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La famille des députés LFI ne cesse, depuis le 7 octobre 2023, de montrer son vrai visage : celui du soutien au Hamas. Après les outrances d'un Delogu ou d'un Raphaël Arnault, voici la proposition honteuse de celui qui devait être le ministre de l'Intérieur de Jean-Luc Mélenchon (cf. son clip de rap lunaire faisant sa promotion pour Beauvau) et qui est reçu, ce week-end, par le Syndicat de la magistrature à son congrès de Lille : le député du Nord Ugo Bernalicis.
Boualem Sansal est l’un des écrivains les plus importants de la littérature contemporaine algérienne. Depuis son premier roman, Le serment des barbares (1999), dans lequel il dénonçait les militaires « criminels qui fabriquent l’histoire », jusqu’à des œuvres aussi marquantes que 2084 : La fin du monde, description d’une société aux mains d’une dictature militaire absolue, Sansal s’est imposé comme un intellectuel courageux, osant critiquer un régime devenu une oligarchie jalouse de son pouvoir autocratique, militaire et politique. Il n’a de cesse de dénoncer la corruption endémique, la censure des voix dissidentes et l’oppression des libertés individuelles.
Depuis plusieurs années on se désole de la piètre qualité de nos dirigeants politiques. Le jeunisme qui a prévalu jusque là devait assurer un renouvellement salutaire et nous conduire à découvrir de nouveaux génies, qui devaient nous emmener vers une ère de prospérité jamais rencontrée. On allait même se délecter de leurs analyses et façons de penser… le moins que l’on puisse dire, c’est qu’on a vu le changement ça c’est indéniable. On nous a fait croire que l’énergie de la jeunesse pourrait remplacer l’expérience et en fait, ils n’ont ni expérience, ni énergie. L’originalité qui devait nous séduire n’a pas supporté le mur du réel. Dernier haut fait d’un de ces représentants, l’interview de notre ministre des affaires étrangères Jean-Noël Barrot sur Cnews. Interrogé sur la situation en Ukraine et la Russie, le ministre de ces Affaires étrangères qui semblent lui être effectivement très étrangères, adopte un regard d’acier et se perd dans son propre néant. Il s’est livré à une analyse des plus romanesques, pour rester courtois. Selon lui, La Russie est exsangue, un déficit abyssal conduirait le pays au bord de la faillite, la pénurie de main-d’œuvre le prouve et Poutine est obligé de demander l’aide aux Coréens pour soutenir le front. Il n’est quand même pas allé jusqu’à nous dire que les Ukrainiens volaient de succès en succès, mais on en n’était pas loin.
Pas de répit pour les agriculteurs et le combat qu’ils ont réengagé, il y a maintenant plus d’un mois. Alors que les actions syndicales se multiplient dans de nombreux départements pour dénoncer les conditions de travail du monde paysan et rejeter le traité du Mercosur, la Coordination rurale intensifie la pression sur la Mutualité sociale agricole (MSA).
Dans cette vidéo, Fabien Bouglé, sans doute le meilleur expert en énergie que nous ayons avec Alban d’Arguin, nous explique les conséquences catastrophiques pour la France de l’explosion du prix de l’électricité, qui cause et va causer des faillites de masse énormes, avec le chômage qui va suivre.
Député RN du Territoire de Belfort, essayiste et éditorialiste, Guillaume Bigot a présenté, en commission des affaires étrangères, le 5 novembre dernier, le résultat d’une mission d’information budgétaire sur l’usage, par la France, du budget consacré à l’aide publique au développement.
Emmanuel Macron parlera donc sur le parvis de la cathédrale, et non à l’intérieur, comme il en avait été, un moment, question. Ce sera le 7 décembre, avec la réouverture de Notre-Dame, en présence d’un nombre impressionnant de chefs d’État… et en l’absence du pape. Faut-il voir dans cette disposition un simple détail de protocole ? Pour certains, c’est le statut même des édifices religieux qui se trouve en cause, selon l’esprit et la lettre de la loi de 1905. Ce qui nous renvoie à l’interprétation du concept de laïcité, que j’ai souvent évoqué dans cette chronique.
Face à la multiplication des fusillades ces derniers mois autour de la place Saint-Bruno à Grenoble, habitants et commerçants ont manifesté leur ras-le-bol ce samedi. Tous appellent de leur vœu à mieux lutter contre les trafics et pour retrouver un environnement apaisé.