magouille et compagnie - Page 972
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LOI AVIA : LA FIN DE LA DISSIDENCE?
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Les gens sont si bêtes
C’est vrai, ça. Et méchants, en plus. On se décarcasse pour leur mâcher le travail, pour pas qu’ils perdent de temps dans cette quête essentielle de la vérité, et voilà qu’on nous tombe dessus à bras raccourcis. Le bébé de Sibeth Ndiaye, le service « Désinfox coronavirus », aura donc « vécu ce que vivent les roses », comme disait le poète : pas longtemps.
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Pas plus de 100 km pour éviter les « brassages de population »… et si on reparlait des frontières ?
Au mois de décembre, on sort de sa boîte le confit de canard. Au mois de mai, on déverrouille le couvercle du confit de Français. Enfin, on l’entrouvre. Pas plus de 100 km, essentiellement pour aller au boulot. Mais n’est-ce pas là la vraie liberté, mes chéris ? Arbeit macht frei, comme disaient d’autres grands confineurs historiques de Français.
Youpi ! Le formidable progrès, et c’est à peu près le seul, est que nous n’aurons plus à produire, dans notre département ou dans un rayon de 100 km « à vol d’oiseau », notre auto-autorisation de sortie, document de confinement confinant surtout à l’absurde, fruit des amours monstrueuses du « trouple » Courteline, Ionesco et Devos.
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L’autre enfumage de Sibeth Ndiaye
La porte-parole du gouvernement affirme que l’OMS n’a recommandé le port du masque qu’au mois d’avril. Elle se trompe d’un mois.
[…]
Sibeth Ndiaye défend son camp en affirmant que l’exécutif a toujours voulu se baser sur le «consensus scientifique» pour guider ses choix en matière de santé publique. Un argument qu’elle utilise pour le port de masques par le grand public, puis pour les tests sérologiques, pour lesquels le gouvernement semble aussi mener un pas de deux. Mais Sibeth Ndiaye assure : «L’OMS a commencé à dire qu’il fallait tester de manière massive quelque part de mémoire au mois d’avril et nous avons progressivement augmenté notre capacité de tests.» -
Discrédit de l’élite politique, par Philippe Germain.
La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 9/11
Résumé : En 2017 la technocrature à pris le pouvoir pour sauver la démocratie disqualifiée par son élite politique. Insatisfaite de l’explication par le complotisme d’ultragauche et celle du référentiel populiste, l’Action française analyse la technocrature comme un phénomène de physique sociale. Utilisant la loi historique « du développement d’oligarchies nouvelles », elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés. Ce « pays légal » est un système oligarchique circulaire où trois élites financière, politique et médiatique se completent pour s’épanouir dans la République. Avec la V° République la Technocratie se constitue en quatrième élite. Avec dépérissement de la société industrielle sous Giscard et Mitterand, la technocratie surmonte son conflit avec l’élite politique et fait prendre le virage mondialiste au pays légal.
Répartition de l’élite politique
Les grandes familles républicaines, l’Etablissement, préfèrent que la France soit gouvernée au centre. Le jeu de bascule entre un centre droit et un centre gauche leur permet d’imposer le pouvoir de l’argent.
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La culture préférée d’Emmanuel Macron, c’est celle du MOI JE
L’exhibitionnisme macronien, sa mise en scène, sa théâtralisation sont bien connus des lecteurs du Salon beige. Il y a l’occasion des grands discours, celle des face-à-face avec les Grands de ce monde et qui permettent de figurer en bonne place ; celle des petits impromptus si agréables pour l’ego (même au prix d’un irrespect des consignes sanitaires pourtant serinées à longueur de programme télévisuel) sans même parler bien sûr de tous les épisodes du Grand Débat.
Et puis, peut-être le summum pour un Président français qui se pique de culture : la conclusion (en trente-et-une minutes de soliloque quand même) d’une visio-conférence organisée depuis l’Elysée avec des artistes de différents champs de la création, sur le sujet « Comment protéger les acteurs de la création culturelle en cette période difficile ? »
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Censure : Facebook interdit tout contenu lié à Génération identitaire
Depuis quelques temps, tout contenu soutenant, représentant ou faisant l’éloge du mouvement anti-immigration est supprimé par le réseau social. Contactée par Valeurs actuelles, Génération identitaire envisage de porter plainte pour “discrimination politique”.
Depuis plusieurs mois, Valeurs actuelles voit certaines de ses publications supprimées sans explications par Facebook. Toutes ont en commun leur sujet consacré à Génération identitaire (GI), un mouvement anti-immigration qui défraie régulièrement la chronique par ses actions coup de poing, comme celle du blocage d’un lieu de passage de migrants au col de l’Echelle dans les Hautes-Alpes, en 2018. De nombreux utilisateurs ont reçu le même genre d’avertissement de la part du réseau social, jugeant leurs publications contraires aux « standards de la communauté Facebook ». Parmi eux, certains ont même été bannis un temps pour avoir partagé des articles de Valeurs actuelles.
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Français, vous verrez que ça sera de votre faute !
Au final, vous verrez, ça sera ni la faute à Rousseau ni celle à Voltaire, encore moins celle du gouvernement, s’il faut reconfiner. Mais la faute aux Français. Jean Castex, le « Monsieur déconfinement », ne l’a pas dit comme ça, mais si on lit entre les lignes, c’est tout comme.
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« Avec le MES. c'est un coup d'État de l'Union européenne contre la France qui se prépare »
Ancien député européen, économiste et monétariste, membre du Front national jusqu’en 2018. puis de Debout la France. Bernard Monot a signalé dans les médias les dangers auxquels un éventuel recours au Mécanisme européen de stabilité financière (MES) exposerait la France. Monde&Vie l'a rencontré.
Propos recueillis par Hervé Bizien
Vous dénoncez le danger que fait planer le mécanisme européen de stabilité (MES) sur la souveraineté française. Qu'est-ce que cette institution ?
Pour l'Union européenne, qui n'existe qu'à travers les États membres, tous les moyens sont bons pour aller vers un modèle fédéraliste, conçu sur le modèle archaïque des États-Unis d'Amérique et de l'URSS. Ses promoteurs profitent de l'actuelle crise sanitaire pour avancer en ce sens, en utilisant des instruments inventés lors de la crise financière et économique de 2008-2012. Un Fonds européen de stabilité financière (FESF) avait été créé en catastrophe en 2010, à l'occasion du risque de faillite de la Société générale. Puis fut inventé un Mécanisme européen de stabilité financière (MESF). Et en 2012, un traité a institué le Mécanisme européen de stabilité (MES), qui les a remplacés. Ce traité confère en quelque sorte à cette nouvelle institution, pour la politique budgétaire fédérale de la zone euro, un statut comparable à celui dont bénéficie la Banque centrale européenne en matière de politique monétaire.
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Agnès Buzyn devant la Cour de justice de la République : un vœu pieux ?, par Sabine de Villeroché.
(Vu sur le blog de notre ami Marc Rousset et merci d'avoir relayé cet article)
Sources : http://marcrousset.over-blog.com/
« Responsables mais pas coupables » : un verdict qui pourrait redevenir d'actualité.
55 : c’est le nombre de plaintes contre des ministres déposées à ce jour par des particuliers, associations et collectifs, selon le journal 20 Minutes. Outre des initiatives individuelles, ce sont des élus, des médecins, 31 détenus, un syndicat de magistrats et la Fédération nationale des victimes d’attentats et d’accidents collectifs qui, pour l’instant, demandent réparation pour « mise en danger de la vie d’autrui » et « non-assistance à personne en danger » et dénoncent, pêle-mêle, le manque de dépistage et d’équipements de protection personnelle, la fermeture tardive des frontières, le manque d’anticipation, les conflits d’intérêts concernant les traitements médicaux et le maintien des élections municipales.