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France et politique française - Page 1621

  • « Résorption très lente du déficit », « reflux incertain de la dette » : les inquiétudes de la Cour des comptes

    Toujours sans premier président à sa tête, l’institution a présenté mardi matin son rapport, où elle critique notamment « l’incapacité à respecter les trajectoires fixées ».

    La Cour des comptes a publié son rapport annuel dans un contexte un peu particulier, mardi 25 février. Celui qui aurait dû le présenter, en effet, n’est plus là. Didier Migaud a quitté ses fonctions de premier président fin janvier et a rejoint la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique. Et il n’a toujours pas été remplacé.

    Le Monde

    https://www.tvlibertes.com/actus/resorption-tres-lente-du-deficit-reflux-incertain-de-la-dette-les-inquietudes-de-la-cour-des-comptes

  • Affaire Griveaux et rejet des élites : la faute à qui ?

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    Parce qu’un homme politique de premier plan qui fut porte-parole du pouvoir et dont l’ambition était d’être maire de Paris a eu un comportement d’adolescent boutonneux un rien pervers et a poussé l’irresponsabilité jusqu’à en fournir la preuve à une correspondante d’occasion, certains exigent de resserrer un peu plus l’espace de liberté que constituent les réseaux sociaux.

    Porte-parole de plus en plus allumé de la macronie méprisante, Barbier s’inquiète du rejet des élites et réclame une répression dans les réseaux sociaux de “l’anomie” des citoyens lambda.

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  • « Lorsqu’il faut prendre ses responsabilités, je le fais sans hésiter » : Edouard Philippe ouvre la porte au 49.3 pour adopter la réforme des retraites

    Le recours à l’article 49 alinéa 3 de la Constitution, qui nécessite un feu vert du Conseil des ministres, permet au Premier ministre d’engager sa responsabilité sur un texte de loi, et de le faire ainsi adopter sans vote du Parlement.

    « Une seule question se pose aujourd’hui : allez-vous, en matière de retraites, utiliser le 49.3 ? Oui ou non ? » En plein débat sur le projet de réforme des retraites, le député Damien Abad (LR) a interpellé sans détour Edouard Philippe, mardi 25 février, lors de le séance de questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. Le Premier ministre a ouvert pour la première fois publiquement la porte à un tel recours. « Si au bout de très nombreuses heures de débats, nous constatons que ça n’est possible [que le débat remplisse sa fonction de faire la loi], a-t-il déclaré, alors la Constitution autorise, le cas échéant, le Premier ministre à utiliser un article, le 49.3. Ça s’est déjà vu dans le passé. »

    France Info

    https://www.tvlibertes.com/actus/lorsquil-faut-prendre-ses-responsabilites-je-le-fais-sans-hesiter-edouard-philippe-ouvre-la-porte-au-49-3-pour-adopter-la-reforme-des-retraites

  • Zoom – A.S. Nogaret / S. Biasoni : La guerre des races est déclarée


    Racialistes, décolonialistes, indigénistes… ils sont ceux qui veulent déconstruire la France. Dans leur ouvrage « Français malgré eux », Anne-Sophie Nogaret et Sami Biasoni remontent aux origines de l’idéologie racialiste derrière laquelle affleure de plus en plus nettement la rancœur et même la haine. Pour les Houria Bouteldja et autre Rokhaya Diallo, la France est irréductiblement colonialiste, l’Etat français structurellement raciste et sa dette envers les descendants d’esclaves ou de colonisés, inextinguible. L’immigration africaine est donc devenue la facture à payer et quiconque s’oppose à la fin de cette « France blanche » peut la quitter.

    https://www.tvlibertes.com/zoom-a-s-nogaret-s-biasoni-la-guerre-des-races-est-declaree

     

  • Immigration : un défi redoutable

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    Pierre Brochand n’est pas plus gauchiste que fasciste. C’est un haut fonctionnaire, longtemps en poste à l’étranger au titre du Quai d’Orsay, ancien ambassadeur et nommé en fin de carrière patron de la Direction générale de la sécurité extérieure, la fameuse DGSE. Il livre à Eugénie Bastié ses réflexions sur l’immigration et l’urgence qu’il y a d’aborder ce sujet avec lucidité et détermination.

    « J’estime, en premier lieu, qu’une véritable politique de l’immigration exige une déchirante révision, c’est-à-dire ne plus se résigner au traitement «ex-post» d’une prétendue fatalité, mais reprendre impérativement le contrôle «ex-ante» de flux, maîtrisables pour peu qu’on le veuille. Et, en second lieu, je pense que cette politique devrait constituer une priorité: à quoi bon engager de vastes programmes sociaux et environnementaux, si une partie significative de ces dépenses est préemptée par un afflux incessant de bénéficiaires sans contrepartie immédiate ( «free riders» ), et, surtout, si la décomposition conflictuelle du pays en ruine les bénéfices attendus. »

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    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/02/25/immigration-un-defi-redoutable-6215245.html

  • La « politique nataliste » n’est pas un gros mot

    La « politique nataliste » n’est pas un gros mot 

    Le député RN Nicolas Meizonnet, successeur de Gilbert Collard, élu député européen, a effectué ses premiers pas au sein de l’Assemblée, après plusieurs mois de blocages suite à un recours des animalistes (!). Vendredi dernier, il est intervenu dans le débat sur la réforme des retraites pour défendre un amendement rappelant l’importance de la démographie pour l’équilibre du système par répartition. Que n’a-t-il pas osé déclarer :

    Permettez-moi, en préambule, de vous dire l’honneur que j’éprouve à m’exprimer pour la première fois dans cet hémicycle, après sept mois d’attente, à un moment que je crois fondamental pour l’avenir des Français et de notre modèle social.

    Cet amendement est l’occasion de rappeler le fonctionnement de notre système de retraite par répartition, auquel nous sommes particulièrement attachés, vous le savez, et auquel votre réforme promet de faire énormément de mal. Le système par répartition repose sur le fait que les travailleurs actuels – les cotisants – paient les pensions des retraités actuels. Cela suppose deux conditions : d’une part, les actifs doivent être assez nombreux et d’autre part, ils doivent avoir du travail – cela n’a échappé à personne.

    C’est pourquoi nous proposons de rappeler ces deux piliers – natalité et emploi – dans l’article 1er, qui décrit les principes généraux du système de retraite universel. On ne peut pas dire que l’un ou l’autre de ces deux points constitue une priorité des politiques gouvernementales.

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  • De 1945 à 1968 Le prix de l’abdication de la droite

    On a peine à croire aujourd'hui, au vu de ce que le « quotidien de référence » est devenu, que l'article ci-dessous a pu paraître dans Le Monde. C'est pourtant le cas. Il y fut publié le 4 juillet 1968 sous le titre : « La droite et les événements »(1). Gilbert Comte, qui y fut journaliste durant vingt ans, nous a permis de publier à nouveau(2) ce texte, écrit « à chaud », extraordinaire de lucidité.

    Par Gilbert Comte

    Par son désarroi moral devant la crise universitaire et une abdication politique peut-être sans exemple dans sa récente histoire, la droite française n'aura pas médiocrement contribué à rendre les troubles de mai fort périlleux pour la nation. Pendant trois semaines, l’anarchie estudiantine put battre l'Etat, tituber entre l'incohérence et le vandalisme, tomber certains soirs en Sorbonne dans d'inquiétantes névroses, sans produire autre chose parmi nos conservateurs qu'une courtisanerie apeurée, ou des lamentations inefficaces.

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  • Pas de démocratie sans alternance !, par Christian Vanneste.

    L’alternance est le propre de la démocratie libérale, le signe indiscutable de son bon fonctionnement. Les Anglo-saxons, qui ont inventé ce système politique, le pratiquent depuis maintenant longtemps. Satisfaits de leurs gouvernants et de leurs élus, ils les reconduisent. Déçus, ils les virent, et les opposants arrivent au gouvernement avec de nouvelles propositions. Parfois, la continuité est plus forte que le changement

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  • Marine Le Pen envisagerait abandonner la tête du RN "en vue de la Présidentielle"

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    L'avis de Jean-François Touzé

    En envisageant d'abandonner la présidence du Rassemblement National dans la perspective de la Présidentielle de 2022, Marine Le Pen ne sacrifie pas seulement au mythe gaullien du candidat au dessus des partis face au peuple, illusion fondatrice d'une Ve République bâtie sur l'arnaque et l'illusion, à laquelle elle a, depuis, longtemps fait acte de soumission.

    Cette décision à laquelle réfléchit Marine Le Pen relève, en fait, du subterfuge, le but étant avant tout de laisser derrière elle les dettes abyssales de son parti, conséquences d'une gestion aussi héliogabalesque qu'incompétente, de fuir ses responsabilités et de pouvoir, grâce à un comité de soutien, se donner les moyens nouveaux de sa candidature. À l'évidence, l'annonce très prématurée de cette dernière en janvier, s'inscrivait également dans ce scénario.

    Miné par son trou financier, proche du dépôt de bilan, ayant échoué dans toutes ses tentatives de rassemblement, exsangue sur le plan militant, incapable de constituer des listes municipales dans de nombreuses villes qui semblaient pourtant favorables, le RN est devenu un fardeau pour celle qui en est encore la Présidente.

    Ceux qui, derrière Jean-Marie Le Pen, ont, par leur travail, leur peine, leur sueur, leur abnégation, parfois leur sang, construit le Front National dont elle hérita avant de le renier, apprécieront.

    Marine Le Pen aime les jeux de miroirs. Surtout quand ils reflètent sa propre image. Mais le réalité est têtue. Ce qui se dessine, ce n'est pas une sortie par le haut. C'est un sauve-qui-peut.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2020/02/24/marine-le-pen-reflechirait-a-abandonner-la-tete-du-rn-en-vue-6214962.html

  • Emmanuel Macron éliminé dès le premier tour de 2022 : les macronistes ne parlent que de ça !

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    Les analyses publiées sur Boulevard Voltaire sont-elles lues jusqu’à l’Élysée ? Comme la passionnante interview d’Alain de Benoist sur le destin politique d’, tellement impopulaire et détesté qu’il ne pourrait pas se représenter. Une analyse qui traduit, avec une longueur d’avance, ce qui se dit au Palais, et dans Le Monde. Dans son rôle de gentil concierge indiscret de la Macronie, le quotidien est contraint à la lucidité : “La présidentielle de  commence à inquiéter Emmanuel Macron et ses proches- Les stratèges n’hésitent pas à envisager une élimination dès le premier tour du chef de l’État, qui cristallise les mécontentements.” Titre et sous-titre parfaitement synthétiques.

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