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France et politique française - Page 1557

  • Le pouvoir en France, un pompier incendiaire ?, par Christian Vanneste.

    Le pouvoir qui règne en France joue-t-il les pompiers incendiaires ? Certes, ce n’est pas une « barbouze » du style Benalla qui a mis le feu à Notre-Dame, pas plus que ce n’est une vaste conspiration mondiale, à laquelle notre gouvernement « progressiste » participerait, qui est à l’origine du Covid-19, mais dans les deux cas, bien qu’à une échelle très différente, il y a un scénario analogue : l’Etat a un devoir archi-prioritaire de protection des biens et des personnes, que le législateur a même cru devoir inscrire dans la Constitution sous le nom de principe de précaution, revêtu de l’onction écologique pour satisfaire l’idéologie à la mode et placé dans cette intention dans la Charte de l’Environnement.

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  • Municipales. « Il faudra refaire le premier tour » si l’élection a lieu après l’été selon Castaner

    Le ministre de l’Intérieur, Christophe Castaner, a annoncé dans l’émission Le Grand Jury dimanche 3 mai qu’en cas de report du second tour des municipales prévu en juin, c’est aussi le premier tour qu’il faudra refaire, a-t-il affirmé dans l’émission organisée conjointement par RTL – Le Figaro – LCI.

    Si nous ne pouvons pas tenir le second tour des municipales en juin, pour les villes qui n’ont pas élu de maire au premier tour, ça n’est pas simplement le second tour qu’il faudra faire. C’est aussi le 1er tour qu’il faudra refaire, a affirmé le ministre de l’Intérieur.

    Ouest France

    https://www.tvlibertes.com/actus/municipales-il-faudra-refaire-le-premier-tour-si-lelection-a-lieu-apres-lete-selon-castaner

  • À qui profitent les politiques publiques ?

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    En France et en Europe, les populations issues de l'immigration sont devenues les bons clients des politiques publiques.

    La politique de la ville fête ses 40 ans, le Fonds Social Européen ses 60 ans. Vous connaissez la première avec ses avatars : zones d'éducation prioritaire, zones urbaines sensibles, plans banlieues, contrats de ville, écoles de la deuxième chance... Le second, le FSE, plus méconnu, n'en est pas moins généreux avec ses milliards déversés à tous les pays pour leurs politiques de l'emploi, de l'insertion et de lutte contre les discriminations. L'État-providence existe encore pour certaines catégories. De plus en plus, des politiques publiques à l'unisson d'une discrimination positive assez discrète, concentrent des crédits vers des territoires et certains publics.

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  • Coronavirus et déconfinement : ce qu’il faut retenir du Conseil des ministres de ce samedi 2 mai

    Après un 1er-Mai confiné pour cause du coronavirus, un Conseil des ministres s’est tenu ce samedi. Voici ce qu’il faut savoir des nouvelles modalités du projet de loi sanitaire examiné à partir de lundi au Sénat avant qu’il ne soit transmis l’Assemblée nationale en vue d’une adoption définitive dans la semaine.

    Le texte, qui comporte sept articles, vise à «conforter le cadre juridique» et l’«élargir» pour «y intégrer les enjeux du déconfinement», qui doit débuter le 11 mai.

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    https://www.tvlibertes.com/actus/coronavirus-et-deconfinement-ce-quil-faut-retenir-du-conseil-des-ministres-de-ce-samedi-2-mai

  • Stocks des hypermarchés : quelle vérité, sous le masque ?

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    Les interrogations d'une pharmacienne

    « La critique est aisée, mais l’art est difficile. » J’essaye toujours d’appliquer cette citation de Philippe Néricault quand je tente de peser le quoi et le pourquoi de l’action publique. Je sais la tâche de nos dirigeants particulièrement ardue en ces temps de crise sanitaire sans précédent et évite d’habitude de juger de sa pertinence.

    Je ne peux, toutefois, contenir ma désillusion et mes interrogations quant à la gestion de la distribution des masques chirurgicaux qui ont si cruellement manqué pour protéger des soignants, et qui font encore aujourd’hui défaut à des personnes particulièrement exposées comme les aidants et résidents des EHPAD, les malades chroniques, les immunodéprimés. Pharmacienne en officine, j’ai dû faire face à leurs questions, leur expliquer tant bien que mal que les masques que je détenais étaient réservés aux professionnels de santé (dont même mes préparateurs ne faisaient pas partie), rendre compte de manière pointilleuse de ma distribution à l’État.

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  • Aujourd’hui, 39 millions de personnes ne vivent que des revenus de l’État ou des collectivités publiques !

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    Au 30 avril, la France comptait 39 millions de personnes dont les seuls revenus proviennent de l’État, des caisses sociales et des collectivités. Faisons le point :
    – 3,5 millions de chômeurs toutes catégories ;
    – 11,3 millions de chômeurs à temps partiel ;
    – 5,5 millions de fonctionnaires (État, collectivités, caisses sociales, hôpitaux) ;
    – 3,5 millions d’allocataires aux minima sociaux (RSA, ASS) ;
    – 1,1 million de titulaires de l’allocation adulte handicapé ;
    – 14,3 millions de retraités.

    Faites le compte : ce sont près de 39 millions de personnes qui ne vivent que de revenus de l’État, sur une population totale de 67 millions, soit près de 60 %. Cela veut donc dire que 40 % des Français qui tirent leurs revenus du secteur marchand doivent assurer les revenus de 60 % d’autres. Et encore, ce chiffre ne tient pas compte des allocations que touchent les fameux 40 % qui ne vivent pas exclusivement de revenus de l’État : allocations familiales, allocations logement, prime d’activité, etc. Si l’on rapporte à la population active, c’est encore plus effrayant : sur 30 millions d’actifs, 24 millions sont actuellement dépendants des revenus de l’État…

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  • Mutation mondialiste du pays légal (La technocrature, maladie sénile de la démocratie : 8/10), par Philippe Germain.

    Table des matières

    Résumé  : En 2017 la technocrature a pris le pouvoir  pour sauver la démocratie disqualifiée par son élite politique. Insatisfaite de l’explication par le complotisme d’ultragauche et celle du référentiel populiste, l’Action française  analyse la technocrature comme un phénomène de physique sociale. Utilisant la loi historique «  du développement d’oligarchies nouvelles  », elle découvre que Bonaparte a crée une nouvelle classe de privilégiés. Ce «  pays légal  » est un système oligarchique circulaire où trois élites financière, politique et médiatique s’épanouissent dans le cadre du régime républicain. Les commis de l’élite politique, les technocrates se sont ensuite constituée en une élite, bientôt déstabilisatrice du système oligarchique circulaire.

    Hégémonie du capitalisme financier

    Le début du septennat de Valéry Giscard d’ Estaing, correspond au clap de fin des trente glorieuses. Peu d’acteurs perçoivent l’enclenchement du vieillissement de la société Industrielle. La pathologie est masquée par les mesures sociétales progressistes prises par l’élite politique de centre-droit. Encore moins d’observateurs perçoivent que la Technocratie va entamer la mutation du pays légal vers le mondialisme.

    Sous Giscard (1974-1981), héritier de la nouvelle classe bonapartiste et pur produit de la Technocratie, l’Etablissement va pouvoir régner sans partage. Symboliquement le premier président de la République énarque fait appel à Jean-Jacques Servan-Schreiber, figure de proue de la Technocratie européiste. Pour s’enrichir par le pillage de l’Etat, l’élite financière va profiter des pouvoirs de la Technocratie à travers un soutien sans faille.

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  • Eric Zemmour agressé : les larmes de crocodile des censeurs

    Eric Zemmour agressé: les larmes de crocodile des censeurs

    Le 30 avril, Eric Zemmour a été violemment pris à partie par un passant qui a diffusé lui-même la vidéo sur les réseaux sociaux. Evidemment, cela n’a pas fait les gros titres. Mais le plus curieux est le soutien de la LICRA et d’autres idéologues de gauche et d’extrême gauche qui réclament régulièrement qu’on lui coupe le micro, qu’on l’éjecte des médias où il parle et, en définitive, qu’on le fasse taire – et qui paraissent choqués que quelqu’un qui les a un peu trop écoutés utilise des méthodes plus musclées pour obtenir le même résultat.

    Décidément, en France, la liberté d’expression est à géométrie variable…

    Mais peut-être l’explication est-elle dans les laborieuses “justifications” de l’agresseur : “ C’est impossible de parler avec lui, il est super fort, à part l’insulter sa mère vous voulez faire quoi ? ” Ecouter ses arguments peut-être ?"

    https://www.lesalonbeige.fr/eric-zemmour-agresse-les-larmes-de-crocodile-des-censeurs/

  • Sécession des “jeunes” des “quartiers”, par Aristide Renou.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    La partition du territoire français, où ont émergé et se sont consolidées des zones de non-droit, est confirmée par un article du Bondyblog, qui soutient la cause des « insurgés » [sic] de Villeneuve-la-Garenne.

    Le Bondyblog a fait paraître un article sur la colère raisonnée des habitants de Villeneuve-la-Garenne. Article très intéressant par ce qu’il révèle malgré lui. Le propos est celui que l’on peut attendre du Bondyblog et de Médiapart : tout cela n’est qu’une légitime révolte dans un « quartier populaire », provoquée par la brutalité policière. Et en même temps une révolte finalement très limitée et très responsable : presque rien n’a été détruit (quelques véhicules, des poubelles, ça ne compte pas). Bref, les « jeunes » sont admirables et ont simplement soif de justice.

    Mais l’article mentionne aussi que « une vingtaine de militants antifascistes sont venus prêter main-forte aux jeunes du coin. » On les repère très facilement, nous dit l’auteur de l’article : « ils sont blancs pour la plupart, globalement plus âgés que les jeunes à la manœuvre, et tout dans leur attitude et leur équipement trahit une certaine habitude de la révolte de rue. » Bizarrement, la sauce ne prend pas avec les « jeunes » du quartier.

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  • Pourquoi la République est-elle un régime toujours né dans le sang ?

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    Des massacres de septembre au génocide des Vendéens, de la Terreur des années 1793-94 au massacre de juin 1848, la Commune de 1871, l’Épuration en 1944-45, la répression contre l'Algérie française en 1958-1962, l'avortement de masse, l'euthanasie, l'eugénisme transhumaniste, l'homosexualisme, le « genderisme », la GPA...

    Pourquoi la République, née dans le sang, s'est-elle toujours complue dans une anthropologie de la destruction-transformation de l'homme ?

    La République, fille de la Révolution de 1789

    Disons-le d'emblée, le goût propitiatoire de la République pour le sang, réside dans son caractère totalitaire. Le projet des révolutionnaires bourgeois était, dès l'origine, marqué par une ambition démesurée : renverser l'ordre ancien et lui en substituer un nouveau qui aurait acquis, dès l'instant où il serait posé, l'inébranlable, immédiate et similaire légitimité de son devancier. Assurément, le prix à payer, notamment en vies humaines, serait exorbitant, attendu que les révolutionnaires faisaient le pari fou et intenable de s'affranchir de la longue durée en prétendant faire jaillir du bon peuple une adhésion sans réserve à ce nouveau régime de « Liberté ».

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