En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Charles de Courson, mardi, était formel : supprimer l’AME ne serait « pas raisonnable », cette suppression coûterait finalement plus cher, à long terme, car l’AME, explique-t-il, évite les épidémies que pourraient propager les migrants arrivant chez nous.
La préparation du budget 2026 promet d’être chaotique, voire pathétique, pour un résultat que l’on peut parier désastreux et très loin des réalités des Français qui souhaitent à 90 % que le gouvernement cesse de gaspiller leur argent. Mais tout cela nous ne le découvrons pas au RPF, nous l’avions même annoncé lors du vote du budget 2025. Obtenu aux forceps avec force intimidation et procès d’intention, accusant ceux qui voulaient une censure, d’attiser le désordre, de provoquer l’instabilité politique : il fallait sortir de l’impasse et voter ! Donc toute la classe politique, RN en tête, s’est couchée devant cette injonction sous peine de vindicte médiatique. Les tenants du budget à tout prix pouvaient se réjouir, l’illusion d’une continuité et d’une sérénité politique pouvait continuer à s’étaler, l’important était que le fantasme de l’équilibre et de la stabilité soient assurés. Bien entendu, le budget étant largement en deçà des attentes et besoins que réclame la situation, nous arrivons au terme de la duperie et voilà Bayrou qui cherche de l’argent partout.
La dentition de Moriba Konte est définitivement gravée. Dans le tissu du siège conducteur d’une Peugeot 3008 de la police nationale qu’il a mordu samedi 13 juillet en fin d’après-midi. Vers 17 heures ce jour-là en effet, des policiers en patrouille dans le quartier Mistral de Grenoble avaient vu un homme passer devant eux au guidon d’une petite moto de cross. Un jeune homme sans casque, sur cette moto dépourvue de plaque d’immatriculation et qui faisait des roues arrière sur la piste cyclable et le trottoir qui longent l’avenue Rhin-et-Danube. Dans leur procès-verbal, ces policiers expliquent avoir vu des passants s’écarter et des mères de famille saisir brusquement leur enfant par le bras pour éviter une collision avec le motard.
Les artistes ne devraient-ils pas se contenter… de pratiquer leur art ? La question semble anodine, mais elle résume à elle seule toute la complexité de notre époque. En 2025, l’artiste se veut avant tout un militant et son activisme consiste à se parer des bons sentiments du moment et à fustiger ceux qui refusent de hurler avec la meute. Aux Francofolies de Spa, le chanteur franco-israélien Amir en fait les frais avec, à ses trousses, les chiens enragés de l’extrême gauche qui réclament sa déprogrammation.
Le réchauffement climatique est un sujet dont on nous parle depuis les années 1980. En 1988, le GIEC fut fondé. En 2025, nous sommes légitimement en droit de nous interroger : A-t-il rempli ses objectifs ?
Le GIEC multiplie les rapports et ceux-ci sont, selon les comptes rendus des médias, toujours plus catastrophiques. On pourrait le résumer ainsi : Nous allons tous mourir et personne n’en a rien à faire. Cette situation est bien évidemment paradoxale : Comment un organisme qui bénéficie de tant d’échos peut-il avoir si peu d’influence réelle ?
À l’inverse, car nous aimons les paradoxes, nous constaterons que les impôts justifiés par l’écologie sont désormais élevés et donc, le GIEC a un impact : Sur les factures.
Ils ne sont pas gentils ni aimables. Ils ne sont sympathiques que si vous pensez comme eux, car eux savent ce qui est bien et mal, vous, vous ne savez rien.
Tout peut se discuter évidemment.
D’ailleurs les agriculteurs ne sont jamais opposés à l’évolution et ils travaillent déjà fort différemment.
Tout, ou presque, a déjà été dit et écrit. Aussi la consultation de publications anciennes est-elle toujours instructive et révélatrice ; ne serait-ce que pour prendre la mesure des alertes lancées en pure perte et du temps perdu. L’histoire des cinquante dernières années, en effet, est celle d’une longue suite d’erreurs de jugement, d’aveuglements volontaires, de démissions, de rendez-vous manqués, de décisions remises à plus tard ou à jamais dont la France de 2025 est le résultat…
Jean-Vincent Placé, aujourd’hui âgé de 57 ans, est soupçonné d’avoir touché les seins d’une ancienne collaboratrice, lors d’une soirée à Séoul en Corée du Sud en mai 2016. Les «déclarations précises et constantes» de cette ancienne collègue sont «corroborées par l’un des deux témoins présents dans la voiture», a souligné le ministère public
Pendant que Guillaume Senet et son équipe étaient harcelés autour de leur magnifique spectacle historique « Murmures de la Cité », jugé non conforme aux fantasmes historiques de la gauche mais joué trois soirs de suite à guichet fermé, cette même gauche sombrait un peu plus dans l’ignominie au festival d’Avignon par la voix de son directeur Tiago Rodrigues.
Dans une décision du 11 juillet, la Cour nationale du droit d’asile (CNDA) a octroyé le statut de réfugié, en France, aux Palestiniens au motif des « actes de persécutions » dont ils sont victimes, selon la convention de Genève du 28 Juillet 1951.
L’instance était saisie par une mère de famille ayant fui la bande de Gaza après le début de la guerre. La décision de la CNDA vient casser la position de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (OFPRA) qui, certes, avait reconnu « une situation de conflit d’intensité exceptionnelle » à Gaza, mais n’avait pas estimé que cette femme faisait état de craintes de persécutions.
Plus de 660.000 bénéficiaires du droit d'asile
Une décision lourde de conséquences, puisqu’elle ouvre grand les portes de la France aux réfugiés palestiniens. Éric Zemmour s’est insurgé contre la CNDA qui « ignore la souveraineté populaire ». Dans une tribune publiée par Le Figaro, le président de Reconquête a dénoncé une convention de Genève « surannée » dont il demande la suspension de l'« application ». Il souhaite aussi la suppression des « instances juridictionnelles qui mettent en danger la vie de nos concitoyens et la pérennité de notre peuple ». En effet, il y a de quoi avoir le vertige.