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France et politique française - Page 1522

  • Marine Le Pen : « L’état d’esprit d’un certain nombre de racailles n’a pas du tout changé, ils ne sont pas solidaires ! »

    Pantin, Saint-Denis, Champigny-sur-Marne, Strasbourg, Villejuif et d’autres nombreuses communes de France connaissent des émeutes après l’épisode de Villeneuve-la-Garenne.

    Voici la Réaction de Marine Le Pen sur le site Boulevard Voltaire.

    En France, et particulièrement en Île-de-France, des scènes d’émeutes se sont produites après l’épisode de Villeneuve-la-Garenne. Comme qualifiez-vous la situation ?

    On sait, depuis des années, que ce sont des zones de non-droit et sont en partie des zones de non-confinement. L’état d’esprit d’un certain nombre de racailles n’a pas du tout changé avec la crise sanitaire. Ils ne sont pas du tout solidaires de la situation que nous vivons. Par conséquent, la moindre excuse est utilisée pour déclencher des émeutes, s’attaquer aux policiers et aux pompiers. Les mesures mises en œuvre et les instructions données aux forces de l’ordre par le gouvernement relèvent toujours de cette culture de l’excuse et de l’achat à coût très onéreux de la paix civile.

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  • Michel Onfray sur les émeutes de Villeneuve-La-Garenne : « Il y a des centaines de territoires perdus »

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    Interrogé sur les émeutes de Villeneuve-La-Garenne, Michel Onfray tacle la lâcheté des autorités et rappelle une vérité : « Il y a des centaines de territoires perdus ».

    https://fr.novopress.info/217494/michel-onfray-sur-les-emeutes-de-villeneuve-la-garenne-il-y-a-des-centaines-de-territoires-perdus/

  • De l’urgence de changer de logiciel

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    Voici notre quatrième intervenant, l'écrivain, chroniqueur et éditeur Philippe Randa que l'on ne présente plus aux lecteurs de Synthèse nationale...

    S.N.

    Philippe Randa

    Le terme « mondialisme » prête souvent à confusion à notre époque où la circulation à travers le vaste monde, en durée comme en moyens, est aussi simple qu’ancrée désormais dans les habitudes des plus riches comme dans les rêves des plus pauvres. À moins d’être fou ou particulièrement mauvais de nature, on ne saurait, à l’évidence, le déplorer… et encore moins vouloir l’empêcher.

    Définissons donc d’emblée le « mondialisme » : une idéologie politique visant à instaurer un État mondial, ayant aboli toutes notions de frontières, appelé parfois « village mondial » et sensé représenter un Eldorado de prospérité économique, de concorde entre tous les humains, d’accès à la consommation pour tous et surtout, béatitude suprême ! de surconsommation… Bref, une sorte de retour de l’Homme, de la femme et du transgenre si affinité au Jardin d’Eden, terrestre celui-là, mais sans l’interdit de manger les fruits de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, puisqu’ils seront génétiquement modifiés aux normes de la Pensée unique.

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  • Le professeur Raoult règle leur compte aux médias

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    Le dernier épisode des aventures du professeur Raoult vient de sortir. Assez peu d’effets spéciaux, aucune cascade. Blouse blanche, allure de mousquetaire, une machine à café en arrière-plan. La production persiste à limiter le budget alors que le look du personnage semble tout indiqué pour un film de cape et d’épée. Pas même un seul cheval à l’horizon. De qui se moque-ton ?

    Les dialogues, en revanche, méritent le détour. Notre héros s’aventure, cette fois-ci, sur des terrains jusqu’alors inexplorés lors de ses dernières interventions. Le téléspectateur frémit. « Mais que fait-il ? Non ! Il ne va pas oser ? » Eh bien, si ! Après avoir constaté la révolution du droit à la parole engendré par l’apparition des réseaux sociaux, le professeur se lance, tête la première, contre la grande méchante collusion médiatique avec cette phrase qui pourrait le voir banni à jamais des plateaux de BFM TV et de ses semblables (âmes sensibles s’abstenir) : « C’est pour ça que les médias traditionnels peuvent éventuellement qualifier de “fake news” ce qui ne sont pas les news que eux propagent. »

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  • Calais : Affrontements entre migrants et forces de l’ordre, deux policiers et deux gendarmes blessés

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  • Calais : Affrontements entre migrants et forces de l’ordre, deux policiers et deux gendarmes blessés

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  • Une « guerre » ne doit pas en cacher d’autres !, par Christian Vanneste.

    Platon a écrit que « la perversion de la Cité commence avec la fraude des mots ». La France est une Cité, une nation affaiblie par la corruption d’un vocabulaire miné par les manipulations idéologiques de laboratoires lexicaux destinés à la mutation des idées du peuple. Lorsque les mots changent, c’est la pensée qui change et la conscience collective qui constitue la réalité d’une nation parce qu’elle correspond à son identité

    Lorsque l’Etat de droit remplace subtilement la démocratie, que le mot populisme devient une marque de réprobation, que la culture ne s’écrit plus qu’au pluriel, que la discrimination positive justifie l’inégalité jusqu’à permettre la préférence étrangère, la mutation se produit : les défenses immunitaires s’effacent, et c’est tout un peuple qui peut mourir, qui peut subir une euthanasie, car il ne va même pas en avoir conscience puisque les moyens de le dire auront disparu. La mort d’une nation, d’une civilisation, est moins visible que celle d’un homme, parce qu’elle est plus lente et imperceptible, et pour cette raison, il faudrait être au moins aussi soupçonneux envers les laboratoires qui triturent les mots qu’à l’égard de ceux qui manipulent les virus.

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  • Repenser le patriotisme économique Aux armes (économiques), citoyens ! (article de 2011)

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    Aujourd'hui, la plupart des entreprises du CAC 40 sont des structures apatrides pour lesquelles la France n'est qu'un « site d'implantation » parmi d'autres, plus rarement un moyen de créer de la valeur ajoutée symbolique, en communiquant autour de la « french touch » ou du « luxe à la française ». Pour le reste, il n'y a plus, ou très peu, du point de vue industriel, de patriotisme économique. Mais est-ce là l'avenir ? Peut-être pas.

    Notre confrère L'Expansion vient de publier(1) un intéressant dossier consacré aux entreprises dites « les plus patriotes », agrémenté d'un palmarès. Qui trouve-ton au premier rang de ce prétendu « patriotisme économique » ? Bouygues, l'entreprise qui a largement accompagné l'immigration de peuplement en France et contribué ainsi à augmenter le chômage des Français de souche. Si patriotisme il y a donc, c'est que celui-ci ne se mesure plus qu'en impôts payés en France et en gains d'images apportés pour notre pays sur les marchés à l'ex-port. Après tout, pourquoi pas ! Mais ne perdons pas de vue que le « patriotisme » de Bouygues n'est jamais qu'une conséquence subie de son activité, et non le moteur de celle-ci.

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  • Des masques pour tous... mais pas pour Stéphane Ravier et ses administrés marseillais

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    Voici ce qu’on peut lire sur Valeurs actuelles : « Antoine Baudino, attaché parlementaire de Stéphane Ravier et candidat RN à la mairie de Berre-l’Étang (Bouches-du-Rhône), cherchait en effet 1 000 visières de protection auprès des entreprises de la cité phocéenne afin de fournir les commerçants du 7e secteur de Marseille. Parmi plusieurs réponses positives accompagnées d’un devis, à sa grande surprise, il reçoit cette réponse quelque peu détonante de l’une de ces entreprises, nommée Make it Marseille : « Désolé, nous ne souhaitons pas contribuer à vos actions, ne partageant pas les mêmes valeurs que le Rassemblement National. » Contacté par Valeurs actuelles, le sénateur RN Stéphane Ravier ne mâche pas à ses mots à l’encontre de cette société : « Ça ressemble à une attitude de “salauds” ».

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  • Le responsable éco du figaro estime qu’« Un « tsunami » de licenciements, susceptible de détruire des millions d’emplois en France, est inévitable »

    Pour Marc Landré, responsable du service EcoFrance (Le Figaro), un « tsunami » de licenciement est inévitable. Selon lui, la purge qui se prépare va être d’une violence inédite. Les suppressions de postes se chiffreront en centaines de milliers, si ce n’est en millions.

    (…) Si le dispositif de chômage partiel permet de passer le cap de la crise, en suspendant les contrats de travail, il ne garantit en rien leur pérennité en sortie de confinement et reprise d’activité. Certes, l’État ne repliera pas son plan de soutien du jour au lendemain mais il ne va pas régler pendant des mois les salaires de plusieurs millions de personnes. Et sans cette perfusion, les entreprises exsangues après des semaines à l’arrêt ou au ralenti n’auront d’autre choix que de licencier. (…)

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