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France et politique française - Page 1561

  • Covid-19: Eric Ciotti (LR) en colère dénonce la politique du gouvernement: « On a laissé mourir nos vieux » du coronavirus dans les Ehpad

    Alors qu’il commentait le bilan des morts parmi les résidents des Ehpad depuis le début de l’épidémie de coronavirus, le député des Alpes-Maritimes, Éric Ciotti (LR), a dénoncé la politique du gouvernement, laissant ces gens «mourir dans l’indifférence, sans prise en charge sanitaire adaptée».

    «On a refusé d’hospitaliser des personnes qui étaient atteintes dans les Ehpad, on les a laissées quelque part mourir dans l’indifférence, sans prise en charge sanitaire adaptée», a-t-il insisté dans une interview donnée à Radio J.

    Pour E. Ciotti, ce bilan «sera le plus grand scandale de ce moment tragique pour notre pays». Il dénonce «une politique de refus de prise en charge par les SAMU de personnes âgées», et met en cause des «choix» qu’il attribue «à des raisons de capacité hospitalière» alors qu’«il y avait d’autres réponses, notamment la sollicitation de l’hospitalisation en secteur privé.» Et alors que le gouvernement a annoncé le 6 avril qu’une campagne de dépistage massif serait lancée peu à peu dans les Ehpad, «Ce n’est toujours pas fait de façon systématique», a fustigé M. Ciotti.

    Sputnik

    https://www.tvlibertes.com/actus/eric-ciotti-lr-en-colere-on-a-laisse-mourir-nos-vieux-du-coronavirus

  • Journal de confinement

    Je devais participer au dîner de gala du Cercle Renaissance, fondé il y a plus de 50 ans par mon ami Michel de Rostolan, et dont j’ai compté parmi les premiers membres. L’ambassadeur de Russie devait être présent. C’est annulé, bien sûr. Le Cercle rassemble des personnes de qualité, pour des activités intéressantes, et dans la ligne de nos convictions profondes. Entre autres initiatives, il distribue quatre prix : prix Renaissance des arts, de l’économie, des lettres, et de poésie.

    Michel, que je connaissais comme étudiant dans les années de tourmente 68 et suivantes, et avec lequel nous avons été jeunes députés à l’Assemblée Nationale en 1986 dans le groupe présidé par Jean-Marie Le Pen, est un ami fidèle et un homme remarquable. Les activités du Cercle (138 rue de Tocqueville, 75017 Paris) méritent d’être encouragées. 

    Macron

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  • Fiorina et Adnane : selon que vous serez Français de souche ou Afro-musulman…

    fiorina-adnane-francais-de-souche-afro-musulman-polemia-vf-588x330.jpg

    Par Fiorina Lignier, Gilet Jaune et auteur de Tir à vue  Fiorina et Adnane ont chacun perdu un œil à la suite d’un tir de la police. L’une lors d’une manifestation pacifique. L’autre à l’occasion d’une petite « émeute urbaine ». Mais le traitement des deux affaires a été radicalement différent.
    Fiorina a effectué un (premier) séjour à l’hôpital de 16 jours. On lui a accordé 30 jours d’ITT. 500 jours après sa mutilation, il n’y a toujours aucune suite judiciaire, aucune mise en examen, presque aucune avancée de la procédure pénale engagée.
    Adnane a passé trois jours à l’hôpital. Il a obtenu 120 jours d’ITT. En six jours, après deux articles dans Le Parisien, un policier a été suspendu et mis en examen.
    Bref, c’est deux poids, deux mesures. La répression policière pour les Français, c’est open bar. Et la répression judiciaire des policiers qui interviennent dans les banlieues, c’est aussi open bar. L’État est devenu un instrument contre la France. Et ceux qui le dirigent sont bien les « traîtres » que fustige Ivan Rioufol dans un récent ouvrage.
    Lisez cet article émouvant mais aussi précis et documenté de Fiorina Lignier. Je vous le recommande vivement même s’il risque de vous faire enrager comme il m’a fait enrager.
    Jean-Yves Le Gallou pour Polémia.

    Merci, la justice française, je ne pouvais pas espérer une telle efficacité. Le policier qui m’a éborgnée est identifié et suspendu de ses fonctions ! Me voilà soulagée… Enfin non, pas tout à fait, en fait, ceci ne reste, pour le moment, qu’un doux rêve. Je n’ai pas la chance de vivre dans un territoire perdu de la République ou un « quartier populaire » (comprenez évidemment une banlieue de l’immigration), donc, pour l’instant, 16 mois après les faits : rien. Certes, je suis issue de l’immigration, mais ma mère vient du mauvais côté de la Méditerranée, je suis trop Européenne pour que l’État s’intéresse à moi. Mais soyez rassurés, si la République ne s’occupe pas de moi, quand il s’agit d’extra-Européens, la justice sait se montrer à la fois rapide et efficace.

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  • Excès de communication officielle : “tout se vaut et rien ne vaut”

    Excès de communication officielle : “tout se vaut et rien ne vaut”

    Analyse intéressante du rapport entre l’autorité et sa concision d’un côté et de l’autre les logorrhées verbales des trop nombreux communicants officiels du gouvernement qui cherchent à noyer l’incompétence et l’inanité sous un torrents de paroles creuses :

    Tout peut se dire, et son contraire, sans que rien ne différencie le fondé de l’infondé. Donc tout se vaut et rien ne vaut. Qui croire ? À qui s’en remettre ? Où est la parole d’autorité ?

    Pas vraiment chez les autorités politiques. Ne tirons pas sur le pianiste, il faut bien improviser face à l’imprévisible. Mais les crises générales sont impudiques : elles déshabillent les rois et passent les sociétés aux rayons X, nous en montrant l’esprit. Soit un croissant décalage entre le dire et le faire, source de défiance et de suspicion. Nous sommes en guerre, nous dit-on, mais on cherche le général en chef, celui qui dit beaucoup en très peu de mots. Veni vidi vici. Sans remonter à César, souvenons-nous du Général, qui en quelques phrases, moins de trois minutes, pulvérise un coup d’État en Algérie, et plus tard, le psychodrame chaotique d’un long mois de Mai. Une phrase, un acte. Pas un mot de trop, et chaque mot à sa place. Comme la reine d’Angleterre, quatre minutes. Imperatoria brevitas. Autorité et brièveté sont synonymes. Un historien mettra demain en regard la dilution de la puissance publique, sur un demi-siècle, et le délayage des allocutions officielles. Moins ça peut, plus ça cause.

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    https://www.lesalonbeige.fr/exces-de-communication-officielle-tout-se-vaut-et-rien-ne-vaut/

  • Eric Zemmour : « Notre gouvernement nous punit, nous prive de notre liberté individuelle, parce qu’il n’a pas été assez prévoyant » (Vidéo)

    Eric Zemmour sur CNEWS : « Notre liberté fondamentale, c’est d’aller et venir, et on en est privé. Même pendant les guerres, on n’était pas privé, d’aller et venir (..) Notre gouvernement nous prive, nous punit, de notre liberté individuelle, parce qu’il n’a pas été assez prévoyant ».

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    https://www.tvlibertes.com/actus/eric-zemmour-notre-gouvernement-nous-punit-nous-prive-de-notre-liberte-individuelle-parce-quil-na-pas-ete-assez-prevoyant-video

  • Les animaux malades de la Dette

    6a00d8341c715453ef0240a4faebf4200d-320wiLa préoccupation concrète et quotidienne des Français, en cette période de confinement, se recroqueville d'abord sur leur situation personnelle. Éric Zemmour ajoute, au-delà de la dimension strictement matérielle : "Notre gouvernement nous punit et nous prive de notre liberté individuelle, parce qu’il n’a pas été assez prévoyant. C'est le pouvoir qui devrait se sentir coupable."[1]

    Les enquêtes d'opinion confirment la montée d'un tel sentiment. Un sondage IFOP[2]indique qu'en un mois, le nombre de Français qui font confiance au pouvoir actuel pour faire face efficacement à la crise du coronavirus, est passé de 55 % le 20 mars, à 47 % le 2 avril tombant désormais à seulement 38 %.

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  • Confinement et banlieues : Castaner minimise les incidents mais craint le communautarisme tout en pointant… l’ultra-droite

    Le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner  était auditionné ce jeudi par la mission d’information coronavirus de l’Assemblée nationale pour parler de “l’impact, de la gestion et des conséquences” de l’épidémie.

    Le ministre a minimisé les problèmes rencontrés dans les banlieues au sujet du confinement, reconnaissant quelques incivilités mais félicitant les banlieues pour leur attitude générale ! Un nouvel affront aux forces de l’ordre qui, sur le terrain, dans les “cités” aux mains des racailles, subissent les attaques de toutes parts et ont ordre de se replier.

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  • Le confinement est-il seulement sanitaire ?

     
    La France est devenue une prison à ciel ouvert.
    Le jogging est interdit en journée en maints endroits, tout comme marcher seul sur une plage, tandis que des randonneurs de montagne sont pourchassés par les hélicoptères de la gendarmerie.
    Partout s’observe une présence policière intraitable, interdisant même de passer d’un lieu de confinement à un autre, tandis que le portable pourrait devenir l’instrument d’un traçage impitoyable, tout cela dans un climat de psychose médiatique savamment entretenue.
    Ce confinement sanitaire toujours plus contraignant pourrait-il dissimuler une assignation à résidence plus politique ?
    De plus en plus de Français, stupéfaits par cette criminalisation sans précédent de la liberté individuelle, s’interrogent sur l’instrumentalisation possible d’une pandémie dont personne, cependant, ne nie la gravité ni la nécessité de s’en protéger, mais avec raison gardée.
    La gravité de la pandémie semble proportionnelle à l’incurie d’un pouvoir qui paraît agir contre le bon sens.

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  • Les Français vont s'adresser au président !

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    Alors qu'apparemment le déconfinement n'est pas pour demain, on semble craindre déjà les luttes sociales qui le suivront. Laurent Berger a pris les devants puisqu'il juge "indécentes" les propositions du MEDEF (Le Figaro) et d'une partie du gouvernement laissant entendre qu'il faudra travailler plus, supprimer les jours fériés et annuler des RTT (Morandini).

    Il y a quelque chose dans la démocratie française qui est schizophrénique. Le président de la République va s'adresser aux Français ce lundi 13 avril à 20 heures 02 - pour nous laisser le temps d'applaudir le personnel soignant - et depuis cette annonce reportée du jeudi au lundi, on suppute, on imagine, on invente, on prévoit, en tout cas on attend avec impatience ce que le président va dire.

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  • La France des ploucs, par Aristide Renou.

    La France des ploucs, ceux qui roulent au diesel et qui fument des clopes. Heureusement que la France de ceux qui envoient des vidéos de leur quéquette à leur maîtresse est là pour prendre leur destin en main (sinon, où irait-on?)

    "Cette violence de la mondialisation sous parapluie européen, du reste, est une donnée qui n’est pas appréhendée par les élites françaises. Pour elles, l’ouverture des frontières européennes, la libéralisation des échanges, la fin des monopoles, la banalisation de la langue anglaise, l’avènement de l’euro, l’arrivée de la main-d’œuvre immigrée à bas coût, le règne d’un droit abstrait et impersonnel, l’envolée des prix de l’immobilier des métropoles (là où elles possèdent leurs biens), la transformation brutale des modes de vie, tout cela est perçu comme autant d’opportunités nouvelles.

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