
Ce ne fut pas une surprise, tant il est évident que le système sait se protéger. Le 10 juillet, le Parlement européen a rejeté une motion de censure à l’encontre de la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen. L’absence d’unanimité sur cette question ne signifie pas que les délégués ne tenteront pas d’organiser un nouveau vote ou de le soumettre aux autres membres de la CE, mais il semble bien illusoire d’en espérer une autre issue. 360 députés sur 553 se sont opposés à sa destitution.






