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France et politique française - Page 1562

  • Islamisation de la société occidentale : le coronavirus un allié de poids de l’islam conquérant

    Tandis que dans la majorité des églises du monde entier, celles de Rome y compris, les célébrations de la messe dominicale et de la liturgie du temps le plus sacré des catholiques, la Semaine Sainte, sont interdites en présence de fidèles, les appels à la prière musulmane, l’adhan, retentissent de soir en soir dans les rues de France, d’Allemagne, d’Espagne…

    Un choc religieux, un inversement des « cultures », qui en disent long sur la soumission des autorités religieuses et politiques à la dictature sanitaire et à l’islam conquérant : les clochers se taisent et les minarets pontifient !

    La crise du coronavirus rime donc en occident, non seulement avec ‘culture de mort‘ mais aussi avec ‘islamisation de la société’. Mais ces deux nihilismes, ne nous y trompons pas, sont en réalité les deux facettes d’une seule et même médaille : l’idéologie mondialiste destructrice des société et civilisation chrétiennes. 

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  • Coronavirus : la « bombe sanitaire » des camps de migrants

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    On sait que la distanciation sociale est un élément fondamental pour éviter la contagion. Déjà difficile à envisager dans des communautés telles que les EHPAD – surtout quand on nous expliquait, fin janvier, qu’en France, « les risques de propagation du coronavirus sont très faibles » (Buzyn) -, il est des lieux où éviter la promiscuité est tout simplement irréalisable : les foyers de migrants.

    Dans un article du Monde dépeignant, dans un département à contourner si vous arrivez de Roissy, un hangar-squat de 700 m2 où 270 sans-papiers se partagent 110 lits superposés à touche-touche avec une seule douche, un « collectif de soutien » alerte sur cette « bombe sanitaire à désamorcer d’urgence ». Et elle n’est pas la seule : il y a treize foyers dans la ville…

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  • Le multiculturalisme comme idéologie

    Dans un délicieux recueil de vers quelque peu oublié aujourd'hui, Victor Hugo, en 1880, eut l'idée ingénieuse et sarcastique de faire dialoguer en alexandrins Emmanuel Kant, le fondateur des Lumières allemandes et européennes, avec un âne, au demeurant fort prolixe et impertinent. Car l'animal ne lançait-il pas d'entrée de jeu au génie de Kônigsberg : « Et les cailloux sont doux et la raclée est bonne /À côté de ceci suivre un cours en Sorbonne. »

    Ces vers hugoliens reviennent toujours malicieusement en mémoire lorsque l'on croise, dans la prose d'un quotidien ou une rue du quartier latin, l'illustre mandarin Alain Renaut, intellectuel « social-libéral » et néo-kantien, titulaire à la Sorbonne, dont il dirige depuis vingt ans l'UFR de philosophie, d'une chaire consacrée à la politique et à l'éthique. Car quiconque fut, comme l'auteur de ces lignes, étudiant à la Sorbonne à partir des années 1990, ne peut que garder à jamais en mémoire l'écho de la voix précieuse et haut perchée de cet homme improbable, aux traits mous et à la nervosité maniérée, qui évoluait entre les plus hauts représentants de l'heideggerisme français un peu à la manière cauteleuse et prudente d'une patronne de ligue de vertu cernée par des mauvais garçons aux mains baladeuses.

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  • Confinement : Estrosi souhaite que les données envoyées par les compteurs Linky à Enedis soient examinées par l’État

    La demande du pitoyable maire de Nice va-t-elle être acceptée ?
    En tout cas voici qui donne une idée de ce à quoi pourrait aboutir dans un avenir proche ce nouveau compteur, très controversé, dont les autorités nous assuraient bien sûr qu’il ne serait nullement « espion ».

    Lu chez developpez.com :

    « […] l’édile ne s’arrête pas là et souhaite même le suivi de la non-occupation des résidences secondaires. « J’ai sensibilisé les autorités de l’État afin qu’elles puissent solliciter Enedis pour vérifier que les résidences secondaires ne sont pas occupées pendant la période des vacances, afin de faire respecter la période de confinement », a-t-il déclaré sur Twitter.

    Dans ce cas, Enedis pourrait donc consulter la consommation des compteurs électriques, dont Linky, qui compte actuellement plus de 243 000 installations à Nice et environ 23,4 millions dans toute la France. Le déploiement de ce compteur communicant est inscrit dans la loi relative à la « transition énergétique pour la croissance verte », en application de deux directives européennes datant de 2006 et 2009. D’ailleurs, Enedis vise à poser 35 millions de compteurs Linky à l’horizon 2021.

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  • Tout ce qu'on pourrait ne plus dire...

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    Les quotidiens et les hebdomadaires sont allégés. Je continue à les acheter mais ils se lisent très vite.

    Depuis que le fléau du coronavirus, jour après jour, nous menace, fait peur, affaiblit et tue, la répétition des thèmes, la pauvreté des sujets, la tonalité contrastée et réduite des interrogations et des dénonciations font que, sur le plan médiatique, on n'est presque plus obligé de lire et d'écouter.

    On manque de gels, de tests, de masques et de respirateurs.

    La gestion de la crise par le pouvoir est catastrophique. On ne lui pas confiance. Sa communication est mauvaise.

    Le président de la République n'est pas à la hauteur et demain il ne tiendra pas ses promesses. Il a eu tort de parler de "guerre".

    Le Premier ministre est vaillant, mesuré, accessible.

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  • Une aide à domicile : « Les personnes âgées totalement isolées se laissent mourir ! »

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    Témoignage

    Adeline est aide à domicile, employée par une association, dans le Haut-Vaucluse. Elle se rend chaque jour au domicile de 5 à 8 personnes âgées isolées pour les aider dans leur vie quotidienne. Avec l’épidémie du Covid-19 et les mesures de confinement, elle éprouve un sentiment d’abandon professionnel et s’inquiète de l’isolement grandissant de ses patients.

    Pouvez-vous nous décrire votre quotidien d’aide à domicile ?

    Je suis aide à domicile en milieu rural dans une association, depuis bientôt dix ans. J’interviens au domicile de personnes âgées, parfois atteintes de grosses pathologies et/ou handicapées. Cela peut être des couples ou des personnes seules voire totalement isolées (pas de famille).
    En premier lieu, nous avons un rôle de soutien autant pour le bénéficiaire que pour les « aidants » (conjoint, enfants ou voisin…) pour leur permettre de « souffler » un peu. Nous sommes aussi, en quelque sorte, une « oreille attentive » ou une confidente quand le besoin de se confier se fait sentir. Nous sommes le lien avec l’extérieur, la présence rassurante et stimulante.
    Bien entendu, nous sommes là aussi pour tout ce qui concerne les tâches de la vie quotidienne comme l’aide à la toilette, la prise des repas, l’entretien du logement, du linge, et les courses.

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  • Débat entre Alain de Benoist, Frédéric Rouvillois et Eric Zemmour

    Quand on parle de la droite, tout le monde sait de quoi il retourne. Et pourtant, personne n'est capable d'en donner une définition rigoureuse. Où la situer ? Qui retenir ? Sur quels critères ? Le style de préférence aux idées ? Les idées de préférence aux nuées ? Ou encore l'autorité plutôt que la liberté et la liberté plutôt que l'égalité ? Tout cela, et d'autres choses encore, tant la droite est hétéroclite et finalement dissemblable. Pour y voir un peu plus clair, nous avons fait se confronter trois spécialistes de la droite.

    Le Choc du mois : Comment définiriez-vous la droite ? Est-il possible de dire : ici finit la gauche, ici commence la gauche ?

    Alain de Benoist : On ne pourrait le dire que si le clivage droite-gauche constituait une sorte de bande continue sur laquelle il n'y aurait qu'à déplacer le curseur pour savoir où l'on se trouve. Ce n'est pas le cas. « La droite » et « la gauche » n'existent tout simplement pas en tant qu'essences intemporelles. Tout ce que l'historien peut saisir, ce sont des configurations « de droite » ou « de gauche », qui varient considérablement selon les époques et les pays. En outre, ces deux mots n'ont de sens qu'au pluriel, il y a toujours eu des droites (ou des gauches) très différentes les unes des autres, certaines d'entre elles ayant plus d'affinités avec certaines gauches (ou certaines droites) qu'avec les autres droites (ou les autres gauches). Notons encore que les idées voyagent souvent, de droite à gauche et vice-versa selon les époques, l'écologisme ou le régionalisme ont pu apparaître comme « de droite » ou « de gauche ». À la fin du XIXe siècle, être pour la République désignait clairement l'homme de gauche. Ce n'est évidemment plus le cas aujourd'hui. D'autres thématiques sont inclassables le sens de la gratuité est-il de gauche ou de droite? Et la philosophie tragique ? C'est la raison pour laquelle les politologues n'ont jamais pu donner de la droite ou de la gauche une définition unitaire qui fasse l'unanimité. Toutes les définitions qu'on a proposées de la « vraie droite » ou de la « vraie gauche » n'ont jamais reflété que des opinions subjectives ou des préférences personnelles.

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  • Devrons-nous remercier Emmanuel Macron pour ce confinement sans fin ?

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    Confinés. Prisonniers à l’intérieur de nos frontières familiales. Pour combattre un virus contre lequel, à ce jour, nos gouvernants ont été incapables d’agir avec efficacité.

    Ah ! Si nous avions pu tester, village après village, ville après ville, quartier après quartier, tout aurait été différent et il eût été inutile de nous enfermer pour un temps indéterminé « chez nous ». , pour qui le mot « frontière » est un péché mortel, n’a donc eu qu’une seule idée en tête : isoler 65 millions de Français chez eux, derrière nos portes devenues aussi infranchissables que le mur de Berlin.

    Cette décision dont on ne connaîtra les effets désastreux, sur les plans économique, social, moral, qu’au retour à une vie normale, a été prise par la plupart des grands pays. À défaut d’avoir prévu comment lutter contre une telle pandémie. Mais ce n’est pas pour cela que nous devons nous satisfaire de ce confinement douloureux.

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