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« Pour des communes accueillantes ! Les organisations engagées dans les Etats Généraux des Migrations lancent une campagne d’interpellation des candidat.e.s aux municipales. Un kit complet est dispo sur le site des #EGMigrations. À diffuser largement ! », communiquait sur Twitter Emmaüs France le 29 janvier. Une manière d’exercer une pression sur les candidats engagés dans les élections municipales de mars (…)
Les journalistes de Télérama rêvent de faire taire celui qu’ils qualifient de « polémiste multirécidiviste ». Le CSA est appelé à remplir ses fonctions sociales sacrificielles vertueuses!
Lorsqu’on a le désir de suivre de près toutes les tendances progressistes de notre époque, il est des journaux sur lesquels il ne faut pas hésiter à se pencher de temps à autre. Il y a Libération (un trésor). Il y a Les Inrocks (une mine). Et il y a, de plus en plus souvent, Télérama.
Ce 27 janvier, la newsletter Télérama Soirée titre : « Plaintes devant le CSA, Zemmour vole la vedette à Hanouna. » Le journal précise que le CSA a reçu plus du double de saisines en 2019 comparé à 2018. Grâce à qui, selon le magazine télévisuel ? Grâce au « polémiste multirécidiviste et multirepris de justice » Éric Zemmour (alias « l’icône des réacs »). Il y a un lien qui mène tout droit à l’article du journaliste, Étienne Labrunie, pour ceux qui aimeraient approfondir l’épineux sujet. Comme j’ai un peu de temps devant moi, je m’y rends.
Pour l’analyste politique Frédéric Saint Clair, la volonté de l’exécutif de cacher l’existence d’un rapport sur les quartiers tenus par les islamistes en France témoigne une fois encore, s’il en était besoin, de l’incapacité de l’État à répondre à la menace communautariste.
En raison de l’énorme bourde commise par Emmanuel Macron qui, dans l’avion, au retour d’Israël, avait jugé bon de gloser sur d’éventuelles similarités politiques entre Shoah et guerre d’Algérie, ou de réaffirmer la qualification de « crime contre l’humanité » de la colonisation — ce qui avait notamment conduit l’historien Jean Sévilla à tancer le Président : « Il n’y connaît rien, et il n’y comprend rien » — on en aurait presque oublié un dossier paru la semaine précédente dans le JDD et consacré à un rapport émanant de la DGSI dans lequel sont cartographiés quelque 150 quartiers « tenus » par les islamistes : « Un document classé secret-défense, qui n’a pas été divulgué, à l’exception de l’Intérieur, même aux ministres intéressés. Lesquels se voient présenter le document oralement par un fonctionnaire assermenté, tant le sujet est sensible… »
3 députés LREM viennent de quitter le groupe (Frédérique Lardet, Paula Forteza et Valerie Petit) et 2 autres sont exclus (Sabine Thillaye et Cédric Villani). Sabine Thillaye était en conflit avec sa famille politique parce qu’elle refusait de céder sa place à la tête de la commission des Affaires étrangères de l’Assemblée. Dans un communiqué, Sabine Thillaye dénonce son exclusion du groupe LaREM.
« Une décision dictée par une logique d’appareil (qui) tourne le dos aux idéaux du mouvement et aux respects des institutions. »
De son côté Paula Forteza explique :
Depuis la rentrée 2019, nous sommes nombreux, au sein de la majorité, à attendre l’Acte II. Je suis de celles et de ceux qui espéraient un tournant social et écologique. Malheureusement, nous assistons à la politisation de sujets qui attisent les divisions — je pense notamment aux débats sur l’immigration –, alors que les priorités des français sont toutes autres, en ce qui concerne l’environnement, la démocratie, et la lutte contre les inégalités.
C'est l’un des drames majeurs de notre mouvance la plupart des sympathisants et des militants "consomment" en quelque sorte leur militantisme. Leur engagement manque de profondeur, de sérieux, de conviction et il s'apparente souvent à un grand jeu de rôle. Ils militent comme on va au spectacle, en dilettante. À un point tel que qu’on peut légitimement se demander s'ils ont véritablement envie de gagner.
Il est vrai que les idées dites d'extrême-droite sont par définition élitistes, aristocratiques, nietzschéennes, évoliennes, même si elles sont au service exclusif de la communauté populaire. Or, la plupart des militants censés porter ces Idées-là sont les purs produits, eux aussi, de la société de consommation et du spectacle dont ils ont bien du mal à s'affranchir. Ils sont bien souvent, comme la masse Informe qui compose le peuple français, pourris par l'hédonisme, Le matérialisme, l'esprit de jouissance, l'Individualisme, l'embourgeoisement et le cerveau embrumé par le discours véhiculé par l'Éducation nationale, les médias, l'Église... On peut même penser que La victoire de nos Idées les dérangeraient eux aussi, tant il est vrai que les gens n'aiment pas beaucoup que l'on tente de les tirer vers le haut quand Ils sont tellement bien (du moins le croient-ils) vautrés dans le fumier du monde moderne.
Lu dans le quotidien Présent daté du mercredi 29 janvier 2020, un agréable article signé Jean-Claude Rolinat sur le livre Pour une Synthèse nationale de Roland Hélie cliquez ici
Pour une Synthèse nationale :
Dans tous les milieux de ce qu’il est convenu d’appeler « la droite nationale », dans la plupart des manifestations de la « droite hors les murs », on croise sa silhouette arrondie, allant de stand en stand, prenant la parole ici ou là, animant émissions et interviews sur la web radio, Radio Libertés par exemple. Roland Hélie, infatigable militant ayant gardé l’enthousiasme de sa jeunesse malgré ses 60 ans dépassés, nous fait penser à un débonnaire Falstaff diffusant la bonne parole. Hélie ? « C’est un moine-soldat » diront certains, car le bonhomme ne perd pas l’espoir de voir, un jour, ses idées, « nos » idées mijotées dans nos cercles de pensée, finalement triompher. Que l’on nous permette de douter de la justesse du qualificatif de « moine » lorsque l’on côtoie, à table, l’ami Roland….
Le bureau exécutif de La République en marche a annoncé mercredi soir l’exclusion du candidat dissident Cédric Villani à la mairie de Paris. Cette annonce intervient trois jours après l’entrevue entre le mathématicien et le président Emmanuel Macron à l’Elysée. Une rencontre qui n’a pas empêché Cédric Villani de maintenir sa candidature à la mairie de la capitale face au candidat officiel de LREM, Benjamin Griveaux.
LREM a souligné dans un commniqué « les propos sans ambiguïté » de Cédric Villani, qui avait expliqué qu’« entre l’appartenance à un appareil politique et l’engagement pour la ville qui m’a fait, je choisis de rester fidèle aux Parisiennes et aux Parisiens en maintenant ma candidature librement » et en ont « tiré les conséquences ».
https://www.tvlibertes.com/actus/municipales-cedric-villani-exclu-de-la-republique-en-marche