« Complotisme », « populisme »… Ces deux mots sont le bouclier verbal du microcosme qui préfère anathématiser ses ennemis au lieu de démontrer qu’ils se trompent. Or, comment faut-il appeler une « machination judiciaire », une « manipulation collective », une « entente complice » entre des politiques, des magistrats et des journalistes pour agir sur une élection présidentielle au point, sans doute, d’en changer le résultat ? J’emprunte ces mots à Philippe Bilger, peu suspect de complotisme ou de populisme, et qui a eu l’honnêteté intellectuelle de modifier son jugement après les déclarations sous serment de l’ancien procureur du parquet national financier, Mme Éliane Houlette, qui, auditionnée par une commission de l’Assemblée nationale, avait révélé les pressions qu’elle avait subies, pour ne pas dire le harcèlement, de la part du parquet général, pour faire avancer l’affaire et communiquer les pièces qui, au mépris du secret de l’instruction, se trouvèrent ensuite dans la presse, elle-même peu soucieuse de la présomption d’innocence.
France et politique française - Page 1487
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Chassons les imposteurs !
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Le piège de la dictature verte
La Convention artificielle de 150 personnes prétendument tirées au sort pour représenter la société civile peut et doit être regardée sous plusieurs angles.
Tout d'abord la démocratie se targue, par principe et par définition d'incarner le pouvoir du peuple. Et à de nombreux égards, il est loisible et même légitime de s'interroger quant aux nombreux points faibles qu'elle développe au sein des États dont elle inspire les institutions. Le gouvernement d'opinion vaut d'abord ce que valent le concept et la réalité de l'opinion publique : le court terme l'emporte trop souvent sur le long terme, et les choix des hommes de l'État soumis à l'élection reflètent le plus souvent leur préoccupation d'être réélus. À l'inverse toutes les expériences de non-réélection, y compris celle du non-cumul des mandats, se sont soldées par des échecs.
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DIMANCHE 28 JUIN : MOBILISATION POUR LE SECOND TOUR DES MUNICIPALES !
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LOI AVIA : LA CENSURE CENSURÉE
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Le PS bientôt de retour dans les beaux quartiers
Fin 2018, le Parti socialiste quittait piteusement son hôtel particulier de la très chic rue de Solférino située dans le fastueux VIIe arrondissement de Paris. Adieu veau, vache, cochon et adhérents qui, à la porte, ne se bousculaient plus.
Les quelques rescapés du dernier Waterloo électoral entassaient dossiers et scooter de François Hollande sur une charrette et s’en allaient, errant, à la recherche d’un siège social moins coûteux. Après avoir réussi la traversée du périphérique avec brio, la troupe trouvait refuge dans la proche banlieue. Un vaste local à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne).
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EN FRANCE, MIEUX VAUT ETRE SANS-PAPIER OU RACAILLE QUE GILET JAUNE…
Laurent Lopez (FB)Jusqu’où va sombrer notre pays ? Les valeurs inversées sont désormais devenues le mètre-étalon présidant à tout jugement.Récemment, l’affaire Traoré m’a déjà donné la nausée. Cet individu peu recommandable, très défavorablement connu des services de police, vient d’être érigé en martyr. Voici que pour certains les racailles sont des gens formidables et les représentants des forces de l’ordre de vrais fumiers racistes…La colère étant mauvaise conseillère, je me suis donc abstenu de m’asseoir derrière un clavier pendant un long moment. Je craignais que mes mots soient d’une extrême violence pour exprimer ce que je pense de tous ceux qui « dégueulent » sur la police et la gendarmerie, dissimulant derrière une indignation feinte un communautarisme putride et un réel racisme anti-blanc.Le blanc que je suis est bien sur coupable des pires atrocités sur les gens de couleur ! Ne sont-ce pas mes aïeux qui se sont adonnés à l’esclavage ? Certes, ce dernier est aboli depuis 1848 et je suis né en 1965. Mais je suis coupable ! -
À qui profite l’antiracisme ?
L’hystérie antiraciste gagne les entreprises
Après avoir subi une épreuve de testing, sept grandes entreprises implantées en France font aujourd’hui l’objet d’une présomption de discrimination à l’embauche en raison des origines ethniques des candidats. Même si, depuis 2006, la loi sur l’égalité des chances reconnaît le testing comme preuve du délit de discrimination, le procédé s’avère à l’évidence parfaitement immoral. Il consiste en effet en une provocation à commettre un délit par un moyen détourné reposant sur le mensonge et la dissimulation. En l’occurrence, un délit de discrimination ethnique ou raciale. Procédé plus que discutable malgré les arguties de certains juristes.
Les sociétés Altran, Air France, Arkema, Rexel, Accor Hôtel, Renault et Sopra Steria ont visiblement donné dans le panneau et osé commettre l’indicible : préférer à l’embauche l’un de nos concitoyens autochtones à un candidat venu d’ailleurs. La justice a condamné les dirigeants desdites entreprises épinglées à effectuer une sorte de mini-stage de rééducation éclair d’une demi-journée. On imagine l’efficacité de pareille pantalonnade.
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Covid-19 : la valse des milliards
Source : https://www.politiquemagazine.fr/
Les milliards pleuvent comme les printemps s’épanouissent. Mais quand il faudra rembourser, la France sera-t-elle capable de faire face aux échéances ? Impôts, spoliation ou inflation, le gouvernement aura besoin de la confiance des Français…
Depuis le début de la crise sanitaire, l’unité de mesure est devenue la centaine de milliards. Personne ne réussit véritablement à saisir la grandeur que cela représente ; c’est simplement énorme… à la mesure de ce que le Gouvernement fait pour la population ! Sauf, qu’en fin de compte ce sera à la population de payer. À ce moment-là, les successeurs de ceux qui sont au pouvoir aujourd’hui se poseront la question de savoir comment.
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Belloubet rejette le bracelet pour suivre les islamistes endurcis libérés de prison (JT 23juin 2020)
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La gauche sera toujours la gauche
Le scrutin municipal du second tour, qui se déroulera ce 28 juin, semble voué à un retour de la gauche. Si, dans les villes moyennes de plus de 10 000 habitants, la droite entame sa reconquête du pays réel, dans d'autres municipalités, hélas politiquement plus significatives, où l'addition des bobos, des retraités et des assistés pèse de plus en plus lourd, la coalition de la gauche et des khmers verts risque de prendre un ascendant fâcheux. De façon emblématique, dans la Capitale, on peut ainsi craindre la survie de celle que, l'année dernière encore on donnait pour battue d'avance, la très nuisible camarade Hidalgo.
Cette poussée des unions "écologistes plus marxistes", dans les centres urbains de nos grandes métropoles, ne peut qu'engendrer des conséquences négatives. Cela se traduira plus ou moins rapidement en termes de nécroses économiques, commerciales et même immobilières, aggravant leurs délabrements financiers.