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magouille et compagnie - Page 964

  • Le contre-sens suicidaire de la prétendue « écologie ».

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    Le grand paradoxe ou plutôt l’énorme mensonge de « l’écologie » politique repose sur une idée : la vie. La pandémie du Covid-19 a accentué au-delà du raisonnable la peur de la mort. Ni le nombre de morts, ni les tranches d’âge assez logiquement les plus touchées n’auraient du conduire à pareille panique planétaire augmentée dans notre pays par la gesticulation d’un gouvernement dépassé par la question. Sans doute la priorité donnée à la protection de la vie a-t-elle facilité un glissement de l’opinion vers ceux dont le fonds de commerce se confond avec l’exploitation politique de la peur face aux menaces chimique ou nucléaire. Entre pollution et contamination, l’amalgame sémantique a été depuis longtemps utilisé par les marxistes repeints en vert qui se sont emparés de « l’écologie ». Le climat mental créé par la crise sanitaire a donc développé surtout chez les urbains des grandes villes l’idée qu’il fallait améliorer la qualité de l’air, de l’alimentation, et se méfier davantage des produits d’une grande industrie cynique prête à jouer sur notre santé pour augmenter ses profits. Le rôle des grands laboratoires pharmaceutiques dans « l’étrange défaite » de notre système de santé et en particulier dans le navrant débat autour du « protocole Raoult » a donné du crédit à cette hostilité et permis la réunion contre le capitalisme du gauchisme assoiffé de révolution et des bobos soucieux de leur santé. Le taux d’abstention avec sans doute une mobilisation plus sélective des électeurs a fait le reste. On remarquera seulement que l’autre bénéficiaire politique potentiel de la pandémie, le souverainisme, qui dénonce lui de manière plus précise,  et l’excessive circulation des biens et des personnes, et la délocalisation de notre production, qui expliquent à la fois la propagation rapide du virus et l’absence des moyens matériels pour le combattre, n’a pas su utiliser cette carte pourtant maîtresse.

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  • Conseil d'État : quand l'État se fait juge et partie

    Plus haute juridiction administrative, le Conseil D’État est censé arbitrer les conflits entre l’État et les citoyens. Mais son indépendance à l’égard du pouvoir est sujette à caution.

    Sis au Palais-Royal, à Paris, le Conseil d'État est « la confrérie la plus prestigieuse et la plus secrète de la République » selon le journaliste Yan Stefanovitch, qui lui consacre un livre très documenté, paru au mois de mars(1). Il exerce une double fonction de conseiller du gouvernement et de juge administratif en cas de conflit entre l'État et les citoyens, et la jurisprudence de ses décisions, « encadre la vie quotidienne des Français dans toutes ses dimensions » : restrictions aux droits face au terrorisme, liberté de manifester et utilisation d'armes létales ou non par la police, port du voile, mouvements migratoires, retraits de permis de conduire, permis de construire, attribution d'aides sociales, droits et libertés des fonctionnaires, réclamations pour des impôts indus... Ou liberté du culte, comme on l'a vu le 18 mai, lorsque le Conseil d'État a ordonné au gouvernement de rouvrir les lieux de culte.

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  • « Avec les éoliennes, l’écologie, c’est du vent ! » L’édito de Charles SANNAT

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    Haaaa…. l’icoulougie et le développement durable ! Qu’est-ce cela me fait rire !
    Tous les écolos me font rire. Surtout les jeunots adeptent de la jeune gourette (un gourou c’est un chef de secte), mais comme il faut tout féminiser dans ce monde de parité (même quand elle stupide) on doit dire je ne sais pas moi une gourette par exemple.
    Je pense évidemment à la Greta.
    Il y aura bien des esprits chagrins pour me dire que gourette cela fait penser à se gourer… pas faux. Mais comme Greta et ses jeunes adeptes se gourent en se fourrant leurs petits doigts jusqu’au tréfonds des yeux cela me va bien.
    Déjà ils luttent pour la planète un i-phone dans une main et en faisant la queue chez mac-do pour un hamburger à la fin.
    Ensuite ils veulent des voitures, des trottinettes et des vélos électriques, aux batteries super bonnes pour la planète.
    Bon, encore une fois pas grave.
    Les batteries sont produites en Chine et tuent pleins de petits Chinois.
    Le racisme c’est pas bien mais tuer les petits Chinois ça c’est bien.
    Puis une fois utilisées, les batteries des i-phones, des trottinettes, des vélos, et des bagnoles partent au « recyclage » et terminent sous forme de déchets « ultimes ».
    Vous savez ce que c’est un déchet ultime ?
    Je vais vous le dire moi, car un écolo cela parle de « déchet ultime », mais un déchet ultime c’est la quintessence d’une vraie merde environnementale dont on ne sait pas quoi faire à part l’enterrer, la jeter à la mer.
    Et pour ça on a l’Afrique.

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  • Chers écologistes, par Aristide Renou.

    Vous croyez à la vertu de l’exemple. Vous y croyez dur comme fer.

    Vous croyez par exemple qu’il est pertinent de réduire la vitesse maximale autorisée sur autoroute à 110km/h. Sachant que la France représente à peine 0,9% des émissions mondiales annuelles de Gaz à Effet de Serre (GES), que les transports représentent 39% de ce 0,9 et les transports routiers 80% de ces 39% et sachant enfin que, selon les savants calculs des « experts », passer au 110km/h réduirait de 20% les émissions de GES des usagers des autoroutes, il est facile de calculer que ce passage au 110km/h assurerait une réduction des émissions mondiales de GES de 0,056% - ce en supposant bien sûr que la totalité du transport routier français ait lieu sur autoroute, que tous les usagers roulent à la vitesse maximum autorisée et que par ailleurs il n’y ait aucun report du trafic vers le réseau secondaire.

    Comme cette dernière hypothèse est évidemment fausse, la réduction réelle sera très, très inférieure à 0,056. Et, tout aussi évidemment, une telle réduction microscopique ne pourrait avoir strictement aucun effet sur le « changement climatique » qui vous préoccupe tant et qui, selon vous, justifierait le passage au 110km/h.

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  • Buzyn auditionnée à l’Assemblée : surréaliste !

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    C’est peu dire que l’audition d’ par la commission d’enquête de l’Assemblée nationale laisse une impression de malaise. On a beau ne pas aimer tirer sur les ambulances, avec quatre fois plus de décès en France qu’en Allemagne, entendre que « ce qu’on a mis en place dès le 10 janvier est sans commune mesure avec les autres pays » fait sortir la fumée par les oreilles ! De même que l’affirmation selon laquelle, lors de son départ du ministère, tout était en place pour que le système de santé soit prêt pour faire face à l’épidémie…

    Ceux qui ont dû réanimer dans les couloirs apprécieront, et on frémit d’imaginer où nous en serions si nous avions été privés du talent d’anticipation d’Agnès Buzyn !

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  • Un nouveau campement de migrants à Paris pour exiger une meilleure prise en charge

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    Environ 70 migrants campent, désormais, dans un square, près de la place de la République à Paris, pour exiger de l’État une meilleure prise en charge.

    C’est un coup de force de la part de plusieurs dizaines de migrants qui se sont installés près de la place de la République. À l’initiative de plusieurs associations humanitaires comme Médecins sans frontières, Utopia56 et COMEDE, ces « mineurs non accompagnés » ont été installés dans des tentes, lundi 29 juin.

    Un recours fait par les associations

    Une action qui a pour but de demander à l’État une meilleure prise en charge des migrants. Selon eux, « environ 300 » mineurs isolés vivent à Paris et dans sa banlieue, dans des hôtels ou à la rue. « Aujourd’hui, rien n’est adapté pour héberger et accueillir dignement ces jeunes en attendant leur jugement », reconnaît Florent Boyer, coordinateur d’Utopia56 à Paris.

    Un jugement qui doit intervenir entre six mois et un an et demi, depuis qu’un recours a été fait par ces militants pour que ces mineurs soient reconnus comme « des enfants en danger ».

    https://www.bvoltaire.fr/un-nouveau-campement-de-migrants-a-paris-pour-exiger-une-meilleure-prise-en-charge/

  • Pédophilie , traite d’êtres humains : Le bras droit de George Soros accusé de viol et de traite d’êtres humains

    Il est très curieux de constater que cette très grave affaire de viols répétés, au vu des nombreuses plaintes qui ont été déposées contre le bras droit de George Soros, Monsieur Howard Rubin, n’ait jamais été traitée dans la presse française. En outre, il est encore plus consternant de constater que toutes les activités criminelles de ces milliardaires peuvent être camouflées par des accords signés entre les parties et comportant des clauses de confidentialité qui interdisent aux plaignantes d’en parler après avoir reçu quelques millions à titre de dommages, afin d’acheter, pour ainsi dire, leur silence. Un tel procédé n’a strictement rien à voir avec la justice ; c’est plutôt un moyen efficace permettant aux puissants d’échapper à la case prison avec la complicité passive des forces de l’ordre et des instances judiciaires. Enfin, cette énième affaire démontre que les élites politico-économiques mondiales, plus spécialement occidentales, totalement dégénérées et plongées dans une profonde décadence, n’ont absolument plus aucune morale et se permettent les pires dérives.

    Selon des documents judiciaires, Howard Rubin, largement connu comme le bras droit de George Soros, a été accusé de diriger une « entreprise de traite des êtres humains » dans laquelle il aurait violé, agressé brutalement et réduit en esclavage des femmes dans un donjon sexuel de 8 millions de dollars à Manhattan.

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  • La convention citoyenne et ses 146 bêtises

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    Par Benoît Busonier

    Il convient de rappeler ce qu’est la Convention citoyenne pour le climat. Cette instance est sortie du néant, qu’elle n’aurait pas dû quitter, en octobre 2019, par la volonté d’Emmanuel Macron. Le principe est le suivant : après le « grand débat national » qui a suivi la crise des Gilets jaunes et le recueil de leurs cahiers de doléances, le président a cru discerner que la demande populaire la plus urgente était celle d’une assemblée citoyenne... au sujet du changement climatique. C’est ainsi qu’a été noyée dans la communication la revendication originelle, celle d’une fiscalité moins écrasante pour ceux qui travaillent et dont les services publics se dégradent ou disparaissent.

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  • L'ordre Macron-Castaner : deux poids deux mesures ? Bien pire

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    Xavier Raufer dans Atlantico

    Récemment, alors que d'impératives mesures sanitaires prohibent en France les attroupements de plus de dix individus, des "indignés" des banlieues et jeunes bourgeois gauchistes investissent par milliers Paris et autres métropoles françaises, volant notamment au secours d'un clan criminalisé - sur lequel on revient plus bas. 

    Alors que le ministre de l'Intérieur avait interdit toutes ces démonstrations pour "motif sanitaire" ; alors que préfet de police de Paris est réputé brutal, qu'advint-il lors de ces flagrants et massifs outrage à l'ordre public, un peu partout en France ? Rien. 

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  • Et pendant ce temps, l’islamisme fait son lit politique dans une France hystérique…

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    Comme on l’avait pressenti avant le premier tour des  du 28 juin, l’encouragement par Macron de toutes listes communautaires sans distinction ni restriction s’est aussitôt traduit par l’intrusion politique, par voie légale, d’activistes islamiques. Jusqu’à installer à un poste officiel de représentation et de décision publique un individu qui serait fiché S (menace pour la sécurité nationale), selon L’Express, accusation niée par l’intéressé et qui lui a déjà donné l’occasion d’engager une plainte pour diffamation.

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