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France et politique française - Page 1528

  • Le battage médiatique contre le coronavirus est le plus grand canular politique de l’histoire

    Le battage médiatique contre le coronavirus est le plus grand canular politique de l’histoire

    C’est une analyse que l’on découvre dans le Washington Times du 28 avril. Extraits

    Le nouveau coronavirus est réel.

    La réponse au coronavirus est médiatisée. Et avec le temps, ce battage médiatique sera révélé comme un canular politique. En fait, COVID-19 sera considéré comme l’une des plus grandes exagération du monde politique, la plus honteusement exagérée, excessivement et irrationnellement gonflée avec des réponses faussement trompeuses à un problème de santé.

    Les faits sont les suivants: COVID-19 est une véritable maladie qui rend malade certains, se révèle mortelle pour d’autres, surtout les personnes âgées – et ne fait rien à la grande majorité.
    C’est ça.

    En un mot, c’est tout.

    Ou, selon Dan Erickson et Artin Massih, médecins et copropriétaires de Accelerated Urgent Care à Bakersfield, en Californie: rouvrons le pays – et maintenant.

    «Avons-nous encore besoin d’un abri sur place? Notre réponse est catégoriquement non. Faut-il fermer des entreprises? Non catégoriquement. … [L] es données montrent qu’il est temps de lever ».

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  • Combien de Zemmour anonymes, sans appel du Président ni considération du parquet ?

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    l y a, dans nos vies, des coïncidences étranges, plus ou moins drôles. Ce fameux 30 avril 2020, alors qu’Éric Zemmour se faisait insulter en rentrant chez lui, il m’est arrivé la même chose, devant chez moi, avec ma famille, quasiment à la même heure. Dans des circonstances et par un individu comparables à l’agresseur d’Éric Zemmour. Nous avons dû nous réfugier chez nous et vite fermer le portail, car l’agresseur s’est précipité vers nous et s’est mis à taper sur notre boîte à lettres, déversant insultes et menaces.

    Nous appelons immédiatement le 17. On me demande de déposer une pré-plainte sur Internet. Ce que je fais. Je signale le danger, les risques, et je précise que nous tenons à pouvoir sortir de chez nous sans être insultés ni menacés. Pré-plainte sur Internet, Monsieur.

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  • vive-europe.com : comment ça marche et pourquoi c'est important

  • De crise en crises, quelle issue ?

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    Voici aujourd'hui le point de vue de notre ami Patrick Parment, directeur du Journal du Chaos et contributeur régulier depuis leur création, en 2006, de notre site et de notre revue. 

    Dans sa revue de presse hebdomadaire, Le Journal du Chaos, envoyée gratuitement tous les samedi depuis plus de dix ans à ceux qui en font la demande* et reprise sur notre site, Patrick Parment recense et commente l'actualité de manière pour le moins... non-conformiste.

    S.N.

    Patrick Parment

    Il est extrêmement problématique d’avancer les leçons que tireront nos responsables politiques tant en France qu’en Europe de cette crise provoquée par le coronavirus. Une chose est toutefois certaine, chaque pays européen a réagi en solitaire et en fonction de sa culture face à la pandémie. D’où cette disparité des réactions. Une fois de plus, l’Union européenne a marché en ordre dispersé et a apporté en urgence, la seule et unique réponse qui s’imposait à elle, à savoir monétaire via la Banque centrale européenne.

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  • L’offensive des immigrationnistes contre les centres de rétention administrative

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    La rétention administrative permet de maintenir dans un lieu fermé un étranger qui fait l’objet d’une décision d’éloignement, dans l’attente de son renvoi forcé. Ce lieu est le plus souvent un centre de rétention administrative (CRA), gardé par la police.
    Ces centres, dont l’existence et le fonctionnement sont indispensables au traitement des déboutés du droit d’asile et à la lutte contre l’immigration illégale, constituent des structures lourdes et onéreuses. Ils offrent un confort indécent à des délinquants lorsque l’on pense au sort des SDF français. Leur gestion est partagée avec des associations immigrationnistes qui sont loin de respecter le principe de neutralité qui leur est prescrit.
    On ne peut également pas dire que l’administration des CRA et l’éloignement des personnes retenues par le ministère de l’Intérieur constitue un modèle d’efficacité et de sérénité.
    Enfin, la pandémie du Covid-19 conduit les pouvoirs publics à vider les CRA des retenus qui sont ainsi largués dans la nature et contribuent au désordre public actuel.
    Même si le Conseil d’État a refusé de les fermer à titre temporaire, leur fermeture définitive demeure à terme un objectif des associations gauchistes et immigrationnistes afin de détruire un instrument de la lutte contre l’invasion clandestine.

    Éloignement et centres de rétention administrative (CRA)

    La loi permet au ministère de l’Intérieur de prendre des mesures d’éloignement forcé des étrangers illégaux ou déboutés du droit d’asile hors du territoire français. Leur application est généralement précédée d’un placement en CRA.

    Un CRA n’est pas un établissement pénitentiaire. La rétention ne doit durer que le temps d’organiser matériellement cette reconduite à la frontière.

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  • Déconfinés, mais surveillés et (au besoin) punis : la magie du «en même temps»

    Devant l’Assemblée nationale, le Premier ministre a pensé que le refrain bien connu ferait illusion. Mais les Français ne peuvent être «en même temps» libérés et contrôlés, juge la philosophe Julia de Funès.

    Par-delà la difficulté de l’exercice, la justesse du ton et le bien-fondé probable des mesures prises, le discours d’Édouard Philippe devant l’Assemblée nationale fut l’incarnation de la pirouette terminologique qu’est le «en même temps». Le «en même temps» de la complexité ne prenait-il pas soudain quelques airs de duplicité?

    Nous serons déconfinés mais en même temps plus contrôlés. Nous passerons de l’enfermement à l’examen, de l’isolement à la surveillance: massification des tests, identification des cas-contacts, mises en place de brigades, plan de mise à l’abri, quadrillage géographique départemental, kilométrage limité. On troque une restriction de liberté physique contre une restriction de liberté psychologique.

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  • La CAF victime de fraudeurs fantômes

    Les prestations sociales ont toujours attiré les fraudeurs et ce n’est pas Charles Prats qui dira le contraire. Dans une interview accordée au Figaro, l’ancien magistrat de la Délégation nationale à la lutte contre la fraude affirme que de nombreux allocataires de la CAF frauderaient aux prestations sociales. Et Charles Prats va encore plus loin. En effet, il avoue qu’un grand nombre de ces fraudes seraient opérées par des étrangers. Selon des documents qu’il a transmis à la commission d’enquête parlementaire en cours sur le sujet, 12,4 millions de personnes nées à l’étranger ou dans un territoire d’outre-mer ont bénéficié l’an dernier de prestations sociales. Problème…. selon les chiffres de l’Insee et des organismes sociaux, il ne devrait en exister qu’un maximum de 9,9 millions. Ainsi, chaque mois, ce sont près de 2,5 millions de fraudeurs fantômes qui passent à la caisse et touchent des aides sociales.

    C’est donc un véritable pavé dans la mare que jette Charles Prats. L’ancien magistrat dit avoir transmis les données à l’Assemblée nationale début mars, mais il déplore, depuis, le silence du ministère des Affaires sociales.

    Il faut dire que le montant de cette fraude peut donner le tournis… 30 milliards d’euros par an. Et la facture totale pourrait être encore plus vertigineuse. Ces 30 milliards ne concernant que la fraude potentielle à l’immatriculation sociale, il faut potentiellement rajouter les autres types de fraudes sociales.

    Pour mettre fin à ces pratiques, Charles Prats préconise de recertifier tous les numéros de Sécurité sociale en intégrant les empreintes digitales de chacun. Cependant, la lutte contre la fraude aux prestations sociales tétanise les responsables politiques et haute administration qui ne veulent pas être accusés de faire la chasse aux pauvres et aux étrangers.

    Thibault Bastide

    https://www.tvlibertes.com/actus/la-caf-victime-de-fraudeurs-fantomes-thibault-bastide

  • La gestion de la crise sanitaire : réflexions sur les spécificités de l’incurie macronienne

    La gestion de la crise sanitaire : réflexions sur les spécificités de l’incurie macronienne

    La crise du coronavirus et sa gestion par le pouvoir politique donnent lieu à des commentaires souvent intéressants et pouvant être développés à l’infini. D’autant plus que, mondiale, elle autorise aussi des comparaisons instructives.

    Cependant, l’objectif de ce texte n’est pas d’étudier cette gestion de la crise en France au regard d’une situation inédite de privations de libertés considérées comme fondamentales ; ni de pointer les incohérences d’une action qui suffiraient à remplir plusieurs tomes épais, même en tenant compte d’une compréhensible progression dans découverte des caractéristiques du virus, juste au regard de ce qu’est le bon sens ; ni même de juger de la pertinence intrinsèque des actions décidées ; ni encore de prévoir des perspectives judiciaires promises par certains.

    Le but est l’analyse de ce qui sous-tend en France l’action politique depuis le début de la crise sanitaire, révélant par là-même des spécificités de l’exercice du pouvoir macronien. Révélant d’ailleurs aussi de quelques traits de la société française qui seront vus en conclusion.

    Premier aspect : l’usage du mot « guerre ». Les fameux « nous sommes en guerre » dans l’adresse aux Français de M.Macron le 16 mars 2020.

    Cet usage est une contrefaçon, bien sûr. Car il ne s’agit que d’une crise sanitaire. Nous employons le terme contrefaçon, car il peut recouvrir tout à la fois une erreur d’analyse (inconvenante venant de gens si subtils et intelligents, comme le dirait Gilles Le Gendre) et un besoin de mise en scène (beaucoup plus probable). Cela permet mieux à l’exhibitionniste qui nous gouverne de plastronner.

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  • Faudrait savoir : transports publics ou voitures particulières ?

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    Pieter KERSTENS

    Les automobilistes, nouveaux serfs du 21ème siècle taillables et corvéables à merci, subissent les pires avanies de la part de politicards imbus de leur pouvoir. Téléphoner dans son auto est un délit et entraîne de fortes amendes. Et fumer dans sa voiture ? C’est passible de 20 ans de bagne ? Bientôt… patience !

    Que ce soit à Bruxelles, à Madrid ou à Paris, les jours de « SMOG », il est interdit de dépasser les 50 km/h en ville ou les 90 km/h sur autoroute !

    De plus, les politicards ont même établi une circulation alternée, en fonction de l’immatriculation (plaques avec numéros pairs ou impairs) lors de « pics de pollution » et inventé une vignette payante « Air Pur » à coller sur votre pare-brise.

    Des dizaines de milliers de contraventions donnent lieu à d’innombrables protestations.

    Curieusement, la répression ne sévit pas de la même façon dans les Zones de Sécurité Prioritaires à forte densité d’immigrés.    Discrimination ?

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  • Génération Identitaire lance l’alerte, Castaner contraint de sermonner les imams, par Clément Martin

    Alors que la France n’en finit plus de compter ses morts, des musulmans profitent du confinement pour multiplier les provocations et occuper l’espace public. Les jeunes identitaires ne pouvaient pas les laisser faire sans réagir.

    Des appels à la prière islamique envahissent l’Europe

    Le 25 mars, jour de la fête de l’Annonciation, les évêques de France ont fait sonner les cloches des églises pour « demander à la Vierge Marie de remplir nos cœurs de foi, d’espérance et de charité » et plus généralement « pour manifester notre fraternité et notre espoir commun ». Au nom d’une prétendue solidarité interreligieuse et d’une forme d’égalitarisme, des islamistes en ont profité pour faire retentir l’appel à la prière musulmane (« l’adhan ») dans plusieurs villes de France.

    A Lyon, l’appel lancé depuis le minaret de la Grande mosquée a suscité l’indignation de nombreux internautes. Rappelons que lors de sa construction, les responsables du lieu de culte avaient affirmé que le minaret ne devait « pas diffuser d’appel à la prière » (L’Express, 22/09/1994)…

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