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magouille et compagnie - Page 960

  • Cet islam politique qui s’installe en France

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    Depuis une dizaine d’années seulement, un islam intégriste noyaute les banlieues et obtient un pouvoir grandissant grâce à son investissement électoral et associatif, décrit François Pupponi.

    Maire de Sarcelles pendant vingt ans, de 1997 à 2017, et habitant de cette ville depuis plus de cinquante ans, François Pupponi a tout vu : la pauvreté grandissante de certains quartiers, l’écart qui se creuse entre ce territoire perdu de la République et les grandes métropoles, « l’ensauvagement des “ jeunes issus de la diversité” », l’une des plus violentes manifestations antisémites depuis 1945 et enfin l’irruption il y a peu d’un islam radical gangrenant tous les milieux, associatif, cultuel, sportif et social. C’est donc avec les yeux de l’expérience qu’il décrit dans un livre témoignage, les Émirats de la République, comment des musulmans fondamentalistes prennent le pouvoir dans les municipalités et finissent par être une menace pour la République, au grand dam de la communauté musulmane elle-même et des autres habitants. Un récit instructif et riche d’enseignements.
    Découvrez cet entretien paru dans Valeurs Actuelles.

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  • Avec l’affaire Mila, l’islamophobie en prend un coup

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    L’« affaire  » se dégonfle peu à peu. Nicole Belloubet est allée à Canossa en passant par Le Monde pour expliquer que le délit de blasphème n’existe pas en France, que « juridiquement, l’insulte à la religion n’existe heureusement pas dans notre République. Seules sont réprimées les injures faites à autrui en raison de son appartenance à une religion déterminée, comme celles adressées à une personne en raison de ses origines, de ses orientations sexuelles, de son sexe… » Dont acte.

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  • Retraite : un projet de réforme nul et non avenu

    Il aura fallu plus de deux ans de prétendus débats, concertations et négociations et négociations au gouvernement pour rendre un projet de réforme des retraites qui ne ressemble à rien. Consternant !

    Très logiquement, le Conseil d'Etat a rendu, le 24 janvier, un avis très sévère sur les deux projets de loi, organique et ordinaire, en pointant notamment des projections financières «lacunaires» il n'est précisé nulle part comment la réforme sera financée); un manque de visibilité résultant d'un recours abusif - à 29 reprises ! - aux ordonnances (l'État demande en somme aux parlementaires de lui donner carte blanche) une absence de sécurité juridique, en raison des faibles délais (trois semaines !) laissés aux magistrats pour examiner ces textes ainsi que des incertitudes concernant la constitutionnalité de certaines mesures prévues.

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  • Gilets jaunes : «La France est transformée en une immense toile de révoltes», estime Michel Fize

                     RT France

     
    Entretien du 08/02/2020 avec Michel Fize, sociologue et auteur du livre Une insurrection populaire au destin encore incertain.Il s'exprime sur la situation actuelle des Gilets jaunes, et plus particulièrement sur l'acte 65 de ce samedi, marqué par une interdiction préfectorale.
  • Têtes à Clash n°63 : Macron et l’affaire du t-shirt « LBD 2020 »

     

    Franck Tanguy reçoit Christian Vanneste, Jean-François Auzolle, Philippe Murer et François Bert. Au programme des débats :
    1) L’affaire Mila : droit au blasphème ?
    2) Good bye UK, et après ?
    3) Macron et l’affaire du t-shirt à Angoulême

    https://www.tvlibertes.com/tetes-a-clash-n63-macron-et-laffaire-du-t-shirt-lbd-2020

  • Le chemin du droit de l’entreprise : de la perte de la souveraineté de l’Etat à la dictature universelle

    Une récente manifestation médiatique arrive à point nommé pour illustrer la réalité politique de la question juridique de l’entreprise.

    Le droit de l’entreprise est au cœur de la souveraineté des États car il est le lieu privilégié où s’affrontent les forces économiques globalistes menées par les banquiers et les forces politiques légitimistes menées par les États. N’en déplaise aux esprits faux, la traduction de la souveraineté est éminemment juridique, aussi il n’existe pas de souveraineté politique sans souveraineté juridique. Dit autrement, la souveraineté politique passe de façon essentielle par la souveraineté juridique. Derrière tous les faux semblants et les jérémiades des actuels dirigeants économiques, qui contrôlent en réalité l’État français, est un principe général : « Dieu se rit des hommes – et des États – qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes. » On ne peut dans le même temps à la fois jouer le jeu globaliste de ses adversaires, tout de droit anglo-saxon vêtu, et déplorer son propre asservissement, c’est-à-dire son impuissance et sa domination !

    Qu’en est-il de la souveraineté juridique française ? Sa disparition est parfaitement illustrée par l’évolution juridique du droit de l’entreprise. De ce point de vue, la France, comme la plupart des pays du monde, a abandonné son pouvoir régalien de régulation au profit de la mise en œuvre réglementaire illimitée du pouvoir de ses créanciers – les banquiers globalistes. Concrètement, la France a abandonné sa capacité a générer une économie politique autonome – comprendre « non contrôlée par les banquiers globalistes » – lorsqu’elle a refusé au Général De Gaulle la mise en œuvre juridique de la souveraineté économique, qui passait par un renouveau du droit de l’entreprise.

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  • La grande imposture du macronisme par Christian Vanneste.

    En 2017, une majorité d’électeurs a cru faire un choix, et sans en prendre conscience, ils en ont fait un autre. Au second tour de l’élection présidentielle, beaucoup de Français ont cru repousser une idéologie dangereuse et un parti incapable de gérer efficacement le pays, cru choisir celui qu’ils imaginaient être le plus compétent

    Venu de la gauche, son parcours, ses priorités, et sa capacité de rassembler des hommes et des femmes de gauche comme de droite, de la société civile, enfin (!), avaient fait naître la grande illusion d’un gouvernement qui allait privilégier le réel et l’intérêt général plutôt que l’idéologie et ses obsessions ou ses fantasmes. De nombreux électeurs de Fillon s’y sont laissés prendre et continuent parfois à baigner dans cette imposture entretenue par des médias complices. Or, rarement un pouvoir, dans notre pays, n’aura été autant pétri d’idéologie.

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  • 1 an de prison pour la patriote Catherine Blein ! Plus que Camus-Tasin réunis !

    Le grand fabuliste qu’était Jean de La Fontaine avait visé juste lorsque dans ses « animaux malades de la peste », il énonçait que « selon que vous serez puissants ou misérables, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir » !

    https://lewebpedagogique.com/annelaureverlynde/files/2014/05/Les-Animaux-malades-de-la-peste-la-fontaine-commentaire.pdf

    Et ce n’est pas, en cette triste époque où la France subit les méfaits grandissants de la « Macronie » que le contraire sera démontré.

    Car en effet, après celui de Christine Tasin, scandaleusement condamnée à 4 mois de prison (avec sursis mais prison quand même !) simplement pour des mots jugés offensants, c’est un ignominieux verdict qui vient d’être rendu contre Catherine Blein, dont le double crime, aux yeux chassieux des indignes gouvernants, est de ne pas s’abreuver exclusivement au « politiquement correct », et d’avoir été élue « conseillère régionale bretonne » sur une liste RN… ce qui en fait automatiquement une paria !

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  • La volonté de rééduquer l’homme occidental

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    Par Mathieu Bock-Côté

    Dans L’Homme surnuméraire, un roman paru en 2018, Patrice Jean a eu l’intuition géniale de mettre en scène un personnage dont le travail consiste à réécrire les classiques de la littérature pour les rendre compatibles avec les valeurs de notre temps. Mais comme c’est trop souvent le cas, le réel vient de dépasser la fiction. Dans certaines maisons d’édition américaine, la tendance est à l’embauche des « sensitivity readers ». Leur rôle ? Réviser les manuscrits pour y traquer les préjugés raciaux ou les stéréotypes de genre et s’assurer d’une représentation positive de la diversité dans le texte publié, qu’il faudrait délivrer de l’emprise du « patriarcat blanc ». Parfaits commissaires politiques, ils lisent les œuvres à partir d’une grille idéologique et distribuent les bons et mauvais points. La littérature doit s’y soumettre ou se démettre.

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  • Quand L’Humanité inclut Mickaël Harpon, le terroriste de la Préfecture, dans les « victimes » de « violences policières »

    Dans un dossier spécial, l’Humanité avance que 26 personnes sont décédées en 2019 suite à des « violences policières ». Problème : Mickaël Harpon, l’homme qui a tué quatre fonctionnaires à la préfecture de police de Paris le 3 octobre avant d’être abattu par les forces de l’ordre, fait partie des 26.

    France Inter

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