magouille et compagnie - Page 961
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Blasphème : 50 % des Français déjà soumis à la charia
Voici ce que révèle l’affaire Mila qui décidément marque une étape dans la conquête musulmane, dans la soumission des élites et maintenant dans celle de 50 % du peuple de France.Zekri, président du CFCM, confirme l’appel au meurtre sans que personne ne s’y oppose.Ce fanatique haineux, représentant la communauté musulmane de France, s’est autorisé à cautionner l’appel au meurtre en affirmant publiquement que Mila l’avait bien cherché.« Cette fille sait très bien ce qu’elle fait. Qui sème le vent récolte la tempête ».Bien cherché quoi ?La mort, bien sûr, que lui ont promise les barbares musulmans sur les réseaux sociaux !Personne pour lui faire fermer sa gueule.La menace est telle, elle est tellement crédible, prégnante, avérée, que le gouvernement a été obligé de placer Mila et sa famille sous protection policière. -
Trahison de la droite : Angela Merkel chausse les bottes de Jacques Chirac
Cela n’étonnera personne. Angela Merkel s’est insurgée contre “l’impardonnable” élection d’un membre de son partii en Thuringe grâce aux voix de l’AfD. Jacques Chirac, hostile à toute union des droites, avait également pesé de tout son poids en 1998 pour faire démissionner Charles Millon de la présidence de la région Rhône-Alpes.
La chancelière allemande Angela Merkel a qualifié jeudi «d’acte impardonnable» l’alliance électorale régionale inédite entre son parti et l’extrême droite en Thuringe, qui a provoqué un séisme politique dans le pays.
«Il faut dire que c’est un acte impardonnable et que par conséquent le résultat (de cette élection) doit être annulé»
Même trahisons, même refus d’un front commun de la droite, même déni de la démocratie et même bilan négatif de 14 années de pouvoir…
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Des eurodéputés polonais estiment que la police en France se comporte comme celle des «pays totalitaires»
Les violences policières en France sont de nouveau la cible de vives critiques. Cette fois, ce sont des eurodéputés polonais qui demandent à Emmanuel Macron de mettre fin à «la violence des autorités» contre les Français, rapporte Mediapart. Les eurodéputés n’ont pas laissé sans réponse les propos d’Emmanuel Macron prononcés lors de son déplacement à Varsovie le 4 février et qui ont visé la ligne politique du parti de Jaroslaw Kaczynski, Droit et Justice (PiS), au pouvoir depuis 2015. Le président français avait alors mis les autorités polonaises en garde contre «une résurgence nationaliste en négation des principes politiques européens».
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AFFAIRE MILA - CIEL MON BLASPHÈME !
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LES GILETS JAUNES, ACTE 64 : SALE AMBIANCE
Les Reportages de Vincent Lapierre
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Collectif Némésis : « Les féministes de gauche ne pointent pas les persécuteurs de Mila pour des raisons idéologiques »
Le collectif Némésis dénonce l’indignation à géométrie variable des féministes, dans de récentes affaires ayant touché des jeunes femmes victimes de viol (étudiante à Rouen) ou de menaces de mort (Mila) ou, plus récemment, lors du meurtre sordide de Laura.
Quelle est votre position sur l’affaire Mila ?
Nous avons soutenu la jeune Mila dès le début de l’affaire et relayé le hashtag #JeSuisMila, nous considérons que cette jeune fille n’a fait qu’utiliser son droit à la liberté d’expression et qu’il est intolérable qu’en France, elle doive se cacher comme si elle vivait en Afghanistan ou en Égypte. Elle a rejoint la longue liste de supposés blasphémateurs comme Salman Rushdie (victime d’une fatwa de l’ayatollah Khomeini), Taslima Nasreen, plus proche de nous Robert Redeker, les dessinateurs de Charlie Hebdo et tant d’autres qui ont été menacés de mort pour avoir osé critiquer la religion musulmane.
Vous avez pointé la lâcheté des associations féministes. Pourquoi, selon vous ?
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Denain (59) : la maire socialiste « noue une alliance informelle » avec les Frères musulmans pour les municipales
Alors que le candidat du Rassemblement national Sébastien Chenu semble en position d’emporter la ville, la maire Anne-Lise Dufour-Tonini entretient des rapports cordiaux avec la famille Iquioussen, ouvertement proche des frères musulmans. Par électoralisme ? La réponse n’est pas simple.
En apparence, c’est un cas d’école. Une élue socialiste du Nord, sentant sa base électorale s’effriter, cède aux sirènes du communautarisme. Alors que le Rassemblement national est en embuscade, prêt à ravir la mairie, elle noue une alliance informelle avec des religieux, qui lui apportent les voix de la communauté musulmane.
En échange, elle les laisse étendre leur influence, au mépris des principes laïques et républicains qui forment le socle du socialisme. Sauf qu’à Denain (20 075 habitants), la réalité du terrain est plus nuancée. L’entrisme des frères musulmans dans la vie politique locale ne fait plus guère de doute. Leur poids électoral réel, en revanche, est une énigme.
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La défaite les divisera encore plus
Au lendemain des élections municipales, le parti ministériel nous en a très aimablement avertis : au ministère de l'Intérieur, l'incertain Castaner, s'apprêtait à en trafiquer les statistiques de résultat. Ce sont en effet 54 % des électeurs français dont il se proposait de camoufler le désaveu probable. La manœuvre annoncée aura semblé tellement énorme que les gardiens du temple constitutionnel ont finalement protesté.
Castaner, ce très mauvais ministre de l’Intérieur coche, à vrai dire, toutes les cases : parfaitement nul sur le maintien de l'ordre et la sécurité des citoyens et contribuables[1], totalement médiocre quant au pilotage des collectivités locales, il se révèle pire encore s'agissant de la préparation des élections.
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Macron : mille jours et le chaos
Alors qu’Emmanuel Macron fête ses mille jours à la tête de l’Elysée, les Français dressent un constat accablant du mi-mandat présidentiel. Crise des Gilets Jaunes, réforme des retraites ou encore affaire Benalla, le quinquennat Macron est pour le moment bien amer.
Emmanuel Macron fête ses mille jours à l’Elysée
Et le bilan est amer. Un cap symbolique pour le président de la République dont le mandat ressemble davantage à long calvaire qu’à une promenade de santé.
Selon un sondage Odoxa près de deux français sur trois estiment que Jupiter est un mauvais président et un tiers des personnes interrogées le considèrent même comme « un très mauvais président ». Parmi les personnes ayant une mauvaise opinion, 62% le considèrent mauvais en raison « de ses actions et de la politique qu’il a menée ». Il faut dire que depuis son élection en mai 2017 et la promesse d’un «nouveau monde politique», certains électeurs ont quelque peu « déchanté ». En deux ans et demi de présidence, Emmanuel Macron a perdu 32 points de popularité ; ses prédécesseurs, François Hollande et Nicolas Sarkozy, en avaient perdu respectivement 35 et 31.
Si le locataire de l’Elysée limite la casse de ce côté, il a en revanche tiré son épingle du jeu en se montrant parfois extrêmement méprisant avec les gens qui ne sont rien. En effet, pendant la campagne électorale ou peu après son élection, Emmanuel Macron a multiplié les petites phrases chocs qui ne sont pas passées auprès de l’opinion.
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Politique française : de Charybde en Scylla, par Maxime Tandonnet
La politique française donne le sentiment étrange d’empirer d’année en année sans que le fond de l’abîme ne soit jamais atteint.
D’après l’enquête de CEVIPOF sur la confiance, 79% des Français ont une image négative de la politique. 39% éprouvent de la méfiance envers elle, 28% du dégoût et 10% de l’ennui. S’ajoutant à l’explosion de l’abstentionnisme (plus de 50% aux législatives de 2017) et au vertigineux progrès du vote « anti-système » de gauche ou de droite, ces résultats soulignent le climat d’écœurement qui ronge le pays et la profondeur du fossé qui sépare la classe dirigeante du peuple et ne cesse de se creuser. Faut-il s’en étonner ?