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France et politique française - Page 1624

  • Télétravail, fraudes au chômage partiel : les impacts du grand confinement

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    Beaucoup d’employés ont pris goût au télétravail car ils évitent ainsi les trajets parfois très longs, ils s’organisent mieux chez eux (s’ils n’ont pas des enfants trop accaparants). Cependant, si le télétravail va désormais prendre une importance qu’il n’avait pas avant le Covid-19, le passage au bureau restera indispensable, au moins un ou deux jours par semaine.

    Nombre de managers doivent, désormais, ruser pour attirer leurs collaborateurs au siège de l’entreprise. En effet, si les projets déjà définis et avancés peuvent être développés chez soi, avec des vidéoconférences pour régler les problèmes qui se posent, il n’en est pas de même des nouveaux dossiers, qu’il faut souvent monter à partir du néant. Avoir un interlocuteur devant soi et non derrière une caméra est alors indispensable. Pour arriver à leurs fins, les managers placent une réunion en présentiel obligatoire, collectif ou en tête-à-tête, un jour défini de la semaine, invitent à déjeuner, s’appuient sur leur propre exemple. Heureusement pour les dirigeants, la part du télétravail va s’éroder spontanément, les employés se lassant de rester sans cesse chez eux (le célèbre logiciel Zoom de vidéoconférence provoque déjà des burn out), même si une partie de leur travail restera délocalisée. On peut espérer de cette nouvelle organisation des gains de productivité importants et des économies sur le nombre de bureaux nécessaires pour les entreprises. Cela sera bien utile à l’économie à la dérive de la France.

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  • Municipales à Marseille : soupçons de fraudes aux procurations, perquisitions au commissariat du 15e arrondissement

    Le commissariat du 15e arrondissement de Marseille a été perquisitionné samedi matin dans le cadre d’une enquête préliminaire ouverte pour soupçons de fraudes aux procurations. Un élu et plusieurs fonctionnaires seraient impliqués, selon lemediatv.fr qui révèle l’information ce lundi.

    Le feuilleton des fausses procurations présumées se poursuit à Marseille. Après l’épisode des perquisitions dans les quartiers sud, au QG de Martine Vassal et chez deux candidates LR, c’est au tour du commissariat du 15e arrondissement d’être ciblé.

    France 3

    https://www.tvlibertes.com/actus/municipales-a-marseille-soupcons-de-fraudes-aux-procurations-perquisitions-au-commissariat-du-15e-arrondissement

  • Sonia Krimi, Mounir Mahjoubi… Enrichissement racial à l’Assemblée nationale [Partie 2]

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    Par Maxime Jacob, diplômé de science politique, Gilet jaune et coauteur avec Fiorina Lignier du livre Tir à vue ♦ La France est soumise, depuis plusieurs décennies et malgré l’opposition nette des Français dans chaque sondage sur la question, à une vague d’immigration extra-européenne massive. La composition raciale de la France change donc progressivement. Aujourd’hui, les nouveau-nés extra-européens représentent certainement près de 40 % du total des naissances en France. Ce changement démographique d’une rapidité et d’une ampleur très certainement inégalée dans l’histoire de l’Europe est aujourd’hui visible jusque dans les lieux de pouvoirs.
    Dans une série en plusieurs parties, Maxime Jacob revient pour Polémia sur cette modification en analysant cet enrichissement – tant vanté par les immigrationnistes – à l’Assemblée nationale.
    Polémia

    Rodrigue Kokouendo

    Kokuendo.jpg.webpNé à Bangui (République Centrafricaine), il est député de Seine et Marne de la République en Marche. Fils de diplomate, il est vice-président de la commission des affaires étrangères (il assure les liens avec l’Afrique). C’est un député peu actif, il n’a déposé que TROIS amendements, en un an… Homme peu médiatisé et discret, il proposera à la faveur d’un rapport (intitulé : « La république en échec ») sur la Seine-Saint-Denis, l’autorisation des statistiques ethniques pour « lutter contre les discriminations ». Dans ce même rapport, il fait état, sans la nommer, de la réalité du Grand Remplacement dans ce département francilien. Selon les données qu’il fournit, la Seine Saint-Denis concentre la moitié des communes de France ayant les plus forts taux d’étrangers, dans certaines communes, plus de 80% des jeunes ont un ou deux parents immigré(s)… De plus la population de la préfecture Saint-Denis n’est qu’estimée, avec une marge de 30%, à cause des milliers de clandestins qui y vivent. Kokouendo finit donc par demander plus de moyens pour ce département. Il est aussi l’auteur d’un rapport d’information sur l’Aide au développement (subventions versées aux pays sous-développés). Lucide, il s’attarde sur le problème de la croissance démographique africaine, avant de conclure son rapport en demandant encore plus de fonds pour l’Afrique.

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  • Avia, El Guerrab, Obono, Son-Forget… Enrichissement racial à l’Assemblée nationale [Partie 1]

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    Par Maxime Jacob, diplômé de science politique, Gilet jaune et coauteur avec Fiorina Lignier du livre Tir à vue ♦ La France est soumise, depuis plusieurs décennies et malgré l’opposition nette des Français dans chaque sondage sur la question, à une vague d’immigration extra-européenne massive. La composition raciale de la France change donc progressivement. Aujourd’hui, les nouveau-nés extra-européens représentent certainement près de 40 % du total des naissances en France. Ce changement démographique d’une rapidité et d’une ampleur très certainement inégalée dans l’histoire de l’Europe est aujourd’hui visible jusque dans les lieux de pouvoirs.
    Dans une série en plusieurs parties, Maxime Jacob revient pour Polémia sur cette modification en analysant cet enrichissement – tant vanté par les immigrationnistes – à l’Assemblée nationale.
    Polémia

    Introduction

    Ils sont 36 !

    Lors des élections législatives de 2017, le monde médiatique se félicitait du changement de visage de l’Assemblée Nationale. L’arrivée en force du parti présidentiel, la République en Marche (LREM), au Palais Bourbon participait grandement à ce renouveau. Il amenait dans ses bagages de nombreuses femmes, mais aussi des « membres de la diversité ». Mais ce n’était pas vraiment une surprise, il s’agissait d’une volonté présidentielle. Macron avait promis pendant sa campagne qu’il y aurait des députés : « de toutes les couleurs ».

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  • Et si nous vendions du vent pour alléger la dette ?

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    Notre dette va atteindre 140 % de notre PIB en 2024, selon Le Figaro. Après cette date, elle risque de grimper à un rythme faible, mais régulier, le déficit restant autour de 3 % du PIB. Certes, le Japon est à 230 % du PIB depuis près de vingt ans sans connaître de difficultés économiques particulières autres qu’une croissance molle. Il se finance sans aucun problème à des taux négatifs. Mais c’est le seul exemple de ce type. Lorsqu’une dette dépasse les 130 % du PIB, en général, les taux d’intérêt flambent, entraînant une cessation de paiements. Si la BCE n’intervenait pas, l’Italie et la Grèce, qui sont respectivement à 130 % et 180 %, emprunteraient au-delà de 5 % et feraient faillite. C’est ce qui est arrivé au Liban et à l’Argentine. Dans ces deux pays, les importations sont bloquées, les programmes sociaux abandonnés, la misère s’étend au point que les populations ont faim. Inadmissible, au XXIe siècle.

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  • Macron a tort : la rentrée ne sera pas difficile, mais apocalyptique

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    Par Marc Landré *

    Emmanuel Macron l’avait déjà laissé entendre le 14 juin, lors de sa dernière adresse télévisée à la nation. « Notre pays va connaître des faillites et des plans sociaux multiples en raison de l’arrêt de l’économie mondiale », avait prévenu le chef de l’État, en appelant déjà à une « reconstruction économique » de la France et promettant de « tout faire pour éviter au maximum les licenciements ». Ce vendredi, dans son interview à la presse régionale, il a été encore plus clair : « la rentrée sera difficile et il faut s’y préparer ». Pronostiquer qu’elle sera  « difficile » est au mieux un euphémisme, au pire une lapalissade. La rentrée de septembre, de l’avis de tous les experts, va être bien pire, c’est-à-dire apocalyptique. En réalité, comment pourrait-il en être autrement, tant la déflagration économique que la France endure est d’une violence inédite ? Les Français - qui dans leur grande immense majorité ont été pour l’heure épargnés par les conséquences de la crise sanitaire - ne s’en rendent pas compte mais l’horizon est des plus sombres, pour ne pas dire des plus noirs.

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  • ILS DÉNONCENT LE RACISME SYSTÉMIQUE DE LA FRANCE – Les Reportages de Vincent Lapierre

  • La France a besoin d’une révolution conservatrice !

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    Il y a deux idées aussi fausses l’une que l’autre : la première est que la droite et la gauche n’existent plus, la seconde est que les premiers ministres de M.Macron seraient « de droite ». La vraie coupure entre la droite et la gauche ne réside pas dans l’appartenance à un parti qui est situé d’un côté ou de l’autre, mais dans une opposition constante depuis la Révolution entre le conservatisme et le progressisme. La vraie droite est conservatrice, et peut se vouloir réactionnaire. La vraie gauche est progressiste et peut se vouloir révolutionnaire. Lorsque des gens qui se disent de droite en arrivent à faire lentement et en douceur ce que la gauche fait brutalement et rapidement, ils mentent évidemment : il sont de gauche. Bien sûr le mot « progressiste » est à relativiser. Une « avancée » peut être une amélioration mais aussi la présentation avantageuse d’une décadence. Le conservateur, c’est-à-dire l’homme de droite est celui qui trie systématiquement les changements nécessaires pour conserver l’essentiel et rejette ceux qui sont superflus voire néfastes. Dès le début de ce clivage, la droite voulait conserver la monarchie et le pouvoir du roi. Elle savait parfaitement que les privilèges devenus injustifiés, que la confusion dans l’organisation du Royaume, et l’anarchie de ses finances ne pouvaient durer. Pour autant, elle ne voulait ni la république, ni la destruction de l’Eglise. Le mouvement sinistrogyre de la période révolutionnaire de 1789 à 1794 a correspondu à la victoire constante et de plus en plus sanglante du « progressisme ». L’égalité civile s’étendait à la politique et abordait le social. Le mouvement s’arrêta à ce point lorsqu’on revint du suffrage universel de 1793 au suffrage censitaire et qu’on ne suivit pas la « conspiration des Egaux » de Babeuf qui mettait fin à la propriété privée des moyens de production.

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  • La LDNA veut la dissolution de l’Eglise catholique après paiement de réparations

    Après les manifestations antiracistes à Paris, la Ligue de défense noire africaine ne dit pas son dernier mot. Elle veut cette fois, la dissolution de l’Eglise catholique en guise de “réparations”.

    (…) C’est dans un second tweet que la Ligue de défense noire africaine, qui assure « défendre les droits des Afrodescendants et des Africains », affiche réellement ses intentions. « Mais bientôt viendra le jour où la LDNA obtiendra des réparations justes pour toutes les atrocités commises et permises par la France, sur nos ancêtres », commence-t-elle. Ce groupuscule ultra-black le planifie déjà : « Même le Vatican, l’Eglise catholique, devra passer à la caisse et être dissoute après le paiement des réparations », espère-t-il.

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  • Libération, quotidien de Blancs, lu par des Blancs, qui milite pour le racisme anti-blancs (partie 2)

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    DÉCIDÉMENT, LIBÉRATION N’EN FINIT PAS AVEC LES CAUSES VICTIMAIRES QUE LE FUTUR JUGERA COMME DES TRAHISONS HONTEUSES, COMME AU SUJET DE LA PÉDOPHILIE DONT LE JOURNAL SE FIT L’ARDENT DÉFENSEUR AUTREFOIS. AUJOURD’HUI, CE QUE LIBÉRATION AIME CE SONT LES RACISTES NOIRS ET CE QU’IL DÉTESTE CE SONT LES EUROPÉENS BLANCS. PREMIÈRE PARTIE : CLIQUEZ ICI.

    Laurent Joffrin insiste dans son éditorial : la République française proclame l’égalité mais ne l’applique pas dans les faits, évoquant les discriminations concernant les logements ou les embauches, les contrôles au faciès ou la misogynie. Cependant, l’éditorial omet un pan très important de ces discriminations et beaucoup de réalités : si les contrôles se font au faciès c’est parce que la majorité des délinquants appartient à des ethnies clairement déterminées ; la discrimination au logement se fait dans tous les sens, de même en ce qui concerne les emplois : qui a déjà vu un Français de souche embauché dans un kebab ? Quant aux idées opposées de celles de Joffrin, elles ont été quarante ans durant interdites d’expression en France, pas toujours par la loi mais dans les faits par la censure des médias de grand chemin.

    De manière objective, il est même, tout au contraire de Joffrin, possible d’affirmer que la France est une terre d’égalité : aucun pays dans le monde n’accueille autant d’individus dans de telles conditions d’aides sur tous les plans, de l’éducation à la santé en passant par l’apprentissage de la langue, l’aide à trouver, justement, emplois et logements.

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