
La solution apparaît clairement : abattre la République et restaurer l’unité nationale derrière le Roi, garant des libertés. De cette crise, il nous faut tirer la certitude d’agir et de réclamer plus que jamais la destruction de la République.
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La solution apparaît clairement : abattre la République et restaurer l’unité nationale derrière le Roi, garant des libertés. De cette crise, il nous faut tirer la certitude d’agir et de réclamer plus que jamais la destruction de la République.
Attaqué en justice par un confrère infectiologue, pour ses essais cliniques sur l’hydroxychloroquine de son protocole contre le Covid-19 menés à la Timone, le professeur Didier Raoult n’a plus à s’inquiéter.
Jordan Bardella (RN) sur CNEWS: « Bien sûr qu’il faut que les migrants soient hébergés, mais chez eux. En quelques jours, Gérald Darmanin a mis un genou à terre en lâchant collectivement les forces de l’ordre et en rendant hommage à ceux qui ont combattu la France en Algérie ! »
A mesure que le Covid baisse en intensité, il enfièvre la bureaucratie déchaînée. Tout se passe comme si l’Etat-mamma, enivré de son autorité sanitaire et de son pouvoir sur les foules, refusait de rendre son tablier et sa trousse d’infirmerie. Emmanuel Macron, naguère promoteur de la “start-up nation”, mène cette absurde mobilisation étatique. Il se présente en père de la nation, sans craindre l’imposture. Mardi soir, le chef de l’Etat a ainsi distribué son calendrier en trois étapes, en se noyant dans des détails ubuesques. Il a déclaré, par exemple : “La reprise des cultes est permise, dans la stricte limite de 30 personnes“.
Le Pr. Éric Caumes invité de David Pujadas au sujet des vaccins contre la Covid-19 : « Nous allons beaucoup trop vite »
Il viendra un temps, probablement assez proche, où l’on analysera avec suffisamment de recul les politiques publiques qui ont précédé la pandémie et celles qui ont été décidées, à l’occasion de celle-ci, en réaction aux incohérences du passé, sans pour autant y remédier en rien et dans la plus grande panique.
Carnage économique
On fera le constat qu’un État que l’on dit faible aura été capable, en peu de temps, de mater dans la plus grande violence la révolte socio-économique et identitaire d’une partie de sa population fin 2019, avant de décréter l’assignation à résidence du plus grand nombre. On ne pourra s’empêcher, à ce propos, d’observer le contraste tragique entre cette force quasi dictatoriale – sous prétexte démocratique cependant – appliquée sans relâche aux foules immenses des bons citoyens et la faiblesse insigne de nos gouvernants lorsqu’il s’agit de mater une minorité islamisée dont le peuple français ne supporte plus la toxicité civilisationnelle. Pour les uns, la matraque puis le déclin économique ; pour les autres, l’impuissance de l’État de droit qui n’est plus que l’État des lâches.
Cela devient lassant à force de l’écrire. Demi-mesure, tâtonnement, versatilité, autosatisfaction (pour rester courtois). La « performance du président de la République hier soir à 20 heures a tenu toutes ses promesses en la matière. Après la foule d’annonces, s’est ensuivi un habituel prêche lyrique et satisfait, une homélie donc pendant laquelle les Français ont pris l’habitude de pudiquement détourner les yeux. Parmi les décisions du chef de l’Etat : réouverture des commerces, assouplissement du confinement avec une dérogation pour des promenades pouvant durer 3 heures dans une zone de 20 km au lieu du kilomètre réglementaire. Monseigneur est trop bon d’élargir la cour de promenade.
« Si les Arabes, demain, et les immigrés et tous les gens qui sont venus ici se barrent, vous êtes dans la merde pour faire votre ménage. » Ainsi parlait Éric Dupond-Moretti alors qu’il débattait avec Éric Zemmour de la question migratoire. Sa déclaration de patrimoine publiée par la « Haute Autorité de la transparence de la vie publique » vient, aujourd’hui, faire toute la lumière sur son argumentation.