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France et politique française - Page 2208

  • Le matraquage fiscal continue

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    Un député UDI a réussi à faire adopter un amendement taxant les aides aux vacances ou aux activités culturelles des salariés distribués par les comités d’entreprise. Jusque-là, le flou fiscal régnait et l’État n’effectuait aucun prélèvement sur cette manne ; il ne percevait ni cotisation sociale ni impôt sur le revenu. Cette tolérance était de facto et hors de tout cadre légal. L’amendement qui vient d’être adopté inscrit dans la loi cette exonération et l’étend aux aides des petites entreprises qui sont dépourvues de CE, mais pose des limites : au-dessus d’une franchise de 331 euros par employé (662 dès qu’il a un enfant) l’État, ou plutôt la Sécurité sociale, se servira. Et si on suit cette logique, le salarié devrait également réintégrer les sommes reçues dans son impôt sur le revenu, faisant exploser ce dernier dans certains cas.

    Les syndicats sont, bien entendu, indignés. Pour eux, ce sont les salariés les plus modestes qui seront impactés, notamment pour les vacances de leurs enfants et leurs séjours linguistiques, même si seuls les plus grands comités d’entreprise (SNCF, EDF,…) sont capables de verser par adhérent des aides qui dépasseront le seuil prévu.

    Nous sommes un des pays d’Europe où le taux de prélèvement obligatoire est le plus élevé. Néanmoins, le gouvernement continue de charger la barque sans vergogne. Le plus choquant est qu’il a baissé spectaculairement les impôts pour les ultra-riches (0,01 % de la population). Entre l’abolition de l’impôt sur la fortune et la taxation forfaitaire à 30 % des revenus financiers, ces cadeaux ont coûté 7 milliards au Trésor. Ils sont entrés immédiatement en vigueur, contrairement à la baisse des cotisations sociales ou à la suppression de la taxe d’habitation. Grâce à ce nouvel amendement, le pouvoir va récupérer peut-être 200 millions au grand maximum, une paille vis-à-vis de notre colossal déficit. Sans entrer dans la caricature et sans vouloir user d’arguments démagogiques, le gouvernement donne l’impression de ponctionner les pauvres autant qu’il le peut afin d’aider les riches.

    Une autre taxe aussi scandaleuse va se mettre en place : on devra payer 1 euro à chaque colis qui sera livré à notre domicile. En principe, les sommes colossales qui seront ainsi extorquées aux Français seront versées aux communes. Ces dernières, en échange, diminueront les taxes foncières frappant les commerces dits de proximité, principalement ceux des centres-villes. Mais je ne vois pas comment on pourra exonérer des magasins suivant leur emplacement (le contraire me semble anticonstitutionnel) et, pour finir, la diminution des taxes foncières sera répartie entre tous les commerces, y compris les hypermarchés des périphéries, ce qui diluera son effet. En outre, l’État se servira toujours (au moins 25 %), sous le prétexte de se dédommager des frais de prélèvement. Le pouvoir va donc instaurer une nouvelle usine à gaz qui va frapper les personnes qui habitent dans la France périphérique, celle où les commerces de proximité sont inexistants et où les habitants sont bien contents de commander sur Internet. Le matraquage fiscal continue de plus belle !

    Christian de Moliner

    http://www.bvoltaire.fr/le-matraquage-fiscal-continue/

  • Tristan Rochelle : « L’autonomie est la force du Bastion social »

    Le Bastion Social oeuvre pour développer la solidarité communautaire en France. Rencontre avec Tristan Rochelle, responsable de la section lyonnaise.
    KLARA VON KUSTNIZ

    Comment est né le projet Bastion social ?
    Tristan Rochelle : Le 27 mai 2017 à Lyon, une poignée de militants décidaient de tenter ce qui semblait alors l’impossible pour l’opposition nationale en France : Réquisitionner et réhabiliter intégralement un bâtiment public abandonné -appartenant à la mairie- afin d’y héberger des Français en situation de grande précarité. Après l’échec du Front National aux élections présidentielles, cette occupation fut un électrochoc pour beaucoup.

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  • Action Française • Le Bien commun, un nouveau mensuel ... « Soyons Charlie » ! Soyons Français !

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    687119300.jpgPour le bien commun 

    Le Bien Commun ?
    Parce qu’il est ce qui manque le plus aux Français et ce à quoi ils aspirent le plus.

    Il est ce qui manque le plus aux Français, à l’heure où le semble-État, au service d’intérêts oligarchiques ennemis de l’intérêt national, est devenu la proie d’élites dénationalisées ; à l’heure aussi où le régime républicain, fidèle à sa tradition, les oppose comme jamais les uns aux autres en divisant la nation en autant de factions rivales.

    Mais il est aussi ce à quoi les Français aspirent le plus, lorsqu’ils refusent la logique mortifère de la dépossession de soi dans lequel le régime les a installés afin de les contraindre à accepter un changement de civilisation qui signera leur mort en tant que peuple libre. Négation des racines chrétiennes de la France, destruction jumelle des repères anthropologiques et de la famille, immigration galopante, insécurité, zones de non-droit devenues le foyer de la barbarie islamiste, négation de la culture française, précarité économique, perte de toute souveraineté politique, financière et juridique au profit d’un pays légal supranational, tels sont les multiples visages de Gorgones de cette dépossession. Ne nous laissons pas pétrifier par la peur de les combattre !

    Le Bien Commun, donc, parce qu’il faut nous opposer à cette œuvre de mort et parier pour la pérennité d’un miracle français auréolé de quinze siècles d’histoire. Parce que nous pensons que, par-delà leur légitime diversité, les Français partagent un héritage vivant, appelé à féconder leur avenir. Parce que, tout simplement, nous croyons à l’existence d’un peuple français.

    Le Bien Commun, parce que ce qui nous réunit est plus important que ce qui nous divise, parce que nous refusons «  le désordre établi  » et que nous pensons que l’apparente décadence du peuple français « est surtout le fait de fausses élites qui l’aveuglent d’un écran de grossiers mensonges et l’étourdissent de modes et de mots »*.

    Le Bien Commun, parce que nous adressant, comme nos aînés, « au Peuple français tout entier », nous « prenons ce qu’il y a de commun entre nous et nous demandons au lecteur de se placer au même point de vue fraternel ». Parce que « nous savons qu’il y a partout du patriotisme et que la raison peut se faire entendre partout »**. Parce que nous voulons être les porte-paroles des gens qui ne sont rien, les porte-paroles du pays réel.

    Le Bien Commun, en un mot, parce que, résolument patriotes et héritiers critiques d’une longue tradition au service du seul intérêt national, il nous faut promouvoir un nationalisme pour le XXIe siècle. Parce que, résolument patriotes et résolument nationalistes, nous sommes résolument d’Action française. Parce que, résolument d’Action française, nous sommes résolument royalistes et réaffirmons, contre tous les facteurs de dissolution et de mort, notre confiance inébranlable dans les fils d’Hugues Capet pour restituer la France aux Français.  

    Le Bureau politique de l’Action française
    François Bel-Ker, Stéphane Blanchonnet, Charles du Geai, Pierre Marchand, François Marcilhac, Philippe Mesnard

    *  Manifeste de L’Action Française – 21 mars 1908
    ** Manifeste de La Nation Française – 12 octobre 1955

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Bistro Libertés avec Damien Lempereur (DLF)

    Martial Bild et Franck Tanguy reçoivent le porte-parole de Debout la France, Damien Lempereur. Ils débattent de la vague nationale-populiste planétaire et de la présence des forces de l’ordre dans les établissements scolaires pour lutter contre la violence.

  • Une Allemande prévient. Suicide de l'Europe le 10 décembre.

  • Emmanuel Macron, bel et bien continuateur d’un monde politique plus « failli » qu’« ancien » !

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    Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés

    Propos recueillis par Guirec Sèvres

    Le président français Emmanuel Macron a comparé la situation actuelle en Europe avec celle de l’entre-deux-guerres du siècle dernier en fustigeant notamment les victoires des partis populistes en Europe qu’il considère comme une lèpre ; qu’est-ce que cela vous inspire ?

    D’abord, traiter ses rivaux politiques et leurs partisans de « lépreux » est une injure à considérer comme telle, c’est-à-dire par le mépris. Une telle injure ne suscite guère de réprobation dans la classe politique, mais on n’ose imaginer quelle aurait été la réaction de celle-ci si des populistes avaient dénoncé leurs ennemis politiques, voire l’invasion migratoire, en termes similaires. On accuse (entre autres maux) les populistes de violences verbales, mais ils ont en général plus de retenue que beaucoup de leurs adversaires. Ensuite, Emmanuel Macron n’a cessé de marteler qu’il fallait en finir avec « l’ancien monde » politique : avec sa douteuse comparaison historique, il incarne justement l’« ancien monde politique » dont les représentants n’ont eu d’autres arguments, ces dernières décennies, que de brandir l’épouvantail d’un fascisme fantasmé, mal absolu s’il en était à les entendre…

    Ces dernières décennies, c’est-à-dire ? Depuis la fin de la IIe Guerre mondiale ?

    Non, depuis la fin des « Trente glorieuses », soit le début du premier septennat de François Mitterrand… Jusque-là, depuis 1945, on avait surtout l’obsession de panser les plaies des deux guerres civiles européennes, de construire une Europe forte économiquement… Mais avec les premières crises pétrolières, l’arrivée du chômage de longue durée, puis de masse, enfin avec la chute de l’URSS – soit la fin de la Guerre froide qui perdurait de façon plus ou moins larvée – et la « découverte » par les Européens de l’invasion migratoire, les gouvernements ont vu la situation se détériorer inexorablement… Des années durant – grosso modo, pour la France jusqu’à la fin du quinquennat de Jacques Chirac – les partis de gouvernement sont parvenus à persuader une majorité d’électeurs qu’il suffisait d’attendre le retour de la croissance économique pour vivre à nouveau des lendemains qui chantent… « Sœur Anne, ne vois-tu rien venir ? » a été le leitmotiv de la classe politique aux affaires, qu’il s’agisse des élus du Parti socialiste et de ses alliés communistes et écologistes ou de ceux de la droite et du centre… Les quinquennats de Nicolas Sarkozy et de François Hollande ayant été les requiem de cette droite et de cette gauche de gouvernement, Emmanuel Macron et sa République en Marche ont ramassé la mise en se présentant comme l’alternative à un monde moins « ancien » que surtout « failli »… Le naufrage du pays perdurant depuis son élection, dans l’affolement d’une situation qui lui échappe chaque mois un peu plus – chômage qui perdure et s’aggrave même selon les mois ; affaire Benalla ; démissions de Nicolas Hulot et Gérard Collomb, deux « éléphants » du gouvernement d’Édouard Philippe ; selfie équivoque avec des racailles d’outre-mer après la réception de « vogueurs » en Lunettes noires et maillots de résillelors de la Fête de la musique à l’Élysée, etc. –, Emmanuel Macron montre qu’il n’a aucun autre argument, aucune autre défense que de reprendre l’antienne du danger fasciste…

    Une rhétorique de diabolisation des Populistes qui, jusqu’à présent, a tout de même bien fonctionné pour les empêcher d’accéder aux Affaires…

    Ralentie tout au plus car les populistes sont dans des coalitions au Pouvoir en Italie, en Autriche, en Pologne et en Hongrie ou l’ont été (Slovaquie, Finlande)… Et sont rentrés dans la quasi-totalité des parlements où ils étaient jusqu’alors absents (le cas le plus significatif est celui de l’Afd en Allemagne)… Quant à la France, par deux fois en quinze ans, ils ont été au second tour de la Présidentielle, Marine Le Pen doublant en 2017 le score de son père en 2002… Mais si, en France, les Populistes n’ont pas profité davantage de l’écroulement de la droite et de la gauche de gouvernement, est-ce véritablement à cause de la diabolisation dont ils auraient été victimes… ou de leur manque de crédibilité ? Ce qui était vrai du temps de la présidence chiraquienne – Jacques Chirac fut un mauvais président, mais « savait faire président » ; Jean-Marie Le Pen préconisait des solutions de bon sens, mais pouvait-il « faire président » ? Les électeurs hésitants (ceux qui font la différence le soir d’une élection) ne l’ont jamais pensé… Et cela a été le cas également pour sa fille, surtout lors de son débat avec Emmanuel Macron. Elle a fait une campagne électorale plutôt bonne au premier tour, mais ce soir-là, elle a atterré les électeurs hésitants bien plus par sa gestuelle et ses diatribes que par ses manques d’arguments économiques… Donald Trump avait fait une campagne « destroy » contre tous ses rivaux, ce qui lui a permis d’être désigné candidat des Républicains, mais lors du débat face à Hillary Clinton – même s’il a été, dit-on, moins brillant qu’elle, et alors ? – a convaincu les électeurs hésitants qu’il « pouvait faire président »… Et quoiqu’on ait pu dire de lui, quoi qu’on dise toujours, Donald Trump « fait président », incontestablement ! Ç’aurait pu être le cas des Le Pen, père ou fille, on ne le sait pas… à ce jour, en tout cas !

    Et sur la situation actuelle en Europe qui ressemblerait à celle de l’entre-deux-guerres, qu’en pensez-vous ?

    Je ne vois pas en quoi elle lui ressemblerait « spécialement »… À cette époque, il y avait en Allemagne un grand sentiment de revanche à prendre après l’armistice de 1918 ; un danger communiste à l’Est avec la Russie bolchevique et, à l’ouest, une guerre civile en Espagne… Non, si l’on veut vraiment trouver une comparaison historique avec la situation actuelle en Europe, c’est plutôt avec celle de la France de 1789, fracturée entre pays légal et pays réel… On peut donc craindre – ou espérer – une imminente nouvelle « nuit du 4 août » qui abolirait les actuels privilèges des représentants de la finance internationale et des autoproclamés dépositaires des « valeurs républicaines ». On aimerait bien d’ailleurs avoir enfin une définition exacte de celles-ci. Cela reste pour l’heure un vœu pieux…

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Le carburant islamique des agressions contre les personnes homosexuelles

    Le carburant islamique des agressions contre les personnes homosexuelles

    Un tabou, décrypté par Joachim Véliocas :

    Alors qu’en moins d’un mois de nombreux homosexuels se sont fait lynchés gratuitement à Rouen, ParisLyon , La RéunionTarbes et Montpellier (avec un soin particulier des médias à camoufler le nom des auteurs) nous reproduisons le chapitre consacré au phénomène dans le livre Mosquées Radicales: ce qu’on y dit, ce qu’on y lit (éditions DMM). La doctrine musulmane est en cause, jusqu’aux juristes référencés par la Grande Mosquée de Paris qui prescrivent le meurtre. Extraits :

    Chapitre VII

    L’homophobie islamique

    Homosexualité : ce que dit la Sharia 

    Le droit musulman fait cas des homosexuels, et le consensus des juristes a toujours été limpide à leur endroit : peine de mort sans commutation possible.

    Le « Guide de l’étudiant[1] » de l’école d’imâms Grande Mosquée de Paris, préfacé par Dalil Boubakeur, programme en « référence annexe » la Risâla de Zayd al-Qayrawani (922-996), traité de droit sunnite de référence. Compendium destiné à vulgariser la charia, enseigné officiellement au Maroc ainsi qu’en Algérie, il précise la légalité de la mise à mort des homosexuels :

    «Si un homme commet l’acte de sodomie avec un mâle adulte consentant, les deux doivent être condamnés à mort, musulmans ou non» (chapitre 37, des prescriptions relatives aux délits de sang et aux peines légales).

    L’ouvrage, fondamental, est disponible en plusieurs exemplaires à l’Institut du Monde Arabe[2], aussi bien dans la « librairie boutique » du rez-de-chaussée que dans la bibliothèque. Toutes les librairies musulmanes de France le vendent.

    Parmi les savants contemporains de l’islam faisant autorité, Yusûf al Qaradawi, également cité en référence dans le Guide de l’étudiant de la Grande Mosquée de Paris, ne dit pas autre chose. Dans son ouvrage « Le licite et l’illicite » (éditions al-Qalam, 2002) il s’interroge sur la manière la plus « pratique » d’éliminer les homosexuels :

    «Est-ce que l’on tue l’actif et le passif ? Par quel moyen les tuer, est-ce avec un sabre ou le feu, en les jetant du haut d’un mur ? Cette sévérité qui semblerait inhumaine n’est qu’un moyen pour épurer la société islamique de ces êtres nocifs[3]»

    Voilà la pensée du président du Conseil Européen de la Fatwa et de la recherche, organe de prescriptions juridiques de l’UOIF, pour qui Tariq Ramadan dit « éprouver un profond respect[4] ». Ce livre  de Qaradawi était présent dans le rayon « islam » de la Fnac des Halles en juin 2015,  il faut dire que c’est une des meilleures ventes chez les musulmans pratiquants.

    Autre best-seller vendu non seulement à la Fnac, mais dans tous les hypermarchés Carrefour pour son rayon ramadan à l’été 2014, « La voie du Musulman » du ckeikh algérien El Djazairi, recommande dans son chapitre IX sur les « sanction pénales » la mise à mort des homosexuels (voir infra).

    Sur les forums internet musulmans, les avis sont souvent tranchés : les homosexuels doivent mourir. Sur le premier forum islamique de France, Mejliss, émanation du site de référence Oumma.com, on peut lire :

    « (…) le Prophète de l’Islam (bénédiction et salut soient sur lui) déclare : « Si vous trouvez des personnes en train de pratiquer la pédérastie tuez-les toutes les deux » C’est-à-dire si les deux partenaires sont consentants. » Le hadith est rapporté par at-Tarmidhi dans ses Sunan, n°1376. Les ulémas de l’Islam tels que Malick, Shaf’i , Ahmad et Ishaq soutiennent qu’on doit appliquer à l’homosexuel la peine de l’adultère , qu’il soit marié ou pas.[5]» .Une autre internaute renchérit : «il est dit que nous devons tuer ces genres de personnes[6]»

    Mohamad Ratib Nabulsi, le 28 avril 2011 sur la télévision Al-Aqsa du Hamas, affirma « L’homosexualité mérite la peine de mort [7]». Professeur de jusrisprudence islamique à la prestigieuse Université Al Azhar du Caire, savant mondialement reconnu, il connaît la charia sur le bout des doigts.  Un visa de séjour en mai 2013 lui fut pourtant délivré pour sa conférence[8]à la mosquée UOIF de Nantes financée à hauteur de 200 000 par la mairie PS en 2009[9].

    Il n’y a pas de débat chez les juristes musulmans sur le sort des homosexuels. Il est donc mécanique que les homosexuels en France rencontrent l’incompréhension de musulmans radicalisés, c’est le moins qu’on puisse dire au vu de la multiplication des agressions homophobes ces dernières années.

    https://www.lesalonbeige.fr/le-carburant-islamique-des-agressions-contre-les-personnes-homosexuelles/

  • Élections européennes : bourrage de crâne et lavage de cerveau au programme

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    Emmanuel Macron, en mettant en garde les Français contre un retour aux années 30, sombre dans le ridicule. Non seulement il ne connaît rien à l’Histoire – Luc Ferry lui a fait remarquer que « la comparaison est franchement absurde […]. Marine Le Pen et Matteo Salvini ne sont pas nazis » –, mais il ne se grandit pas en jouant à son petit propagandiste, ce qui, pour le coup, nous ramène aux années 30, années durant lesquelles la propagande avait ses orfèvres…

    Surtout que sa propagande se situe au ras des pâquerettes. Tenez ! Dans une infographie intitulée « Les élections européennes, quand et comment ? », le gouvernement affirme qu’il faut être français pour pouvoir voter. Le hic, c’est que, pour ces élections, tous les ressortissants de l’Union européenne résidant en France peuvent voter. L’auteur de ces informations semble ignorer, également, que les eurodéputés siègent par groupes politiques : apparemment, il n’a jamais mis les pieds au Parlement, fût-ce par l’intermédiaire de la télévision.

    Contacté par Le Journal du dimanche, le Service d’information du gouvernement, à l’origine de cette campagne, a expliqué que « ces imprécisions » étaient dues à une « volonté de vulgarisation ». C’est bien connu, on peut raconter n’importe quoi au peuple, il n’a pas besoin de connaître la vérité et se contente d’approximations. C’est, précisément, le propre de la propagande d’utiliser tous les moyens, même les plus malhonnêtes, pour influencer l’opinion : une caractéristique des États totalitaires.

    La propagande, notre gouvernement ne s’en prive pas. C’est souvent si lourd que ça lui retombe sur le nez. Voyez ce clip qui appelle les Français à voter pour les élections européennes, un clip officiel, réalisé aux frais des contribuables. On s’attendrait à un clip objectif, se limitant à inciter les électeurs à voter. Mais il est orienté – c’est le moins que l’on puisse dire. Quatre questions sont successivement posées : « Immigration : maîtriser ou subir ? », « Climat : agir ou ignorer ? », « Europe : union ou division ? » et « Emploi : partenaires ou concurrents ?  »
    Pour illustrer ces questions, des images suggestives (un texte écrit ou oral serait sans doute trop compliqué pour la majorité des Français) : migrants secourus en mer, mères portant leurs enfants, catastrophes naturelles et, pour épouvantails, un Salvini et un Orbán haranguant les foules. Le tout accompagné d’une musique tragique, qui vous empêche de réfléchir.

    À droite comme à gauche, on dénonce l’instrumentalisation de l’Europe à des fins politiciennes. Jean-Frédéric Poisson, le président du Parti chrétien-démocrate, a même écrit au président de la Commission des comptes de campagne et appelle à signer une pétition pour « imputer les frais de création et de diffusion de cette vidéo aux dépenses de propagande électorale ». Il n’y a que les élus LREM qui ne trouvent rien à redire à ce clip : il est vrai qu’ils ne sont que des marionnettes, qui obéissent à leur maître au doigt et à l’œil.

    Le problème, pour notre Président, c’est que sa communication est si caricaturale qu’elle en souligne les défauts. Il ne se pose même pas la question de la pertinence de ses positions. Serait-il, comme le commente Luc Ferry, « en train d’anticiper une défaite cuisante » ? C’est bien possible, ce qui expliquerait son burn out et ses erreurs de communication. Hier après-midi, à Honfleur, il a répété aux passants : « Je ne lâche rien », « je ne change pas », « je vais toujours au même rythme ». Il va même plus vite que le temps : à deux reprises, il a confondu le 1er novembre et le 1er de l’An.

    Décidément, il n’est plus maître des horloges, il n’est plus maître de rien. Non seulement il perd la confiance des Français, mais il est près de perdre confiance en lui-même. D’ici qu’il perde la boule !

    Philippe Kerlouan

    http://www.bvoltaire.fr/elections-europeennes-bourrage-de-crane-et-lavage-de-cerveau-au-programme/

  • Blocages du 17 novembre 2018 : les pages facebook

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