La mort par décapitation du professeur français d’histoire-géographie Samuel Paty, près du collège où il enseignait, oblige dramatiquement la France à regarder les choses en face : l’islam gangrène l’école. Le fait que les musulmans bénéficient d’un statut particulier au sein de l’école est un secret de polichinelle. Champ de bataille et de conquête des musulmans, l’école a été le lieu de tous les reculs devant l’islam depuis 40 ans. Les exemples d’activisme musulman sont légion et anciens : cela n’a jamais cessé depuis l’affaire du voile des collégiennes de Creil en 1989. La situation n’a fait que s’aggraver ; que l’on se souvienne du comportement de nombre d’élèves après les attentats contre Charlie Hebdo, refusant de respecter la minute de silence, comportements répétés par certains élèves du collège de Samuel Paty, considérant que le professeur avait « insulté le prophète » ou jouant à se montrer des photos de sa tête décapitée. Une aggravation due au prosélytisme mais aussi à la complicité des pouvoirs publics.
France et politique française - Page 1490
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L’islam à l’école : pas vraiment une surprise
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Saturation des lits à l’hôpital : c’est le cas tous les ans
Nos gouvernants tentent de nous faire peur avec le COVID en expliquant qu’il faut éviter la saturation des hôpitaux. A ceci près que cette saturation est chronique, chaque année, et cela n’a pas grand chose à voir avec une pandémie… Chaque année, nos médias effectuent des reportages sur la crise dans les urgences hospitalières, sur ces infirmières débordées, le manque de moyen du milieu hospitalier… Mais cette année, ils ont trouvé dans le Covid, une explication un peu facile :
Et de fait, quand on prend les chiffres de l’INSEE, il n’y a pas plus de mort en 2020 que les années précédentes (voire moins qu’en 2017).
https://www.lesalonbeige.fr/saturation-des-lits-a-lhopital-cest-le-cas-tous-les-ans/
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APPRENDRE LA FRANCE PLUS QUE LA RÉPUBLIQUE…
Un homme en a assassiné un autre. S’agit-il d’un meurtre religieux commis au nom des préceptes islamiques ? Certes, le Coran et les hadiths comprennent des appels à tuer les mécréants, mais il ne suffit pas de se dire musulman et de lire ces textes pour s’y conformer à la lettre. Ce ne sont jamais les idées froides qui tuent, mais le sentiment puissant d’appartenir à une identité pour laquelle la mort de l’autre est plus qu’une possibilité, une nécessité vitale. Egorger, décapiter sont des actes qui signent une appartenance. Les motifs pour le faire sont secondaires.
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"Décolonisation : du sang et des larmes". Le cours magistral de France 2 sur la décolonisation (ou le décolonialisme…?), par Jean-Paul Gourévitch
Merci à Joël Brocquet pour ce partage de publication.
Chers amis,
Le documentaire "Décolonisation: du sang et des larmes" a été diffusé ce mardi 6 octobre sur France 2.
Il faut remercier Jean Paul Gourévitch (membre du comité de pilotage du Partenariat Eurafricain) d’avoir immédiatement commenté (voir lien ci-dessous) ce « documentaire » diffusé le 6 octobre 2020. Ce débat sur la décolonisation est appelé à rebondir dans le contexte général de la bataille engagée apparemment sur le terrain historique mais dont la portée politique et idéologique aboutit, de fait, à saper les fondements de la cohésion sociale.
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Dissoudre le CCIF sans toucher à SOS Racisme et à la LDNA, c’est de la poudre de perlimpinpin !
Même si certains peuvent considérer qu’il s’agit d’un coup de communication opportuniste visant à rassurer l’opinion publique, force est de constater que les décisions de Macron et Darmanin de demander les dissolutions d’associations islamistes sont approuvées par beaucoup de Français, notamment sur les réseaux sociaux.
On peut être contre cette majorité et avoir l’honnêteté de reconnaître que c’est bien la première fois qu’un gouvernement ne se contente pas d’éteindre la tour Eiffel, d’allumer des bougies et d’organiser des marches blanches.
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Contre la démocratie représentative, redécouvrir l'anarchisme 2/2
Citons à cet égard une célèbre apostrophe de Proudhon sur le sort du gouverné, qui semble décrire aussi bien la mobilisation totale des masses soumises des régimes totalitaires du XXe siècle qu'annoncer certains aspects de la vie du citoyen de nos démocraties marchandes et télé-surveillées : « Être gouverné, c'est être gardé à vue, inspecté, espionné, dirigé, légiféré, réglementé, parqué, endoctriné, prêché, contrôlé, estimé, apprécié, censuré, commandé, par des êtres qui n'ont ni le titre, ni la science, ni la vertu. Etre gouverné, c'est être à chaque transaction, à chaque mouvement, noté, enregistré, recensé, tarifé, timbré, toisé, coté, cotisé, patenté, licencié, autorisé, admonesté, empêché, réformé, redressé, corrigé. C'est sous prétexte d'utilité publique et au nom de l'intérêt général être mis à contribution, exercé, rançonné, exploité, monopolisé, concussionné, pressuré, mystifié, volé puis, à la moindre réclamation, au premier mot de plainte, réprimé, amendé, vilipendé, vexé, traqué, houspillé, assommé, désarmé, garrotté, emprisonné, fusillé, mitraillé, jugé, condamné, déporté, sacrifié, vendu, trahi, et pour comble, joué, berné, outragé, déshonoré. »(6)
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HALTE AU BAVARDAGE PRÉSIDENTIEL !
Le 22 Avril 2016, le futur président avait déclaré avec la fermeté de la certitude éclairée : ” une société sûre est une société d’individus libres”. Récemment, le “Président” coincé entre le séparatisme islamiste et la panique virale appelait les Français à être des “citoyens solidaires”. On prend, dans cette conversion radicale, le grand bobard du “en même temps la main dans le sac. Il y a un principe logique constant depuis l’existence du monde, inhérent à la raison humaine : celui de non-contradiction, “une chose ne peut être en même temps une chose et son contraire.” Un individu émancipé dans une société liquide ne peut être le citoyen solidaire d’une cité bâtie sur du roc. C’est Camus qui disait que le grand choix de l’existence tenait à une lettre : “solidaire ou solitaire”.
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Contre la démocratie représentative, redécouvrir l'anarchisme 1/2
Quoi de neuf en ce début de XXIe siècle ? Le mouvement anarchiste. Une myriade d'éditeurs, de revues et de collectifs libertaires témoignent d'une vitalité retrouvée contre le culte de la croissance. Critiques, ils le sont, mais peuvent-ils être des bâtisseurs d'alternatives ?
Depuis une dizaine d'années, souvent dans le sillage de l'écologie politique radicale, des éditeurs et des groupes militants, aux marges des grands courants de la politique officielle, redécouvrent la richesse d'une tradition anarchiste que les orthodoxies intellectuelles ont longtemps disqualifiée pour délit d'utopisme et d'insoumission. La revue décroissante Entropia ou le collectif anti-industriel espagnol Los Amigos de Ludd évoquent ainsi régulièrement les œuvres de Pierre Kropotkine ou d'Elisée Reclus, et soulignent les convergences historiques du mouvement libertaire - notamment en Espagne et en Russie - avec les réactions populaires contre la société industrielle.
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Macron : l’indécent pompier pyromane – JT du jeudi 22 octobre 2020
Au sommaire de ce journal : l’hommage d’Emmanuel Macron au professeur décapité tourne à la récupération sur fond de mauvais goût.Nous évoquerons ensuite l’origine du terroriste et les raisons qui ont pu le pousser à venir en France.Enfin, les mesures pour lutter contre le Covid-19 passent un nouveau cap. Une semaine après la mise en place d’un couvre-feu dans plusieurs métropoles dont Paris, le premier ministre, Jean Castex, a annoncé son application à plusieurs départements et le gouvernement prépare déjà 2021. -
Islamisme. Robert Ménard : « J’accuse tous ces éditorialistes qui depuis plus de 40 ans se mentent et nous mentent » [Vidéo].
Tandis que les hommages à Samuel Paty se succèdent en France depuis quelques jours, le maire de Béziers Robert Ménard s’est lancé dans un « J’accuse » à la Émile Zola lors de sa prise de parole lundi dernier.
Robert Ménard appelle à ne pas accepter la « barbarie »
L’actualité française est occupée ces derniers jours par les différents hommages et manifestations suite à la décapitation du professeur d’histoire-géographie Samuel Paty à Conflans-Sainte-Honorine vendredi 16 octobre par un tchétchène âgé de 18 ans.