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Inès, tuée ce lundi à coups de couteau, avait déposé six plaintes contre son ancien compagnon, réfugié afghan, pour des faits de violence et de harcèlement, en vain. Sa mère décrit un «homme dangereux» et «extrémiste», qui «ne voulait pas s’intégrer» et «avait l’intention de retourner en Afghanistan».
Vous avez le narcotrafic qui gangrène nos villes avec un développement rapide des enlèvements crapuleux et désormais des « mafias » qui comme à Toulouse demandent aux commerçants de payer la « taxe » pour ne pas être violenté, tabassé, ou tué ou son commerce détruit, nous vivons une chienlit française qui se terminera très mal et dans un bain de sang que personne ne veut voir ni traiter en amont justement pour l’éviter, ce qui est d’une tristesse insondable.
Tout a été dit, ou sera dit sur la chute de François Bayrou, une chute qui s’apparente à un de ces suicides politiques français où, au lieu de perdre la vie, le suicidé reçoit une retraite et moult nouveaux privilèges. Devrions-nous regretter le rituel du sepuku ?
Pourtant, avant de jeter à la face du Béarnais les parpaings que mérite son attitude, nous devons nous interroger : ciblons-nous la bonne victime ?
Communiqué de Yann BALY, Président de Chrétienté-Solidarité
Les manifestations, happées hier par l’extrême-gauche et ses alliés de gauche, ont mis en lumière un nouveau phénomène de haine et une nouvelle menace contre l’identité française.
L’automne risque d’être chaud, nous dit le ronron médiatique. La météo sociale et politique est effectivement très dégradée dans notre pays. Pour autant, le moment de la révolte populaire est-il venu ? La France reste marquée par l’intensité spontanée du mouvement des Gilets jaunes et le feu de paille qu’il a finalement été. Fragilisé par un manque de pensées directrices et de structures organisationnelles, le mouvement a été vite écrasé par les forces combinées du pouvoir. Il a cependant laissé dans les esprits comme un désir de deuxième acte qui peine à trouver sa voie.
Selon RMC-BFM Lyon, un homme handicapé de 45 ans, d’origine irakienne, a été tué mercredi soir à l’entrée de son immeuble dans le 9e arrondissement de Lyon. Se déplaçant en fauteuil roulant, il a été frappé au cou avec une arme blanche alors qu’il était en direct sur TikTok.
Nous nageons en plein délire, et rien ne semble plus vouloir arrêter les âneries de ceux qui nous dirigent.
D’un côté on veut vous supprimer deux jours fériés pour financer l’économie et surtout les dettes, et de l’autre pour « améliorer » la compétitivité des entreprises (ce qui est ironique de ma part) on oblige les employeurs à reporter les jours de congés payés si vous êtes malades pendant vos vacances.
Il y a un an, le 5 septembre 2024, Michel Barnier était nommé Premier ministre. Le lendemain, dans une tribune publiée sur ce blog, Bernard Plouvier écrivait très justement à propos du nouveau chef du gouvernement choisi par le fantôme de l’Élysée : « Pour une fois, le Président Macron a surpris en prenant une sage décision. Il a écarté d’un revers de main une coalition "de gauche", disparate et sans majorité de gouvernement (…) ». Avant d’ajouter : « La preuve est faite que la multiplication presque indécente des partis et l’émiettement des votes rend le pays, sinon ingouvernable, du moins en proie à la fête des fous (…) ».
Nouveau rebondissement dans l’affaire des têtes de cochon déposées devant des mosquées. D’après le parquet de Paris, contacté par Le Figaro, «les investigations ont rapidement permis d’établir que les têtes de cochon déposées devant des mosquées en région parisienne l’ont été par des personnes de nationalité étrangère qui ont aussitôt quitté le territoire, et dans une volonté manifeste de provoquer le trouble au sein de la nation», a-t-il précisé dans un communiqué ce mercredi 10 septembre.
Lecornu Premier ministre, non ce n’est pas une blague ! Outre le fait qu’il appartient à tous les gouvernements qui ont été renversés, il reste aussi dans la lignée de ces responsables politiques qui n’ont jamais travaillé de leur vie mais qui viennent nous expliquer comment nous devons nous comporter. Il est donc selon la macronie hautement qualifié pour nous expliquer la vie et ses difficultés. En gros, le maître nageur ne sait pas nager. Tout est choquant dans cette nomination. En premier lieu le fait qu’à peine débarqué d’une équipe, le voilà qui revient comme s’il ne s’était rien passé. Ce n’est pas seulement Bayrou qui a été viré, c’est tout son gouvernement, aucun ne devrait retrouver un poste, eh bien si ! C’est ça la France ! Le recyclage permanent des perdants, des rebus, et c’est donc avec ça qu’on devrait aller de l’avant, oui mais à reculons sans doute. Le pro-guerre le plus fanatique est à la tête du gouvernement. A sa décharge, dans une première apparition publique, Lecornu a tout de même convenu qu’il existait un décalage entre la vie publique et la vie politique française et un autre décalage entre la politique française et la situation internationale. Un premier pas, mais le décalé, c’est lui en premier lieu et on ne sait pas si ce constat implacable va faire qu’il se recale et surtout si Macron va lui permettre de recaler son action, en direction des aspirations du peuple qui pour l’instant est à l’opposé.