec des discours hystériques qui ont justifié des mesures liberticides absurdes. Puis est venu le réchauffement climatique, utilisé comme un prétexte pour imposer des taxes et des restrictions sans fondement. Aujourd’hui, c’est la Russie : un péril monté en épingle pour justifier l’alarmisme et la soumission.