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magouille et compagnie - Page 970

  • Il a osé crier victoire !

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    Dans le fond, Macron, c’est comme Napoléon, qui voudrait se relancer après Waterloo, se réinventer, prendre un nouveau chemin, bref, continuer à exercer le pouvoir, mais avec cette différence abyssale qu’il n’y a pas eu d’Austerlitz ni aucune autre bataille gagnée auparavant, ni aucune restauration de l’État, ni aucun élan donné à la nation, ni aucune prééminence de la France en Europe. La seule victoire de Macron, c’est l’élection volée de 2017 par un socialiste ami des milliardaires, et qui a poursuivi le travail de sape commencé dans les cabinets obscurs : la démolition de la France !

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  • Pris à partie sur l’élection municipale de Carpentras, Julien Aubert évoque un étrange sondage

    Pris à partie sur l’élection municipale de Carpentras, Julien Aubert évoque un étrange sondage

    Nous avons rappelé hier l’étrange position du député LR Julien Aubert dans l’élection municipale de Carpentras, où le candidat LR, arrivé en 3e position, se maintient au risque de faire passer la gauche, comme en 2014. Alors qu’une alliance électorale n’impose pas un ralliement. Tant que la droite ne comprendra pas cela, elle fera gagner la gauche. Nous écrivions :

    Le divers-droite Bertrand de La Chesnais, au profil exceptionnel, aurait dû pouvoir rassembler toutes les droites, mais comme en 2014 le député LR Julien Aubert porte la responsabilité d’une triangulaire qui ne pourra que profiter au maire sortant de gauche.

    Plusieurs lecteurs ayant contacté Julien Aubert pour comprendre pourquoi il comptait faire gagner la gauche, ce dernier nous a répondu en évoquant un sondage paru dans la presse, expliquant les raisons du maintien de la liste LR de Claude Melquior. Le voici :

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  • L’idéologie LGBT écrase tout sur son passage

    L’idéologie LGBT écrase tout sur son passage

    A la crise sanitaire va suivre une crise économique, avec une explosion du chômage, des familles n’arrivent plus à se nourrir, les groupuscules racistes s’en prennent à la police, c’est la guerre des gangs à Dijon, le déficit de la branche maladie est estimé à 31,1 milliards, les soignants sont aujourd’hui dans la rue, mais la priorité pour le gouvernement c’est de faire passer la loi ni bio ni éthique.

    Un décret paru ce matin au Journal Officiel convoque le Parlement en session extraordinaire le mercredi 1er juillet 2020. L’ordre du jour de cette session extraordinaire comprendra :

    1. Le débat d’orientation des finances publiques ;
    2. L’examen ou la poursuite de l’examen des projets de loi suivants :
      • projet de loi organique portant report des élections sénatoriales et des élections législatives partielles ;
      • projet de loi de finances rectificative pour 2020 ;
      • projet de loi organisant la fin de l’état d’urgence sanitaire ;
      • projet de loi organique relatif à la dette sociale et à l’autonomie ;
      • projet de loi relatif à la dette sociale et à l’autonomie ;
      • projet de loi relatif à la bioéthique ;
      • projet de loi portant diverses dispositions d’adaptation au droit de l’Union européenne en matière économique et financière ;
      • projet de loi de règlement du budget et d’approbation des comptes de l’année 2019 ;
      • projet de loi relatif à la prorogation des chapitres VI à X du titre II du livre II et de l’article L. 851-3 du code de la sécurité intérieure ;
      • projet de loi organique prorogeant le mandat des membres du Conseil économique, social et environnemental ;

    Le calendrier s’accélère pour l’extension de la procréation médicalement assistée, alors que ce n’est pas du tout une priorité pour les Français.

    https://www.lesalonbeige.fr/lideologie-lgbt-ecrase-tout-sur-son-passage/

  • Covid 19 comme coup d’Etat idéologique et hold-up basés sur la peur et sur le projet du Grand Redémarrage

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    Dominique Baettig
    Médecin, Ancien Conseiller national

    Il n'y a aujourd’hui plus aucun doute que le virus est bien le symptôme de diverses maladies de la mondialisation : rapidité d’échanges de masse et de circulation de biens et marchandises. Interconnexion et interdépendance globale de l’économie. Agriculture industrielle  intensive, recours massif à des antibiotiques et création de résistances. Création de réservoirs de virus par proximité homme/animal massive et consommation  d’ espèces exotiques. Il ne s’agit pas de contester l’existence d’un nouveau virus, quelle qu’en soit la provenance. Ce n'est pas  la première épidémie, ni la dernière sûrement. La lecture de l’œuvre de D. Raoult,  en particulier son excellent livre de vulgarisation « Arrêtons d'avoir peur ! » est très important pour connaître un discours scientifique empirique de praticien qui a une longue expérience des maladies infectieuses et la tête sur les épaules. Selon lui, la panique, très mauvaise conseillère, aggrave largement les effets d'une épidémie virale , toujours la conséquence d’un déséquilibre interne ou externe. Dans l'affaire de la pandémie actuelle, ce qui choque est l'absence d'un véritable débat neutre d'experts et l’information propagande à flux continu, unique et sans nuances. La vulgarisation dramatisée de statistiques alarmistes et de prévisions catastrophistes est manifestement instrumentalisée pour un agenda politico- économique globaliste.

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  • Sibeth Ndiaye : mais qui lui a donc demandé son avis ?

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    C’était trop beau ! Dimanche soir,  assure, droit dans ses bottes, fier comme Louis XIV sur son cheval, place d’armes à Versailles, qu’on ne déboulonnera aucune statue en France. Victoire de la France éternelle ! Le chef de l’État a entendu l’appel de la patrie. « De Clovis jusqu’au Comité de salut public, je me sens solidaire de tout », disait Napoléon Bonaparte. Eh bien, Emmanuel Macron, c’est pareil, il assume toute l’Histoire de France. Donc, pas touche à Colbert ! On sent un léger frémissement de bonheur à droite : au fond, il n’est pas si mal, ce jeune homme qui pourrait être notre gendre !

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  • “Le grand renversement” ou les leçons géopolitiques et philosophiques des affaires Floyd-Traoré

    Dans nos sociétés ouvertes à tous les vents incapables de juguler sur leur propre sol l’islamisme et l’immigration illégale, dans nos démocraties “libérales” gagnées par la novlangue cosmopolitiquement correcte, l’Homme blanc occidental-judéo-chrétien, l’Etat-Nation régalien et sa police incarnent le camp du Mal absolu tandis que le non-occidental, les forces révolutionnaires violentes ou les bandes criminelles incarnent celle du Bien : c’est le Grand Renversement selon Alexandre del Valle.

    Dans notre formidable époque « post-Moderne », un « monochrome » blanc sur fond blanc est présenté comme une « oeuvre d’art », parfois vendue à un prix exorbitant. Les nouveaux féministes manifestent en faveur du port du voile islamique. Le principe de « tolérance » est devenu la plus puissante arme de conquête des ennemis de la Tolérance. Les nouveaux et pires racistes s’expriment au nom de l’antiracisme, les CRS sont des SS, les minorités tyranniques pèsent plus que la majorité autochtone, le « migrant » illégal arrivé par les réseaux des passeurs mafieux mérite autant de « droits » que l’immigré légalement installé, les juifs « sionistes » sont dépeints comme des « nazis », et à peu près TOUTES les inversions sont devenues possibles.

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  • Démocratie et scandales financiers ou de l'affaire Strauss-Kahn aux faux lingots d'or de Fort Knox 2/3

    Le 5 février 2007, au cours de l'émission de Thierry Ardisson 93, faubourg Saint-Honoré, Tristane Banon exposa comment Strauss-Kahn aurait tenté de la violer. Un son strident rendait inaudible le nom du violeur. En 2002, elle rendait visite à Strauss-Kahn dans le cadre d'un entretien. Il était alors ministre des Finances et un ami de la famille. Il lui prit soudain la main et le bras. Tout dégénéra dans un combat violent où la victime dut se défendre au sol, contre une personne transformée en « chimpanzé en chaleur ». Étant donné que l'auteur de ces viols demeurait inconnu, les accusations monstrueuses passèrent inaperçues et tombèrent dans l'oubli. On prétexte que T Banon n'a jamais porté plainte peu après les faits. La jeune femme voulait faire la lumière sur cette affaire. En 2002, elle avait constitué un dossier pour saisir la justice. Mais sa mère, vice-présidente socialiste du Conseil général de l'Eure, lui déconseilla d'entamer toute procédure, ayant peur pour sa fille. Peut-être cette mère se trouvait-elle soumise au chantage du politicien. Lors d'une rencontre, elle demanda raison à Strauss-Kahn. Celui-ci répondit qu’il ne savait pas ce qui « lui était arrivé ». Les avocats généraux et les journalistes pourtant pétris de morale et animés d'infaillibles sentiments démocratiques ne dirent rien. Bien au contraire, informées depuis longtemps des problèmes de Strauss-Kahn, les rédactions parisiennes lui avaient taillé une réputation honteuse de « grand séducteur ».

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  • Oui, Macron morcelle un peu plus la France, par Ivan Rioufol

    Emmanuel Macron dira sans doute, ce dimanche soir, tout le bien qu’il pense de la police, accusée d’être raciste et violente par des minorités ethniques revanchardes. Il mettra en garde, probablement, contre le séparatisme qu’elles veulent politiquement imposer en France. Le président de la République ne peut, certes, être tenu pour responsable de quarante ans de somnambulisme d’Etat. Cela fait des décennies que le ver du racialisme a été introduit dans le discours dominant par l’idéologie antiraciste. Celle-ci ne juge qu’en fonction de la couleur de la peau et de l’origine. Le Noir et l’Arabe sont victimes, forcément victimes.

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  • Dénoncer « la réécriture haineuse et fausse du passé » après avoir qualifié la colonisation de « crime contre l’humanité »… il l’a fait !

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    « Son problème, c’est qu’il adore les déguisements : en militaire, en aviateur, etc. Il ne faudrait pas que les Français finissent par croire qu’il s’est déguisé en Président », raillait un proche du Président – désireux de rester anonyme, on le comprend un peu – dans les colonnes du Parisien, le 5 avril dernier.

    C’est donc le blazer de Nicolas Sarkozy qu’ a sorti, dimanche soir, de sa penderie… déterminé, un poil conservateur, propre à rasséréner son électorat vieillissant et épris d’ordre qui, bien qu’habitué à avaler beaucoup de couleuvres, le soir aux infos, avec un petit whisky, peine à digérer ce qui ressemble cette fois à un boa constrictor : mieux que la chloroquine, l’indigénisme incarné par la très vertueuse et pacifique famille Traoré (en fais-je assez comme ça ?) a fait disparaître miraculeusement le Covid-19, en tout cas des écrans télé, et on peut le remercier bien bas car c’est sans doute grâce à lui, le deux poids deux mesures commençant à devenir géant, que nous pourrons nous rassembler tranquillement cet été sans devoir rendre compte du moindre château de sable ou pique-nique entre amis.

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  • Castaner, Belloubet, Ndiaye : dehors, pour bêtise !, par Christian Vanneste.

    Ce qui est terrifiant, c’est l’effondrement de l’intelligence collective dans notre pays ! L’exemple est donné en haut par le gouvernement le plus lamentable que la France ait eu à subir : d’abord, il y a Castaner, ce personnage au passé douteux occupant la Place Beauvau uniquement en raison de sa faiblesse et de sa totale dépendance à l’égard de celui qui l’y a mis en dehors de tout critère objectif, au point qu’on a du le doubler d’un vrai policier. Castaner n’est pas le chien de garde de la société, comme il devrait l’être, mais uniquement celui de son maître, dont il aboie les ordres en écho avec la maladresse d’un Ran-Tan-Plan !

    Ainsi donc, l’émotion peut l’emporter sur la loi, si, bien sûr, elle est d’extrême-gauche et importée des Etats-Unis au profit des délinquants : le ministre de l’Intérieur est clairement du côté du désordre et baigne dans son idéologie superficielle de socialiste dont la réflexion n’a jamais dépassé le niveau des slogans. L’antiracisme, c’est bien, le racisme, c’est mal. Quand les Gilets Jaunes manifestaient, avec en queue de cortège les Blacks-blocs chargés comme par hasard de créer les « tensions » en fin de journée, afin qu’on puisse généreusement interpeller, gazer, éborgner les premiers en oubliant les seconds, les potes de Castaner, c’étaient les flics ! Maintenant que les cortèges sont suscités par la mort d’un délinquant noir, Castaner ne veut plus qu’on touche à ses vrais potes : il a remis la petite main jaune à la boutonnière. Les policiers, objets d’un « soupçon avéré » de racisme seront sanctionnés, les techniques d’arrestation une fois de plus restreintes. Des vidéos inondent la toile qui montrent des policiers en train de fuir devant des loubards, et au contraire des « malfaisants », comme disait Audiard, réduire la tête de ceux qui les regardent de travers. Dignité, respect, mais pas pour le « petit blanc », seulement pour celui qui cogne le plus vite et le plus fort, mais qui est une victime puisqu’il est arrière-petit-fils de colonisé ! Racisme inversé et slogan américain sont devenus le langage courant, quasi obligatoire du politiquement correct dans un pays doublement colonisé, par ses anciennes colonies, comme disait Poutine, et par un bain de culture américain, que nous devrions laisser se dissoudre au milieu de l’Atlantique !

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