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Ojim - En Hongrie, la presse est « tellement muselée » (sic) qu’elle peut librement donner dans l’orbanophobie la plus virulente sous parrainage sorosien, travailler en collaboration avec l’AFP et la Commission européenne à un projet de fact-checking, recevoir des fonds du Département d’État américain (740 000 dollars), ou ceux d’un des plus importants groupes du Parlement européen, l’Alliance progressiste des socialistes et démocrates (S&D). Une fois de plus, le mythe véhiculé par les médias de grand chemin sur l’état « inquiétant » de la liberté de la presse en Hongrie fond comme neige au soleil.



