Le pouvoir qui règne en France joue-t-il les pompiers incendiaires ? Certes, ce n’est pas une « barbouze » du style Benalla qui a mis le feu à Notre-Dame, pas plus que ce n’est une vaste conspiration mondiale, à laquelle notre gouvernement « progressiste » participerait, qui est à l’origine du Covid-19, mais dans les deux cas, bien qu’à une échelle très différente, il y a un scénario analogue : l’Etat a un devoir archi-prioritaire de protection des biens et des personnes, que le législateur a même cru devoir inscrire dans la Constitution sous le nom de principe de précaution, revêtu de l’onction écologique pour satisfaire l’idéologie à la mode et placé dans cette intention dans la Charte de l’Environnement. Mais personne ne niera que le paysage historique de Paris ou la santé en général ne se situent dans le périmètre de cette exigence.
France et politique française - Page 1481
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Un incendie peut en cacher un autre…
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Rhône & Ain : interpellation de 2 militants d’extrême gauche soupçonnés de préparer une action armée (Màj: laissés libres)
1er mai 2020
C’est une décision qui ne devrait pas rassurer les policiers et gendarmes de la région.
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Ce jeudi, le parquet a décidé de laisser libres les deux hommes interpellés mardi à Corbas et à Bourg-en-Bresse car soupçonnés d’avoir fomenté une action violente contre les forces de l’ordre. L’un d’eux a été mis en examen pour association de malfaiteurs en vue de commettre un crime puis placé sous contrôle judiciaire tandis que l’autre a été placé sous le statut de témoin assisté.
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29 avril 2020Mardi, deux interpellations ont été menées en simultanée à Corbas dans le Rhône et à Bourg-en-Bresse dans l’Ain.
La police, appuyée par le RAID, a arrêté deux individus membres de l’ultra-gauche. Agés d’une cinquantaine d’années et dotés d’un casier judiciaire déjà fourni, ils sont soupçonnés d’avoir préparé une action armée contre les forces de l’ordre. C’est en les voyant acquérir des armes à feu que les enquêteurs ont tiré la sonnette d’alarme.
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L’article dans son intégralité sur LyonMag
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Conflit constitutionnel en vue
Deux jours après la séance du 28 avril où le Premier ministre a fait voter par l'Assemblée son plan de déconfinement, la grande majorité du pays réel se préoccupe, évidemment, d'abord des conditions de vie concrètes. Il s'agit de la survie de nos métiers, de nos régions, de nos familles, de nos libertés.
De ce point de vue les équilibres géopolitiques, et les menaces que représentent, en particulier la puissance impérialiste de la Chine, autant que les déchirements et les déchaînements du monde de l'Islam, passent au second plan.
Dans le pays légal, la vraie question, celle qui taraude les politiciens et qui détermine, dans cette crise, aussi bien les décisions des gouvernants que les déclarations des opposants, tourne autour des élections à venir. Les sénatoriales prévues à l'automne dépendent elles-mêmes du résultat des municipales. En 2021 viendront les régionales, en 2022, sauf dissolution, les législatives et les deux tours des présidentielles, précédés peut-être de primaires...
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Sur BFM TV, Didier Raoult VS Apolline de Malherbe sur le Covid-19, le confinement, la chloroquine, etc.
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Un Club pour préparer un 2e âge d’or de la presse…
Le Salon Beige a rencontré Véronique Coupry, qui a lancé Le Club de la Presse, une sorte de Netflix / Spotify de la presse de droite. L’entrepreneuse nous éclaire sur son offre et sur l’avenir de la presse.
Je croyais que Le Club de la Presse était une émission de radio ?
Ça l’est ! Mais Le Club de la Presse, c’est aussi un bouquet numérique de publications vraiment libres, vraiment indépendantes de grande qualité, insuffisamment (et injustement) méconnues. Internet (les blogs et les réseaux sociaux) permet de se réinformer en temps réel tandis que la presse propose des analyses, des décryptages, des enquêtes inédits avec un recul rare aujourd’hui. Les deux sont parfaitement complémentaires et permettent de se former pour ne pas se laisser déformer par l’idéologie présente partout. Parce que nous croyons que l’argent ne doit jamais être un obstacle, nous proposons la vingtaine d’excellents journaux, magazines, revues qui composent Le Club de la Presse au prix imbattable de 12,99 euros. En effet, nous avons la conviction que les publications qui élèvent (intellectuellement et spirituellement) doivent être accessibles au plus grand nombre. Il est possible de s’abonner en une minute et de se désabonner en 30 secondes. Je dois cependant avertir vos lecteurs : vu la qualité des journaux, magazines et revues qui le composent, ils prennent un risque, celui de la fidélité choisie et assumée !
Que propose Le Club de la Presse ?
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Me Frédéric Pichon : « Limitation de circulation après le 11 mai : il y a risque de dérive grave d’une restriction de nos libertés individuelles ! »
Parmi les mesures annoncées par Édouard Philippe pour l’organisation de l’après- confinement, on apprend que les déplacements après le 11 mai seront strictement limités au-delà des 100 km autour du domicile. Dérogation possible seulement pour « motif familial impérieux ou professionnel ».
Découvrez la réaction de Maître Frédéric Pichon.
Suite aux annonces d’Édouard Philippe, beaucoup de questions se posent. On ne peut pas répondre à toutes les questions. Néanmoins, on peut répondre à la question concernant le déplacement limité à 100 km du domicile en raison d’un motif familial impérieux. Cette notion est-elle défendable juridiquement ?
D’une manière générale, les annonces du gouvernement sont assez floues. On est dans une usine à gaz. J’entends bien que nous sommes dans une situation complexe. Les difficultés vont être l’interprétation de ces notions de motif familial impérieux. On a été dans la subjectivité avec les attestations de déplacement suggérées par le gouvernement. On a vu des forces de l’ordre interpeller des citoyens qui allaient faire des courses et fouiller les caddies pour voir quelle était la nature des courses qui pouvaient relever de motif alimentaire. On a vu des gens se faire sanctionner parce qu’ils avaient acheté du coca et du shampooing. On est dans une appréciation parfaitement subjective. On peut imaginer que pour les gardes d’enfants de parents séparés, le motif familial impérieux est un motif valable. Aller visiter des personnes malades ou fragiles de notre famille c’est aussi, à mon sens, un motif familial impérieux.
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En France, vous pouvez avorter mais pas assister à la messe
Communiqué de Laissez-les-vivre SOS-Futures-Mères :
« Nous sommes en guerre. »
Contre le virus bien sûr, mais aussi et peut-être surtout contre le système…
Nous sommes en guerre contre le virus. Cela, tout le monde le sait. En guerre contre le virus, qui ne pourrait pas à ce jour en être au courant ? Les longues listes de nombre de morts, de nombre de patients en réanimation, de nombre de personnes guéries, sont froidement égrainées tous les soirs par le sinistre directeur de la Santé Jérôme Salomon : telles que l’étaient les listes des noms de soldats morts pour la patrie par les maires des villages au lendemain de la Première Guerre mondiale, mais, à l’époque, c’était avec respect et reconnaissance.
Il est nécessaire de respecter les fameux gestes barrière : cela semble relever du civisme élémentaire, même si, de ci de là, s’élèvent des voix qui affirment qu’il ne s’agirait là que d’une expérience d’ingénierie sociale qui aurait pour but de tester la capacité de résilience de toute une population. De toute façon, il semble qu’un minimum de charité chrétienne soit en jeu : éviter de contaminer les plus fragiles et les plus âgés. L’exceptionnelle et inoubliable figure du Docteur Dor, fauché en pleine santé par la maladie, en fournit un exemple émouvant.
Mais pour quelles raisons sommes-nous tant en guerre contre le système ?
Tout d’abord, il nous cache qu’il agit en faveur de la culture de mort.
Le scandaleux allongement du délai pendant lequel l’avortement chimique est permis en fournit un exemple éclatant : ledit délai est passé de six à neuf semaines, presque en catimini, et ce, par la circulaire du 21 mars, allongeant de trois semaines le délai de l’avortement chimique pendant le temps du confinement.
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La chasse aux sorcières du gouvernement
Le gouvernement n’aime pas qu’on lui résiste. Deux jours après le vote sur le plan de déconfinement, la majorité n’a pas perdu de temps pour cibler les réfractaires. Martine Wonner, seule députée LREM à avoir voté contre la stratégie de déconfinement du gouvernement, est “convoquée” par le groupe majoritaire pour s’expliquer. L’élue du Bas-Rhin, appartenant à l’aile gauche de la majorité, participera au prochain bureau du groupe en visioconférence mercredi prochain à 14h. Médecin de profession et favorable au recours à la chloroquine face au coronavirus, Martine Wonner avait regretté l’absence d’une quelconque stratégie thérapeutique, en annonçant son vote mardi. Une décision individuelle qui ne semble pas plaire au parti de Jupiter. Interrogé sur d’éventuelles sanctions en cas de votes dissidents, le président du groupe, Gilles Le Gendre, avait répondu “nous verrons” mardi avant la présentation du plan et le scrutin. C’est désormais tout vu…
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Dernière trouvaille de Cohn-Bendit : les migrants combattent le virus
Comme un coucou régulier, Daniel Cohn-Bendit surgit de temps à autre de la pendule dans laquelle il s’est confiné à double tour. Sa dernière apparition furtive s’est produite lors de l’émission « C politique » de France 5 où un journaliste esseulé attendait avec impatience le cri mélodieux de l’ex-soixante-huitard reconverti en horloge parlante du macronisme. Les mécanismes résistent malgré les coups de boutoir opérés par la perspective d’un « monde d’après » un tantinet moins mondialiste que celui d’avant.
Effaré par ce cataclysme qui menace, le militant des causes impopulaires propose de sauver les meubles pendant qu’il en est encore temps. Entre autres urgences, la pandémie peut servir de prétexte idéal à régulariser les sans-papiers à tour de bras. Un tremblement de terre également, un incendie, un calme plat, une jaunisse… Les exemples d’occasion de régularisations massives ne manquent pas, mais on fait avec ce qu’on a sous la main.
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La France, décadente depuis 45 ans, va payer cher son irresponsabilité, par Marc Rousset.
(Notre ami Marc Rousset nous a fait parvenir Dimanche après-midi l'excellent article que vous avez pu lire Lundi matin. Voici qu'il nous envoie une seconde version de cet article, en nous précisant qu'il s'agit de la version non censurée, publiée par Pierre Cassen dans Riposte Laïque. Vous apprécierez certainement de lire le paragraphe supplémentaire dans lequel il exprime sans prendre de gants de fermes critiques sur Mélenchon, Baroin et compagnie).
Les Bourses, comme en 1929, vont continuer à s’écrouler lentement, après de faux rebonds, tandis qu’un krach ou de fortes baisses de prix dans l’immobilier sont à prévoir en France et aux États-Unis.