Sacrifier, décourager, destituer les sortants au bénéfice des entrants : une manière de lutter contre l’esprit de résistance locale.
France et politique française - Page 1837
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Et si la disparition programmée des maires faisait les affaires du gouvernement en place ?
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Retraites monopolistes : la quadrature du cercle
Ayant travaillé pendant plusieurs années sur la question des retraites, votre serviteur avoue ne pas croire possible d'envisager leur réforme d'ensemble sur les différents schémas, tous monopolistes sur lesquels s'exprime notre classe politico-médiatique.
Sans trop s'attarder à la genèse historique de la situation actuelle, rappelons quand même qu'en France, la retraite des vieux travailleurs figurait au nombre des promesses du Front populaire de 1936. Le gouvernement [sublime] présidé par Léon Blum après la victoire de cette coalition, se révéla incapable de la mettre en œuvre. Mais les technocrates qui l'entouraient alors étaient demeurés dans les allées de la haute administration et s'employèrent à la réaliser dans les circonstances dramatiques de 1941. Pour cela, compte tenu d'un environnement économique bien particulier, ils siphonnèrent les réserves des compagnies d'assurances de droit privé qui pratiquaient la capitalisation et instituèrent la répartition.
Dans l'après-guerre cette situation fut prolongée, de non-réforme en non-réforme, et l'État, c'est-à-dire aujourd'hui ce que l'on appelle "Bercy", a renforcé son monopole sur le pilotage de ce qu'on appelle les "régimes" de pensions.
À cet égard, après une timide tentative du gouvernement Balladur en 1993-1994, ce fut bien le plan Juppé de 1995-1997 qui alla le plus loin dans l'étatisation et la tutelle du ministère des Finances. Or, depuis cette date, la plupart des soi-disant experts et gestionnaires des caisses, des régimes, des conseils d'orientation, et jusqu'au chef de l'État lui-même, parlent et administrent des institutions d'assurance vieillesse dont ils ne supportent pas les cotisations, pas plus qu'ils ne s'apprêtent à en recevoir un jour les prestations.
Demandez donc à vos interlocuteurs à quel "régime" ils appartiennent. Ce n'est pas un outrage puisqu'ils pratiquent selon une expression qu'ils affectionnent, une "pédagogie". D'où parles-tu citoyen ?
Or, il existe en France, non pas 42 "régimes", ce mot ne veut rien dire, mais quatre (4) classes bien distinctes, "d'assujettis", c'est le mot que la république emploie très officiellement. Ces citoyens sont affilés de force à des caisses monopolistes, des taux de cotisations et des espérances de pensions de type très différents, mais entre lesquels personne en France n'a le droit de choisir.
La principale catégorie est composée des salariés du secteur privé. C'est au nom de ceux-ci que sont supposés parler les syndicats. Certes, ils représentent moins de 10 % des salariés. Mais, divisés en 7 ou 8 organisations rivales, ils ne semblent très majoritairement, pas disposés à remettre en cause la Répartition, désirant surtout le maintien du "droit" à un âge de départ le plus bas possible, en contradiction avec les données démographiques.
À noter qu'aujourd'hui parmi eux les organisations, jugées représentatives des cadres, après avoir si longtemps cru aux retraites dites complémentaires du système, se sont alignées sur les autres.
Seconde catégorie : celle des fonctionnaires, certes répartis eux-mêmes selon différents statuts, mais que l’on a agglomérées depuis le passage du communiste Anicet Le Pors dans le gouvernement Mauroy. On entend beaucoup de critiques sur leurs avantages mais, outre le fait qu'ils servent l'État dans des conditions qu'ils considèrent comme contractuelles, ils se sentent encore en mesure de le paralyser. Or, on doit bien mesurer que cet employeur s'est engagé sur les pensions que le Trésor public leur versera[1], après leur cessation d'activité, mais que cela n'est pas comptabilisé dans les dettes de la France au sens des accords de Maastricht. Toute transformation projetée mérite d'être évaluée à cette aune.
Troisième catégorie : celle dite des régimes spéciaux, avantages corporatifs principalement des éléctriciens-gaziers et des cheminots encore sous statut. Solder leurs privilèges coûterait sans doute moins cher que l'on croit mais a fait reculer très longtemps les pouvoirs publics, car ils ont affaire à la CGT.
Quatrième catégorie enfin, celle des indépendants, de tous statuts. Tout le monde s'en moque sauf quand les politiciens et les journalistes découvrent qu'il existe encore en France des exploitants agricoles, dont ils dressent un éloge purement métaphorique, etc.
Or la réforme des systèmes de cotisations/et pensions de ces quatre catégories, elles-mêmes subdivisées en sous-ensembles distincts, n'obéit à aucune logique commune.
La seule "réforme" d'ensemble possible consisterait à ouvrir un maximum de libre choix, à encourager l'épargne et à respecter les droits de propriété.
Sauf erreur, dont l'auteur de ces lignes se féliciterait volontiers, personne n'intervient dans ce sens au sein des structures du prétendu débat actuel. Nos technocrates prétendent résoudre de façon contraignante le problème de la quadrature du cercle. Ils n'y parviendront pas.
JG Malliarakis
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Le grand chaos de la rentrée – Journal du vendredi 30 août 2019
Le grand chaos de la rentrée
Après les nombreux couacs lors de la session du baccalauréat 2019, l’heure de la rentrée a sonné pour les professeurs. Un retour marqué par
les nombreux changements opérés par le ministre de l’Education Nationale, Jean-Michel Blanquer, qui laissent le corps enseignants et les parents d’élèves sur la réserve.Les donneurs de sang voient rouge
Menace sur le don du sang. Alors que des machines d’une firme américaine utilisées par l’établissement français du sang présentent des risques de contamination importants, les autorités sanitaires n’ont visiblement pas réagi à temps.
Mexique : la chasse aux journalistes
Vague d’assassinats de journalistes au Mexique. Depuis le début de l’année, 10 ont été tués soit autant que pour l’ensemble de l’année 2018. Face à ce fléau souvent en lien avec les cartels de la drogue, les autorités mexicaines se retrouvent impuissantes.
L’actualité en bref
https://www.tvlibertes.com/le-grand-chaos-de-la-rentree-journal-du-vendredi-30-aout-2019
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Convention citoyenne pour le climat : une mascarade qui coûte cher
Les apparences de la démocratie sont loin de garantir l’exercice réel de la démocratie. Le magazine Le Point en fournit une illustration, en expliquant le recrutement et le fonctionnement de la « Convention citoyenne pour le climat ». Ce n’est pas seulement le coût de cette consultation qui pose problème, mais la crédibilité même de cette assemblée tirée au sort.
La Société de sondage Harris Interactive a été chargée de recruter les 150 Français qui participeront à cette convention annoncée par le président de la République après le grand débat national. Il faut que le panel représente le mieux possible la population française : on tient donc compte, parmi les 250.000 personnes qui doivent être contactées par téléphone, de critères comme la répartition des sexes, la pyramide des âges, le niveau de diplômes, la catégorie socioprofessionnelle, l’origine géographique… Peu de chances que les 150 personnes sélectionnées soient aussi représentatives que l’échantillon de 1.000 personnes, habituel chez les instituts de sondage.
Le Conseil économique, social et environnemental (CESE), organisateur de cette opération de démocratie participative, sait que tous ne seront pas au fait des problèmes environnementaux. Pour répondre à la question « Comment réduire les émissions de gaz à effet de serre d’au moins 40 % d’ici à 2030, dans un esprit de justice sociale ? », il faut posséder certaines connaissances et y avoir déjà réfléchi. Ils seront donc épaulés par des « experts » : trois d’entre eux seront choisis au titre de leurs compétences en matière de « démocratie participative » ; trois autres, membres du CESE, seront issus du champ économique et social ; enfin, s’ajouteront trois spécialistes, dont l’incontournable Jean Jouzel.
Il faut être naïf pour ne pas pressentir que les résultats de cette convention dépendront surtout de l’influence, et donc du choix, de ces experts. Ceux qui ont participé à des missions de réflexion sur l’avenir de l’école et le métier d’enseignant savent que, loin de traduire la diversité des opinions, leurs conclusions étaient préétablies. C’est une semblable parodie de participation que met en œuvre l’exécutif, en soulignant son caractère démocratique, comme si, dans ce domaine, l’habit faisait le moine. La meilleure preuve de cette duplicité est que le gouvernement n’attend pas les propositions de la Convention citoyenne, prévues début février 2020, pour prendre ses premières décisions.
Beaucoup de Français ont conscience que cette consultation n’est qu’une mascarade, mais cette mascarade coûte cher.
Un budget de quatre millions d’euros y sera consacré. Il n’est même pas certain qu’il soit suffisant pour couvrir les indemnisations, les frais de déplacement, voire de garde d’enfants auxquels auront droit les citoyens sélectionnés pour passer six week-ends, dont le vendredi après-midi, à Paris. D’aucuns expliqueront que la démocratie a un prix, ce qui est indiscutable. À condition, toutefois, qu’on ait affaire à un véritable exercice de démocratie.
En l’occurrence, on peut en douter ! Emmanuel Macron, une fois de plus, veut mener les Français en bateau.
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PIERRE VIAL, PRÉSIDENT DE TERRE & PEUPLE, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
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Pour avoir voulu défendre nos frontières, ils sont condamnés à des peines de prison
Un communiqué de Génération identitaire :
Jeudi 29 août 2019, le tribunal correctionnel de Gap a condamné Génération Identitaire et ses dirigeants pour avoir « créé une confusion avec une fonction publique » lors du blocage du Col de l’Echelle en avril 2018.
Clément Galant et Romain Espino écopent de 6 mois de prison ferme et sont privés de leurs droits civiques et familiaux pour une durée de 5 ans.
Le tribunal a également infligé une amende de 75 000 € à notre association.
Ce faisant, les juges du siège valident la position du procureur de Gap qui avait pourtant reconnu l’absence de toute infraction au lendemain de l’opération.
Par cette décision dénuée de tout fondement juridique, la justice cherche à entraver notre combat contre l’invasion migratoire.
Nous avons d’ores et déjà demandé à nos avocats d’interjeter appel de ce jugement qui bafoue toutes les règles de droit.
Les intimidations judiciaires ne nous feront pas taire !
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Bruno Gollnisch (RN) : « Les agresseurs de pompiers ne s’appellent pas Martin ou Dupont » (Vidéo)
Bruno Gollnish (RN) a crée le Malaise sur le plateau de LCI en déclarant que les agresseurs de pompiers « Ne s’appellent pas Martin ou Dupont ». « On sait très bien que l’insécurité (…) est en particulier le fait de groupe de jeunes gens parfaitement déracinés et issus de l’immigration. »
Pour rappel, selon Le Figaro, près de 200 outrages et agressions contre les policiers, gendarmes et pompiers ont eu lieu chaque jour en France durant le mois de juillet 2019. Les violences physiques ont même pris le dessus sur les outrages et violences verbales, avec 110 cas par jour pour l’année 2019. D’après le syndicat Synergie-Officiers, deux raisons expliquent l’augmentation alarmante des chiffres : « Il n’y a plus de respect pour l’autorité, et le sentiment d’impunité n’a cessé de progresser ».
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Une révolution pour l'Ordre
Ce 24 août à Paris et ailleurs, on annonçait encore un 41e samedi de mobilisation sous l'étendard des Gilets Jaunes. Ceci tend à prouver qu'il existe encore une braise révolutionnaire populiste sous les cendres de la relative défaite et, surtout, de la récupération d'un mouvement informel de protestation par d'authentiques marxistes, cégétistes et autres gauchistes.
Le 26 août, les militants d'extrême gauche se disant altermondialistes pouvaient afficher, quant à eux, leur bilan jugé positif[1] du contre-sommet organisé depuis plusieurs jours à Hendaye. Les violences, récurrentes depuis 20 ans dans ce genre de circonstances, ont été contenues. À peine si le 24 août, à Bayonne, une manifestation non déclarée d’opposants au G7 a donné lieu à 68 interpellations[2]. Car c'est dans un Biarritz bunkérisé, au grand dam de ses habitants, que se sont rassemblés les dirigeants occidentaux. Ceci tend à confirmer que le maintien du calme dans la rue ne suffit pas à garantir l'ordre dans les esprits.
Enfin ce même 26 août au soir le chef de l'État intervenait au journal de 20 heures sur "France 2". Rendant compte, face à une Anne-Sophie Lapix aux dents toujours plus éclatantes, de la coûteuse réunion des trois jours précédents, il s'exprima plus longuement sur ses nouveaux choix quant à l'évolution des régimes monopolistes de retraite par répartition, que sur les importantes décisions prises en commun avec le président des États-Unis, jusqu'ici considéré comme très méchant.
Cette dernière virevolte désavoue les conclusions du travail de l'incapable Delevoye. Elle laisse légèrement rêveur et tend à souligner combien les structures de décision de la technocratie ne se préoccupent toujours pas des principes affichés au fronton des édifices républicains.
Dans le débat ce nième projet de réforme d'un système économiquement condamné, on ne se préoccupe guère du libre choix des individus. Où trouve-t-on, en effet, la trace du droit de propriété, sans même parler de mots devenus tabou, tel celui de l'épargne personnelle et familiale dont les systèmes de pensions collectives, depuis les lois de Bismarck en 1889 jusqu'à la charte de travail de Darlan en 1941, en passant par le Social security act de Roosevelt en 1935, n'ont jamais représenté pourtant que des substituts ?
Quand le désordre et l'arbitraire règnent dans la pensée des gouvernants, la conception d'une force de conservation de la société, face aux lubies de la gauche et de l'étatisme, prend des allures de contestation révolutionnaire.
Oser se dire conservateur dans la France d'aujourd'hui relève ainsi de la témérité et ne semble pouvoir s'exprimer que par l'insolence.
Or, cette démarche se retrouve à l'origine de toutes les droites.
On se trompe trop souvent à l'apparition du concept conservateur.
On l'identifie, aujourd'hui, surtout à la présidence de Ronald Reagan à Washington (1981-1989) et au gouvernement de Margaret Thatcher (1979-1990) à Londres qui, l'un comme l'autre, redressèrent considérablement la puissance de leur pays. À noter que leur rétablissement de l'influence américaine et britannique s'est appuyé, dans les deux cas, sur une très forte affirmation des libertés économiques.
L'idée n'est apparue en fait, aux États-Unis, que dans les années 1950 avec National Review, par un refus de toutes les complaisances à l'égard du communisme.
En Grande Bretagne, elle remonte à des temps plus anciens. Dans les années 1830 pour s'opposer à l'héritage whig, jugé complice des idées révolutionnaires, la Jeune Angleterre de Disraëli et de George Smythe entreprit de structurer ce qu'ils appelleront la cause des conservateurs. Elle unit autour des anciens tories, tous ceux qui, depuis les écrits de Burke dénonçaient la subversion venue de France. Un mouvement comparable s'est dessiné en Allemagne dans les années 1920 sous le nom de Konservative Revolution, etc.
Mais le mot conservateur lui-même est né précisément en France. Il peut être daté de la création de la revue Le Conservateur, éditée à l'initiative de l'éditeur Le Normant sous le patronage de Chateaubriand en 1818. La préoccupation de ces hommes de droite se portait sur la réapparition subreptice, sous des étiquettes édulcorées, des idées dont 3 ans plus tôt le pays s'était cru débarrassé.
À l'époque on gardait présent à l'esprit l'horreur de ce qu'avait représenté le jacobinisme.
Une intéressante figure de révolutionnaire du Midi nous est proposée, par exemple, avec la personnalité emblématique sinon attachante de Jourdan-Coupe-Tête, chef des jacobins d'Avignon. Ses troupes avaient exercé, avant la lettre, la Terreur dans le comtat Venaissin rattaché à la France. Ces gens avaient ravagé cet aimable territoire pontifical transformé en département du Vaucluse. Ce personnage se trouvait à la tête des quelque 500 Marseillais montés à Parsi à l'été 1792, et qui, reprenant le fameux chant de l'Armée du Rhin, valut son nom à l'hymne officiel du régime républicain.
Voici comment le décrit Michelet lui-même :
"Pour conduire ces bandes mal disciplinées, mêlées de portefaix, de paysans, de déserteurs français, il fallait un homme du peuple. Ils choisirent un certain Mathieu Jouve, qui se faisait appeler Jourdan. C'était un Français, né dans un des plus rudes pays de France, pays de glace et de feu, terre volcanique, éternellement rasée par la bise, les hauteurs quasi désertes qui entourent Le Puy-en-Velay. Il était d'abord muletier, puis soldat, puis cabaretier à Paris. Transplanté à Avignon, il y vendait de la garance. Bavard et vantard, il faisait croire au petit peuple que c'était lui qui avait coupé la tête au gouverneur de la Bastille, puis encore coupé la tête aux Gardes du corps du 6 octobre. À force de le lui entendre dire, on l'appelait Jourdan Coupe Tête. La sienne était fort burlesque, par un mélange singulier de bonhomie et de férocité. Entre autres singularités, cet homme, très cruel dès qu'il avait vu le sang, n'en avait pas moins les larmes faciles ; il s'attendrissait sans peine, parfois pleurait comme un enfant."
C'est pour empêcher le règne de ce genre de sauvages que se sont formées, depuis 200 ans, toutes les droites.
JG Malliarakis
Apostilles
[1] Lire, par exemple, le compte rendu signé de Chloé Rébillard sur le site Reporter "G7, le contre-sommet réussi malgré la pression policière".
[2] Chiffrage de la préfecture des Pyrénées-Atlantiques. -
Racisme anti-blanc : 24 heures sur Twitter où la haine contre les “babtous” s’exprime en toute impunité
Les réseaux sociaux seraient un déversoir de la cyber-haine. Le gouvernement veut même la combattre en mettant fin à l’anonymat. Mais au moment d’évoquer cette haine insupportable qui s’exprime sur internet, les politiques ou les journalistes prennent très rarement l’exemple du racisme anti-blancs, dont certains nient même l’existence. Nous avons donc voulu constater par nous-même cette haine du blanc sur le réseau social, désigné par les sobriquets de gwers ou babtous.
Du mardi 15 heures, au mercredi à la même heure, nous avons filtré les messages à caractère raciste envers les Blancs, sans pour autant les sélectionner tous. Certains comptes étant des trolls ou d’autres utilisant ces termes sans véritable hostilité ou mépris. Nous passons outre le racisme bienveillant, contre les ien-cli par exemple. Verlan de client, ce terme désigne les blancs se fournissant en drogue auprès de dealers non-blancs.
Nous lançons le compte à rebours ; quelques messages de la matinée et des jours précédents sont retweetés :
Les gwer ils aiment trop ouvrir leur bouche sur les reseaux vous vous chiez dessus devant nous en vrai bande de fdp
— ?? (@tmrellechpyp) August 26, 2019
Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, insécurité, lobby 0 commentaire -
BFMTV chute de 20% après son éviction des Freebox
La chaîne d’information a subi une baisse de 20 % de son audience au lendemain de la coupure du signal.
Simple trou d’air ou véritable signal d’alarme? Mardi BFMTV a enregistré une chute de son audience de 20 %, passée de 2,4 à 1,9 million, selon Médiamétrie. Les performances de cette journée étaient attendues par tous les acteurs de l’audiovisuel et des télécoms. Et pour cause. Elle était marquée par l’arrêt de la diffusion des chaînes du groupe Altice (BFMTV, RMC Story et RMC Découverte) sur les box du groupe Free.
https://www.fdesouche.com/1253085-bfmtv-chute-apres-son-eviction-des-freebox