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France et politique française - Page 1618

  • Affaire Traoré : trop, c’est trop !, par Jacques de Guillebon.

    Manifestation à Paris contre les prétendues violences policières © Flickr

    Source : https://lanef.net/

    À peine sommes-nous sortis de nos grottes que la grande guerre de notre temps a repris. Sans crier gare, nous voilà jetés dans un cauchemar dont on nous reproche en sus d’avoir depuis quarante ans voulu l’éviter : celui de la confrontation « raciale », ou au moins civilisationnelle. Sans crier gare, des familles Traoré et des Tchétchènes tapant sur des Maghrébins et réciproquement viennent squatter les feux de l’actualité, imposant leur sous-ordre à la France entière. Sans crier gare ? Nous, nous rigolons. Ça fait donc, comme on vient de le dire quarante, voire cinquante ans qu’une partie lucide de la France avertit des dangers encourus par, disons-le nettement tellement c’est évident, une immigration de masse, inorganisée, subie, ressemblant de plus en plus à une invasion même si les moyens employés ne sont certes pas guerriers.

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  • Les chiffres de la sélection anti personnes âgées dans l’épidémie de coronavirus

    Les chiffres de la sélection anti personnes âgées dans l’épidémie de coronavirus

    Lors de son audition par la Commission d’enquête parlementaire sur l’impact, la gestion, et les conséquences de l’épidémie du Covid-19, le 16 juin, le Pr Jérôme Salomon, Directeur général de la santé, a nié, sous serment, que les portes des réanimations ont été fermés aux résidents d’EHPADs.

    Or, les chiffres sont sortis et ils sont accablants. Alors que la classe des plus de 75 ans rassemblait le plus grand nombre des patients hospitalisés (tous services), nous observons un effondrement de la proportion des +75 ans hospitalisés en réanimation, passée de 37% le 15 mars à 14% au pic de mortalité à l’hôpital (6 avril 2020). Une présence réduite qui n’a que très peu évolué par la suite (maintenue entre 15% et 19,5%). Cet effet de ciseaux ne peut s’expliquer que par une exclusion brutale des plus de 75 ans refusés à être admis en réanimation :

  • Frédéric Laupies : “Les abstentionnistes ont pris une lourde responsabilité qu’ils regretteront dans les années à venir”

    Lors de l’installation du nouveau conseil municipal de Tarascon, Frédéric Laupies, conseiller municipal de la liste Le Bon Sens pour Tarascon, a souligné la responsabilité des abstentionnistes dans le déclin qui va se poursuivre ces prochaines années.

    On ne peut que lui donner lorsqu’on observe que dans de nombreuses communes de France, des Maires calamiteux ont été désignés avec le vote de moins de 20 % des inscrits.

    Lorsque le dégoût pour les politiciens se traduit par un total désintérêt pour la politique et la vie de la Cité, c’est l’anti-France qui récolte les marrons du feu avec d’autant plus de facilité.

  • Chauffeur agressé à Bayonne : une foule immense à la marche blanche.

    L'épouse et les trois filles du chauffeur agressé ouvre la marche blanche avec plus de 6 000 personnes, ce mercredi à Bayonne © Crédit photo : Emilie Drouinaud

    Source : https://www.sudouest.fr/

    Ce mercredi soir, la famille du chauffeur de bus agressé dimanche à Bayonne, organise une marche blanche. Une foule immense, de plus de 6 000 personnes, accompagne le cortège sous les applaudissements.

    Ce mercredi soir, la famille du chauffeur agressé organise une marche blanche depuis l’arrêt de bus Balichon où il a été frappé dimanche soir, jusqu’à l’hôpital où il est admis, et se trouve en état de mort cérébrale.

    Une foule nombreuse, plus de 6 000 personnes, accompagne le cortège, sous les applaudissements, avec des gens tous habillés en blanc. De nombreux agents de Chronoplus et des élus sont présents.

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  • Thierry Mariani : en PACA, la droite et le RN « ont décidé de privilégier leurs accords plutôt que les consignes parisiennes, et c’est très sain »

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    Le député européen Thierry Mariani se réjouit, au micro de Boulevard Voltaire, du soutien apporté par le Rassemblement national au maire divers droite de Vedène, Joël Guin, pour éviter que la communauté d’agglomération du Grand Avignon ne tombe aux mains du maire socialiste d’Avignon Cécile Helle.

     

    Le RN a fait élire la droite pour les élections du grand Avignon. La gauche ne gouvernera pas. C’est bien la droite qui le fera grâce notamment aux voix du Rassemblement national. Le RN n’est pas rancunier avec ce qu’il s’est passé à Marseille…

    Il est intéressant de noter que les élus locaux ont tout simplement privilégié l’intérêt de leur commune et, pour certains, ont passé outre les consignes nationales. L’arithmétique du Grand Avignon était très simple. Si les élus du Rassemblement national avaient décidé d’être aux abonnés absents, l’agglomération du Grand Avignon serait passée dans les mains de madame Cécile Helle. Or, elle est l’exemple type des élus socialistes sectaires et d’une autre époque, pour la régularisation des sans-papiers et la tolérance à l’égard d’une certaine délinquance.

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  • Derrière la République des grandes gueules, par Ivan Rioufol

    Voici donc, pour la galerie, la République des grandes gueules. Avec Eric Dupont-Moretti à la Justice, Roselyne Bachelot à la Culture et Marlène Schiappa à la Citoyenneté, le chef de l’Etat a tenté, lundi soir, de mettre quelques paillettes à un gouvernement couleur muraille. Cette mise en scène vise à accrocher l’attention d’un public qui s’endort déjà à écouter le nouveau premier ministre, Jean Castex.

    Remarquons au passage qu’aucun membre des Républicains ne se retrouve dans le casting : une absence qui laisse deviner le peu d’attractivité qu’a rencontré ce gouvernement de crises, qui s’est heureusement débarrassé de Christophe Castaner, Nicole Belloubet et Sibeth Ndiaye. Il est vrai que rien n’est moins engageant que de monter sur le Titanic. Toute la question est désormais de savoir si l’opinion se laissera distraire par les prévisibles coups d’éclat de ces trois personnalités atypiques. Cela semble peu probable, tant la communication macronienne est devenue artificielle et lassante.

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  • Et si la crise actuelle durcissait notre monde néolibéral sans la changer fondamentalement ?, par Yves Morel.

    Source : https://www.politiquemagazine.fr/

    Le pseudo-libéralisme français a vite retrouvé les vertus de l’étatisme – c’est-à-dire le contrôle étroit du citoyen repeint aux couleurs de la responsabilité sociétale. L’État se perpétue, qu’importe le pays.

    À quoi ressemblera le monde après le grand chamboulement provoqué par la pandémie coronovirale ? En nos précédents articles, dans ces colonnes mêmes, nous nous sommes interrogés sur les changements majeurs que la crise actuelle pourrait provoquer dans notre société et notre système politique. Nous avons mis en avant le procès, découlant de cette crise, du néolibéralisme mondial, le renforcement du pouvoir de l’État, qui retrouve une manière de transcendance, la remise en question de notre mode de vie individualiste et hédoniste, et la nécessité d’une rupture d’avec un ordre politique et économique délétère et suranné.

    Et nous avons marqué également les limites du changement que nous étions en droit d’espérer. Nous avons pensé que les remises en question de notre modèle économique, social et politique, engendrées par la situation présente, ne déboucheraient cependant pas sur la renaissance civilisationnelle qu’elle semblait rendre possible, en raison d’une part de l’absence de renouvellement de nos dirigeants, tous coulés dans le moule libéral d’autre part de la désaffection de nos compatriotes à l’égard de la vie publique. Le scepticisme désabusé et la révolte amère caractérisent les Français de notre époque, et pas seulement eux, du reste.

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  • Sibeth Ndiaye, sortie du gouvernement et… de la cuisse de Jupiter

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    Ça fait un moment qu’on sait que  n’a pas grandi aux confins d’une banlieue lointaine de la région parisienne, que sa mère ne faisait pas des ménages à quatre heures du matin dans les tours de la Défense ou que son père ne vidait pas les poubelles de la ville de Paris à l’heure du laitier.

    Elle avait bien essayé, au début, lorsqu’elle avait été nommée secrétaire d’État, de nous faire le coup de la petite Cosette qui aurait grandi au pied des barres d’immeubles : « Avant même d’être française j’ai compté parmi les engagés de ce pays en Seine-Saint-Denis notamment où rien n’est simple mais tout est possible. Ce département j’y ai vécu, travaille et j’y ai appris… » C’était beau comme du Zola reconverti en animateur social mais ça avait pris moyennement. Difficile, aujourd’hui, de raconter des craques sur ses origines. Trois clics sur Internet et l’on vous dit si vous descendez de la reine de Saba ou si vous avez la chance inouïe d’être cousin au quinzième degré avec François Hollande.

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  • Culpabilité post-coloniale : on marche sur la tête !

    Après que la France a restitué les restes de 24 combattants algériens tués au début de la colonisation française au XIXe siècle, le président algérien Abdelmadjid Tebboune a déclaré, samedi, attendre des excuses de la France pour la colonisation de l’Algérie : « On a déjà reçu des demi-excuses. Il faut faire un autre pas ! »

    Soyons justes : les pays colonisateurs ont pressuré les pays conquis et s’ils les ont développés, c’est moins par humanisme – n’en déplaise à Jules Ferry – que par souci économique. Alors, allons-y pour la contrition. Mais en face, les peuples musulmans, en matière de colonisation, de conquêtes, de massacres ou d’esclavage, sont-ils mieux placés pour donner des leçons ? Rappelons donc quelques réalités.

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