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France et politique française - Page 1622

  • Paris : Hidalgo, les Verts et les Marcheurs sont très divisés. La droite unie peut l’emporter

    Paris : Hidalgo, les Verts et les Marcheurs sont très divisés. La droite unie peut l’emporter

    Nouvelles de France a rencontré Serge Federbusch, candidat de l’union des droites à Paris (soutenu notamment par le RN et le PCD) :

    Vous êtes candidat aux municipales à paris. Pourquoi ?

    Paris, la ville qui possède le patrimoine historique, artistique, architectural et urbain le plus divers au monde est pourtant menacé. Une politique démagogique s’en prend à la beauté de ses avenues, encombre ses rues d’édicules disgracieux et inutiles, l’endette, désorganise ses services publics les plus essentiels comme celui de la propreté, fait monter artificiellement les prix immobiliers ce qui en chasse sa population d’origine au bénéfice de clientèles subventionnées. Et l’éventuelle réélection d’Anne Hidalgo pousserait cette évolution délétère à un paroxysme.

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  • Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence

    Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence.jpegRevendiqué par Michel Charzat et Mussolini

    Georges Sorel, théoricien de la régénération sociale par la violence

    La réédition, aux éditions du Seuil, des Réflexions sur la violence (1), l'ouvrage le plus célèbre de Georges Sorel, fournira sûrement à quelques commentateurs l'occasion de revenir sur ce personnage peu banal, et qui a suscité des Jugements totalement opposés. Tandis que Jean-Paul Sartre, en effet, le traitait de « fasciste » et Henri Guillemin de « très petit monsieur », il était, pour Benedetto Croce, celui qui avait donné au rêve marxiste une forme nouvelle. Alors, où est le vrai, où est le faux ? Nous n'avons pas, quant à nous, la prétention d'apporter une solution à un problème aussi difficile. Et les éléments que nous versons au dossier posent plus d'interrogations qu'ils n'en résolvent.

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  • Ordonnances Macron, qu’en dire pour l’instant, par Frédéric Winkler.

    « La fin de la politique est le bien humain » Père de Pascal. Devant la cadence antisociale d'un système destructeur de notre économie au profit des banques dont le président fut un des loyaux serviteurs, alertons inlassablement nos frères dans la promiscuité des lendemains qui ne seront pas enchanteurs. Un monde Orwellien est en marche, depuis quelques temps déjà, il était question de réformer le Code du travail devenu effectivement incompréhensible dans ses inextricables articles.

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  • Marseille : Stéphane Ravier (RN) serait largement en tête et le candidat LREM bon dernier…

    Marseille : Stéphane Ravier (RN) serait largement en tête et le candidat LREM bon dernier…

    Ce serait la panique à Matignon :

    C’est la première fois que le RN est donné en tête. Pour l’instant c’est un sondage qui circule sous le manteau.

    D’après cette enquête officieuse, Stéphane Ravier serait largement en tête au 1er tour avec 25% des intentions de vote devant le Printemps marseillais, qui regroupe plusieurs partis de gauche, donné à 17%. Ils sont suivis par la candidate LR Martine Vassal, qui était jusque-là en pole position, et par le candidat écologiste Sébastien Barle, tous les deux ex-aequo à 15%. L’ancien LR Bruno Gilles, qui se présente sans étiquette, les talonnerait à 14%. L’ex-socialiste Samia Ghali serait à 9%.

    Le candidat de la majorité se retrouve en queue de peloton : Yvon Berland est crédité de seulement 5% des intentions de vote. Une catastrophe pour la majorité, au point que Matignon aurait décidé de s’en mêler. Un candidat raconte qu’un émissaire du Premier ministre est venu le voir la semaine dernière pour lui proposer une alliance avec le candidat de LREM.

    https://www.lesalonbeige.fr/marseille-stephane-ravier-rn-serait-largement-en-tete-et-le-candidat-lrem-bon-dernier/

  • Insultes et propos racistes contre Messiha : au fond, rien de grave pour le président de SOS Racisme !

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    , cadre du Rassemblement national, est régulièrement attaqué par Belattarn notamment avec cette comparaison entre l’homme politique et un chameau.

    Ce qui, pour certains, est un simple jeu est, en réalité, la forme la plus salace de racisme, car entretenue par Belattar sous l’autodérision. Parce que d’origine maghrébine, Belattar pense disposer de tous les droits pour attaquer ad hominem une personne née en Égypte et naturalisée française plus tard.

    Certains rigolent de la comparaison entre la tête de Messiha et celle d’un chameau, mais nul n’ose imaginer la profondeur du mal qui est fait au cadre du RN, la souffrance qu’il endure, et également sa famille, ses proches. Jean Messiha supporte, tous les jours, les inepties proférées par le supposé comique, mais la dernière salve, réclamant son introduction dans un parc animalier afin de rejoindre d’autres camélidés, est ignoble. C’est la raison pour laquelle Messiha a pensé bon de faire un tweet d’alerte en taguant  et la LICRA.

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  • Les annonces très insuffisantes de Macron à Mulhouse sur le séparatisme et l'islamisme

  • L’Assemblée nationale adopte le premier des 65 articles du projet de réforme des retraites

    Au huitième jour d’examen, l’Assemblée nationale a adopté le premier des 65 articles du projet de loi de réforme des retraites, lundi 24 février, sous les applaudissements de la majorité. Entre rappels au règlement et suspensions de séance à répétition, il aura fallu 70 heures de débats pour venir à bout des quelque 2 200 amendements et sous-amendements déposés principalement par les oppositions, sur cet article qui fixe les principes généraux du futur système par points. Il a été validé par 89 voix contre 46.

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/lassemblee-nationale-adopte-le-premier-des-65-articles-du-projet-de-reforme-des-retraites

  • Syndicats : mais où sont passées les troupes ?

    Syndicats mais où sont passées les troupes ?.jpegLe taux de syndicalisation en France est l'un des plus bas au monde. On explique cette anomalie par la faiblesse historique de notre tradition syndicale et l'inertie des grandes confédérations. Mais il faut l'inscrire dans le cadre plus large des bouleversements qui ont affecté la société occidentale depuis une trentaine d'années. À commencer par l'individualisme.

    Les riches heures du syndicalisme fiançais semblent derrière lui. Comme entré dans une sorte d'hiver syndical, il connaît tout à la fois une crise d'audience, une crise du recrutement et une crise du militantisme, du moins au niveau des grandes confédérations (c'est moins vrai des syndicats autonomes, même si leur succès ne fait que souligner la crise du syndicalisme « représentatif »). On le vérifie avec les grandes grèves, qui ne touchent plus que les catégories de salariés protégés. De leur côté, les militants syndicaux sont de plus en plus âgés, de plus en plus souvent retraités, principalement composés de fonctionnaires ou de personnels à statut. C'est comme si on assistait à un épuisement du syndicalisme (à l'heure où sa nécessité se fait sentir plus que jamais), par compression des effectifs, vieillissement des cadres et blocage des appareils. Si la montée du chômage de masse, la précarité grandissante, les restructurations, la fermeture des grands bastions syndicaux, la transformation de l'appareil productif, les délocalisations expliquent en partie ce phénomène de désyndicalisation, son ampleur en France ne laisse pas de surprendre. L'exception française s'en trouve confortée. Plus intense et brutale qu'ailleurs, la désyndicalisation doit donc avoir chez nous des causes spécifiques liées à l'histoire du syndicalisme hexagonal, de création récente (la CGT en 1895, la CFTC en 1919 et FO en 1947) et profondément divisé, à la différence de ses voisins européens.

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  • Buzyn passe aux aveux

    6a00d8341c715453ef0240a50e3552200b-320wi.jpgDans le Parisien du 19 février était publié un entretien révélateur, à de nombreux égards, de ce que vaut la candidature d'Agnès Buzyn à la mairie de Paris.

    Entre autres fadaises plutôt ridicules, sur le thème "Candidate à Paris, j’en ai toujours rêvé", et "en même temps" elle dit avoir "dû prendre ma décision d'être candidate en 24 heures".

    Deux jours avant la publication de cet article, le député macronien de Paris Sylvain Maillard avait été interrogé par Nicolas Beytout patron de L'Opinion. Il formulait sans complexe un pronostic plus risible encore, pour ne pas dire hallucinant. Car, pour les Municipales à Paris, il ose claironner : « Buzyn va gagner, car 60 % des Parisiens ne veulent plus d’Hidalgo ! ».

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  • Les lois de la religion sont-elles supérieures à celles de la République ?, par Gérard Leclerc.

    À Mulhouse, mardi, le président de la République a énoncé un principe d’une clarté totale, afin de bien démarquer les territoires respectifs du politique et du religieux. « On ne doit jamais accepter que les lois de la religion puissent être supérieures à celles de la République. » Emmanuel Macron n’est pas le premier à proférer une telle affirmation. Elle s’adresse d’évidence à nos compatriotes musulmans dans les circonstances qui sont les nôtres

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