
L’ensauvagement n’est pas une nouvelle de l’été parmi d’autres. C’est entre le retour du virus, la crise économique et les six millions de chômeurs, le vote dans l’indifférence estivale de la PMA pour les lesbiennes, et les mesures écolos pondues par la convention dite citoyenne, le sujet décisif parce que mortel à moyen ou long terme pour notre civilisation.
Or, même lorsque l’accumulation des faits impose son évidence, cet intrus dans le monde politiquement correct de la bienpensance continue à se heurter à un aveuglement général du microcosme politico-médiatique, variable toutefois dans la gamme de ses manifestations.