
Manifestation à Paris contre les prétendues violences policières © Flickr
Source : https://lanef.net/
À peine sommes-nous sortis de nos grottes que la grande guerre de notre temps a repris. Sans crier gare, nous voilà jetés dans un cauchemar dont on nous reproche en sus d’avoir depuis quarante ans voulu l’éviter : celui de la confrontation « raciale », ou au moins civilisationnelle. Sans crier gare, des familles Traoré et des Tchétchènes tapant sur des Maghrébins et réciproquement viennent squatter les feux de l’actualité, imposant leur sous-ordre à la France entière. Sans crier gare ? Nous, nous rigolons. Ça fait donc, comme on vient de le dire quarante, voire cinquante ans qu’une partie lucide de la France avertit des dangers encourus par, disons-le nettement tellement c’est évident, une immigration de masse, inorganisée, subie, ressemblant de plus en plus à une invasion même si les moyens employés ne sont certes pas guerriers.









