France et politique française - Page 1489
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Pierre-Yves Rougeyron : Camélia Jordana, bécasse contre poulet
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Éric Zemmour : « Pas de souveraineté populaire sans identité nationale »
25 ans d’histoire et d’échecs des mouvements souverainistes analysés, sans concession, par Éric Zemmour, à l’occasion du lancement par Michel Onfray d’une initiative ambitieuse pour réunir souverainistes de droite et de gauche.
Découvrir cette vidéo : https://video.lefigaro.fr/figaro/video/zemmour-pas-de-souverainete-populaire-sans-identite-nationale/6161188721001/
https://fr.novopress.info/217949/eric-zemmour-pas-de-souverainete-populaire-sans-identite-nationale/
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Sur le blog de notre ami Marc Rousset : 10 arguments en faveur de l’immigration qui sont faux (II/II).
Source : http://marcrousset.over-blog.com/
6) “L’immigration est une chance économique pour la France”
Une telle affirmation relève là encore de l’acte de foi, et non d’une tentative d’examiner objectivement la question. Pour en arriver à une telle contre-vérité, il faut par exemple, à la manière du Figaro en 2014, ne regarder que l’immigration européenne : ils titraient ainsi “Les immigrés contribuent plus à l’économie britannique qu’ils ne lui coûtent” en référence à un article de Dustmann & Frattini.
Quel était le réel bilan que vous pouviez lire dans cette étude ? L’immigration européenne a rapporté 4 milliards de livres au Royaume-Uni de 1995 à 2011 quand l’immigration extra-européenne en a coûté… 118 milliards. Un exemple parmi d’autres de manipulation classique des chiffres consiste donc à ne jamais considérer uniquement l’immigration extra-européenne (ou simplement africaine), alors qu’il s’agit bien de cette immigration là que critique une bonne partie des Français.
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Au petit Venezuela parisien
Tout bon feuilleton commence toujours une nouvelle saison par le rappel des épisodes précédents : indispensable pour comprendre le monde d'après.
Trop souvent confondus avec les adversaires véritables de la révolution jacobine, les idéologues Girondins de la Convention estimaient, non sans raison, nécessaire de limiter le poids de Paris au 1/83e de la nation. Les retouches administratives du XIXe siècle et les adjonctions ultérieures, de la case de l'oncle Dom-Tom au cours du XXe siècle, n'avaient pas encore porté à 100, avec l'île improbable de Mayotte, le nombre des départements de la république.
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Alain Finkielkraut : « La honte d’être blanc a supplanté la mauvaise conscience bourgeoise. Cet auto-racisme est la pathologie la plus grotesque de notre époque »
Dans un entretien au Figaro Vox, le philosophe Alain Finkielkraut voit dans l’actualité qui a suivi la mort de George Floyd le déploiement d’un nouvel antiracisme qui tient moins à promouvoir l’égale dignité des personnes qu’à déconstruire l’hégémonie occidentale dans les pays occidentaux eux-mêmes. La notion de «privilège blanc» est, selon lui, une forme d’ «autoracisme» qui perpétue, sous une nouvelle forme, la mauvaise conscience de la classe bourgeoise.
le philosophe rappelle également que la dénonciation d’un «racisme systémique» et de violences policières racistes oublie que «dans les quartiers dits populaires, ce sont les policiers qui ont peur».
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Affaire Traoré : la vérité qui dérange...
Depuis la mort d'Adama Traoré, le débat public est intoxiqué par la version partielle de la famille Traoré, qui malgré les expertises n'ont cessé d'accuser les gendarmes d'avoir tué leur frère. Cette enquête de Louis de Raguenel met à mal cette thèse bornée, derrière laquelle se cache toutes les ambitions de la l'extrême-gauche décoloniale.
Source Valeurs actuelles
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L’antiracisme n’est qu’un racisme en sens contraire
De Bernard Antony :
[…]
Ainsi, on nous avait annoncé sur France-Inter et quasiment toutes les chaines « en continu » que contre le « racisme » et Donald Trump allait déferler à Washington la plus gigantesque manifestation de toute l’histoire des États-Unis. Il y a certes eu des cortèges nombreux, nullement un raz de marée. Et cela parce qu’on nous ment sur la réalité américaine qui est loin de n’être que celle de la lutte des races ; qu’on nous ment sur la criminalité, celle-ci étant très multiraciale ; qu’on nous ment sur la violence policière comme s’il n’y avait aux États-Unis que des policiers blancs alors qu’il suffit de se promener dans les rues de New-York ou de Washington pour constater la proportion importante de policiers noirs.
Et on nous ment encore plus massivement sur « l’affaire » Adama Traoré !
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Thibault Mercier - Discriminer ou disparaître ?
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L’ancien flic Olivier Marchal se rebiffe : Omar Sy et Camélia Jordana rhabillés pour l’hiver !
Comme toujours, dans les films policiers, il y a le « gentil » flic et le « méchant » flic. Dans la réalité, ce serait plutôt le « vrai » flic, Olivier Marchal, même si passé depuis longtemps au cinéma, et le « faux » flic, Christophe Castaner, arrivé place Beauvau, un peu par hasard et surtout par le fait du prince, Emmanuel Macron.
Bref, en cette période plus que délirante, où une pandémie intellectuelle – la haine de ce qui peut, de près ou de loin, incarner l’ordre public – est en train de supplanter une épidémie, celle du coronavirus, tous les fous furieux semblent s’être donné le mot.
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Comme une après guerre
Dans l'immédiate après-guerre des années 1940, Milton Friedman avait visité la Grande Bretagne et la France. On lui avait alors demandé ce qu'il pensait de l'avenir des deux économies et sa réponse mérite d'être revisitée de nos jours.
Les deux pays en effet subissaient alors une crise aiguë de socialisme étatiste. Ils étaient passés sous l'influence respectivement de la victoire des travaillistes en 1945, et des partis fondateurs de la quatrième république, SFIO, PCF, MRP. Les mesures, planifications, nationalisations et réglementations, qui s'additionnaient des deux côtés de la Manche, allaient entraver gravement la reconstruction qu'elles prétendaient assurer et que l'aide Marshall allait heureusement faciliter.