Quelques jours de vacances m’ont conduite dans la France qu’on dit profonde.
Il est toujours intéressant d’échapper au tumulte de la ville, ça permet de voir comment opère la contamination. Je parle de celle des idées, bien sûr.
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Quelques jours de vacances m’ont conduite dans la France qu’on dit profonde.
Il est toujours intéressant d’échapper au tumulte de la ville, ça permet de voir comment opère la contamination. Je parle de celle des idées, bien sûr.
Beaucoup de Français ne le savent pas, mais depuis 1961, il existe en Europe et pour l’ensemble des pays du CAD (Comité d’aide au développement), pays « supposés » riches, un mécanisme regroupant l’ensemble des dispositifs financiers des organismes publics à destination de pays pauvres où en voie de développement, selon les critères de l’OCDE, qu’on appelle l’aide publique au développement (APD). C’est le premier système de soutien financier dans la relation Nord-Sud.
Depuis un an et demi, l’épidémie de Covid-19 est le prétexte à l’instauration de mesures liberticides. Au nom d’un droit biaisé à la santé, le système juridique français s’est enrichi, de manière soi-disant temporaire, de mesures de contrainte à l’égard de la population. L’état d’urgence sanitaire, créé pour répondre efficacement et ponctuellement à une épidémie inconnue, s’ancre dans la durée, au point que les Français s’en accommodent.
Déjà prolongé à trois reprises par le Parlement, cet état de crise, censé être par essence provisoire, risque fort de ne jamais disparaître. De ce fait, les mesures restrictives, justifiées par leur nécessité pour lutter contre la propagation du virus et leur limitation dans le temps, seront pérennisées.
Chacun a bien sûr le droit d’être pour ou d’être contre le pass sanitaire mais il est difficile d’y être indifférent. Son caractère désormais obligatoire pour les actes de la vie courante comme se rendre dans un restaurant ou prendre le train bouleverse bel et bien l’ordre des choses.
Pour la première fois dans la France contemporaine, la nouvelle règle opère une discrimination (hors sanction pénale) entre des citoyens de plein droit et des citoyens privés de certains droits en rapport avec le quotidien, officialisant une forme d’exclusion.
Un communiqué de Thomas Joly,
président du Parti de la France cliquez ici
Depuis deux jours, nous assistons à un emballement médiatique complétement artificiel dont les professionnels de la manipulation et de la désinformation ont le secret.
237.000 manifestants… La précision des chiffres fait sourire. Ils étaient très nombreux, plus nombreux que la semaine précédente, et cela, entre le 1er et le 15 août, la période où la France est en vacances… On se demande comment cette étonnante précision a pu être obtenue, alors qu’il y avait plus de 150 rassemblements, cortèges et défilés dans le pays. On a compris qu’il fallait constater la croissance de la contestation, mais en limiter l’ampleur. Le problème n’est évidemment plus celui du vaccin. Avec le feu vert au passeport sanitaire des prétendus « sages » du Conseil constitutionnel, les dernières illusions sur notre démocratie d’apparence et notre État de droit de pacotille se sont envolées.
Il est toujours bon d’écouter ceux qui ne pensent pas comme vous : ma belle-sœur et Le Monde, par exemple. La réciproque devrait être plus systématique aussi. Tout le monde s’en porterait mieux. Donc, Le Monde. Après les éditoriaux de complaisance pour le pouvoir et la décision du Conseil constitutionnel, ce samedi matin, une petite voix discordante, celle de Solenn de Royer : « Passe sanitaire : le Président seul face à la rue, une stratégie périlleuse. »
L’essayiste Nicolas Bonnal s’intéresse de près à la société informatique SITRA et au rôle que se propose de jouer celle-ci dans une nouvelle étape totalitaire de la tyrannie mondialiste sous prétexte sanitaire.
Le 666 apocalyptique au moins servait à acheter. Ici il servira à ne pas acheter.
Le malthusianisme turbo en mode cyber est enclenché. La société informatique Sitra est finlandaise et son patron Kivela n’y va pas par quatre chemins. Il annonce que « les pays de l’UE s’accordent sur un certificat de vaccination européen – Sitra étudie si les terminaux de paiement pourraient être une solution ».
237 000 manifestants… La précision des chiffres fait sourire. Ils étaient très nombreux, plus nombreux que la semaine précédente, et cela entre le 1er et le 15 Août, la période où la France est en vacances… On se demande comment cette étonnante précision a pu être obtenue alors qu’il y avait plus de 150 rassemblements, cortèges et défilés dans le pays. On a compris qu’il fallait constater la croissance de la contestation, mais en limiter l’ampleur. Le problème n’est évidemment plus celui du vaccin. Les arguments en sa faveur ont du poids, mais c’est celui de la confiance hors de laquelle il n’y a pas de démocratie possible.
Voici l’intervention de deux personnels soignants sur BFMTV. La première, infirmière, cherche les malades du COVID qui sont censés saturer les hôpitaux.
Le second, chirurgien, met en garde contre les effets du pseudo-vaccin (dont l’efficacité se réduit de jour en jour…).
A noter que BFM a censuré ce passage. Il ne faudrait pas que les téléspectateurs réfléchissent par eux-mêmes en régime macronique…