Le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM), né à la fin de l’année passée, vient d’épingler la journaliste Apolline de Malherbe au sujet de son interview de Juan Branco, le 17 février dernier, sur BFM TV. Cet organisme a estimé que “les entretiens journalistiques ne sont pas des interrogatoires policiers” et que”La sélection des faits invoqués par la journaliste, sa manière de poser des questions, le choix des termes qu’elle utilise (‘instigateur’, ‘manipulateur’…) , sa propension à impliquer à tout prix l’avocat dans la commission des faits reprochés à son client contredisent l’exigence d’impartialité“.
Boulevard Voltaire a voulu recueillir l’avis de Claude Chollet, président de l’Observatoire du Journalisme (Ojim).
Pour rappel, qu’est-ce que le Conseil de déontologie des journalistes ?