
Beaucoup d’employés ont pris goût au télétravail car ils évitent ainsi les trajets parfois très longs, ils s’organisent mieux chez eux (s’ils n’ont pas des enfants trop accaparants). Cependant, si le télétravail va désormais prendre une importance qu’il n’avait pas avant le Covid-19, le passage au bureau restera indispensable, au moins un ou deux jours par semaine.
Nombre de managers doivent, désormais, ruser pour attirer leurs collaborateurs au siège de l’entreprise. En effet, si les projets déjà définis et avancés peuvent être développés chez soi, avec des vidéoconférences pour régler les problèmes qui se posent, il n’en est pas de même des nouveaux dossiers, qu’il faut souvent monter à partir du néant. Avoir un interlocuteur devant soi et non derrière une caméra est alors indispensable. Pour arriver à leurs fins, les managers placent une réunion en présentiel obligatoire, collectif ou en tête-à-tête, un jour défini de la semaine, invitent à déjeuner, s’appuient sur leur propre exemple. Heureusement pour les dirigeants, la part du télétravail va s’éroder spontanément, les employés se lassant de rester sans cesse chez eux (le célèbre logiciel Zoom de vidéoconférence provoque déjà des burn out), même si une partie de leur travail restera délocalisée. On peut espérer de cette nouvelle organisation des gains de productivité importants et des économies sur le nombre de bureaux nécessaires pour les entreprises. Cela sera bien utile à l’économie à la dérive de la France.


Né à Bangui (République Centrafricaine), il est député de Seine et Marne de la République en Marche. Fils de diplomate, il est vice-président de la commission des affaires étrangères (il assure les liens avec l’Afrique). C’est un député peu actif, il n’a déposé que TROIS amendements, en un an… Homme peu médiatisé et discret, il proposera à la faveur d’un rapport (intitulé : « La république en échec ») sur la Seine-Saint-Denis, l’autorisation des statistiques ethniques pour « lutter contre les discriminations ». Dans ce même rapport, il fait état, sans la nommer, de la réalité du Grand Remplacement dans ce département francilien. Selon les données qu’il fournit, la Seine Saint-Denis concentre la moitié des communes de France ayant les plus forts taux d’étrangers, dans certaines communes, plus de 80% des jeunes ont un ou deux parents immigré(s)… De plus la population de la préfecture Saint-Denis n’est qu’estimée, avec une marge de 30%, à cause des milliers de clandestins qui y vivent. Kokouendo finit donc par demander plus de moyens pour ce département. Il est aussi l’auteur d’un rapport d’information sur l’Aide au développement (subventions versées aux pays sous-développés). Lucide, il s’attarde sur le problème de la croissance démographique africaine, avant de conclure son rapport en demandant encore plus de fonds pour l’Afrique.




