magouille et compagnie - Page 668
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Réponse à France 2 - Academia Christiana et la déontologie du service public
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Ukraine : l’attaque imminente n’a pas eu lieu…
Mercredi est venu et la Russie n’a pas envahi l’Ukraine. Pourquoi mercredi (16 février) ? C’est la date distillée pour une invasion annoncée en vain depuis des mois, la crise actuelle ayant démarré en novembre.
Le président ukrainien Volodymyr Zelenski a naïvement relayé cette « information » décisive le 14 février : « On nous dit que le 16 février sera le jour de l’attaque. Nous allons en faire une journée de l’unité. » Passons sur le concept d’unité ukrainienne qui n’a jamais existé, ce pays étant structurellement coupé en deux pôles qui lorgnent vers deux directions totalement opposées.
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L’État aurait dépensé un milliard et demi pour des cabinets de conseil : et pour quoi faire ?
Tant qu’à la payer, autant récupérer un peu de sa redevance en écoutant France Inter à dose homéopathique. C’est ainsi que l’on pouvait y entendre, récemment, une journaliste de L’Obs (y a pas de hasard : qui se ressemble…) évoquer le recours de plus en plus systématique à des cabinets de conseil (très souvent anglo-saxons) pour éclairer les pauvres lanternes de nos hommes de l’État.
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Le procès du bon Théo à son papa Hollande a débuté
La peine de François Hollande est grande. Son Théo, LE Théo à son pépère auprès de qui il s'était précipité à l'hôpital après les violence policières qu'il avait subies, est aujourd'hui poursuivi pour escroquerie en bande organisée. Mais qu'a-t-il fait qui lui vaille cette haine de la part de l'institution judiciaire ? Dans quel lit repose-t-il ?
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Comment payer la politique du « quoi qu’il en coûte » ?
Alors que le ministre Bruno Le Maire fanfaronnait sur la croissance exceptionnelle, alors qu’il ne s’agit que d’un réajuste après le blocage de l’économie provoqué par le confinement, la Cour des comptes tire le signal d’alarme face à l’état particulièrement préoccupant des finances publiques du pays. Plus de 100 milliards ont été déversés au nom du « quoi qu’il en coûte ».
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Tensions à la Commission des finances face au refus d’Eric Woerth de démissionner
L’actuel président de la Commission des finances est devenu un soutien d’Emmanuel Macron, les membres de la Commission lui reproche de ne plus être dans l’opposition. Selon eux, il doit démissionner de ses fonctions.
La Constitution prévoit que la présidence de la Commission des finances à l’Assemblée nationale revient à un député de l’opposition.
Pour l’heure, c’est Eric Woerth qui occupe cette fonction, le même Eric Woerth qui a annoncé la semaine dernière prendre ses distances avec son parti les Républicains pour soutenir Emmanuel Macron en vue de sa réélection. Comme demandé par l’opposition, il devrait donc naturellement démissionner de son poste, ce qu’il refuse de faire. Refus qui a provoqué le départ de nombreux parlementaires de la salle.
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Présidentielle 2022 : A-t-on forcé la main de la maire de Flacourt (78) pour parrainer Anasse Kazib ? “On m’a harcelé jusque chez moi (…) Je regrette d’avoir signé”
La maire de Flacourt (Yvelines) regrette d’avoir apporté son parrainage à la candidature d’Anasse Kazib. Elle dit avoir cédé face à l’insistance de l’équipe du candidat marxiste.
Anasse Kazib, candidat marxiste à la présidentielle 2022, a recueilli 116 parrainages au 15 février 2022. Il reste loin des 500 signatures nécessaires pour se présenter, mais il en compte déjà plus que certaines figures médiatiques, comme Christiane Taubira (73) ou Florian Philippot (1). Pour le moment dans les Yvelines, ce représentant de l’extrême gauche en a glané un seul validé par le Conseil constitutionnel, celui de Séverine Le Goff, maire du village de Flacourt, 183 habitants.
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Avignon : ils perçoivent 80.000 euros d’aides sociales alors que la famille vit en Algérie
Un couple comparaissait devant la justice correctionnelle à Avignon ce mardi 15 février pour une importante fraude aux prestations de la Caisse d’allocations familiales (Caf) et au Revenu de solidarité active (RSA).
Entre fin 2015 et fin 2021, le couple et ses quatre enfants ont perçu plus de 80 000 euros de prestations des deux organismes. Sauf que durant ces six années
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Frédéric Lemoine, l’homme d’affaires dans l’ombre de Pécresse
Pour que vous compreniez où vous allez mettre les pieds, commençons par une anecdote. Elle va peut-être vous révolter, mais, dans ce milieu-là, c’est assez banal.
Nous sommes en mars 2009, l’empire industriel Wendel est dans la tourmente. Des complots, une famille qui se déchire, et surtout un endettement colossal qui met en danger l’existence même de l’entreprise.
La confiance est rompue et les banques se détournent. Ernest-Antoine Seillière, qui préside Wendel, doit trouver rapidement un successeur au directeur général qui vient d’être débarqué.
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Michel Onfray sur le score d’Emmanuel Macron : « les sondages fabriquent l’opinion », « Macron est à 25% alors qu’il ne peut pas sortir dans la rue sans se prendre une gifle, sans se faire cracher dessus »
Invité sur Punchline mardi 15 février au soir puis sur CNews ce mercredi matin, le philosophe et cofondateur de la revue Front Populaire a vivement critiqué les sondages, il ne croit pas en un Emmanuel Macron à 25%.
Les derniers sondages donnent le président sortant au dessus du lot, largement en tête, quelque soit l’institut. Donné en moyenne à 25%, ce score peut paraître intriguant, tant la grogne du peuple est immense et que le chef de l’Etat entretien un rapport particulier avec les Français.
« Je ne crois pas trop à ces sondages qui nous font savoir que Macron est à 25% alors qu’il ne peut pas sortir dans la rue sans se prendre une gifle, sans se faire cracher dessus. »