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France et politique française - Page 1293

  • Quelques réflexions sur le terme : extrême-droite, par Jean Mon­ne­ret.

    Un terme ou une expres­sion peuvent être uti­li­sés dans leur sens usuel, consa­cré par une longue his­toire et réper­to­rié dans les dic­tion­naires. Ils peuvent aus­si être uti­li­sés de façon arti­fi­cieuse, fourbe, spé­cieuse. On est alors en face d’une opé­ra­tion de dés­in­for­ma­tion. Dans ce cas, un mot ou une expres­sion d’apparence claire cachent, en fait, une réa­li­té floue, obs­cure, équi­voque. Ain­si en va-t-il du terme extrême-droite.

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  • Pr Didier Raoult, peut-on faire un vaccin contre le coronavirus COVID-19 ?

  • La fraude sociale des djihadistes, l’Etat laisse faire

    Le trou de la Sécu ne fait que croître, non seulement à cause de la masse de « migrants », « réfugiés », vrais clandestins, venant en France bénéficier des prestations sociales françaises mais également par le biais de fraudes savamment orchestrées par des étrangers connaissant le système.

    Charles Prats, ex-magistrat de la Délégation de la lutte contre la Fraude, en parle sur LCI face à un journaliste éberlué.

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  • «Le JT du grenier de l’éco. Ces lois économiques qui ne marchent plus ! » L’édito de Charles SANNAT

    Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

    Cette semaine une vidéo consacrée à un sujet fondamental à savoir ces lois économiques que l’on croyait absolues, éternelles et intangibles et qui pourtant ne fonctionnent plus parce que l’économie mondiale est cassée.

    L’idée n’est pas de moi mais du magazine Alternatives Economiques, et je pense qu’ils ont mis le doigt sur LE vrai sujet, un sujet qu’il faut considérablement développer pour aider à la compréhension de tous des nouvelles lois qui dirigent notre économie, une économie mondiale aux équilibres traditionnels brisés.

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  • Les territoires perdus de la République

    Un sujet qui déchaîne les passions, la question des territoires perdus de la République, une équipe d'universitaires qui recherchent avant tout l'objectivité et l’information, un livre formidable, comme il en paraît peu sur le sujet, un livre dans lequel la méthode universitaire est à la recherche de la vérité.

    On connaît peu l'islamisme. Un collectif dirigé par Bernard Rougier, professeur à la Sorbonne nouvelle-Paris III, a entrepris de nous restituer son histoire, de montrer ses liens avec des organisations extrémistes nées dans la Péninsule arabique (Arabie Saoudite et Yémen), mais aussi en Afghanistan, en Egypte, au Soudan et qui fonde Al Qaïda, ou au Maghreb. « Le dispositif de rupture [qui opère la différence entre islam et islamisme dans une vie] prend appui sur plusieurs espaces de sociabilités, au croisement de l'affectif et du cognitif, du symbolique et du matériel ». De quels espaces parle-t-on ? À Toulouse, tout simplement, il cite les marchés du Centre ville mais on peut ajouter les salles de sport, les terrains de foot, les commerces halal ou spécialisés et bien sûr les mosquées, en particulier les mosquées salafistes ou d'une autre façon les mosquées fréristes. Chacune a son obédience et son style de prédication. L'objectif est de réfléchir sur la pratique de l'islam ensemble, car, comme le dit Bernard Rougier, « la pensée islamiste est une pensée socialisée au sens donné par Augustin Cochin » qui vise avant tout h «un contrôle social de la norme ». Les mosquées, les équipes de foot, les commerces servent avant tout à socialiser la norme, en opposant les pratiques du bon islam et les mauvais islams.

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  • Énergie: la France obligée de recourir au charbon et aux importations pour combler ses besoins en électricité

    Avec un parc nucléaire affaibli par l’arrêt de 24 réacteurs et des centrales éoliennes guère productives faute de vent, la France s’est vue obligée de recourir au charbon et aux importations pour combler ses besoins en électricité.

    Selon des données du gestionnaire du réseau de transport d’électricité RTE citées par le quotidien économique Les Echos, la très faible disponibilité du parc de réacteurs nucléaires d’EDF, à laquelle s’ajoute une météo peu propice à la productivité des éoliennes, a poussé ces dernières semaines la France à allumer ses centrales à charbon.

    «Ce jeudi 17 septembre, elles fournissaient 2% du mix électrique national, soit 824 mégawatts, à la mi-journée», souligne le journal, évoquant un chiffre relativement bas à l’échelle de la consommation du pays. Il n’en demeure «pas moins marquant en plein mois de septembre, alors que les températures sont anormalement élevées et que les radiateurs ne sont pas encore allumés».

    (…) RT France

    https://www.tvlibertes.com/actus/energie-la-france-obligee-de-recourir-au-charbon-et-aux-importations-pour-combler-ses-besoins-en-electricite

  • Lutter contre le séparatisme islamique ?

    Après l’été sanglant que nous avons vécu, une partie du gouvernement semble se réveiller et considérer enfin que la première mission de l’État n’est pas d’accueillir la terre entière aux frais du contribuable, mais de protéger les Français.

    Je dis: «une partie», car le gouvernement compte encore – et au plus haut niveau – des dangereux utopistes comme le Garde des sceaux qui a osé réemployer l’expression socialiste de « sentiment d’insécurité » pour mieux dissimuler le rôle de la «justice» dans le développement galopant de l’insécurité.

    Pourtant, Emmanuel Macron a élevé le ton, ces dernières semaines, et dénonce martialement le «séparatisme islamique», contre lequel une loi devrait être votée bientôt.

    Je ne peux que me réjouir que le candide technocrate parvenu au sommet de l’État, sans beaucoup d’expérience du gouvernement des hommes, découvre la réalité du danger islamique.

    Mais j’avoue me méfier des gesticulations actuelles.

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  • Mondialisation : fin d'une idéologie

    Pierre-Yves Rougeyron, fondateur du Cercle Aristote, est l’un des meilleurs connaisseurs actuels de la géopolitique française. Son Enquête sur la loi du 3 janvier de 1973 est capitale pour comprendre comment l’origine de la crise économique actuelle est monétaire, c’est à dire structurelle. Il nous explique ici ce qui peut se passer après la fin de ce que l’on appellera la mondialisation américaine.

    Propos recueillis par l’abbé G. de Tanoüarn

    Qu'est-ce que la mondialisation que nous sommes en train de vivre recèle de nouveau ?

    Contrairement aux grands mouvements qui l'ont précédée, qui avait toute l'anarchie des commencements, la phase actuelle de la mondialisation est très organisée par une planification américaine. Exemple le transfert d'usines n'a pas eu heu dans les années 60, il était interdit. L'État national avait alors pouvoir sur la vie économique. Ce qui manquait ? Un dessein politique, une organisation et une idéologie. L'idéologie cosmopolite existait dans l'Antiquité mais elle ne concernait qu'une petite élite culturelle.

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  • France : le pays est à vendre

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    Laurent Izard, normalien, est agrégé de l’université en économie et gestion et diplômé en droit à l'Université de Paris I.  Son premier livre, La France vendue à la découpe, fortement documenté, a suscité 'intérêt de beaucoup d'hommes politiques à droite comme à gauche, car il décrit un phénomène sans étiquette politique : l'appauvrissement de la France.

    Propos recueillis par l'abbé G. de Tanoüarn

    Laurent Izard, votre livre a intéressé toute la classe politique, de droite à gauche. Vous parlez de la France vendue à la découpe...

    Le point de départ de ma recherche, c'est la notion de patrimoine économique. Qui possède les grandes entreprises françaises ? Plusieurs sont passées sous pavillon étranger et cela pour le meilleur parfois mais aussi pour le pire. L'exemple qui me vient à l'esprit est celui du groupe Péchiney, racheté par des Canadiens d'Alcan et méthodiquement démantelé et vendu par ses nouveaux propriétaires au point que ce qui était le premier groupe mondial de l'aluminium n'existe plus. Ça c'est un exemple spectaculaire, comme ceux d'Alstom, des Chantiers de l'Atlantique, de Rhodia ou d'Arcelor qui ont été vendus à l'étranger. Mais il existe une réalité moins spectaculaire et tout aussi encombrante les entreprises du CAC 40 sont détenues à plus de 50 % par des capitaux étrangers, fonds de pension et petits acteurs dispersés. Et cette tendance existe aussi pour toutes sortes de petites entreprises à propos desquelles il n'y a pas de chiffre.

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