Ce n’est un secret pour personne : chaque année, à l’approche du ramadan, revient pour les autorités, surtout celles dont dépendent (théoriquement) les zones de non-France, la véritable hantise d’un embrasement des banlieues. Et plus encore en ces temps où, épidémie de coronavirus oblige, les mesures de confinement imposées par l’Etat interdisent formellement les rassemblements et célébrations religieuses. Mais certains préfets croient avoir trouvé la parade pour acheter la paix sociale : avouer d’emblée leur impuissance à faire respecter la loi…
Emmanuel Barbe, dhimmi parmi les dhimmi