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magouille et compagnie - Page 963

  • Claude Chollet : « À un moment où les autorités libérales libertaires craignent pour leurs intérêts matériels et moraux, elles serrent la vis, encouragent la censure »

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    Le Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM), né à la fin de l’année passée, vient d’épingler la journaliste Apolline de Malherbe au sujet de son interview de Juan Branco, le 17 février dernier, sur BFM TV. Cet organisme a estimé que “les entretiens journalistiques ne sont pas des interrogatoires policiers” et  que”La sélection des faits invoqués par la journaliste, sa manière de poser des questions, le choix des termes qu’elle utilise (‘instigateur’, ‘manipulateur’…)​ , sa propension à impliquer à tout prix l’avocat dans la commission des faits reprochés à son client contredisent l’exigence d’impartialité“.

    Boulevard Voltaire a voulu recueillir l’avis de Claude Chollet, président de l’Observatoire du Journalisme (Ojim).

    Pour rappel, qu’est-ce que le Conseil de déontologie des journalistes ?

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  • LAETITIA AVIA, L’ARROSEUSE ARROSÉE

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    Pierre Vial Terre & peuple cliquez là

    Née en Seine-Saint-Denis dans une famille originaire du Togo fraîchement arrivée en France, Laetitia Avia, qui avait les dents longues, a su sauter, parmi les premiers, dans le train macronien. Ce qui lui a permis de devenir députée et porte-parole de la République en marche, une formation qui sait utiliser la couleur puisque Sybeth la bien-nommée est porte-parole du gouvernement… Edouard Philippe, dans son discours de politique générale du 4 juillet 2017, n’a pas manqué de se féliciter de tels choix. Pour faire carrière dans l’Etat macronien il n’est décidément pas recommandé d’être Breton, Alsacien ou Auvergnat.

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  • Non seulement il n’y a pas tant de morts, mais en plus certains ne sont pas vraiment morts

    Non seulement il n’y a pas tant de morts, mais en plus certains ne sont pas vraiment morts

    En ce temps pascal, les résurrections s’accumulent…

    Dans son bilan quotidien mardi, la Direction générale de la Santé (DGS) a fait état de nouveaux chiffres de décès dus au coronavirus en France, avec une importante correction : la veille, 342 décès avaient été comptés en trop dans les Ehpad et autres établissements médico-sociaux.

    Tout le monde peut faire une erreur. Le problème, c’est l’accumulation.

    La semaine dernière, les chiffres avaient également été surestimés deux fois : le 12 mai, 15 décès en trop avaient été dénombrés. Le 14 mai, c’était 14 décès qui étaient indûment comptabilisés.

    L’ajustement se fait donc à la baisse, et non à la hausse, contrairement à ce que répètent certains depuis des semaines. Sans parler de la distinction entre les vrais décès du coronavirus et des personnes décédées morts de leur maladie (ou de vieillesse) tout en étant porteurs du virus.

    Comme le relève Mediapart, certaines mairies comptent comme « décès à domicile » des décès qui sont en fait survenus en maison de retraite. Avec, pour conséquence, des oublis ou des mauvais calculs de taux de surmortalité.

    L’hystérie se nourrit elle-même…

    https://www.lesalonbeige.fr/non-seulement-il-ny-a-pas-tant-de-morts-mais-en-plus-certains-ne-sont-pas-vraiment-morts/

  • Edouard Philippe estime que l’Union européenne n’a pas « été à la hauteur de la crise » sanitaire

    Edouard Philippe estime que l’Union européenne n’a pas « été à la hauteur de la crise » du coronavirus. Le Premier ministre s’exprime lors de la séance de questions au gouvernement au Sénat.

    https://www.tvlibertes.com/actus/edouard-philippe-estime-que-lunion-europeenne-na-pas-ete-a-la-hauteur-de-la-crise-sanitaire

  • La peur pour faire accepter l’impossible

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    Par Thierry Bouclier

    A la fin des années 1980, le monde est saisi d’une angoisse alors que l’an 2000 se profile à l’horizon. Partout se répand la nouvelle que les ordinateurs vont devenir fous car ils ne sont pas programmés pour passer de 1999 à 2000. Le 31 décembre 1999, à minuit, ils vont afficher la date du 1er janvier 1900. La panique se propage. Tout va s’arrêter. Le système imploser. Les ascenseurs s’arrêter. Les avions s’écraser. Les centrales nucléaires exploser. C’est le bug de l’an 2000 et la grande peur du virus informatique. Au cours des quatre années qui précèdent le saut dans l’inconnu, les campagnes se multiplient. Il faut absolument mettre à jour les ordinateurs pour éviter la catastrophe. Des sommes astronomiques sont dépensées par les entreprises afin d’être prêtes. Le 31 décembre, la planète retient son souffle. Minuit approche. La vie s’est figée. Les avions sont cloués au sol. Personne ne s’aventure à prendre un ascenseur. L’instant fatidique. Le moment du grand passage. Minuit retentit. Que se passe-t-il ? Rien. Absolument rien ! Nulle part. La vie continue. Les promoteurs de la peur du virus informatique, au premier rang desquels se dresse Microsoft, peuvent contempler leurs poches. Elles sont remplies des juteux profits générés par la psychose qu’ils ont inoculée dans les opinions mondiales.

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  • Emmanuel Macron : la mascarade du déni

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    Tactique de communication systématique ou tendance mentale qui relève de la pathologie ? Le Président élu par les Français et par effraction ne reconnaît, personnellement, aucune de ses erreurs ni aucune des fautes du régime. C’est la culture du déni en gros et dans les détails. Lors de la conférence de presse en duo à distance avec Mme Merkel, il avait, au début, mal contenu une certaine jubilation. Tout sourire, son « bonjour à toutes et à tous », suivi d’un « vous allez bien ? » tout aussi mécanique, qui ne s’adressent à personne, et n’attendent aucune réponse, sont symptomatiques d’un individu qui vit dans sa bulle, est incapable d’empathie et pensait, à ce moment, davantage au coup politique et médiatique qu’il croyait réaliser qu’à la situation des familles endeuillées ou des nombreux Français que la crise sanitaire et les mesures prises ont plongés dans la précarité pour certains, ont privés de libertés pour beaucoup. La chancelière allemande était davantage dans le ton d’une situation que M. Macron avait comparée à une guerre, ce que les Allemands n’ont jamais dit, d’ailleurs.

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  • Trois Ehpad des Hauts-de-Seine visés par des enquêtes pour «homicide involontaire», «non assistance à personne en danger» et «mise en danger de la vie d’autrui».

    Plusieurs enquêtes préliminaires ont été ouvertes après des plaintes pour « homicide involontaire » déposées par plusieurs familles de résidents de trois Ehpad dans les Hauts-de-Seine, décédés des suites du coronavirus, a annoncé mardi le parquet de Nanterre.

    Ces enquêtes, ouvertes pour «homicide involontaire», «non assistance à personne en danger» et «mise en danger de la vie d’autrui» visent des résidences situées à Chaville, Clamart et Clichy-la-Garenne. «Elles concernent les décès survenus entre le 25 mars et le 12 avril 2020 d’un homme de 80 ans et de trois femmes âgées de 89 à 96 ans», précise le parquet dans son communiqué.

    Selon les plaintes formulées, les familles ont alerté à de nombreuse reprises sur «l’absence d’utilisation de matériels de protection, tels que des gants et des masques, et le défaut de respect des gestes barrières» dans l’établissement de Clamart, où huit résidents sont décédés du coronavirus, peut-on lire dans les plaintes déposées par les familles.

    (…) Le Figaro

    https://www.tvlibertes.com/actus/trois-ehpad-des-hauts-de-seine-vises-par-des-enquetes-pour-homicide-involontaire-non-assistance-a-personne-en-danger-et-mise-en-danger-de-la-vie-dautrui

  • « L’erreur c’est que nous avons sous-estimé à quel point l’hôpital était à l’os et la défiance installée »

    « L’erreur c’est que nous avons sous-estimé à quel point l’hôpital était à l’os et la défiance installée »

    La phrase est d’Emmanuel Macron, découvrant la brute réalité de l’hôpital public en France, à l’occasion de la crise du coronavirus. Si le confinement a été décrété, ce fut pour éviter d’encombrer les urgences afin de traiter en priorité les malades de la pandémie. Mais la réalité c’est que le système de santé est à bout de souffle, malgré les milliards prélevés sur les revenus des Français (mais où va l’argent… ?).

    Le chef de l’Etat a déclaré aussi :

    « La stratégie était bonne, nous avons, pour la première fois depuis douze ans, stoppé la baisse des tarifs hospitaliers, mais la mise en oeuvre [du plan Santé 2022] aurait dû être plus radicale et les moyens plus conséquents. » « Cela fait quinze ans que nous commettons les mêmes erreurs en adoptant une logique uniquement comptable. Ce n’est pourtant pas seulement une question d’argent ». « C’est d’abord une question d’organisation et de poids excessif de l’administration. Côté rémunérations, il est vrai qu’elles sont scandaleusement basses par rapport à la moyenne européenne. Là, c’est une question d’argent et on va le trouver ».

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  • Loi contre la « cyberhaine » : honte à notre Parlement

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    Un communiqué du MNR :

    Le mercredi 13 mai 2020, le Parlement a définitivement adopté,via un ultime vote de l’Assemblée nationale, la proposition de loi de la députée Laetitia Avia (La République en marche) contre la haine en ligne. Ce texte a été contesté par de nombreuses organisations, y compris la Commission Européenne. En effet, l'atteinte à la liberté d'expression est manifeste. Tout d'abord, la haine est un sentiment : comment pourrait-il être l'objet d'une action officielle ? D'autre part, les grandes plateformes d'internet sont investies d'une sorte de pouvoir judiciaire, sans passer par les tribunaux : les réseaux sociaux de type Facebook ou Twitter, Instagram, les moteurs de recherche, comme Google, devront désormais retirer tout message « manifestement illicite » au maximum 24h après en avoir été notifiés. Notifiés par qui ? Ainsi donc, on confie à des sociétés privées le soin de s'occuper de la liberté d'expression. Il reste à espérer que le recours au Conseil Constitutionnel prévu par le groupe LR au Sénat, aboutira...

    Dénonçons sans relâche la tyrannie exercée par le pouvoir à l'encontre des opinions dissidentes, sous prétexte de « bons sentiments ».

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/05/20/loi-contre-la-cyberhaine-honte-a-notre-parlement-6240010.html

  • Mise au pas des plateformes aux Etats-unis, loi Avia en France, Trump versus Macron

    Alors que la France, via la néfaste loi Avia, sombre dans l’obscurantisme de la censure arbitraire et privée, que les propos des Français vont ainsi être soumis au contrôle subjectif des plateformes Facebook, Twitter, Google and Co, collaborateurs serviles du régime Macron et gardiens fidèles de la pensée unique imposée par la conscience morale universelle qui ne supporte, la pauvrette, aucune contestation ni résistance à son désir de monopole idéologique sur les esprits, aux Etats-Unis, c’est tout le contraire qui se dessine.

    Le président Donald Trump a décidé de mettre au pas les plateformes avant tout parce que leur politique de modération, c’est-à-dire la censure qu’elles appliquent aux propos des Américains, est conditionnée par la gauche radicale. Une gauche radicale qui dicte tout autant en France la bonne pensée à tenir sur les réseaux sociaux.

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