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France et politique française - Page 2210

  • Trêve hivernale : les squatteurs ne seront plus protégés par la loi

     

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    Un discret amendement à la loi logement empêche désormais les occupants illégaux d’invoquer la trêve hivernale, qui début ce jeudi, pour éviter d’être expulsés. Explications.

    Ce jeudi, débute la trêve hivernale. Jusqu’au 31 mars, les locataires ne peuvent pas être expulsés de leur logement mais une procédure peut être entamée par le propriétaire. En revanche, cette période de cinq mois ne protège plus les squatteurs de logement. C’est un discret amendement à la loi logement, qui devrait bientôt être promulguée, qui a mis fin à cette anormalité. Désormais, seuls les locataires bénéficiant d’un bail, qu’il s’agisse d’une location vide ou meublée, seront protégés par la trêve hivernale.

    Cette mesure était pourtant inscrite dans le Code des procédures civiles d’exécution depuis mars 2014 mais «les préfets se retranchent derrière la trêve hivernale pour ne pas intervenir», dénonce un parlementaire. Pourtant, la loi interdit certes de déloger, par la force, des occupants d’une habitation en dur mais elle précise aussi que «le juge peut supprimer le bénéfice du sursis lorsque les personnes, dont l’expulsion a été ordonnée, sont entrées dans les lieux par voie de fait» (article L412-6). Par «voie de fait», comprenez par effraction (carreaux de fenêtres cassés, serrures fracturées ou changées) ou par violences physiques. Mais que se passe-t-il si ce n’est pas le cas? Aucune expulsion n’est prévue. Un vide juridique dont ont profité les squatteurs pour éviter d’être expulsés.

    L’article 58-ter de la loi logement, voté par les députés, prévoit donc désormais de faciliter les expulsions des squatteurs pendant la trêve hivernale. Pour inciter les préfets à recourir plus systématiquement aux forces de police, la loi logement donne une définition plus précise des squatteurs. Sont identifiés comme tels, «les personnes entrées sans droit ni titre dans le domicile d’autrui, à l’aide de manœuvres, menaces, voies de fait ou contraintes».

    Pour le député LR du Vaucluse Julien Aubert, «la loi logement ne va pas assez loin». «Je propose de créer un délit d’occupation sans droit ni titre de tout bien immobilier. Il serait inscrit dans le Code pénal et permettrait de punir plus sévèrement ces actes: trois ans de prison et 45.000 euros d’amende (contre un an de prison et 15.000 euros d’amende actuellement)», explique-t-il. Cette proposition de loi a pour l’heure été rejetée par la majorité.

    Source : Le Figaro

    https://www.news.suavelos.eu/france-treve-hivernale-les-squatteurs-ne-seront-plus-proteges-par-la-loi/

  • Combien de temps avant la « Purge » ?

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    Gérard Collomb ne pouvait être plus clair. Exhumé par Valeurs actuelles, le constat de celui qui fut notre ministre de l’Intérieur est sans appel. À la question du journaliste qui lui demandait ce qu’il craignait, « une partition ou une sécession », Collomb répondit ceci : « Oui, je pense à cela. C’est ce qui me préoccupe, d’ici cinq ans, la situation pourrait devenir irréversible. » Ces mots nous parviennent quelques jours après que le premier secrétaire du Parti socialiste, Olivier Faure, a exprimé en direct ses craintes en observant une « colonisation à l’envers« .

    On peut souffler, tempêter, on peut laisser l’amertume nous ronger en pensant que cela fait trente ans que certains prophètes alertent sur l’épilogue inévitable. Nous en avons eu, des Cassandre qui prédisaient la chute de Troie. Nous avons eu nos cohortes de Byzantins préférant débattre du sexe des anges pendant que les Ottomans escaladaient leurs murailles. À la différence, sans doute, que nous sommes les citoyens d’une Troie qui est fatiguée de vivre, à la différence que nous ne débattons plus du sexe des anges mais de celui assigné à nos enfants par quelque construction sociale.

    On peut, effectivement, se rasseoir en se disant qu’on l’avait bien dit. Ou alors on peut se réjouir en considérant que cette situation dramatique n’est pas encore irréversible, justement.

    Les événements de ces derniers jours ont agi aussi comme un rappel du réel. D’un côté, des racailles se servant des réseaux sociaux pour appeler à la « Purge », du nom d’un film connu en France sous le titre d’American Nightmare. Le principe ? Pendant une nuit, tous les droits sont suspendus et malheur à ceux qui seraient hors de chez eux. Bien évidemment, c’était, à la base, la blague d’un ado confondant réalité et fiction, URL et IRL. Mais tellement emblématique de l’époque que nous vivons.

    Pendant ce temps, notre Président si mal élu se remet tranquillement d’un coup de fatigue. Pendant ce temps, notre Jupiter foudroyé depuis l’Olympe alerte sur un possible retour des années 30. Péchant par ignorance, il oublie un fait important : les émeutes du 6 février 1934 n’étaient qu’une conséquence de décennies de corruption et d’atermoiements. Le 6 février 1934 et les morts ont été le fait des princes de l’époque. Ce ne sont plus des bourgeois factieux que la France affronte mais des milliers de bandes ultra-violentes non intégrées et insensibles au sort du pays qui les accueille et les nourrit. Un pays tenu par des élites qui pratiquent l’auto-détestation de ce qu’ils sont ne saurait survivre, fût-il protégé par des frontières. Plus que jamais, il est urgent de faire aimer la France.

    Dans six mois, les européennes permettront aux électeurs d’imposer un Parlement anti-technocratique et souverainiste. Dans un peu plus d’un an, les municipales permettront aux électeurs d’élire des maires compétents. Dans un peu plus de trois ans, nous aurons la possibilité d’élire un chef de l’État et des députés câblés pour répondre à l’urgence. Mais il est illusoire d’engager une transformation en commençant par le haut. Principe de subsidiarité oblige, c’est par la base que le pays se transformera. C’est ce que Macron a oublié, et c’est sans doute sa plus grande erreur. Début de réponse le 17 novembre ?

    Marc Eynaud

    http://www.bvoltaire.fr/combien-de-temps-avant-la-purge/

  • À FRIVILLE-ESCARBOTIN (80) : LES CLANDESTINS SE FONT LA MALLE...

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    Un communiqué de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :

    La plupart des clandestins installés autoritairement à Friville-Escarbotin (80) par le préfet la semaine dernière, avec la complicité active de la municipalité, sont partis. D'une part, parce qu'ils souhaitent passer en Angleterre et vont tenter leur chance à Calais, Dieppe, Ouistreham ou Dunkerque. Et d'autre part, parce que, la veille de leur arrivée, les militants du Parti de la France avaient alerté les habitants de l'arrivée ces migrants. Il en a été de même à Moreuil (80).

    Quoi qu'en dise la presse locale xénophile pro-invasion, les habitants des communes concernées étaient en très grande majorité hostiles à l'installation de ces clandestins, et la mobilisation des militants locaux du Parti de la France a été particulièrement appréciée et soutenue.

    Partout où il le pourra, le Parti de la France sera aux côtés des Français qui refusent que leur commune soit colonisée par des migrants.

    Source cliquez ici

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/01/a-friville-escarbotin-80-les-clandestins-se-font-la-malle-6101769.html

  • L’histoire de la Guerre d’Algérie entre en résonance avec de nombreux problèmes de la société française de 2018

    L’histoire de la Guerre d’Algérie entre en résonance avec de nombreux problèmes de la société française de 2018

    Le 1er novembre 1954, les terroristes du FLN commettaient une série d’actes criminels, déclenchant les hostilités de la terrible Guerre d’Algérie. Plus de 60 ans après, cette histoire, manipulée par le régime gaulliste et l’extrême-gauche, dans une complicité abominable, continue d’être occultée. Dans la ligné de ses ouvrages destinés à combattre la désinformation sur des faits historiques, Jean Sévillia vient de publier Les Vérités cachées de la guerre d’Algérie (Fayard). Il a accordé un long entretien au Figaro Magazine du 26-27 octobre. Extraits :

    Pourquoi avoir écrit maintenant une histoire de la guerre d’Algérie ?

    J’en ai éprouvé le besoin, dans la lignée de mes travaux sur ce que j’ai appelé « l’historiquement correct », parce que nous sommes à un tournant générationnel. Ceux qui ont vécu la guerre d’Algérie disparaissent peu à peu, tandis que les jeunes générations connaissent mal cette période, ou en ont la vision biaisée diffusée par l’historiographie qui domine dans l’enseignement secondaire ou supérieur, comme par le conformisme médiatique. (…) J’ai donc voulu écrire, à l’attention du grand public, un livre de synthèse sur les événements qui se sont déroulés entre 1954 et 1962, mais surtout un livre débarrassé des préjugés idéologiques qui pèsent sur cette phase douloureuse de notre passé récent. Cette histoire entre en résonance avec de nombreux problèmes de la société française de 2018 : la question de l’intégration, de l’identité culturelle des musulmans français, du lien social dans une société multiethnique, de l’islamisme, du terrorisme, etc. Il s’agit d’une page d’histoire aux accents profondément actuels.

    Certains faits sont-ils occultés ?

    Ils sont d’abord déformés, et même mythifiés, et c’est pourquoi il convient d’examiner, dans l’ordre chronologique, tous les points chauds de la guerre d’Algérie : l’antécédent de l’émeute déclenchée à Sétif le 8 mai 1945 et de sa répression, l’insurrection du Constantinois en août 1955, la bataille d’Alger en 1957, le putsch des généraux en 1961, l’OAS, la réalité de la manifestation des Algériens à Paris le 17 octobre 1961, les accords d’Evian, l’exode des pieds-noirs, le massacre des harkis, etc. Mais dans mon livre, j’aborde aussi des pages de la guerre d’Algérie qui sont méconnues ou de facto occultées. Par exemple l’affrontement sanglant, en Algérie comme en métropole, entre le FLN et son concurrent du Mouvement national algérien (MNA). Ou les vagues de purges au sein du FLN. Ou le facteur religieux : à l’extérieur, en effet, le FLN parlait droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, libération de la tutelle coloniale, droits de l’homme. Mais dans l’Algérie profonde, ses recruteurs n’hésitaient pas à recourir au discours du djihad : un appel à chasser les infidèles, aussi bien les chrétiens que les juifs. Cette dimension a été minimisée, voire totalement ignorée, à l’époque, par la gauche anticolonialiste. Il est de même méconnu que les musulmans engagés aux côtés de l’armée française ont toujours été plus nombreux que les militants indépendantistes.

    Vous dénoncez une histoire en noir et blanc…

    Nous subissons aujourd’hui une histoire manichéenne. Celle-ci instruit à charge contre les méthodes employées par l’armée française en Algérie – problème que je ne nie pas, puisque je lui consacre un chapitre entier de mon livre – mais en oubliant que les militaires français ont affronté un mouvement terroriste : de 1954 à 1962, le FLN a systématiquement pratiqué la terreur contre les musulmans pro-français et contre les Européens d’Algérie. Or cette réalité est totalement occultée : on dénonce la torture par l’armée française, jamais les attentats commis par le FLN. De même, l’action sociale, scolaire, sanitaire et médicale conduite par les militaires français, notamment au sein des SAS (Sections administratives spécialisées), mérite d’être soulignée, même si les regroupements de population sont sujets à débat. Lorsqu’on fait de l’histoire, on doit tout mettre sur la table.

    Comment expliquez-vous que le contentieux franco-algérien perdure à propos de cette guerre ?  

    Depuis 1962, le FLN instrumentalise ce passé, d’abord sur le plan des chiffres. La guerre d’Algérie, tous camps confondus, a fait entre 250 000 et 300 000 morts. Cela est déjà considérable, mais ne correspond nullement au million et demi de victimes algériennes dont parle la propagande de l’Etat FLN. Les dirigeants algériens invoquent les crimes commis par l’armée française, mais on attend encore, de leur part, une autocritique concernant la violence qu’ils ont employée à l’époque, notamment à l’encontre des harkis que le gouvernement français avait abandonnés. Alors que neuf Algériens sur dix n’ont pas connu la guerre d’indépendance, les plus jeunes restent éduqués dans cette idéologie victimaire. (…) Les jeunes franco-algériens, pour la plupart, sont également baignés dans cet univers mental. Ils vivent avec l’idée que la France aurait commis des crimes à l’égard de leurs grands-parents, ce qui est un frein puissant à l’intégration : comment aimer un pays dont on pense qu’il a martyrisé sa famille ? Cette question va jusqu’à nourrir le terrorisme, beaucoup d’islamistes étant persuadés de venger leurs aïeux lorsqu’ils mènent le djihad contre la France. C’est pourquoi la transmission de la vérité historique sur la guerre d’Algérie, dans toutes ses nuances et toute sa complexité, est un enjeu civique. (…) Les Algériens ne sont pas des victimes éternelles envers lesquelles nous aurions une dette inextinguible. Le statut de victime, pas plus que celui de bourreau, n’est héréditaire. Faisons la part des responsabilités de chacun à travers un travail historique juste, et passons à autre chose.

    https://www.lesalonbeige.fr/lhistoire-de-la-guerre-dalgerie-entre-en-resonance-avec-de-nombreux-problemes-de-la-societe-francaise-de-2018/

  • Contre la politique de la clique mondialiste, en attendant la grève générale : à partir du 17 novembre la France sera bloquée

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    La colère gronde, les automobilistes appellent à se mobiliser le 17/18/19/20 novembre, contre l'augmentation du prix du gasoil/essence. Des dizaines d'opérations escargots sur les autoroutes de France partout sont prévues. Un seul responsable : le pouvoir mondialiste !

    La Ligue du Midi appelle au blocage :

    Savez-vous que depuis le mois de janvier 2018, à la pompe, le gazole a augmenté de près de 50 centimes, soit une hausse de l’ordre de 50 % en 10 mois ?

    Ça ne peut plus durer… Pour un automobiliste lambda de la France périphérique qui prend son véhicule pour aller travailler chaque jour, la dépense supplémentaire est de 120 euros par mois, soit près de 250 euros pour un couple. Dans ces conditions, nombreux sont ceux qui se demandent si ça vaut « vraiment le coup » d’aller travailler en ville, surtout si l’on rajoute l’usure du véhicule, le parking, les radars, la garde des enfants, la cantine etc…etc.

    Selon un sondage IFOP publié par le JDD, 77 % des Français jugent que leur pouvoir d’achat a diminué depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Aussi, le gouvernement qui sent la colère populaire gronder, tente de se défausser en accusant l’augmentation des cours du pétrole, et prétend « Taxer la pollution plutôt que les travailleurs ». Foutaises… En fait, ils ne font rien contre la pollution – exemple du glyphosate ou du nucléaire –, mais ils sont en train de ruiner les travailleurs et plus généralement les couches populaires qui représentent la grande majorité de la population.

    Ce gouvernement est en train de ruiner la FranceLe « système » à la solde de Bruxelles et des multinationales a un besoin impératif de croissance qu’il tente de trouver en finissant de livrer aux marchés les derniers pans du patrimoine commun : services publics, participations publiques, fonctions régaliennes, tout va y passer… MACRON n’est là que pour finaliser la « grande braderie », car les marchés n’ont pas besoin de travailleurs mais de consommateurs même insolvables. Leur consommation sera financée par la suppression de notre protection sociale et par la dette qui sera ponctionnée sur le patrimoine financier et foncier de la classe moyenne de souche. Un immense transfert social est en train de se produire, les classes populaires doivent être ruinées pour que les nouveaux venus puissent consommer et produire de la croissance.

    Les automobilistes et motards sont d’autant plus en colère que l’État tente de les culpabiliser afin de les tondre un peu plus chaque jour : de nouveaux radars haute performance, capables de flasher 32 véhicules à la fois, des retraits de points en folie, des contrôles techniques angoissants…

    Face à un État centralisateur aux mains des mondialistes qui stérilise tout contrepouvoir et digère toutes les oppositions conventionnelles au parlement, seule la mobilisation de terrain peut être efficace. Rares sont les hommes politiques venus au renfort des aspirations du peuple. Le vide s’est fait entre le pouvoir et le peuple. Les partis électoralistes conventionnels sont aux abonnés absents. Des opportunités historiques vont se faire jour, il n’y a plus rien entre le peuple et ce pouvoir en phase de décomposition finale.

    Car ce pouvoir malgré son arrogance est extrêmement fragile, son socle de légitimité est trop faible pour qu’il puisse contenir la poussée qui monte inexorablement… Qui dans l’administration ou dans la société civile le protégera contre un mouvement populaire de vaste ampleur ?

    Souvenons-nous de la « révolution de jasmin » en Tunisie et le départ de BENALI, parce qu’un marchand à la sauvette s’était fait brutaliser par un policier à Sidi Bouzid. Des conditions analogues se présentent à nous. Un premier ballon d’essai nous est proposé : celui des actions à travers tout le territoire le 17 novembre qui pourraient tout emporter.

    Qui peut savoir qui ou quel évènement fera reculer ce régime ? Quelle sera la goutte qui fera déborder la coupe « trop pleine » ? Cette goutte sera peut-être celle du prix du gazole et des carburants qui prend à la gorge les familles d’ouvriers, de cadres, d’artisans, d’entrepreneurs…

    Les identitaires et patriotes doivent venir en soutien et contribuer à la réussite de la mobilisation du 17 novembre. Nous devons tout faire pour développer ce mouvement et pour le faire déboucher sur ces questions vitales pour notre peuple qui sont celles du déclassement et de la paupérisation.

    Richard Roudier

    Consignes

    La 17 novembre : ne faire « aucun achat », n’aller dans « aucune banque », ne « pas se servir aux pompes » à essence, « aucun cinéma », « aucune dépense » de quelque sorte, pas « un seul centime », « aucune caisse en marche dans tout le pays », « ne pas prendre de transports en commun », pas de péages, parkings, autoroutes, là oui on bloque ce qui emmerde le plus le gouvernement c’est à dire « LE FRIC »

    En voiture, moto, scooter… amenez vos gilets jaunes !!!

    * comme partout en France

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/01/contre-la-politique-de-la-clique-mondialiste-en-attendant-la-6101707.html

  • Pierre Vial, Président de Terre et Peuple, apporte son soutien à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre prochain

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    Pierre Vial, Président de Terre et peuple, invite les adhérents et sympathisants du mouvement à participer, dans un souci unitaire et avec les drapeaux tricolores frappés de l'Edelweiss, à la marche de la Reconquête du samedi 10 novembre organisée par le Dissidence française de Vincent Vauclin.

    Le communiqué de la Dissidence française :

    Le samedi 10 novembre à 15h s'élancera la Marche de la Reconquête, contre l'immigration massive et pour l'instauration immédiate de la préférence nationale !

    MOBILISATION GÉNÉRALE !

    Nous lançons aujourd'hui un appel à tous les nationalistes et patriotes français : soyons nombreux à répondre présents à cet évènement, pour enfin faire entendre notre voix et ne plus laisser la rue aux ennemis de notre pays !

    Cette manifestation a été déclarée en préfecture et son parcours approuvé par les pouvoirs publics. Plusieurs organisations patriotes seront représentées lors de cette grande manifestation unitaire.

    Invitez vos amis et partagez massivement cet évènement, nous comptons sur vous !

    RDV LE SAMEDI 10 NOVEMBRE 2018 À 15H
    PLACE DE LA BOURSE, PARIS (2ème ARR.)

    L'appel de Vincent Vauclin :

  • Délivrer les Français de l’emprise des médias

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle ♦ Les médias représentent aujourd’hui le premier pouvoir, avant le judiciaire, l’exécutif et le législatif. Mais s’ils dominent les politiques, ils ont aussi placé les Français sous influence. Tous adeptes de la pensée unique, ils cherchent à les endoctriner en utilisant les méthodes classiques de manipulation de l’opinion. Les Français se trouvent dès lors privés d’informations objectives et soumis à une propagande qui n’est pas sans effet. Ligne droite considère donc comme essentiel de délivrer nos compatriotes de cette emprise et pour ce faire d’imposer la pluralité aux médias.

    La mise sous influence des Français

    Aujourd’hui, ceux-ci contrôlent en effet la vie nationale. Ils ont pris le pas sur le pouvoir politique, mais ils se sont aussi imposés auprès des autres acteurs du pays. Il n’est guère d’activité qui échappe à leur impérium. Les entreprises les craignent, les fonctionnaires et les professionnels aussi. Ils font et défont les carrières et décident de ce qu’il faut penser. Ce sont eux qui désignent ceux qu’on doit aimer et ceux qu’il est bon de détester.

    Or, ce pouvoir d’influence n’est évidemment pas neutre idéologiquement ni politiquement. Derrière l’affichage d’un pseudo-professionnalisme souvent caricatural, ce sont les mêmes mots d’ordre et les mêmes techniques qui sont utilisés, quel que soit la chaîne ou le support, pour défendre et promouvoir l’idéologie du Système.

    Une atteinte aux libertés et à la démocratie

    Dès lors, soyons clairs, les Français se retrouvent dans une situation comparable à celle des citoyens des démocraties populaires à l’époque de l’URSS. S’ils ne risquent pas le Goulag, ils sont en revanche confrontés à un système médiatique totalement verrouillé ainsi qu’à une idéologie officielle qui leur est imposée. Et s’il n’y a pas de médias officiels, la configuration n’en est que plus malsaine, car elle est dissimulée au point que beaucoup de Français n’ont pas conscience d’être la cible d’une manipulation. Nos compatriotes sont ainsi privés d’informations objectives et soumis à un endoctrinement caractérisé. Et malgré leur esprit critique, nombre d’entre eux se laissent aveugler et renoncent à s’opposer.

    Il est vrai que le Système utilise pour se protéger un argument très fort, celui de l’émotion et des bons sentiments. Pour obscurcir l’esprit des Français et les détourner de leur instinct identitaire, les tenants du politiquement correct n’hésitent pas en effet à montrer par exemple la misère des migrants, voire la mort de certains d’entre eux, fussent-ils des enfants. L’idée est d’émouvoir nos compatriotes en faisant appel à leurs bons sentiments pour les amener à accepter le volet le plus traumatisant de la pensée unique, à savoir l’immigration. Et beaucoup, n’entendant aucune voix contraire, se laissent entraîner sur un chemin qu’ils n’auraient peut-être pas suivi autrement.

    On peut dès lors affirmer que, les médias, par leur puissance et leur quasi-monopole, limitent les libertés de nos compatriotes. De ce fait ils faussent les votes et assurent artificiellement la survie du Système tout en empêchant le grand changement.

    Remettre les médias à leur place

    Devant cette situation, ô combien malsaine, Ligne droite estime nécessaire de remettre les médias à leur place. Jusqu’à présent, aucun dirigeant n’a eu le courage de tenter une telle mise en ordre, car c’est à une réaction violente et dévastatrice qu’il s’exposerait ainsi qu’à l’accusation terrible de vouloir mettre en cause la liberté de la presse. Un mot d’ordre incapacitant qui vise à neutraliser par avance toute tentative de remise en cause du statut actuel des médias.

    La liberté de la presse : pour les journalistes ou pour les Français ?

    La question de la liberté de la presse est pourtant très ambiguë. Si nous vivions sous un régime officiellement totalitaire, il s’agirait de mettre fin à la censure. Mais il y a longtemps que celle-ci n’existe plus dans notre pays.

    Dès lors, quelle est cette liberté de la presse qui serait si importante à préserver ? Est-ce la liberté des journalistes d’écrire ce qu’ils veulent ? Sans doute est-ce l’idée que s’en font les intéressés mais une telle conception est totalement illégitime car elle conférerait à la caste des journalistes des privilèges hors du commun.

    De même, la liberté de la presse ce n’est pas la liberté des patrons propriétaires de médias de faire dire ou écrire ce qui leur plaît. Une telle conception, qui correspond pourtant aux usages actuels, est là encore totalement illégitime car elle accorderait un avantage indu aux milieux d’argent.

    Non, dans le monde d’aujourd’hui, la liberté de la presse devrait plutôt se définir comme la possibilité offerte à tous les Français de disposer de journaux ou d’émissions qui correspondent à leur sensibilité. En d’autres termes, la liberté de la presse c’est le pluralisme dans les médias.

    Imposer le pluralisme

    Aussi, pour délivrer les Français de l’emprise médiatique, la droite nouvelle devra rétablir une véritable diversité politique et idéologique de la presse ainsi que des chaînes de radio et de télévision. De nombreuses dispositions pourront être prises à cet égard, à commencer par la réforme du financement public des médias. Dans la mesure où il est assuré avec des crédits publics venant de toute la population, le système actuel exige qu’une partie des contribuables payent pour des médias qui s’en prennent à leurs convictions et bafouent leurs valeurs. Il s’agira donc de remplacer ce système par un dispositif démocratique et transparent qui permettra aux Français de financer directement les médias de leur choix.

    Quant au secteur de la publicité qui procure aux médias une fraction déterminante de leurs ressources et qui utilise cette position stratégique pour empêcher toute émergence d’un média nouveau non politiquement correct, il devra faire l’objet d’une restructuration notamment pour casser la prééminence de Publicis.

    Il conviendra en outre de réformer le CSA pour qu’il reflète enfin la réalité de l’opinion et intervenir dans les écoles de journalisme, aujourd’hui totalement soumises à la pensée unique, pour y introduire une véritable diversité de convictions.

    Libérer la parole

    Par ailleurs, la parole devra être libérée aussi bien pour les journalistes de droite que pour les Français en général. La répression qui s’exerce actuellement sur tous ceux qui ne communient pas dans la pensée unique devra être supprimée. Il conviendra pour cela de priver la justice des lois prétendument antiracistes dont elle se sert à cette fin.

    Le rétablissement du pluralisme dans les médias et la remise en cause de leurs pouvoirs et de leur prééminence aideront à rendre leur liberté aux Français et leur permettront ce faisant de mieux discerner la voie de leur intérêt collectif.

    Ligne droite 28/10/2018

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : Noah Fischer via Pixabay cco

    https://www.polemia.com/delivrer-les-francais-de-lemprise-des-medias/

  • Du carnaval moche au vandalisme, voire au terrorisme

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    Bernard Plouvier

    Passé du rituel celtique au Nouveau Monde anglo-saxon, revenu en Europe occidentale pour familiariser les enfants, grands et petits, avec le parfum de l’horreur, Halloween pourrait bien devenir une occasion d’émeutes pour la racaille autochtone et immigrée.

    Vous la connaissez – même si le pouvoir et les media font semblant de la minimiser voire de l’ignorer -, cette racaille qui règne en France sur deux mille cités de non-droit et vomit régulièrement ses hordes sur les quartiers adjacents et les centres-villes (un mot composé que chacun peut conjuguer à son aise, car les chenus académiciens ne sont point parvenus à s’accorder sur son pluriel... encore un symbole du laisser-aller post-soixante-huitard).

    La violence sous toutes ses formes a envahi jusqu’aux églises (mais pas les mosquées, allez savoir pourquoi), les hôpitaux et les écoles. Nos excellences jouent aux matamores, mais aucune n’ose présenter la cause véritable de ce déchaînement de bestialité, qui depuis les années 1950 avait disparu d’Occident.

    Les mahométans, soutenus par les roitelets des terrains pétrolifères, des champs de haschisch et de pavot, sont intouchables. Oser parler des Africains et des Moyen-Orientaux comme cause essentielle de la violence, c’est faire du « wouacisme ». Prétendre qu’il existe en France, en Belgique, en Allemagne, en Grande-Bretagne un racisme anti-Blancs effarant, c’est délirer !

    Certes, il existe une minime source autochtone de violence : celle des gauchistes, trotskistes et autres fils à papa friqués jouant avec le feu, comme un honteux procès récent l’a démontré. Mais ces tristes sires – encouragés par quelques politiciens que nul n’inquiète pour leur machiavélisme de débiles – ne représentent que quelques dizaines d’attardés, qu’un unique affrontement avec une horde de « jeunes chances pour la France » anéantirait.

    Il n’est pas étonnant qu’en tout pays envahi, les populistes gagnent en crédibilité. À dire vrai, ils remporteraient toutes les élections si, au lieu de parler lors des périodes pré-électorales, ils montraient simplement les images exactes des quartiers de cités européennes saturés d’individus exotiques, des émeutes raciales, des actes de violence menés individuellement ou plus souvent en bande par nos « chers immigrés »... et c’est vrai qu’ils sont « chers » : les impôts et taxes à la consommation grimpent à chaque nouvelle arrivée massive de ces « invités ».

    Si halloween est – comme l’a été la finale de la coupe du monde de football – l’occasion de débordements haineux des indésirables, il faut qu’un maximum de citoyens filment ces émeutes et en fassent circuler les images sur le Net, qui reste encore – mais plus pour très longtemps – un espace de liberté d’expression, alors que les media consensuels jouent le jeu de la désinformation, donc du pourrissement de la situation.

    Il faudra bien un jour que nos princes reconnaissent qu’en terre civilisée, seule la Nation est souveraine. Seule, elle a le pouvoir de statuer sur l’arrêt ou la continuation de l’invasion de sous-doués violents qui nous submerge et sur l’opportunité de renvoyer impitoyablement les inutiles : chômeurs, délinquants et criminels.

    À trop laisser monter la colère du bon peuple, il arrive qu’il se fâche. Les guignols qui se sont succédés aux apparences du pouvoir depuis le milieu des années 1970 n’ont fait qu’accroître les risques pour la Nation. Il ne lui restera bientôt plus qu’une alternative simple : l’expérience populiste ou la révolution, qui toujours et partout fut aussi bête que violente.     

    http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2018/11/01/du-carnaval-moche-au-vandalisme-voire-au-terrorisme-6101659.html

  • Reconstruire un État fort qui se fasse respecter

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    Devenu tentaculaire et omniprésent, incarné par une armée de fonctionnaires, l’État multiplie aujourd’hui les règlements, les taxes et les impôts. Mais il s’agit en réalité d’un État faible qui s’acharne sur les honnêtes citoyens alors qu’il est incapable de faire observer les lois de notre nation à ceux qui le défient. Aussi Ligne droite considère-t-elle comme indispensable de reconstruire un État fort, qui puisse reprendre le contrôle du territoire, se faire respecter par tous et qui, dans le même temps, soit capable de maîtriser les finances publiques et de réguler l’économie et le social.

    L’État, ennemi du Système

    L’État fort a en effet disparu en France car il est le grand ennemi des tenants de l’idéologie libérale libertaire qui, depuis la fin du XXe siècle, ont entrepris sa déconstruction méthodique.

    Les néo-libéraux ne voyant en lui qu’une menace contre les droits individuels pensent donc qu’un État faible qui réduit l’action publique à la mise en œuvre de l’état de droit et au respect des contrats, assurera mieux la liberté des personnes.

    Quant à l’oligarchie mondialiste, elle s’appuie sur cette idéologie pour réclamer la privatisation la plus large des fonctions étatiques et offrir ainsi, au prétexte d’une efficience supérieure, de nouveaux marchés aux grandes entreprises. Elle estime de surcroît que l’affaiblissement des États favorise l’émergence de la « gouvernance mondiale », qu’elle appelle de ses vœux.

    L’État illégitime, obèse et impuissant

    Ligne droite rejette cette idéologie pernicieuse qui n’a nullement amélioré la situation des Français, comme on le leur promettait. Au contraire, les libertés se sont réduites, l’insécurité et la violence ont explosé et les services publics fonctionnent moins bien qu’avant. L’État est devenu dès lors illégitime car à la fois tentaculaire et impuissant.

    L’État a en effet accentué son emprise sur les Français pour orienter leur façon de vivre, les soumettant par exemple au vivre ensemble ou leur indiquant comment ils doivent se comporter avec leurs enfants ou avec leur conjoint. Devenu une gigantesque bureaucratie en charge de la vie privée des citoyens, il ne cesse de réduire leurs libertés concrètes en multipliant les réglementations, les taxes et les impôts.

    Mais dans le même temps l’État n’assure plus correctement ses fonctions essentielles. Les services publics paupérisés se retirent des territoires et sacrifient leurs investissements. Les racailles n’ont plus peur de la police ni de la justice. Ce sont au contraire les forces de l’ordre, sous-équipées, qui n’osent plus s’aventurer dans les zones de non-droit. Quant aux frontières, elles sont devenues inexistantes pour le plus grand profit des passeurs et des trafiquants. 

    L’État n’est désormais fort que vis-à-vis de ceux qu’il devrait protéger, comme les Français des classes moyennes et populaires qu’il accable de règlements et de taxes. Mais à l’égard de ceux qu’il devrait contraindre, comme les voyous, les lobbies, les islamistes, les clandestins ou les puissances économiques ou financières, l’État se montre d’une grande faiblesse.

    Ligne droite dénonce cet abandon et préconise le retour d’un État fort et respecté.

    Restaurer la prééminence du pouvoir politique

    Pour ce faire, Ligne droite propose d’abord de renforcer le pouvoir politique et donc de restaurer la primauté de l’exécutif et la légitimité du législatif, conformément d’ailleurs aux principes de la VeRépublique. La durée du mandat présidentiel devra dans cet esprit être portée à sept ans afin de permettre au président d’agir dans la durée. Le gouvernement des juges sera démantelé et pour ce faire la suprématie des députés et sénateurs élus sur les juges nommés sera rétablie. Enfin, le système électoral sera revu pour que l’Assemblée soit de nouveau représentative de la réalité du peuple.

    Reprendre le contrôle du territoire

    Pour Ligne droite le retour à un État fort exige ensuite de restaurer la souveraineté politique de la France sur son territoire. Ce qui implique que l’État retrouve le contrôle de ses frontières, maîtrise l’immigration et reconquière les zones de non-droit. Autant d’exigences impératives sans lesquelles l’État continuera d’être bafoué et avec lui la France et les Français. Malgré les graves difficultés qui se présenteront, il est possible atteindre ces objectifs et Ligne droite a explicité par ailleurs les moyens d’y parvenir.

    Reconstruire des forces de sécurité qui imposent le respect

    Tout cela suppose cependant que les forces de l’ordre, les services de renseignement et les armées soient de nouveau prioritaires tant pour leurs équipements que pour le soutien qu’ils reçoivent du pouvoir. Tout doit être fait pour que les forces de sécurité reprennent pleinement confiance en elles-mêmes et inspirent le respect et la crainte chez les voyous. Un État fort est un État qui sait mater ceux qui le défient et ne tolère pas que certains s’exonèrent impunément des règles qu’il édicte. La remise à niveau organisationnelle et budgétaire de la police et de l’armée doit donc constituer une priorité, tout comme la réforme de la politique pénale qui doit permettre de neutraliser durablement les voyous, les groupes séditieux, les délinquants et les terroristes.

    Retrouver la maîtrise des finances publiques

    Le retour d’un État fort exige par ailleurs le rétablissement de l’équilibre des finances publiques. Un impératif pour rendre sa liberté de manœuvre à l’État et éviter qu’il se trouve soumis au chantage des institutions financières internationales ou de la Commission européenne.

    Pour réduire en conséquence les dépenses publiques, Ligne droitepréconise une profonde réforme qui mette un terme au foisonnement des agences et services administratifs, qui réduise le millefeuille de l’organisation territoriale française, qui supprime les dépenses de transfert et les subventions aux associations dont l’utilité économique et sociale est douteuse. Si l’on ajoute à cela la préférence nationale dans l’accès aux prestations, il sera possible de retrouver des finances saines qui rendent son autorité à l’État.

    Assurer la régulation de l’économie et du social

    Un État fort doit aussi retrouver son rôle d’arbitre du bien commun en matière économique et sociale pour corriger les errements du marché ainsi que les initiatives intempestives qui ne seraient pas conformes à l’intérêt national.

    Mais il doit aussi être porteur d’une stratégie industrielle volontariste et s’affirmer à nouveau comme l’initiateur de projets d’envergure. Les grandes réalisations, notamment celles des années soixante – soixante-dix, dont s’enorgueillit à juste titre notre pays ne sont pas le fruit de l’initiative spontanée du marché, elles résultent de l’action publique qui a mis en mouvement l’initiative privée. Pour Ligne droite, un État fort doit retrouver au XXIe siècle l’esprit pionnier des grands administrateurs de jadis qui ont fait avancer la France en relevant de grands défis collectifs par la mobilisation du génie national.

    Il n’y aura pas de renouveau national et civilisationnel sans un État fort.

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