Il ne fallait pas être grand clerc pour deviner que la large victoire de la CDU en Allemagne ne serait pas une bonne nouvelle pour la France. Présenté à la fois comme un atlantiste et un grand européen, le futur chancelier Friedrich Merz n’a pas attendu longtemps pour abattre son jeu : profiter d’un vacillement dans les relations entre l’Europe et les États-Unis pour lorgner sur les armes nucléaires britannique et française en vue de les « partager ». Si le chancelier n’est pas sans savoir que l’arme britannique est à la main des États-Unis, en revanche, il compte bien profiter des lubies de « souveraineté européenne » de Macron qui a déjà plusieurs fois émis l’idée d’un tel partage, et répondu aussitôt favorablement au futur chancelier outre-Rhin qui, en bon nationaliste allemand, cherche à retrouver la suprématie en Europe.
France et politique française - Page 125
-
Communiqué d’Action française – L’arme nucléaire ne se partage pas
-
La « droite républicaine » n’est que le faux-nez du socialisme destructeur de la nation !
Monsieur Bruno Retailleau est en place depuis quelques mois et a semblé, pour certains patriotes, être un espoir.
Qu’en est-il en réalité ?
L’homme ne mâche pas ses mots certes, mais je me souviens d’un Nicolas Sarkozy qui n’était pas le dernier à dire et se vanter que la France allait, avec lui, retrouver sa dignité, sa sécurité, l’ordre et la justice. On sait ce qu’il en est advenu. Courbette envers la gauche, compromissions et ministres socialistes dans ses gouvernements. Sans compter la trahison du référendum de 2005 ! -
« La guerre, c’est avant tout un chef et des objectifs politiques ! »
À l’occasion de la sortie de son ouvrage consacré au grand théoricien prussien de la guerre, Carl von Clausewitz, paru aux éditions de la Nouvelle Librairie en collaboration avec l’Institut Iliade, notre collaborateur Laurent Schang est invité par Sylvain Durain, directeur des éditions du Verbe Haut, à présenter cette haute figure de la polémologie, dont le nom est bien plus connu que la vie et l’œuvre, souvent résumée à l’adage « la guerre est la continuation de la politique par d’autres moyens ».
-
Réarmer... (1)
Au mois de juin dernier, lors de la campagne électorale des législatives anticipées, j’ai eu l’occasion d’échanger quelques mots avec celui qui était encore, pour quelques semaines, ministre de l’économie et des finances, Bruno Le Maire. Mon propos était simple, et forcément court, au sortir d’une terrasse de café : « Monsieur le ministre, réarmer c’est réindustrialiser ! », ce dont il convint d’autant plus aisément qu’il était venu soutenir un député lui-même particulièrement attaché à la réindustrialisation du pays et soucieux de renforcer la Défense nationale, une double préoccupation qui peut transcender les différences partisanes.
-
Cahors (46) : un jeune attaqué au couteau à proximité de l’université, deux migrants algériens interpellés
Le mardi 25 février 2025, vers 22h30, une altercation a éclaté avenue Henri Martin à Cahors entre plusieurs individus se connaissant. Un jeune homme de 18 ans a été blessé de plusieurs coups de couteau aux mains et au cou.
-
Faut-il vraiment régulariser 200.000 étrangers pour nos restaurants ?
Lien permanent Catégories : France et politique française, immigration, l'emploi, lobby 0 commentaire -
Macron capitule face aux racailles, mais se veut le rempart contre la Russie
C’est sidérant. On nage en plein délire. Les racailles font la loi en France, mais Macron a la prétention d’assurer la protection de l’Europe.
Il capitule face aux cités, notre armée tiendrait trois jours face aux Russes, mais il faut qu’il joue au dur et se prenne pour Napoléon au pont d’Arcole.
-
Panique à Nîmes (30) devant un collège : un adolescent agressé au couteau et poignardé plusieurs fois. Vidéo de l’attaque, l’agresseur identifiable sur les images
Dans des circonstances qui restent à déterminer, un adolescent de 13 ans a été victime de trois coups de couteau, ce lundi 3 mars, au collège privé Jean-Baptiste de La Salle, à Nîmes. Selon les premières informations, l’agression se serait déroulée aux alentours de 16 h (…)
-
L’Etat Macron protège les miliciens gauchistes payés pour casser du patriote
Trois exemples résument la lâcheté complice de l’Etat Macron, face aux agressions, aux violences et aux intimidations des gauchistes. Rappelons qu’à ce jour, aucune organisation se disant antifa ou Black Bloc n’a été dissoute, aucun casseur antifa n’est arrêté préventivement avant une manifestation, quand la répression s’abat sur les militants patriotes.
-
Le choc Bayrou-Le Pen à l’Assemblée : constat de noyade du rêve mondialiste