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France et politique française - Page 2165

  • Croissance en 2018 à 1,5 % : une « fake news » ?

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    La lutte contre les « fake news » a abouti, récemment, à la publication d’une loi. Certes, elle concerne les périodes préélectorales.

    En dépit de la spécificité de cette loi, que dire d’une information des plus officielles lue en ce mois de décembre dans TOUS les journaux, y compris les journaux économiques, citant leur source, l’INSEE : la croissance en France, pour 2018, serait de 1,5 %.

    Or, à partir des publications trimestrielles officielles de l’INSEE consultables sur son site, il apparaît que la croissance en France a été de :
    – 0,2 % au premier trimestre ;
    – 0,2 % au second trimestre ;
    – 0,3 % au troisième trimestre (rectificatif publié en décembre).

    Toujours selon l’INSEE (publication de décembre 2018), la croissance devrait s’élever à 0,2 % pour le quatrième trimestre.

    Partant d’une base 100, si on ajoute 0,2 %, puis 0,2 %, puis 0,3 %, puis, enfin, 0,2 %, le résultat est : 100,903.

    Conclusion : la croissance, en France, devrait atteindre légèrement plus de 0,9 % pour l’année 2018, et non 1,5 %.

    On peut ajouter :
    – que la prévision de croissance pour le quatrième trimestre, estimée à l’origine à 0,4 %, a été révisée à la baisse à 0,2 % ;
    – que la croissance au troisième trimestre a été révisée à 0,3 % après avoir été estimée à 0,4 %.

    Sans que l’estimation officielle de la croissance de 1,5 % ait été révisée, y compris dans les publications de la mi-décembre !

    Imperturbable, l’INSEE annonce, en décembre 2018, une croissance de 0,5 % pour le premier trimestre 2019, suivie de 0,4 % pour le second trimestre. Informations reprises sans commentaire dans la presse. Au-delà des erreurs de l’INSEE dans ses prévisions pour 2018, qui ne voit que la tendance est totalement différente de ces nouvelles prévisions ?

    Certes, mais voilà !
    – le budget 2018 a été « construit » sur une prévision de croissance de 1,7 % ;
    – le budget 2019 a été conçu sur la même prévision de croissance.

    Le gouvernement, l’INSEE, la presse nous tromperaient-ils délibérément pour éviter de reconnaître que les budgets 2018 et 2019 sont fondés sur des hypothèses de croissance erronées ?

    Toujours dans les communications officielles de l’INSEE, la dette de la France est passée de 2.218,4 milliards, au 31/12/2017, à 2.323,3 milliards, au troisième trimestre 2018. Soit une augmentation de 104,9 milliards en neuf mois, alors que le déficit prévu pour l’année 2018 était estimé, dans la loi de finances pour 2018, à 86,7 milliards.

    La dette étant alimentée par le déficit, pourquoi cet écart de 18 milliards à trois mois de la fin d’année, et avant la crise des gilets jaunes ?

    Quelle est la situation réelle de la France ? La dette est-elle encore en deçà des 100 % du PIB ? Le déficit est-il en deçà des 3 % du PIB ?

    En définitive, la question se pose : quand les Français auront-ils droit à la vérité et non à des « fake news » officielles ?

    Marc Devarieux

    http://www.bvoltaire.fr/croissance-en-2018-a-15-une-fake-news/

  • Paris : feu de véhicules devant le siège du Parisien, Hidalgo dénonce un acte « inadmissible » (MàJ : l’origine accidentelle est confirmée)

    L’incendie qui a pris sur une voiture avant de se propager à plusieurs véhicules samedi en début de soirée devant le siège du journal Le Parisien, à Paris, est d’origine « accidentelle », selon l’AFP qui cite une source policière.

    Le feu a pris accidentellement sur une voiture », a indiqué une source policière, précisant que le conducteur a tenté de l’éteindre avant de quitter les lieux. L’incendie s’était ensuite propagé « à six ou sept autres véhicules » stationnés à proximité du siège du Parisien et du quotidien économique Les Echos, dans le XVe arrondissement de Paris. […]

    Le Figaro

    29/12/2018

    Jean Marc Morandini
     
    @morandiniblog

    EN DIRECT - Incendie devant Le Parisien: Christophe Castaner évoque une "surchauffe de moteur" et retire son tweet http://www.jeanmarcmorandini.com/article-388934-en-direct-plusieurs-voitures-en-feu-devant-le-quotidien-le-parisien-ce-soir-aucune-revendication-officielle-a-cet-acte-police-et-pompiers-sur-place.html 

    EN DIRECT - Plusieurs voitures en feu devant le quotidien Le Parisien ce soir - Aucune revendicat...

    19h37 : Les forces de l'ordre et les pompiers sont sur place afin d'éteindre ces nombreux incendies de véhicules19h14: C'est Catherine Gasté, grand reporter au...

    jeanmarcmorandini.com
    66 personnes parlent à ce sujet
       
    Sylvain Chazot
     
    @sychazot

    Tweet de Castaner supprimé. Du coup, on ne sait pas encore l'origine du feu 

    70 personnes parlent à ce sujet

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  • Acte 7 : Les Gilets Jaunes toujours présents aux Champs Élysées.

  • Gilet jaune des villes, Gilet jaune des campagnes : où en est le mouvement après l'acte 7 ?

    Gilet jaune des villes, Gilet jaune des campagnes : où en est le mouvement après l'acte 7 ?
    © Stephane Mahe Source: Reuters
    Un gilet jaune à Bouguenais, le 10 décembre 2018 (image d'illustration).

    Le mouvement citoyen connaît, selon les chiffres du gouvernement, une baisse de mobilisation. Toutefois, soutenus par une majorité de Français selon les sondages, les Gilets jaunes ne semblent pas près de baisser les bras.

    Difficile de passer à côté : le constat qui s'impose après l'acte 7 de la mobilisation des Gilets jaunes, le 29 décembre, est celui d'un rassemblement moins dense que les précédents, certains allant jusqu'à qualifier, en cette période des fêtes de fin d'année, le rassemblement parisien d'«anecdotique».

    «Le mouvement semble poursuivre sa décrue», explique ainsi l'AFP, en fin de journée, au vu des derniers chiffres nationaux du gouvernement (12 000 manifestants en France), eux-mêmes annoncés... en milieu d'après-midi. Quant à la capitale, la préfecture de police a précisé que «seules 800 personnes [...] dans plusieurs cortèges erratiques» s'y étaient retrouvées.

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  • Gilets jaunes: Jean-Michel Aphatie enterre Emmanuel Macron

    aphatie-Dreuz.jpgJ’ai d’abord cru à du fake : Jean-Michel Aphatie mesurant l’ampleur réelle de la crise des gilets jaunes, de la colère, et appelant à une solution politique – législatives ou présidentielles anticipées. 
    Jean-Michel Aphatie reprenant à son compte les analyses développées sur Boulevard Voltaire par un Frédéric Sirgant, un Georges Michel, un Pascal Célérier, un Christian Vanneste et bien d’autres. Avec un ou deux mois de retard, certes. Mais tout de même.
    Et puis, j’ai écouté la totalité de la séquence. Verbatim :
    « On voit bien qu’il y a toujours du monde sur les ronds-points. Le ministre de l’Intérieur a dit qu’on allait tous les évacuer. Ce n’est pas le cas. Ce mouvement n’a pas vocation à s’arrêter mais à durer. Je ne sais pas pendant combien de temps le pouvoir va gérer ça. Je ne crois pas du tout à l’effet calmant du grand débat national. Nous sommes devant un problème majeur. On ne peut pas rester longtemps comme ça. Il va falloir trouver une solution, une sortie de crise, et il n’y en a pas trente-six. Je suis frappé que les actes de violence du 1er et du 8 décembre n’aient pas détourné l’opinion de ce mouvement. Ça veut dire que la colère est immense, que le lien avec celui qui incarne le pouvoir est complètement rompu. On a un problème politique d’une gravité que nous n’avons pas connue depuis très longtemps. Donc, il y a les législatives et la présidentielle. Nous en sommes là, à ce niveau de gravité. Ce n’est pas une crise ordinaire. Je ne connais pas d’autre moyen, pour résoudre une crise de cette ampleur, que de redonner la parole au peuple. »
    Après avoir avoir eu des mots très durs sur les gilets jaunes, voici que Jean-Michel Aphatie effectue un retournement de veste complet en direct sur LCI. S’il en est là, je vous laisse imaginer l’ambiance à l’Élysée. Et celle de la Saint-Sylvestre, sur les Champs-Élysées…
    Pierre Leclerc pour bvoltaire.fr

  • Mentez, mentez, il en restera toujours quelque chose… enfin, peut-être !

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    La chronique de Philippe Randa

    C’est le nouveau monstre à la mode qui défraie les landernaux politiques dans le monde entier : la fausse nouvelle ou « fake news ».

    Emmanuel Macron, à peine élu à la Présidence de la République s’est plaint d’en avoir été particulièrement victime, accusant la Russie poutinienne, par complaisance lepéniste, d’avoir abondamment fourni les réseaux sociaux en mensonges divers et variés pour l’empêcher d’accéder à la Fonction Suprême. Sans succès, à l’évidence.

    Du coup, une loi est annoncée pour lutter contre les « fake news » et beaucoup craignent qu’elle soit principalement destinée à museler les médias hostiles envers la pensée unique : que ce soit moins le mensonge qui soit à juste titre traqué que la liberté d’expression qui ne soit réprimée au nom d’une censure d’État qui n’oserait pas dire son nom.

    Paranoïa ? Manipulation politique ? Complotisme ? À l’évidence, personne ne sait trop quoi en penser. François-Bernard Huygue a donc jugé utile de publier un petit livre fort décapant pour trier le bon grain de la réelle manipulation de l’ivraie complotiste : « Fake news la grande peur » (VA Editions cliquez ici) se lit facilement en une dizaine de chapitre qui permettent de se faire une idée sur la façon de « nommer le faux », de comprendre une « fausse nouvelle », de savoir si la société actuelle baigne autant qu’on le dit dans le « faux », de découvrir qui en sont véritablement les responsables et en fin de compte, de répondre à une question qui pourrait surprendre de prime abord : les citoyens en sont-ils finalement les victimes …ou les coupables ? Enfin, existe-t-il des « remèdes » pour contrecarrer la désinformation sous toutes ses formes…

    Autrefois, en temps de guerre , on nommait cela, tout simplement, de la propagande ; à moins, que nous ne soyons déjà (encore ? toujours ?) en guerre… et que tout le monde n’en ait pas vraiment conscience. Le livre de François-Bernard Huygue n’en serait donc que plus urgent à découvrir.

    Publiée dans le quotidien Présent.

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • L’émergence d’un international-nationalisme ?

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    La fièvre nationaliste s’étend de part et d’autre de l’Europe, et ce, avec ou sans gilets jaunes : du Portugal à la Hongrie en passant par la France et la Belgique. Par exemple, la majorité de centre droit au Danemark a décidé, récemment, de mettre en place des mesures drastiques en matière d’immigration, celles-ci visant principalement la communauté musulmane (baisse des allocations pour les réfugiés, peines de prison doublées, éviction des caïds de cité et crèche obligatoire). À cela s’ajoutent l’élection de Trump aux États-Unis (en 2016) et celle, plus récente, de Bolsonaro au Brésil.

    Assurément, une lame de fond frontiériste traverse le monde occidental. La crise du libre-échangisme est en train d’éclater au grand jour. Le monde de la « flexisécurité », du « bonus-malus », du « microcrédit », du « contrat gagnant-gagnant » et du « migrant » n’arrive plus à convaincre les masses submergées par l’hyperconsumérisme prédéterminé.

    La crise de l’Occident n’est plus un fantasme pour des pessimistes patentés, mais clairement une réalité. Le nomadisme forcené, inhérent à un creusement assumé des inégalités, ne peut plus fonctionner à long terme ; si ce n’est à marche forcée. À partir de la révolution humaniste du XVIIIesiècle, l’ordre libéral-libertaire avait amorcé la libre-circulation exponentielle des biens, des marchandises, des capitaux, des actions ainsi que des familles et des individus. Mais aujourd’hui, la machine technologique s’est emballée à un niveau tel que les peuples finissent par comprendre que le nomadisme ne leur est point réservé. Ainsi, des irréductibles préfèrent leur terre à la Terre.

    Le péché originel de cet ordre consiste à faire de l’argent une fin en soi, et non un simple moyen (de même pour l’outil administratif). Celui qui est frappé par le déclassement plonge logiquement dans le sentiment d’insubsistance : il a la sensation de ne plus exister. L’ordre libéral-libertaire, faisant l’objet de tant de prédictions (de Spengler, avec Le Déclin de l’Occident, en 1918, à Fukuyama, avec La Fin de l’histoire et le dernier homme, en 1992), n’arrive plus à faire rêver les foules. Car une misère intégrale ne peut être seulement financière, mais également affective et sexuelle. De Tokyo à Los Angeles, chacun s’enferme dans son petit écran pour tenter vainement de se rendre vivant. Sans complétude, rien ne résiste à la solitude. L’homme moderne est déjà un être électrisé : à jamais connecté, c’est-à-dire sciemment immatriculé. En attendant la contamination généralisée, le paysan et l’agriculteur ont encore le courage de ne pas abdiquer. Ravaisson avait écrit, dans son Testament philosophique : « Être c’est agir ; l’action est l’existence même. » Au bout du compte, on ne réagit plus quand on ne demande qu’à agir.

    L’ordre libéral-libertaire risque de se rebiffer, autrement dit de se radicaliser. Dans ce cas, il soumettra ceux qui ne demandent qu’à être soumis (notamment à un « dieu vengeur ») et ne fera qu’un avec un totem numérique constitué par les plus performants algorithmes. Alors, tous ceux qui n’accepteront pas ce modèle civilisationnel seront voués à s’effacer d’eux-mêmes. Inéluctablement, l’ordre libéral-libertaire ne peut plus se contenter d’être totalitaire, mais ouvertement autoritaire. En attendant que s’accomplisse ce destin funeste, les « résignés-réclamants » (de Jacques Attali) veulent encore croire que le bonheur est dans le pré, voire sur les ronds-points. Dans tous les cas, ils ne veulent plus se contenter de la télé et du canapé.

    Henri Feng

    http://www.bvoltaire.fr/lemergence-dun-international-nationalisme/

  • Gilets jaunes: «C'est le mouvement de la France qui souffre»

    Gilet jaune.pngComme chaque samedi, les reporters de RT France sont allés à la rencontre des Gilets jaunes lors du septième acte de mobilisation. Si certains regrettent la faible affluence, ils comptent sur une recrudescence en début d'année prochaine.
    Ce 29 décembre, lors du 7e acte de la mobilisation des Gilets jaunes, les reporters de RT France ont rencontré et recueilli des témoignages de manifestants à Paris.
    Marcel est là pour son cinquième samedi de mobilisation à Paris. Pour lui, le mouvement des Gilets jaunes est celui de «la France qui souffre». Selon lui, la situation des personnes en situation de précarité envoie un très mauvais signal aux générations futures. «Les jeunes veulent aller vers le travail en pensant qu'ils vont vivre de leur travail et pouvoir se faire plaisir encore un peu», explique Marcel, qui compte poursuivre la mobilisation «tant que le gouvernement ne veut pas entendre» les Gilets jaunes.
  • Hausse du diesel : WikiLeaks révèle le pot aux taxes

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    Le MacronLeaks n’en finit pas de révéler des secrets. Rappelons qu’il s’agit d’un fatras d’emails de l’équipe de campagne d’Emmanuel Macron, détournés par WikiLeaks, cette « organisation » un peu trouble qui se fait une spécialité de craquer les boîtes aux lettres électroniques des puissants de ce monde et d’en dévoiler leur contenu. Le MacronLeaks avait éclaté en pleine campagne électorale 2017, mais la pêche avait été jugée, sur le coup, maigre et aucun scandale n’avait suivi ces révélations, car personne n’avait eu le temps (et le courage) de parcourir le millier de messages qui, le plus souvent, n’avaient aucun intérêt.

    Certains de ces messages refont surface et viennent d’être publiés. Il s’agit d’échanges entre Alexis Kohler et Laurent Martel, deux personnages qui avaient un rôle essentiel de conseiller du candidat Macron durant sa campagne et qui, depuis lors, l’ont suivi à l’Élysée, l’un comme secrétaire général, l’autre comme conseiller fiscalité. Daté de novembre 2016, un échange de mails débat de la possibilité d’une convergence entre les prix de l’essence et du diesel. Une convergence qui rapporterait un peu moins de sept milliards d’euros (en comptant une augmentation de 13 à 15 centimes le litre de ce carburant). Ces recettes fiscales devaient permettre de financer une baisse des cotisations patronales pour les salaires allant jusqu’à 1,6 fois le SMIC.

    Dans cet échange, Alexis Kokhler note bien que « le financement d’une baisse de cotisations patronales par une hausse de la fiscalité diesel est potentiellement progressive sous la réserve forte de faire fi des règles d’incidence (et qu’en gros, on considère que la baisse des cotisations patronales bénéficiera à l’emploi ou aux salaires) »« On considère que… » On reste donc au niveau de l’hypothèse de travail. Rien n’est moins certain.

    Dans cet échange, Laurent Martel explique à Alexis Kohler que la bascule de cotisations patronales (pour les salaires allant jusqu’à 1,6 SMIC) vers la fiscalité diesel aurait pour conséquence de peser pour 50 % sur les six premiers déciles de la population qui financerait cette mesure. Mais qu’en retour, cette population « bénéficiera » (le conseiller met lui-même les guillemets) de cette mesure « soit parce qu’ils sont déjà salariés, soit parce que leur employabilité sera accrue ». En clair : paye ton carburant plus cher pour garder ton emploi ou trouver du boulot !

    On appréciera à sa juste valeur ce passage du mail de Laurent Martel : « Mais d’autres histoires peuvent se raconter, bien sûr, pour justifier une convergence partielle gazole/essence qui rapporterait ce que l’on cherche. » Il ne s’agissait donc, dans cette tête bien faite, que de trouver la bonne fable qui permettrait de faire passer la pilule ? L’écologie avait donc bon dos !

    Les Français ont eu raison de se révolter.

    Christian de Moliner

    http://www.bvoltaire.fr/hausse-du-diesel-wikileaks-revele-le-pot-aux-taxes/

  • "Journalistes collabos": Des gilets jaunes regroupés devant les sièges de médias le 29 décembre

    Capture.pngUn important dispositif policier a été déployé devant le bâtiment de BFMTV, puis de France Télévisions.
    Plus de 300 gilets jaunes se rassemblent ce samedi matin devant l'entrée principale du bâtiment qui habite le siège de la chaîne d'information en continu BFMTV, a pu constater L'Express dont les bureaux sont situés dans le même bâtiment. 
     
    Vidéo intégrée
    Rachel Garrat-Valcarcel@Ra_GarVal

    Ils veulent que les journalistes « répondent de leurs mensonges ».  

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