France et politique française - Page 1438
-
GOUVERNEMENT : que des bons! CENSURE : Dieudonné, Soral, Tabibian...
-
Le populisme, condition du réveil des peuples (2010) 2/2
... Et la progressivité de l’impôt
Le populisme nécessaire, c'est aussi le retour à l'impôt progressif, par opposition à l'impôt proportionnel. Qu'il n'existe plus que cinq tranches d'impôts sur le revenu est une injustice majeure alors que les inégalités sociales explosent, et que les très riches sont de plus en plus riches. Que CSG et CRDS soient des impôts proportionnels est aussi totalement injuste. La progressivité de l'impôt est un principe intrinsèquement républicain. Il n’y a pas de République sans impôt progressif. Le bouclier fiscal créé par Chirac et Villepin, et amplifié par Sarkozy au profit des très riches, est une injustice quand l'argent des très riches n'est pas le fruit de leur travail mais provient de la financiarisation parasitaire ou encore de la dépravation du goût (les salaires des footballeurs ou des chanteurs par exemple). Le populisme nécessaire, dans le domaine fiscal comme dans les autres domaines, c'est le pouvoir donné au peuple travailleur d'ajuster les inégalités de revenus aux différences de compétences, d'engagement, d'énergie et de responsabilité dans le service rendu à la société. Le critère, c'est le service social. Personne ne conteste, dans le peuple travailleur, qu'il soit nécessaire et normal qu'un chirurgien soit mieux payé qu'un gardien de square. Mais même le second a droit de pouvoir vivre décemment de son travail.
Le populisme nécessaire, c'est garantir que chacun donne à la société en fonction de ses capacités et que personne ne connaisse la misère. Ce n'est pas l’égalitarisme c'est l'égalité des droits, c'est l'égalité des chances, c'est l'égalité d'accès à l'éducation et à la culture. Ce n'est jamais la discrimination positive - qui rompt le pacte républicain - mais c'est l'accès à des internats gratuits pour les enfants travailleurs et doués issus de milieux pauvres. Le populisme, c'est la méritocratie républicaine.
-
Le populisme, condition du réveil des peuples (2010) 1/2
Les dirigeants occidentaux se méfient du peuple. Le plus souvent, ils refusent de prendre en compte l'expression de ses choix. Ou bien encore ils tentent de biaiser les modes de son expression publique. Les modifications de lois électorales y contribuent à l'occasion, instaurant un seuil de voix pour avoir des élus, envisageant telle mesure pour empêcher quadrangulaires ou triangulaires. D'une façon ou d'une autre, et ne serait-ce que par l'abstention, le peuple manifeste qu'il n'adhère pas à ces caricatures de démocratie. Il ne veut pas n'avoir le choix qu'entre des partis, UMP ou PS ou prétendus écologistes, qui sont d'accord sur des points aussi essentiels que la construction d'une Europe libérale, et plus précisément libre-échangiste, et sur une idéologie qui désarme les peuples d'Europe, l'idéologie dite « des droits de l'homme ».
Entre l’islamisation et américanisation des moeurs
L'électeur ne veut pas cautionner des "libéraux", souvent libéraux-libertaires qui, par un paradoxe apparent, sont d'accord pour instaurer une société de plus en plus policière, sécuritaire sans sécurité réelle, inégalitaire et communautarisée.
-
Le feuilleton Macron, saison II..
Sous le Général de Gaulle, les gouvernements étaient en grande partie fondés sur la compétence des ministres, et sur leur stature personnelle acquise par leur parcours politique et intellectuel. Malraux à la Culture, Couve de Murville aux Affaires Etrangères, Foyer à la Justice, Messmer à la Défense, Giscard d’Estaing aux Finances, Peyrefitte à l’Information etc…. L’appartenance partisane venait au second rang, devait demeurer discrète et contribuait à l’équilibre sans être le résultat d’un savant dosage. Par la suite, elle prit de l’importance, ce qui n’a rien d’illégitime en démocratie, quand un gouvernement s’appuie sur une majorité composite. Mais peu à peu, l’image a remplacé le réel, l’impact médiatique s’est imposé devant l’efficacité : on ne peut pas dire que Borloo ait mis fin à la dérive des quartiers perdus de la République avec une politique pourtant très coûteuse, ni même que le Kärcher de Sarkozy les ait soustraits à la domination des réseaux de la drogue ou de ceux de l’islamisme, lesquels ne sont pas sans connexion. Quant à la spécialité professionnelle des ministres, on sait qu’elle n’est nullement une garantie : le passage de l’avocat Badinter à la Justice a été calamiteux, celui du magistrat Arpaillange, dont Santini disait que « si Saint-Louis rendait justice sous un chêne, lui c’était comme un gland », a été pire encore. Belloubet, « grande juriste » place Vendôme, et le médecin Agnès Buzyn à la santé ont définitivement ruiné l’idée qu’il fallait des spécialistes professionnels à la tête des ministères. Il faut aussi et avant tout que le sens de l’Etat l’emporte sur l’idéologie, et que la volonté acharnée du Bien commun tire les titulaires d’un ministère vers le haut en les empêchant de papillonner devant micros et caméras.
-
Accusation de viol contre Gérald Darmanin : où en est l’enquête ?
Il assure n’avoir « évidemment » rien à se reprocher et marcher « la tête haute ». Jeudi 9 juillet sur RTL, le nouveau ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, a déclaré « avoir le droit à la présomption d’innocence », alors qu’il est visé par une enquête pour viol et que sa nomination place Beauvau provoque l’indignation et la colère des associations féministes.
[…]
Comment l’enquête le visant a-t-elle évolué depuis la plainte de Sophie Patterson-Spatz en 2017 ? Éléments de réponse.
https://www.tvlibertes.com/actus/accusation-de-viol-contre-gerald-darmanin-ou-en-est-lenquete
-
Élections municipales : les « Verts » le début de la fin pour Macron ?
Les élections municipales n’ont guère été clémentes envers le parti présidentiel, qui n’est pas arrivé à décrocher une seule mairie de grande ville. Le seul à avoir réussi à remporter le second tour et qui puisse être relié à LREM est notre ex premier ministre Edouard Philippe qui a été élu au Havre, mais il l’a fait sans étiquette, comme si sa relation avec le gouvernement était un peu honteuse (il en a d’ailleurs profité pour abandonner le navire). Un peu comme la victoire de Louis Aliot à Perpignan, qui peut difficilement être imputée au RN, puisque le candidat s’est présenté lui aussi sans couleur de parti. Une victoire qui cache des gains assez faibles et des pertes, mais c‘est toujours mieux que le parti présidentiel qui, lui, perd partout alors qu’il n’a pas de front « républicain » contre lui.Le vainqueur dans cette « mascarade » (dixit Agnès Buzyn) est sans conteste le parti Europe Ecologie Les Verts qui aligne une belle liste de succès : Lyon, Bordeaux, Strasbourg, une alliance qui le met en position de force à Paris… -
Black Lives Matter : « Nous Sommes des Marxistes Aguerris » – Partie I
- « Réduire le budget du Los Angeles Police Department (LAPD) signifie que les réponses aux appels d’urgence du 911 seront plus longues, que les policiers qui demandent des renforts ne les obtiendront pas, que les enquêtes sur les viols, les meurtres et les agressions n’aboutiront pas ou mettront une éternité à démarrer » – Los Angeles Police Protective League, le syndicat de la police de la ville.
- « Les Blancs sont tellement confus en Amérique … le racisme systémique, c’est contre les Blancs qu’il s’exerce aujourd’hui, ce sont les Blancs qui s’entendent dire qu’ils sont responsables de tous les maux du monde … » – Dr Carol M. Swain, professeur d’université et membre du conseil consultatif de Black Voices for Trump.
- « Nous sommes tous des êtres humains à l’image de Dieu. Black Lives Matter, les Antifas et les organisations de cet acabit ne nous aideront pas à transcender le racisme et le classisme et tous les « ismes » qui les préoccupent. Des choses peuvent être faites pour la communauté noire, mais le plus important est d’aider les gens à comprendre combien leur attitude compte… » – Dr. Carol M. Swain.
-
Gouvernement Castex : des fidèles d’Emmanuel Macron sont placés dans les cabinets ministériels
Plusieurs membres de l’équipe du chef de l’Etat à l’Elysée viennent d’être nommés à Matignon, au ministère de l’intérieur et à la chancellerie. Une migration qui accrédite un peu plus l’hypothèse d’une mainmise du chef de l’Etat sur le nouveau gouvernement.
-
La réponse cinglante de la France qui souffre à ceux qui voudraient la culpabiliser, par Jean-David Cattin (Les Identitaires)
Depuis quelques semaines, on entend moins les jérémiades du comité Adama et de leurs amis indigénistes. La manifestation place de la République le 13 juin est pour le moment leur dernier rassemblement d’ampleur. À n’en pas douter, l’action percutante de Génération Identitaire n’est pas étrangère à cette baisse de régime.
Elle a permis de mettre en lumière la haine des blancs qui motive bon nombre d’antiracistes. Mieux, grâce à un sondage qui lui a fait suite, elle a aussi permis de démontrer que le racisme antiblanc était une réalité pour 47 % de Français (17 % ne se prononcent pas). Après des semaines de matraquage médiatique sur l’existence d’un « racisme systémique » en France, ils sont seulement 30 % à y croire.
-
Le nouveau Premier ministre sera comme son maître : médiocre et hors sujet
Alors que les médias traditionnels s’excitent d’anecdotes insignifiantes sur le parcours et les qualités rêvées du nouveau Premier ministre, il est pourtant évident, pour quiconque réfléchit un tant soit peu, qu’il ne sera que figurant, réduit au petit rôle de donner le change pour faire oublier la réalité de notre situation et la continuité d’une politique macronienne contraire à l’intérêt supérieur de la nation.
Aucun président de la République, d’ailleurs, depuis cinquante ans, n’a voulu libérer notre pays des maux qui l’accablent de plus en plus inexorablement : l’anti-démocratie supranationale et multilatérale, et ses conséquences subies que sont le mondialisme, le financiarisme, l’immigrationnisme de masse.