France et politique française - Page 1963
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Réunion publique à Fessenheim (68) : discours de Jordan Bardella
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À l’approche des élections européennes, un nouveau mot-clé s’introduit dans le discours de Macron : « Protection »
21/05/2019 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) :
Il existe sur Internet des outils qui permettent de savoir quels sont les mots les plus récurrents dans un texte. Si l’on analyse le prospectus d’Emmanuel Macron et de son parti, on se rend compte que, après les pompeux termes de « liberté » et de « progrès », le mot le plus usité est celui de « protection ». Macron veut donc une Union européenne qui protège. Mais qui protège qui et contre quoi ?Un rappel des grands poncifs européens autour de la thématique de la « protection » pour emporter facilement l’adhésion
Tout d’abord, Macron veut une Europe qui se protège d’elle-même, c’est-à-dire des guerres entre les nations afin de ne pas reproduire le désastre de la seconde Guerre mondiale. Ensuite, il veut une Europe qui s’unit face aux grandes puissances, notamment d’un point de vue économique. Mais quel Européen ne souhaite pas la même chose ? Le ressassement de ces grands poncifs n’est qu’un commode moyen de s’épargner quelques phrases de langue de bois supplémentaires et d’emporter immédiatement l’assentiment des plus naïfs d’entre nos concitoyens français.
L’apparition du terme « protection » : une tentative de détournement du thème national de la « sécurité » à des fins mondialistes
« Protection » et « sécurité » : ces deux termes sont très proches, et utilisés dans des discours similaires, ils pourraient apparaître comme des synonymes. Pour un nationaliste, le besoin de sécurité signifie qu’il sature d’immigration, qu’il en a marre d’apprendre dans les médias que M. ou Mme Dupont se sont fait agresser par x ou y personne d’origine étrangère. Mais pour Macron, le besoin d’une Europe qui protège, c’est avant tout le besoin d’une Union européenne qui encadre une immigration de masse et qui garantit aux colons fraîchement débarqués en Europe un même accès à l’emploi. Mais à qui cela profite-il réellement ? Au final, on aura donc compris que Macron veut une Union européenne qui protège les intérêts de la superclasse mondiale cupide au détriment des peuples européens.
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C’est la république qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert !
Alain Escada, président de Civitas
La mise à mort de Vincent Lambert a débuté ce matin : il s’agit là ni plus ni moins d’un assassinat aggravé par le fait qu’il s’agit d’une personne vulnérable.
Assassinat car cette mise à mort ne passe pas par un arrêt des soins, mais par une privation de son alimentation et de son hydratation, chose nécessaire à chaque être vivant. La mauvaise foi du docteur Sanchez et du gouvernement se démontre un peu plus dans leur refus d’accepter le transfert vers l’un des sept centres spécialisés qui avaient dit leur volonté d’accueillir Vincent Lambert.
Que l’on se cache ou pas derrière la loi Léonetti, cette mise à mort constitue un crime.
C’est cette république maçonnique qu’il faut euthanasier, et non Vincent Lambert.
C’est la franc-maçonnerie, à l’origine de cette république et de quantité de ses lois scélérates, qui promeut la culture de mort pour les innocents et sauve la vie des criminels !
Civitas rappelle son opposition farouche à cette culture de mort, de l’avortement à l’euthanasie.
Un jour viendra, tôt ou tard, où Emmanuel Macron et le Dr Sanchez devront rendre des comptes.
Emmanuel Macron, en tant que Chef de l’Etat, avait le devoir de protéger les plus vulnérables. Il porte désormais le poids de la condamnation à mort imposée à Vincent Lambert, au seul motif d’être une personne handicapée.
Le Dr Sanchez, en tant que médecin, avait le devoir de protéger la Vie. Il vient de parjurer son serment d’Hippocrate et se rend l’exécutant d’un crime d’Etat.
Désormais, les personnes handicapées sont à la merci de tous les abus de cette république maçonnique.
Mais un jour viendra où justice sera rendue et où ceux qui sont coupables d’avoir prémédité la mise à mort d’innocents devront être punis sans pitié.
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Européennes 2019 : le choix d’être « Européen d’abord » !
Emmanuel Macron a raison. Derrière la compétition électorale entre « populistes » et « progressistes », ce sont bien deux visions du monde, deux façons d’être au monde, et à l’Europe, qui s’affrontent : celle des Somewhere et des Anywhere (David Goodhart). Rapport au lieu, au territoire, mais également au temps, à l’espace.
Quand les troupes du président de la République prêchent une « Renaissance » qui ne serait que l’accélération de la disparition de l’Europe par dilution dans le magma mondialiste, le camp identitaire doit faire sienne la devise de Laurent le Magnifique : « Le temps revient ». Le temps de retrouver la fierté de ce que nous sommes, de renouer avec notre génie propre et avec notre destin, d’affirmer enfin ce qui nous (re)lie, Européens, et ce qui nous distingue des Autres. C’est l’enjeu de ce prochain scrutin mais aussi, au-delà, des combats à mener par les générations à venir dans tous les autres domaines. C’est dire, dans ce contexte et cette perspective, l’importance de se doter des cartouches « intellectuelles et morales » nécessaires — et donc l’intérêt du manifeste que publie Jean-Yves Le Gallou chez Via Romana : Européen d’abord, Essai sur la préférence de civilisation.
Refuser d’être « Grand Remplacé »
Enarque, ancien député européen, président de la fondation Polemia et cofondateur de l’Institut Iliade, Jean-Yves Le Gallou est connu notamment pour avoir élaboré le concept de « préférence nationale », qui fut le cœur nucléaire idéologique du Front national des années 1980 et 1990, avant l’aseptisation voulue par sa présidente actuelle (jusqu’à ce que ses alliés européens, précisément, lui démontrent que seule une ligne radicale permet de gagner des élections puis surtout d’exercer utilement le pouvoir). Le basculement du concept de préférence nationale à celui de « préférence de civilisation » est une réponse réaliste à une évolution mortifère : la révolution anthropologique qui, par mécanique remplaciste, a vu la France se transformer en « archipel » de communautés (Jérôme Fourquet) et les Français se sentir davantage chez eux à Prague qu’à Mantes-la-Jolie. Si « tout le monde il est français », qu’est-ce encore qu’être Français ?
C’est être, pour Jean-Yves Le Gallou, dans la lignée de Dominique Venner, « des Européens de langue française ». Unis par une mémoire commune, conscients de la richesse d’une civilisation à préserver, mais aussi d’une aventure à continuer. Pour paraphraser Renan, c’est « avoir des gloires communes dans le passé, une volonté commune dans le présent ; avoir fait de grandes choses ensemble, vouloir en faire encore ». Car s’il ne se présente pas comme tel, l’ouvrage constitue le bréviaire d’un « patriotisme européen » conçu comme riposte au risque de Grand Effacement de nos peuples, à l’épuisement de leurs volontés – dont la première de toute, celle de vivre et se survivre dans l’histoire. Les esprits les plus lucides seraient tentés, après Paul Valéry, d’acter la mort de notre civilisation. Jean-Yves Le Gallou s’y refuse et propose bien au contraire de « réaffirmer le droit des peuples européens à l’identité et à la continuité historique ».
Renouer le fil de notre identité commune
« Les peuples européens ont une mémoire commune, relève Jean-Yves Le Gallou. Par-delà les différences de leur géographie et de leur histoire, ils partagent un même récit civilisationnel : ils sont les héritiers de la Grèce, de Rome, de la Chrétienté et de la Renaissance. » En une vingtaine de chapitres courts mais solidement étayés, dans le style direct et percutant qu’il affectionne, l’auteur livre en premier lieu une analyse de « la crise de conscience européenne », ouverte par la suicidaire ordalie de 1914 et accélérée au cours du XXe siècle par les ravages d’idéologies internes (la déconstruction et la culpabilisation principalement) et, dans un premier temps tout du moins, externes (l’américanisation du monde ou l’avènement d’une « civilisation du vide », l’islamisation et la tentation de la grande « soumission » dont les ressorts sont également très bien décrits par Houellebecq dans son roman éponyme).
Le constat dressé, restent les solutions. La première que préconise Jean-Yves Le Gallou est d’opérer un retour aux sources, de retrouver la fierté d’être nous-mêmes — « Sinn Féin » comme le proclament nos camarades gaéliques irlandais. Ce nécessaire « retour de la civilisation européenne » exige d’assumer et transmettre notre héritage, les traits distinctifs de notre identité. Il s’agit ainsi de rappeler que l’Europe, loin de se confondre avec les institutions bureaucratiques et marchandes du moment, est « la civilisation des libertés » (dont la liberté de penser, « marqueur de l’Occident ») et de « l’incarnation » (contre « la grande imposture de l’art contemporain » et la fureur iconoclaste des mahométans), « la civilisation qui voit du divin dans la nature » (supposant de retrouver l’équilibre entre Orphée et Prométhée) et celle « qui respecte les femmes » (la situation des femmes reflétant toujours une « structure de civilisation »), la civilisation enfin des grandes découvertes (qui ont fait « reculer les bornes du monde ») mais également de l’équilibre des fonctions sociales (attestant de la permanence du modèle « trifonctionnel » mis à jour par les études indo-européennes, c’est-à-dire puisant là encore dans notre plus longue mémoire). Pour Georges Dumézil, « l’idéologie tripartite » n’a pas besoin de s’incarner socialement, fonctionnellement. Elle peut n’être qu’un « idéal », c’est-à-dire « un moyen d’analyser, d’interpréter les forces qui assurent le cours du monde et la vie des hommes ». Ce qui permet à Jean-Yves Le Gallou de conclure cette deuxième partie par une exhortation : « Un idéal : voilà bien ce dont les peuples européens ont besoin » !
Manifeste pour une politique de civilisation
La dernière partie d’Européen d’abord jette les bases d’une « politique de civilisation » dont les caractéristiques sont pensées à la hauteur des défis. Cette politique se veut ainsi totale, « du berceau à la tombe », de l’intimité des foyers à la réforme de nos institutions et à l’inflexion de notre droit – en réhabilitant notamment « le droit de discriminer » qu’étudie dans un récent et lumineux ouvrage l’avocat Thibault Mercier (Athéna à la borne. Discriminer ou disparaître ? Pierre-Guillaume de Roux éditeur, collection Iliade, mars 2019). En matière d’intégration des immigrés extra-européens, Jean-Yves Le Gallou constate l’échec tant du multiculturalisme que de la laïcité, et assume un choix inégalitaire : « Nulle égalité possible dans l’espace public ni dans le calendrier festif entre l’islam et le christianisme ». Ce dernier est reconnu comme consubstantiel à l’affirmation de notre identité commune : « Tout Européen, même agnostique ou athée, païen ou panthéiste, est de culture chrétienne ». Face à l’avancée de l’islam, l’auteur salue ainsi la politique de Victor Orban, qui affiche ses références et sa préférence pour le christianisme. Et contre les souverainistes grincheux et étriqués, il défend la légitimité symbolique du drapeau européen, inspiré de l’Apocalypse de Jean : « Un signe grandiose est apparu dans le ciel, une femme revêtue du soleil, la lune sous ses pieds, et sur sa tête une couronne de douze étoiles ».
Dès lors, que faire ? Tout ! Jean-Yves Le Gallou propose de réinvestir l’ensemble des champs de la vie sociale et politique. Religion, on l’a vu, mais aussi culture (« Poursuivre la grande aventure artistique européenne »), éducation (selon le précepte que « plus est en chacun »), rites (« de la décivilisation à la recivilisation »), rapport à l’environnement (« Réensauvager l’espace qui n’a pas à être civilisé, garder l’harmonie de l’espace naturel humanisé »), combat sur l’échiquier politico-juridique aussi (contre l’idéologie des droits de l’homme « imposée par les oligarchies médiatiques » et le gouvernement des juges, en rupture avec les traditions européennes)… L’essentiel se jouera finalement dans les imaginaires. « Ce qui est fécond, c’est ce qui s’inscrit dans la durée : cela vaut en histoire, en art, en architecture. Face au déracinement programmé de l’art dit ‘contemporain’, il faut promouvoir une littérature, une peinture, une sculpture, une musique fondées sur l’incarnation, la représentation, la figuration, rappelle ainsi Jean-Yves Le Gallou. Face aux délires de l’idéologie des droits individuels de l’homme, il faut réaffirmer le droit communautaire des Européens à leur identité. Et reprendre conscience que ‘nos mœurs sont plus importantes que nos lois’, selon l’expression du philosophe irlandais Edmund Burke. »
Le salut nécessitera d’emprunter les voies du communautarisme et des frontières. D’une part, « les Européens doivent à leur tour se communautariser ; ils doivent le faire économiquement, ils doivent le faire culturellement, ils doivent le faire géographiquement. » D’autre part, « la communautarisation des Européens, c’est un peu le rétablissement de frontières intérieures. De ces bornes qui donnent, ou redonnent du sens. Mais ces frontières de l’âme et de l’esprit doivent impérativement s’adosser à des frontières physiques et géographiques » — donc également politiques. Mais, et c’est tout l’intérêt de l’ouvrage, il ne saurait y avoir de victoire politique sans une succession de victoires métapolitiques préalables. Construire ces victoires, au-delà et sans doute malgré les échéances électorales, constitue l’urgence du moment, et « au champ des possibles, les destins ne sont écrits nulle part ».
Nous sommes sans doute actuellement des « Européens » au sens où l’entendaient, il y a déjà plus de cinquante ans, les fellagas d’Algérie ou les Congolais de Lumumba. Nous désignant sous ce terme comme des cibles, pour ne pas dire comme des proies. Il nous revient de faire de ce beau terme d’« Européen » un étendard afin de réveiller les énergies engourdies, rallier les volontés dont notre civilisation a besoin pour ne pas se laisser engloutir dans le néant et le chaos. Même si ces références ne sont pas celles de l’auteur, son viatique vise indubitablement à « allumer le feu sacré des jeunes âmes » (Lyautey, Le rôle social de l’officier). À l’instar de Saint-Exupéry dans Citadelle, il pourrait ainsi affirmer : « Moi j’ai bâti l’empire dans le cœur de mes sentinelles en les contraignant à faire les cent pas sur les remparts. »
Européen d’abord. Essai sur la préférence de civilisation, par Jean-Yves Le Gallou, Via Romana
Grégoire Gambier
Article paru sur institut-iliade.com
https://fr.novopress.info/214603/europeennes-2019-le-choix-detre-europeen-dabord/
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2 personnes agressées au couteau par quelqu’un qui crie “Allah Akbar”, c’est moins important qu’un stand renversé
Un stand de propagande LGBT renversé par quelques jeunes, ce qui a fait la journée de France Info hier.
2 personnes ont été blessées après une agression au couteau et avec une barre de fer dimanche en début d’après-midi à Villejuif (Val-de-Marne). Un homme aurait crié “Allah Akbar” avant de s’en prendre aux victimes. Il a été interpellé.
Un certain nombre d’associations et d’hommes politiques ont dénoncé les quelques jeunes qui ont mis par terre le stand LGBT. En revanche pour l’agression au couteau, c’est silence dans les rangs…
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La Cour d’appel de Paris appelle à faire vivre Vincent Lambert !
On a gagné ! Hurle Me Jérôme Triomphe. La justice a tranché. Vincent doit être réanimé !
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Un Nouveau Commissaire Politique
Tel père, tel fils. L’ancien combattant rouge de la guerre d’Espagne a su donner à son fils la formation correspondante.Et pour une Retirada désespérée qui s’est terminée au Perthus, la France a hérité pour sa malchance et pour celle de la gauche patriote d’un futur secrétaire d’une CGT devenue tout à fait anti-nationale.Un Martinez qui se prendrait volontiers pour le petit père des Peuples au point de vouloir lui ressembler physiquement.
Sauf que Staline était aussi nationaliste qu’impérialiste.
Alors que Martinez ne rêve que de supprimer toutes les frontières et en particulier celles de son pays de naissance.
Comme Soros, il se bat contre les nations, pour le profit du CAC 40.
Dans le « Monde », journal de la bourgeoisie intello gauche caviar, il lâchait : « Je souhaite que Macron fasse le score le plus haut possible face à Marine Le Pen ».
Cela dans la droite ligne de notre Président des Riches qui déclarait récemment en Roumanie : « Je ferai tout pour que la liste du RN de MLP soit battue aux Européennes »
Que faut-il en déduire ?
Sinon que Martinez et son syndicat travaillent pour Macron et son parti En Marche.
Cette même CGT qui avait contesté en termes méprisants les GJ du début, pour les parasiter et les récupérer ensuite.
Dernièrement, on pouvait admirer un Macron tout souriant recevant un Martinez dans son plus beau costume avec une complicité de plus en plus évidente.
Un syndicat dont le but serait de défendre en priorité les travailleurs français, mais qui préfère s’engager en faveur de l’immigration de masse et de son corollaire, l’islamo gauchisme.Qu’il ne s’étonne pas si les classes populaires se tournent de plus en plus vers le RN.
C’est aussi une CGT qui avait défendu le port du voile lors de l’affaire Truchelut, mais avait laissé sans défense les quelques machinistes femmes de la RATP qui se plaignaient de l’entrisme agressif et de l’anti féminisme des musulmans radicaux de l’entreprise.
Comme le refus de serrer la main ou de conduire un bus après une femme.
Mais qui accepte le halal dans les cantines ou les prières ostentatoires sur les lieux de travail au mépris de la loi de 1905.
Qui ne s’était pas privée de réclamer le licenciement de Zemmour, selon les vœux de Bellatar.Tout en approuvant la discrimination positive, au détriment du monde ouvrier français traditionnel. Bref la CGT, comme son mentor le PC, ont choisi leur camp.
Les directives ne viennent plus de Moscou mais de la super classe mondiale financière.
Clientélisme dira-t-on …
Peut être aussi, collaboration consciente avec les forces qui nous dominent.
Des gens qui vivent dans un autre paradigme, celui des années 30.
Qui n’ont encore rien perçu du changement qui s’opère dans les mentalités au point de contribuer un peu plus à la démolition de notre Pays.
Ce qui partout ailleurs passerait pour de la trahison.
Ce qui finalement n’est pas nouveau quand on lit ce qu’écrivait Maurice Thorez, illustre figure du PCF dans le journal l’Humanité le 13 Juin 1933
«Nous communistes de France luttons pour l’annulation du traité de Versailles, pour la libre disposition des peuples d’Alsace et de Lorraine jusqu’à la séparation avec la France pour les droits de tous les peuples de langue allemande à s’unir librement».
Pendant ce temps l’URSS préparait l’annexion de plusieurs nations libres.Pour résumer, si Macron et ses affidés font prochainement un score honorable, tous les mondialistes qui narguent le petit peuple pourront remercier tous ces syndicats gauchistes dans leur hypocrisie de défenseurs des travailleurs.Onyx -
UE : Rassemblement des nationalistes sur fond de polémiques – Journal du lundi 20 mai 2019
UE : Rassemblement des nationalistes sur fond de polémiques
Influence supposée des Etats-Unis et de la Russie dans les élections européennes, démission du premier ministre nationaliste autrichien… la dernière semaine avant les élections européenne est l’occasion d’une grande offensive contre les mouvement patriotes et populistes.
Nick Conrad réitère sa haine de la France
Nouvel appel à la haine pour Nick Conrad. Quelques mois après avoir incité à prendre des blancs, le rappeur de Seine-Saint-Denis a dévoilé sa nouvelle chanson dans laquelle il dit “baiser la France”. Face à ses nouvelles provocations, le ministre de l’Intérieur a saisi le procureur de la République.
Eurovision : le triomphe de la normalité ?
Après des semaines de propagande pour faire accepter le candidat français Bilal Hassani, le verdict de l’Eurovision est tombé : les votants ont finalement préféré une chanson ordinaire sans revendication communautaire et un chanteur non travesti. La fin d’un temps ? Peut-être bien !
L’actualité en bref
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UE, France : Pourquoi Combattre ? avec Pierre-Yves Rougeyron
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Marion Maréchal : “Le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies”
Marion Maréchal a pris position aujourd’hui pour la survie de Vincent Lambert, dans un texte publié par Valeurs actuelles :
“Ce lundi 20 mai, pour la première fois, l’Etat français autorise l’euthanasie d’un être humain. Le terme, trop violent, n’est pas employé et pourtant il ne s’agit pas d’autre chose. Vincent dont le corps est paralysé et non inanimé, qui ne peut pas communiquer mais n’est pas en état végétatif, va être volontairement privé d’eau et de nourriture jusqu’à ce que mort s’en suive. Il n’y aura rien à débrancher, Vincent vit par lui-même. Et pour se donner bonne conscience, car l’agonie sera longue, le corps médical l’endormira. Comme on endort un chien qui va se faire piquer chez le vétérinaire.
1700 personnes sont dans son cas. À partir d’aujourd’hui, le principe est donc renversé, notre société peut tuer de très grands handicapés au nom de la dignité et peut-être, surtout, des économies. La famille se déchire, le corps médical s’oppose et beaucoup voient dans les dix dernières années de vie de Vincent un calvaire à abréger.
Seulement voilà, ce n’est pas à nous de décider qui est digne de vivre ou de mourir, quelle vie est acceptable ou ne l’est pas. C’est à nous, en revanche, de prendre soin des plus faibles et des plus dépendants d’entre nous. Sauf à tuer notre honneur, en même temps que Vincent Lambert.
Selon moi, le cas Vincent Lambert est instrumentalisé pour permettre une application plus large de la loi sur l’euthanasie, voire pour préparer les esprits à une nouvelle loi plus laxiste. C’est pourquoi je prends position aujourd’hui.”