« Sous prétexte de ne pas engorger les services de réanimation il fallait tuer les vieux directement dans les EHPAD au rivotril »
http://by-jipp.blogspot.com/2020/05/pour-ne-pas-engorger-les-services-de.html
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« Sous prétexte de ne pas engorger les services de réanimation il fallait tuer les vieux directement dans les EHPAD au rivotril »
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La nature ayant horreur du vide, c’est parce que la France et les Français sont de moins en moins visibles que des minorités revendiquent toujours plus de visibilité. Car le grand remplacement se nourrit du grand effacement. Pour être supplanté, il faut être éclipsé.
L’effacement des mots
Un effacement d’abord sémantique. Le Français de souche n’existe pas. Pas plus que le racisme anti-blanc. La France, elle, n’est que trop rarement mentionnée : on lui préfère la République. Signe de ce renversement des mots : le terme « indigènes », qui devrait normalement désigner les Français en France, a été dévoyé. Il désigne aujourd’hui une mouvance antifrançaise : les indigénistes. En somme, des allogènes s’autoproclamant indigènes.
L’effacement de l’esprit
Au quotidien, le traditionnel « esprit français », cette manière séculaire de penser et d’agir, n’a plus voix au chapitre. Trop populaire, le « bon sens paysan » est raillé, rabaissé au niveau du « propos de comptoir ». Trop patriarcale, la notion de « bon père de famille » a été supprimée du droit français. Dans le grand vide laissé par ces absences, Marlène Schiappa s’estime autorisée à nous dicter comment vivre en couple ou élever nos enfants. Nos rapports au sexe opposé, à la famille, mais aussi aux autres peuples, à la nature, aux animaux… tout nous est désormais dicté par la parole du haut parce que celle du bas est écrasée. Le bon sens s’incline devant le dogme de la tolérance. L’idéologie de l’égalité élimine tous les préjugés, même les plus fondés.
L’effacement de l’être
Signe le plus révélateur : notre identité charnelle est éclipsée de la lutte contre l’islamisme. Nos traditions chrétiennes et nos siècles de combats européens contre la conquête islamique, thèmes les mieux à même de guider nos pensées et nos bras face à la menace, végètent dans l’abîme médiatique. On leur substitue artificiellement un débat entre la gauche arabe laïque – incarnée notamment par Zineb El Rhazoui – et les islamistes. Une opposition politique classique et séculaire dans les pays musulmans. En vérité : un énième conflit importé qui, sans l’immigration, nous serait totalement étranger.
De l’ombre à la lumière
Pourtant, et l’épidémie de Coronavirus le montre encore, ce ne sont pas les militantes féministes, les universitaires idéologues et les indignés de Twitter qui font tourner le monde. Mais les invisibles : ceux qui, dignement, travaillent et fondent des familles, ceux qui servent le bien commun en se sacrifiant, en bâtissant, en innovant. Ceux qui incarnent la France du temps long, les opiniâtres, les modestes, les immuables. Ceux à qui il faut toute la force de l’inertie et les puissants liens de l’habitude pour tolérer depuis si longtemps le dédain, la condescendance et les insultes dont ils font l’objet.
À travers un hommage aux Invalides, une pandémie, une cathédrale en flammes ou un gilet jaune réfléchissant, il arrive pourtant que cette France sorte de l’ombre. Elle en surgit de façon foudroyante, traverse l’espace médiatique par éclairs, puis disparaît. La ramener durablement à la lumière est aussi tout le sens du combat identitaire.
Cyril Raul
Texte repris du site de : Les Identitaires
Georges Feltin-Tracol
Pendant la crise du coronavirus, la tambouille politicienne continue. Tout l’univers et même au-delà ont été saisis d’effroi et de terreur, ce dimanche 17 mai : le député du Val – d’Oise, Aurélien Taché, abandonne le groupe de La République en marche (LREM), lui, le macronien historique venu du PS. Il accuse son ancien groupe de trop tendre vers la droite… Deux jours plus tard, un nouveau coup de tonnerre retentit dans les couloirs du Palais-Bourbon. Avec ses 288 députés, LREM perd la majorité absolue et dépend dorénavant des 46 élus du MoDem et des 27 députés UAI (UDI, Agir et Indépendants). Aurélien Taché, Cédric Villani, Guillaume Chiche, Mathieu Orphelin et l’ancienne ministre PS de l’Écologie, Delphine Batho, l’actuelle présidente de Génération Écologie, s’associent dans un neuvième groupe de 17 membres intitulé « Écologie, Démocratie, Solidarité ».
La députée Agnès Thill a interpellé le ministre de la Santé Olivier Véran au sujet de la pénurie des masques durant la pandémie, et sur les propos d’Emmanuel Macron affirmant le contraire.
Elle s’explique au micro de Boulevard Voltaire et dénonce « ceux qui se lavent les mains ».
Vous êtes une députée non inscrite de l’Oise, ex-membre du groupe parlementaire de La République en marche. À l’Assemblée nationale, vous avez interpellé Olivier Véran sur la gestion des masques par ce gouvernement, mais également par le gouvernement précédent. Pourquoi avez-vous posé cette question ?
Le manque de masques me choque et choque bon nombre de Français. Les soignants eux-mêmes ont manqué de masques. Le premier médecin mort en service du Covid-19 est de Compiègne. Cinq autres médecins ont suivi dans l’est de la France. On nous dit qu’il n’y a pas eu de pénurie. C’est tout de même un tour de passe-passe facile. Pénurie veut dire zéro.
Leur explication était qu’il y en avait peu ou pas assez. Donc, leur politique fut restrictive. Ils en ont donné très peu pour que tout le monde en ait et qu’on ne puisse jamais dire zéro. C’est exactement comme si j’avais un seul gâteau pour trente personnes. Il n’y en aurait évidemment pas assez. Si je donne une part à chacun, vingt personnes n’en auront pas. Je donne donc une miette à tous et personne ne pourra dire qu’il n’en a pas eu. Ils en ont évidemment tous manqué. La miette ne satisfera personne.
« Ce n’est pas Monsieur de La Tour du Pin qui est de l'Action Française ; c'est l'Action Française qui est de La Tour du Pin » (Maurras). La place du commerce et plus largement de l'économie dans la société a de tous temps été l'objet de débats. Aujourd'hui, l'économie mène le monde. Elle est au-dessus de la politique. Ne dit-on pas que nous sommes dans une « société de consommation » ? Les conséquences de cette société sont importantes pour chacun d'entre nous. Pas seulement parce que nous sommes tous des consommateurs, mais surtout parce que notre statut (d'employé comme de patron) en dépend. La Révolution et notre société placent l'individu isolé face à un monde en quête uniquement de jouissance. Les abus, l'exploitation apparaissent très vite. La vie sociale ou économique, son organisation, ses lois, ses limites doivent nous préoccuper.

Ainsi donc, le Puy du Fou, grâce à la pugnacité de son fondateur Philippe de Villiers (qui a aussi servi les autres parcs en zone verte), rouvrira ses portes le 11 juin.
Le Grand Parc n’a jamais si bien porté son nom que ces derniers jours : il les rend tous dingues. Libération s’indigne de ce « fait du prince » – Emmanuel Macron a pesé de tout son poids dans la balance contre l’avis d’Édouard Philippe – permettant de libérer le « célèbre parc à thème médiévo-zemmourien » (sic), que certains auraient bien confiné jusqu’à la nuit des temps.
Le journaliste de Libération, Sylvain Chazot, se sent trahi et écrase une larme amère sur Twitter : « Quel bonheur de voir que le barrage à l’extrême droite a permis d’élire un Président qui échange des SMS trop choupi avec Philippe de Villiers et appelle Éric Zemmour pour lui apporter son soutien. » De là à penser qu’Emmanuel Macron est un sous-marin réactionnaire qui cache (vachement) bien son jeu pervers… la gauche complotiste est en ébullition.
02:34 L’image de la semaine
Au sommet du pic Saint-Loup dans l’Hérault, la croix coupée par des militants d’extrême gauche il y a quelques jours est de retour !
03:23 Covid-19. 2e vague : les médias surfent-ils sur les peurs ?
Les journalistes ont multiplié les articles et les reportages sur la 2e vague, sur le retour des foyers de contamination ou encore sur le décès d’un enfant dû à la maladie de Kawasaki. Une focalisation qui interroge.