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Quand la foire démocratique prépare l'ère de la trans-politique
Frédéric Andreu
« Je ferais n'importe quoi, si tu me le demandais ; je renierais ma patrie, si tu me le demandais, etc, etc ». Écoutons les paroles de l'Hymne à l'Amour chanté lors de la cérémonie d'ouverture des JO 2024, en nous demandant pourquoi Macron s'évertue à « faire n'importe quoi , « à renier sa patrie » sans que ni Édith Piaf, ni Céline Dion ne le lui demande. Admettons avec Aragon que « le poète a toujours raison » et, avec René Char, « que les paroles connaissent de nous des choses que nous ignorons d'elles »...
L’Angleterre est en train de devenir le laboratoire de la souffrance des populations européennes, confrontées à la progression des populations de confession musulmane en leur sein. L’étincelle aura été le meurtre de trois fillettes en début de semaine, par, très probablement, un jeune issu de l’immigration. Ce pays on se souvient, a déjà fait face à de très nombreux actes sordides perpétrés par des hommes issus de l’immigration et de confession musulmane, comme, il y a quelques années, le gang des pakistanais qui avait réduit en esclavage sexuel des dizaines de jeunes femmes. Egalement, de très nombreuses grandes villes sont dirigées par des maires musulmans et statistiquement, la population d’origine est en minorité numérique dans plusieurs endroits du territoire désormais et, au niveau global, la religion musulmane est devenue la première en nombre de fidèles, devant la religion chrétienne de la population d’origine. Le tout sur fond de délinquance galopante : coups de couteaux, attaques à l’acide, violences sur la voie publique, cambriolages, qui rendent la vie des Anglais insupportable. S’en est suivi un phénomène de migration interne appelé White-Flight, qui a consisté en une fuite de la population blanche depuis certains quartiers de Londres devenus investis majoritairement par des populations rapportées. Ces phénomènes devancent en intensité, en Angleterre, des phénomènes de moindre ampleur, mais tout aussi comparables en France, Allemagne, Belgique, Pays-Bas et plus globalement dans l’ensemble des pays européens.
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On le sait, la Pologne, par rapport aux autres pays européens, reste très catholique, avec quelque 30 % de ses habitants qui se rendent à la messe chaque dimanche. Une particularité du droit polonais, c’est qu’il interdit « l’insulte aux sentiments religieux », même si les tribunaux renâclent à sanctionner ce genre de délits. Les blasphèmes et profanations existent en Pologne, notamment lors des marches LGBT sponsorisées et soutenues par les fondations de type sorosien, les multinationales et les ambassades occidentales, et soutenues aussi par la gauche polonaise aujourd’hui au pouvoir.
« Ça fait extrêmement mal ! Ce n’est pas juste ! ». Agenouillée, en larmes, Angela Carini, jeune boxeuse italienne, pleure après son élimination au premier tour des Jeux Olympiques de Paris 2024. Quelques instants plus tôt, l’athlète entrait sur le ring, déterminée, face à Imane Khelif, boxeuse algérienne. Mais seulement 46 secondes après le début du combat, Carini baissait les bras, laissait filer son rêve olympique et abandonnait le combat. La sportive italienne serait connue sur le circuit pour « être un peu dramatique », mais sa détresse en a ému plus d’un. De Giorgia Meloni à JK Rowling en passant par l’ancienne Femen Marguerite Stern, de nombreuses voix se sont élevées pour dénoncer un combat « injuste », « inéquitable » et « anti-féministe ».
Ce matin, j'ai reçu une publicité du magazine MicroMega, un magazine progressiste par excellence, auquel j'ai également contribué par le passé. La communication annonçait la sortie, en librairie et en ligne, du nouveau volume intitulé « Contre la famille. Critique d'une institution (anti-)sociale ».
Le village olympique (en Seine-Saint-Denis!) est, curieusement, l'objet de nombreux vols et les crimes et délits continuent de prospérer dans le reste de la France. Les régions sont d'autant plus fragilisées qu'une bonne partie des forces de l'ordre ont été déplacées en région parisienne pour sécuriser les Jeux olympiques. Quelques heures avant la cérémonie d'ouverture, d'ailleurs, trois policiers finistériens ont été visés par des tirs alors qu'ils circulaient porte de la Chapelle, à Paris, en mission sécuritaire. Sans conséquences, heureusement. Tandis que l'essentiel des médias chantent la paix et la concorde advenues miraculeusement en France, les faits sont têtus et l'insécurité reste. La preuve ?
La police espagnole a annoncé vendredi avoir démantelé un réseau de passeurs qui a introduit un millier de migrants algériens et syriens en Espagne depuis l’Algérie, avant de les emmener dans d’autres pays d’Europe, en leur faisant payer jusqu’à 20.000 euros par personne. Le réseau criminel est responsable de «l’entrée illégale dans notre pays, grâce à des embarcations rapides affrétées depuis l’Algérie, de plus de 750 migrants d’origine syrienne et de plus de 250 migrants d’origine algérienne», a indiqué la police dans un communiqué.
Il aura fallu 46 secondes à la boxeuse italienne Angela Carini pour se rendre compte que sa concurrente, Imane Khelif, athète algérienne intersex (?), lui faisait “trop mal” et déclarer forfait. Mais toutes les sportives n’ont pas eu la même “chance” si l’on peut dire. En 2022, la joueuse de volley ball Payton McNabb avait été défigurée par son adversaire, un homme s’identifiant comme une femme, lors d’un match. Elle est revenue sur l’admission de deux boxeuses aux chromosomes XY aux Jeux Olympiques 2024.
Dire qu’on croyait que les races n’existaient pas. Les racistes, si ! Mais les races, non… Certains même, pour convaincre les esprits les plus obtus – ô combien ! – voudraient d’ailleurs que cette vérité soit inscrite dans la Constitution française, Ve du nom… Pourquoi pas ! Mais hélas ! trois fois hélas ! notre constitution indique dans son article premier que la France se doit d’« assure(r) l’égalité de tous les citoyens sans distinction d’origine, de race ou de religion »… c’est ballot !
Les races n’existent pas, mais non, mais non ! Mais à l’évidence, la ou les race(s) supérieure(s), elle(s), oui… La preuve par l’histoire.