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France et politique française - Page 2501

  • Réforme de la SNCF – Marine Le Pen : “Est-ce que vous croyez que les sociétés privées vont aller sur les petites lignes ? Non !”

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    Marine Le Pen, président du Front national, était l’invitée de Marc Fauvelle ce mardi 27 février.

    Le gouvernement veut “privatiser la SNCF”. C’est ce que martèle Marine Le Pen la martèle, affirmant que la réforme du système ferroviaire et l’ouverture aux entreprises privées va forcément conduire aux prémices de la fin du service public.

    La présidente du Front national, qui appelle à l’éviction de Guillaume Pépy, patron de la SNCF, plutôt qu’à la réforme du statut de cheminot, est persuadée que les petites lignes régionales seront délaissées par les entreprises privées car peu rentables, ce qui conduire, à terme, à leur fermeture.

  • Vainqueur celui qui cessera de se justifier ! – Jean-David Cattin (Les Identitaires)

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    L’homme de droite a la fâcheuse tendance à se justifier, s’excuser, donner des gages. Éric Zemmour, dans le dernier Zemmour & Naulleau, faisait remonter ce besoin irrépressible à la peur de la guillotine. Deux siècles plus tard, la crainte de la mort sociale a succédé à celle de la mort biologique. Qui agit sans se plier à l’idéologie de gauche s’expose à cette mort sociale. Perte d’emploi, mise à l’écart associative, paria des médias… l’homme de droite est devenu un homme des catacombes. Qu’il surgisse au grand jour, avec ses arguments, ses raisonnements, ses faits et leurs commentaires, et le voilà bientôt enjoint par la gauche de s’expliquer, de se justifier et, terme du processus, de s’excuser. La morale de la gauche est sa meilleure arme politique. Qui ne le voit combat aveugle. Qui s’y plie a perdu. Qui croit habile de tenter de la retourner, en une sorte de judo, s’y perd.

    À force de reculades, l’homme de droite en vient à défendre des positions de l’adversaire. La candidature à la présidentielle d’Alain Juppé a été l’occasion pour plusieurs journalistes de rappeler quel était le programme du RPR en 1990 alors qu’il en était le Secrétaire général. Lors de l’émission Des paroles et des actes sur France 2, à l’évocation des mesures droitières qui y figuraient, notamment sur l’islam et l’immigration, le maire de Bordeaux a eu l’air sincèrement surpris et a reconnu sans sourciller qu’il s’était trompé.

    Cette lente évolution idéologique illustre la capacité de la gauche à tirer l’échiquier politique dans sa direction, à répandre sa pensée partout et à en chasser toute réfutation. Non en sortant victorieuse de l’affrontement des idées mais, au contraire, en évitant cet affrontement, en contraignant l’adversaire à ne pas combattre. D’aucuns ont baptisé cela le « mouvement sinistrogyre ». D’autres ont parlé de terrorisme intellectuel. Quoiqu’il en soit, le résultat est là : une certaine droite a peur. La gauche ne peut lui interdire de se présenter à des élections ni de les gagner. En revanche, elle lui a imposé une barrière à ne pas franchir : appliquer des idées de droite et notamment dans le domaine de l’identité.

    Comme Nicolas Sarkozy hier, Laurent Wauquiez aujourd’hui semble avoir compris que cette soumission était gage de défaite. Mais plus que les conseils d’un Patrick Buisson ou la pression d’une « droite hors des murs », c’est le poids électoral du FN qui a conduit ces hommes à ce constat. Pour autant, ni Sarkozy ni Wauquiez n’ont la stature pour incarner ce grand retournement de la droite française. Il leur manque l’épaisseur, le caractère, le goût du mythe et de l’histoire. En cela, ils ressemblent à la quasi-totalité des chefs politiques d’Europe de l’Ouest et, plus largement, occidentaux.

    On aurait pu croire jusqu’en 2016 que telle était la fatalité de nos vieilles nations épuisées et sorties de l’histoire. Or, l’irruption de Donald Trump a prouvé le contraire. Trump est une révolution. Il ne s’excuse jamais. Au contraire, il accuse son adversaire. Il lui fait revêtir le costume du « bad guy ». D’instinct il a compris le jeu de la gauche morale qui est au moins aussi active aux États-Unis qu’en Europe. Il l’a compris et il le balaye d’un seul revers de la main.

    Ne pas s’excuser, ne pas se justifier, au-delà des idées politiques défendues : telle doit être la ligne de conduite d’un homme politique qui veut emporter le suffrage populaire. Lorsque l’on a la conviction que son combat est légitime, il n’est nul besoin de le justifier. À force de justifications, d’excuses et de gages donnés, c’est la force de conviction de celui qui s’y soumet qui est mise en doute. La gauche comme la classe médiatique n’ont en aucun cas une quelconque autorité morale qui leur permet de distribuer les bons points. Celui qui s’en rendra enfin compte, à n’en pas douter, remportera la mise. En France comme aux États-Unis. Vainqueur celui qui cessera de se justifier !

    Jean-David Cattin

    http://www.les-identitaires.com/2018/02/vainqueur-celui-qui-cessera-de-se-justifier/

  • « Fake News ». Comment les médias américains ont lancé l’expression

    Dans un article publié sur le célèbre blog américain Zero Hedge – connu pour avoir révélé en 2009 que Goldman Sachs avait accès à des informations confidentielles concernant le trading algorithmique -, l’émergence du terme « fake news » est disséqué. Ce travail de fourmi – traduit par Mondialisation.ca – est aussi intéressant qu’inquiétant. A noter qu’en Français, le terme « fake news » se traduit par « bobards » et que les bobards médiatiques de l’année passée seront récompensés le 12 mars prochain.

    Quand un mot, une expression, une phrase que personne n’avait employés auparavant envahissent soudainement les médias et qu’ils y sont martelés ad nauseam, sous sommes en présence d’une campagne de propagande. Cas d’école avec l’expression particulièrement inepte « fake news ».

    Dans le sillage immédiat du massacre de Parkland, mercredi dernier en Floride, plusieurs organes d’informations majeurs ont publié une info selon laquelle le tireur, Nikolas Cruz, était membre d’une organisation suprémaciste d’extrême droite. En fait, les médias grand public avaient été envoyés sur une fausse piste par des utilisateurs du site 4chan et ont publié une « fake news ».

    Mais cette fausse info continue d’être relayée, bien que le département du Shérif de Leon County ait déclaré qu’il n’y a « aucun lien connu » entre le tireur et le groupe d’extrême droite.

    Le porte-parole du bureau du shérif Grady Jordan a expliqué jeudi que son bureau avait arrêté le leader de ce groupe suprémaciste, Jordan Jereb, au moins quatre fois depuis janvier 2014 et qu’il surveille de près les adhérents de cette organisation.

    Il dit que son bureau a des informations « très solides » sur le groupe et qu’il n’y a « aucun lien connu qui nous permette de relier Nikolas Cruz, 19 ans, à ce groupe ».

    Bien que cette énorme erreur des médias grand public ait été due à de la simple incompétence, ces mêmes médias ont participé à un effort apparemment coordonné pour étiqueter « fake news » tous ceux qui ont une autre opinion qu’eux, avec le soutien de quelques amis bien placés.

    Au cours d’une récente conférence de TEDx délivrée à l’université du Nevada, la journaliste d’investigation Sharyl Attkisson a révélé quelques-uns des premiers efforts pour faire entrer l’expression « fake news » dans le langage courant par une association sans but lucratif financée en partie par l’Open Society Foundation du milliardaire George Soros et par Google.

    Le groupe, « First Draft », avait annoncé un partenariat le 13 septembre 2016 pour « répondre au problèmes des canulars malintentionnés et des fake news », a dit Attkisson. « Le but était censément de séparer le bon grain de l’ivraie, d’empêcher les thèses complotistes non prouvées de figurer à des places d’importance dans les résultats des moteurs de recherche. De reléguer les versions modernes des anciennes histoire d’enlèvements par des extraterrestres aux oubliettes d’Internet ».

    First Draft – un projet du Centre Shorenstein pour les médias, la politique et les politiques publiques ( Shorenstein Center on Media, Politics and Public Policy) de l’école de sciences politiques et de gouvernement John F. Kennedy de l’université de Harvard – utilise des méthodes fondées sur la recherche pour combattre la désinformation en ligne. De plus, il fournit des conseils pratiques et éthiques sur la recherche, la vérification et la publication de contenus sourcés sur le web social.

    Claire Wardle, chercheuse au centre, dirige le travail de First Draft sous les auspices du centre Shorenstein et de son directeur, Nicco Mele. Des donations de la Fondation John S. and James L. Knight, de l’Open Society Foundation et de la Fondation Ford soutiennent notre travail – First Draft

    Un mois après le début, en septembre, de la campagne de First Draft contre les « fake news », le président Obama donnait son opinion sur le sujet.

    « Dans un de ses discours, il a estimé que quelqu’un devait intervenir et réguler la jungle de l’environnement médiatique du web » a dit Attkisson avant de noter que « le public n’avait rien demandé ».

    Attkisson soupçonne que le souhait exprimé par Obama a servi d’ordre de marche aux médias grand public – elle suggère que « peu de thèmes naissent de façon spontanée dans notre environnement » et qu’il fallait « suivre la piste de l’argent ».

    « Et si toute la campagne anti-« fake news » était un effort pour nous empêcher de voir ou de croire certains sites web et certaines informations en les discréditant ou en les étiquetant « fake news ? » a suggéré Attkisson.

    Parallèlement, un autre donateur majeur de l’effort de First Draft pour imposer l’idée des « fake news » n’était autre que l’ancien PDG d’Alphabet (la compagnie parente de Google) Eric Schmidt – un partisan majeur d’Hillary Clinton qui « avait offert ses services comme conseiller de campagne et en est devenu l’un des plus importants donateurs » a dit Attkisson. « Sa compagnie finançait First Draft à peu près au début de la campagne des élections présidentielles américaines. »

    Presque comme sur signal, Hillary Clinton s’est embarquée dans l’aventure de la dénonciation de « fake news » pendant que son « acolyte de l’association de surveillance des médias Media Matters, David Brock, disait en privé aux donateurs (d’Hillary) qu’il était celui qui avait convaincu Facebook de se joindre à l’effort ».

    « Toute l’affaire ressemblait trait pour trait au lancement d’une campagne de propagande » a dit Attkisson.


    Et tout d’un coup, l’expression « fake news » était partout :

    Grimpée en flèche de l’expression « fake news » dans les moteurs de recherche à partir de la fin octobre 2016

    Retour de boomerang

    Peu de temps après, la gauche libérale américaine perdait le contrôle de la nouvelle expression-fétiche qu’elle avait tant travaillé à imposer :

    « Mais il s’est passé quelque chose que personne n’avait anticipé. La campagne anti-fake news s’est retournée contre l’envoyeur. Chaque fois que ses partisans hurlaient à la fake news, Donald Trump les traitait eux-mêmes de « fake news », jusqu’à si totalement récupérer l’expression que même ceux qui en étaient à l’origine ont commencé à s’en distancer – y compris le Washington Post » dont elle note qu’il a plus tard cessé de l’employer. – PJ Media

    WaPo, 8 janvier 2018 : « Il est temps de retirer le terme mal utilisé « fake news »

    … Bien que le terme n’existe que depuis peu, sa signification s’est déjà perdue. En moins de temps qu’il n’en faut pour dire « Pizzagate », l’étiquette a été récupérée pour signifier plusieurs choses complètement différentes : des polémiques oiseuses de gauchistes libéraux. Des opinions à la gauche du centre. Ou simplement tout ce que, dans le domaine des informations, l’observateur n’aime pas entendre. » – Washington Post

    Ce qui est amusant, étant donné que le Washington Post avait été l’un des fers de lance de la propagation de l’expression, dès avril 2016 – avant même la campagne de septembre de First Draft.

    Chronologie de la campagne de propagande sur les « fake news » avant son invasion des médias grand public en octobre 2016 (en d’autres termes, la campagne d’amorçage).

    Le 2 avril 2016 : une recherche Google du terme « Fake News » filtrée par dates révèle qu’avant le 29 octobre 2016, la première occurrence de l’expression vient d’un article du Washington Post critiquant un site web pro-Trump.

    Encadré en orange, en haut à gauche, « avant le 29 octobre 2016 ».

    Recherche du terme « Fake News » par dates

    11 avril : Buzzfeed attise les flammes en reprenant l’engagement de 2015 de Facebook d’éliminer les canulars (hoax). A noter : Facebook n’employait pas l’expression « fake news » dans leur campagne de 2015, mais Buzzfeed l’emploie en avril – bien avant qu’elle se généralise dans les médias grand public.

    11 avril 2016 : « Facebook voulait un combat contre les Fake News. Il en a eu un »

    2 septembre, plus de deux semaines avant la campagne de First Draft, factcheck.org emploie le terme « fake news » en référence à une rumeur selon laquelle le président Obama allait supprimer le serment d’allégeance au drapeau des USA dans les écoles publiques.

    « Obama n’a pas interdit le serment. C’était une fake news »

    5 octobre, le Guardian rapporte que Buzzfeed déclare avoir fait l’objet d’un hack par un groupe de hackers, OurMine, dirigé selon le site par un adolescent saoudien dénommé Ahmad Makki, qui vandalise le site web de Buzzfeed et ajoute un message, « ne partagez pas de fake news sur nous ». Mark Zuckerberg, de Facebook, avait été auparavant hacké par le même groupe de hackers.

    « Buzzfeed hacké par OurMine. » Notons la présence de l’expression « fake news ».

    En fait, c’est tout un tas de PDG de compagnies tech et de célébrités qui avaient apparemment été « hackées » par le dit Ahmad Makki et son groupe OurMine (dont le site ourmine.org, qui se présentait à la fois comme pirate et expert en sécurisation de données, n’existe plus).

    « L’adolescent soudien est probablement derrière les hacks de douzaines de PDGs de compagnies tech et de célébrités »

    Le 7 octobre, deux jours après l’article du Guardian, Buzzfeed poste un article sur une « transcription fake » d’un discours d’Hillary Clinton » publiée par un site de « fake news ».

    8 octobre, Snopes [un site de « fact-checking » comme Buzzfeed ou le Decodex du Monde, qui s’est inspiré de cette tendance américaine en France, NdT] emploie l’expression « fake news ».

    13 octobre, la publication de gauche libérale Vanity Fair ressort l’histoire du combat contre les « fake news » de Facebook, que Zuckerberg pense gagner à l’aide d’une équipe « nouvelle et améliorée » dédiée à la traque des fausses informations.

    19 octobre, nos vieilles connaissances du Washington Post la remettent sur la table.

    En amont des élections – Politifact, un « fact-checker » co-parrainé par Facebook, emploie le terme « FAKE NEWS » dans un article du 23 octobre(Article « Fake news: Tampa Bay Lightning fires black player for raising fist during anthem », Politifact, 23 octobre 2017), et après les élections, Facebook et Google déclarent la guerre aux « fake news ».

    17 novembre, le Washington Post publie l’article d’un « auteur de fake news » sur Facebook qui pense avoir remporté la Maison-Blanche pour Trump en disséminant des « fake news ». (Article « Facebook fake-news writer: ‘I think Donald Trump is in the White House because of me’ », WaPo, 17 novembre 2017)

    9 décembre, Hillary Clinton délivre un discours sur « l’épidémie de fake news » – le même jour, l’un des principaux sites d’amorçage de la campagne de propagande, Buzzfeed, avait été dénoncé pour avoir publié des fausses donnéesdans un de leurs articles sur les « fake news ».

    « Clinton dénonce ‘l’épidémie’ de fake news dans un discours à Capitol Hill »

    En conclusion, l’expression soigneusement fabriquée « fake news » était de la simple propagande véhiculée par des partisans d’Hillary Clinton et les médias grand public pour tenter de discréditer les sources d’informations non approuvées, mais elle s’est effondrée sous le poids de son incapacité à faire passer efficacement son message, et le fait que Donald Trump – un communiquant très capable – ait su la récupérer à son avantage.

    Source : Article publié par Mondialisation.ca – Copyright © Zero Hedge, Mondialisation.ca, 2018
    Paru initiaelement sur Zerohedge sous le titre How WaPo, BuzzFeed, And Soros-Backed Group Pushed The Phrase « Fake News » Until It Backfired
    Traduction et note d’introduction Entelekheia

    Crédit photo : Domaine public, via PixaBay

    https://www.polemia.com/fake-new-medias-americains-expression/

  • UNE LUEUR D’ESPOIR : MARION !

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    La France, culpabilisée comme jamais de son histoire, ayant trouvé dans Mai 68 des justifications idéologiques à cette culpabilisation, a ouvert les vannes de son pays et de son histoire à des gens qui n’en croyaient pas leurs yeux de tant de générosité incompréhensible.

    Victorieux grâce, en grande partie, à la déliquescence de l’ancien tandem dirigeant du Front national, soutenu par la puissance médiatique, porté à bout de bras par le vide sidéral de nos élites « bobo », le Président Macron distille ses réformes et assume une posture qui fait croire à certains que le gaullisme est de retour.

    L’étincelle allumée par Marion Maréchal-Le Pen de l’autre côté de l’Atlantique nous redonne à espérer ! Avec cet éclat nouveau, le combat pour la liberté peut renaître. La reconquête idéologique ne part pas de zéro : elle s’appuie sur ce vaste courant identitaire qui traverse notre peuple, le peuple des campagnes, des villages, des petites villes, ce peuple qui saura combattre l’idéologie post-soixante-huitarde qui domine les métropoles mondialisées.

    L’expérience du passé sera enfin tirée, les faux débats laissant la place au bilan des vrais crimes, le caractère ambigu de la gauche historique et la réalité de ses complaisances avec le totalitarisme enfin démasquées, l’échelle des valeurs se remettra debout et la France pourra renaître.

    Paradoxalement, le nouveau pouvoir est une aide dans ce combat car il a érigé en principe de pensée et d’action la confusion idéologique. Cette confusion lui est consubstantielle, elle est dans sa nature. Ce pouvoir, auquel tant de gens font semblant de croire, a ouvert une parenthèse dramatique dans notre histoire. Il a remplacé la France par un vague concept flou : on ne sait plus ce qu’est notre pays et ce qu’il a fait de bien ou de mal. Il n’y a rien de consistant dans cette politique qui se pare des habits présidentiels de la Ve République pour promouvoir un « jeunisme » indécent et attaquer violemment le pouvoir d’achat des retraités. On nous dit que des mesures ont été prises que jamais la droite n’avait osé mettre en œuvre. Certes, mais cette droite s’était tellement gauchisée qu’elle en avait parfois oublié son alphabet.

    Sur la question de la submersion migratoire, que fait le pouvoir ? Il répand l’idée que notre générosité nous invite à accueillir le flot de migrants qui va déferler.
    Il nous amuse en opérant une distinction entre demandeurs d’asile et réfugiés économiques. Il veut nous faire croire qu’il va opérer un tri entre les uns et les autres. Mais déjà ce tri est jugé malsain par les associations pro-migrants et une partie de la majorité.

    Que fait le pouvoir contre l’islam politique qui annonce pourtant assez clairement sa volonté de devenir par étapes, conquérant aujourd’hui, omniprésent demain et peut-être majoritaire et hégémonique après-demain ?

    Le déclin n’est pas inéluctable, les pays d’Europe centrale nous montrent la voie de nations qui osent affirmer leur identité et ne pas céder aux diktats de l’Union européenne. Ces peuples amis, qui doivent être tristes de voir l’état de la France, n’attendent que son renouveau pour aider l’Europe à retrouver le chemin de l’espoir.

    Mais ne regardons pas toujours ailleurs ou avant. L’étincelle allumée à Washington la semaine dernière est bien française. Vraiment française. Et porteuse d’espoir !

    http://www.bvoltaire.fr/lueur-despoir-marion/

  • Reste à savoir si Le Monde publiera un correctif

    6a00d83451619c69e201b8d2de076c970c-250wi.pngDans Le Monde, le comique François Krug écrivait à propos des Mémoires de Jean-Marie Le Pen :

    "Reste à savoir s'ils trouveront des lecteurs, car les électeurs du FN ne sont pas réputés être de gros lecteurs."

    Autrement dit : les électeurs du FN sont des idiots qui ne savent pas lire.

    On apprend aujourd'hui que les 50 000 exemplaires du premier tirage des Mémoires de Jean-Marie Le Pen sont épuisés avant même leur mise en vente, prévue mercredi. Un second tirage a été lancé.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Désinformation ferroviaire

    6a00d8341c715453ef01bb09f6e93b970d-320wi.jpgLe 26 février, dans une intervention télévisée depuis Matignon, Édouard Philippe annonçait solennellement la perspective de ce qu'il appelle un "nouveau pacte ferroviaire".

    Le Premier ministre a d'emblée capitulé, ou plutôt a-t-il botté en toucher sur la question de ce qu'on appelle la suppression des petites lignes. A l'entendre, la SNCF "ne peut pas décider de la fermeture de 9 000 kilomètres de rails depuis Paris sur des critères administratifs et comptables."

    Et les commentateurs agréés se sont précipités dans la brèche. Ils confondent allègrement l'infrastructure et le train. Fermer une ligne exploitée par la SNCF ne veut pas dire supprimer la voie ferrée correspondante : elle peut servir à toute autre compagnie régionale, ou subventionnée par la région, distincte de la SNCF monopolistique. Il existe ainsi déjà depuis longtemps de trop rares situations de ce type. Les TER, aujourd’hui supportées financièrement par les régions échappent à la gestion locale : du jour au lendemain, Paris pourrait rendre aux différents centres de décisions payeurs la responsabilité de ces lignes. Nous renversons même la phrase : Paris devrait rendre, Paris doit rendre, aux régions ce qui leur appartient puisqu'elles payent.

    La condition n'échappe à personne : elle suppose le libre choix par ces nouveaux employeurs de contrats librement négociés avec leur personnel. En clair cela veut dire : suppression du statut du cheminot.

    Sur cette question le pouvoir actuel semble acculé à ne pas dissimuler l'existence d'une telle éventualité. Et c'est ce qui amène les bureaucraties syndicales à pratiquer une surenchère. Celle-ci peut certes leur apporter quelques voix supplémentaires aux élections professionnelles, mais aussi un surcroît d'impopularité dans le pays.

    La prétention de deux centrales réputées modérées, minoritaires dans l'entreprise, UNSA et CFDT, à frapper plus fort que la CGT et Sud-Rail, doit être considérée comme caractéristique. Ceux-ci proposent simplement pour le moment une participation à la manifestation des agents du service public le 22 mars ; ceux-là n'hésitent pas à envisager une grève reconductible le 12 mars.

    Pendant ce temps on entend d'innombrables affirmations ridiculement péremptoires. Elles viennent de gens qui n'ont évidemment jamais lu les 127 pages du Rapport Spinetta. Certes les 43 propositions auxquels il se livre méritent plus qu'un examen attentif et certainement plusieurs débats. Mais il faut aussi partir de certains constats, par lesquels commence le rapport. Il ne devraient échapper à personne que la SNCF est actuellement divisée formellement en 3 unités distinctes, 3 "EPIC" dans le jargon technocratique. Mais elle ne doit pas redevenir la compagnie unique, créée en 1937 et qu'elle a cessé d'être, à juste titre, en 1997. Cette année-là, Juppé crut bon de confier la direction du Réseau à un cadre du parti communiste : Claude Martinand. Membre du PCF, il avait été directeur du cabinet de Charles Fiterman, ministre des Transports, lui aussi PCF, dans le gouvernement Mauroy (1981-1984). Martinand dirigea ensuite l’Institut géographique national (IGN), puis il passa quelques années au ministère de l'Équipement. Nommé en 1997, par le gouvernement, à la tête de Réseau ferré de France nouvellement créé, il présida l'établissement public chargé de l'infrastructure ferroviaire jusqu'en 2002.

    Avec une telle direction, aucune crainte de privatisation ou même de mise en concurrence de la structure ferroviaire. Sa mission était uniquement de tromper Bruxelles et la Banque centrale européenne en masquant la dette publique de l'Hexagone : 20 ans plus tard, on voit le résultat. Malgré les efforts de ses successeurs, la compagnie, rebaptisée en 2013-2014 SNCF-Réseau, est surendettée et l'État central parisien ne sait pas comment s'en sortir.

    On pourrait lui dispenser ce simple conseil : sortez d'abord du mensonge, dans ce domaine comme les autres, et cessez de pratiquer via vos commentateurs agréés, et leur langue de bois, ce qu'il est à la mode d'appeler "fake news" et qui s'appelle, en fait, de la désinformation.

    JG Malliarakis

  • Du respect, du courage, du cas Jean-Marie Le Pen…

    Le site de la chaine cnews a publié le 21 février dernier un témoignage de Robin V.,  caissier de supermarché en Ile-de-France, métier on le sait qui n’est pas facile, peu épanouissant,  lequel  « a entrepris de raconter sur Twitter l’enfer que lui font vivre les clients.» Du moins certain d’entre eux  dans un lieu  qui accueille toutes les catégories sociales. Au nombre des anecdotes qu’il cite, il évoque l’accusation suprême de racisme dont les employés sont victimes de la part des client(e)s pris notamment en flagrant délit de vol (mais pas que);  accusation qui semble avoir valeur de passe-droit pour tous les pseudo discriminés qui la prononce, lesquels ont bien intégré le catéchisme gauchiste véhiculé dés le jardin d’enfant dans notre société déboussolée… «En préambule de son récit ( ce caissier) a indiqué (…) être insulté dans tous les sens, sans raison». Selon lui, «les gens ont perdu la notion du respect en France. Alors qu’il a travaillé au Royaume-Uni, il estime que les clients français devraient s’inspirer des clients britanniques» qui, eux, ont une attitude autrement plus urbaine. De respect,  il est encore finalement question après l’éviction fracassante de la journaliste Aude Rossigneux de la chaîne internet lancée par des très proches de Jean-Luc Mélenchon, Le Media. Dans une lettre publiée sur le site Electron libre, Mme Rossigneux affirme avoir été licenciée sans ménagement de cette structure cornaquée par les responsables/commissaires politiques Sophia Chikirou, (ex PC, ex PS, ancienne candidate UMP, aujourd’hui directrice de la communication de Jean-Luc Mélenchon), et par le très bourgeois  ex maoïste  Gérard Miller qu’on ne présente plus. 

    Aude Rossigneux  évoque « une violence et une brutalité qui (la) laisse dans un état de sidération. Une brutalité qui n’est pas exactement conforme à l’idée que chacun se fait d’un management de gauche.» «Mon licenciement du Média m’a assommée au point que je n’étais pas en mesure de répondre comme je l’aurais voulu. Je suis arrivée au Média parce qu’on est venu me chercher. J’étais alors la femme de la situation, parée de toutes les vertus. Trop, peut-être… L’idée d’une télé différente, engagée mais libre, portée par ses téléspectateurs et non par l’argent, d’une rédaction unie par un idéal commun mais où seraient respectées les individualités m’a enthousiasmée. Je m’y suis lancée à corps perdu. » Mais  «dois-je porter seule la responsabilité des difficultés, des tensions, et des imprécisions de réglage ?» «Les troupes sont toujours motivées, mais épuisées, et pas loin du burn out, comme le montrent plusieurs arrêts de travail. »

    Toutes choses que M. Miller et Mme Chikirou démentent avec force, mais qui ne font pas les affaires d’une chaîne  qui a beaucoup de mal à trouver son public et dont l’écolo  Noël Mamère vient d’annoncer lui aussi son départ. Le très libéral Huffington Post s’arrête sur « les débats qui font rage entre ceux qui soutiennent (Mme Rossigneux) et ceux qui défendent le comité de pilotage. » Il est rapporté  la déception  d’un sympathisant, d’un contributeur (un socio)  apparemment partagée : « Alors comme ça, pour être différents des autres médias, pour se démarquer des magouilles capitalistes, pour prouver que nous sommes meilleurs, solidaires, démocrates, opposés au management des prédateurs capitalistes ou des machines à broyer staliniennes, la patronne Chikirou  se bollorise sans vergogne, impose un licenciement brutal, sans consulter les socios, sans dire un mot, avec le soutien maoïsant et silencieux du freudiste de service» (Gérard Miller, NDLR), «perso, je me retire». Il n’y a même plus de respect et de considération à l’extrême gauche pour le freudisme  et pour une épuration qui épure la révolution ?   L’heure est grave !

    Alors suggérons au moins au Média, conseil gratuit et désintéressé, d’ouvrir leur  plateau à des invités porteurs d’une pensée vraiment dissidente de celle d’un  Système dont M. Melenchon se veut le pourfendeur. Le magazine Marianne rapportait que certains acteurs  de cette chaîne souhaitait justement  inviter des personnalités dites d’extrême droite pour répondre à «l’objectif assumé (de)  faire vivre la confrontation des idées au sein de ce nouveau média qui se fait fort de lutter contre la pensée unique économique et politique. Ce type de programme aurait de surcroît le bon goût de montrer aux 17.000 socios (les futurs propriétaires du Média) que la chaîne n’est pas la télé Mélenchon décrite par ses contempteurs. Si certains députés macronistes ont déjà donné leur accord pour participer à une émission, ainsi que des éditorialistes engagés comme Eric Brunetla participation du Front National reste pour l’heure en suspens. En interne, le débat fait rage.»

    «Quelques journalistes militent ouvertement pour que ses responsables(FN) soient invités» mais  rapportait encore Marianne, «plusieurs poids lourds, comme le psychanalyste Gérard Miller», y sont formellement opposés… Ce qui a sa logique du point de vue d’un terroriste intellectuel comme  M. Miller,  partisan de interdiction du FN et peu doué pour le débat (vraiment) contradictoire . Alors,  courageux mais pas téméraire Le Media quand il s’agit de tirer toutes les conclusions de son opposition à la domination des grands canaux d’information par une poignée de gros groupes financiers, à  l’Europe bruxelloise et la doxa libre-échangiste?

    De respect pour le débat d’idées, il était encore question hier soir sur RTL,  au détour de l’émission   On refait le monde qui a notamment évoqué le cas Jean-Marie Le Pen, sa décision de ne pas se rendre  finalement au congrès du FN à Lille et incidemment  la publication du premier volume de ses mémoires. Il est bien évidemment parfaitement  loisible  de ne pas adhérer aux idées, aux valeurs, à la vision du monde, aux analyses historiques qui sont celles du fondateur du Front National. Comme toute personnalité politique, publique,  ses actions, ses décisions peuvent être critiquées, combattues,  dénoncéesCela ressort de la nécessaire libre expression des opinions dans une société démocratique dont les  journalistes sont normalement eux aussi  les garants.

    Tout juste peut-on tout de même souligner que les commentaires qui ont été faits  hier soir sur Jean-Marie Le Pen peuvent  interpeller, à l’exception d’un Ivan Rioufol beaucoup plus mesuré et sensé dans ses propos. Entendre le journaliste Nicolas Domenach affirmer que JMLP  a « raté son destin» et qu’il  «rate sa sortie»  du fait qu’il apparaît dans ses mémoires comme  «sommairement anti-gaulliste» (sic),  ressort pour le coup  de l’analyse… sommairement partiale et  capillotractée… Nous avons connu M. Domenach tout de même plus fin, quand bien même décrit-il dans le même élan un Jean-Marie Le Pen  « éclipsé par Marion et son pétainisme à sourire de Joconde». La formule est percutante mais verse allègrement dans l’anachronisme et le simplisme. Est-il si difficile de s’abstraire de la volonté grégaire de ne pas sortir du politiquement correct ? Est-il trop compliqué d’avouer  que le Menhir  avait vu juste sur beaucoup de sujets, pressenti et exposé les menaces actuelles avant tout le monde?  Qu’il a tout de même très largement contribué constate encore Bruno Gollnisch – et le chantier n’était pas mince ! -, à fédérer, à  arracher à la marginalité notre courant de pensée,  à faire de l’opposition nationale un courant majeur, incontournable de la vie politique française ?

    Mais le pompon a été décroché haut la main par l’ex directeur du CSA, le journaliste Roland Cayrol, membre de la  famille de la gauche libérale bon teint,   qui a péroré sur «le  parfait ridicule du personnage» que serait Jean-Marie Le Pen, ajoutant   que le président d’honneur du FN «passe pour le pleutre qu’il est. » Le coup de pied de l’âne  en quelque sorte de la part d’un homme au  parcours professionnel bien balisé , bien ouaté, bien  confortable, et  dont  les prises de position  très conventionnelles n’ont pas  brillé par l’expression d’un génie, d’une  audace et  d’un courage particuliers.  « Il y a peu de bonheurs qui ennoblissent, le bonheur de la lutte en est un» notait René Quinton. Jean-Marie Le Pen lui, avec ses qualités et ses défauts, ses succès et ses échecs, a lutté. A  contre-courant.  Conscient de la colossale difficulté  de la tâche de renaissance française qui est la notre, sachant comme  les militants nationaux qui l’ont soutenu et accompagné, comme les  actuels dirigeants du Front, comme Marine,  que «L’art de se faire accepter est, en grande partie, l’art de voiler sa liberté d’esprit» (Montherlant). Que nous importe d’être adoubé, accepté par des gens  qui sont profondément  démonétisés auprès de nos compatriotes ? Et  quel courage, quelles luttes, quelles libertés, quelles qualités peuvent  nous opposer les Cayrol et consorts ? D’où parlent-ils ?  Qui sont-ils pour nous jeter au visage leur arrogance,  leur mépris, leurs insultes ? Au nom de quelle autorité ? L’Histoire, les  Français jugeront.   

    https://gollnisch.com/2018/02/27/respect-courage-cas-jean-marie-pen/

  • Fête du Pays Réel : déjà plus de cent stands réservés pour le 24 mars 2018 !

    Pays-Reel-2018-affiche-definitive.pngOui, vous avez bien lu, la Fête du Pays Réel 2018 enregistre déjà plus de cent stands d’auteurs, d’éditeurs, d’artistes, d’artisans, de mouvements, d’associations et de congrégations religieuses.

    De quoi d’ores et déjà vous garantir une journée exceptionnelle, avec également des intervenants de premier choix ( l’abbé Xavier Beauvais, Pierre Hillard, Marion Sigaut, Valérie Bugault, Virginie Vota, Johan Livernette, Olivier Wyssa, Carl Lang et Alain Escada ).

    Un espace restaurant et sandwicherie sera également ouvert sur place tout au long de la journée.

    . Vous voulez faire partie des exposants ?

    . Vous voulez venir dédicacer vos livres ?

    Dépêchez-vous et profitez des derniers espaces disponibles. Contactez sans plus tarder le secrétariat spécialement dédié à cet événement ( Téléphone: 06 65 40 20 35 – Courriel : paysreel@civitas-parti-catholique.com )

    La 2ème Fête du Pays Réel se déroulera le samedi 24 mars 2018, de 10h à 18h, sur un vaste espace couvert à Rungis, en bordure de Paris (800 places gratuites de parking et nombreux transports en commun).

    Une fête du Pays réel ? Qu’est-ce donc ? C’est la volonté, durant toute une journée, de mettre à l’honneur la France des terroirs et des clochers dans une ambiance unitaire, conviviale, joyeuse et familiale.

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    D’une part, de nombreux stands illustreront l’histoire, la foi, les coutumes, le patrimoine, la culture, le savoir-faire, la gastronomie et le dynamisme de ce Pays réel : éditeurs, associations, congrégations, médias alternatifs, artisans, artistes, viticulteurs, brasseurs et petits producteurs rivaliseront de talents et de richesses à vous faire découvrir. Sans oublier, bien sûr, la longue liste d’auteurs pour petits et grands qui viendront dédicacer leurs livres ou bandes dessinées.

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    Parmi les nombreux exposants déjà inscrits : ACIM (Association catholiques des Infirmières et Médecins) – ACOM (chocolats) – Action Familiale et Scolaire – ADMP – Artisanat Saint Louis – Association Missions – Atelier des dix doigts (sculptures religieuses) – Bannières 2000 – Vanessa Batlle (artiste peintre) – La Boîte à Bons Points (jeux et jouets en bois) – Boutique de la Trinité (objets de décoration en bois) – Cadets de France – Capucins de Morgon – Centre Grégorien Saint Pie X – Cercle National des Combattants (CNC) – Laurence de Chabot (artiste peintre) – Chœur Montjoie Saint-Denis – Civitas – Compagnie de la Sainte-Croix – Comptoir d’Ecosse – Cours privé CEFOP – Raphael Delpard (cinéaste, film “La Persécution des Chrétiens aujourd’hui dans le monde”) – Domaine Le Maine Castay (Cognac, Pineau des Charentes et Vins de France) – Dominicains d’Avrillé – Echoppe Fron (porcelaines et friandises) – Editions Charlemagne – Editions Francephi – Editions Kontre Kulture – Editions Librim Concept – Editions Retour aux Sources-  Editions Hervé Ryssen – Editions Saint Agobard – Editions Saint Remi – Editions Saint Maximilien Kolbe – Editions Reynald Secher – Editions Sel de la Terre  – Editions Sigest – Editions Terra Mare – Galerie JPM (livres et enluminures) – Fédération Catholique du Sport et de l’Education Physique – Fédérations Civitas de l’Aude et de Savoie – Film “La Rébellion cachée” (génocide vendéen) – Formes et Ombres (objets médiévaux) – Guillaume Le Baube (artiste peintre) – Thierry Gillaizeau (sculpteur sur bois) – Ignace (dessins) – Librairie Damase – Librairie Française – Livres d’occasion Grimaux – Clémence Meynet (illustratrice) – Médias Presse Info/Médias Catholique Info – Nation (Belgique) – Nouvelles Editions Latines – Parti de la France – Patrimoine et Renaissance (tapisseries) – La Pierre de la Celle (tailleur de pierre) – Poterie Marie-Laure Cantuel – Réseau des Elus Locaux Catholiques – Résistance Helvétique – Rosa Mystica – Rosaire aux Frontières –  Synthèse Nationale – Stop Provocs Hellfest – UNEC – Vins Domaine de Champ Fleury, Pierre Coquard

    Parmi les auteurs et dessinateurs qui ont déjà annoncé venir dédicacer : Frédéric Andreu – Alban d’Arguin – Stéphanie Bignon – Franck Bouscau – Anne Brassié – Valérie Bugault – Lucien Cerise – Lorris Chevalier – M. l’ambassadeur Henry Cuny –  Anne-Marie Despas – Docteur Jean-Pierre Dickès – Jean-Arnaud Dollié – Michel Drac – Apolline Dussart – Philippe Fortabat Labatut – Bernard Gantois – Patrick Gofman – Françoise Gondrée – Romain Guérin – Yves Guézou (dessinateur) – Pierre Hillard – Roger Holeindre – Carl Lang – Johan Livernette – Lysistrata – Hubert de Mesmay – Claude Meunier-Berthelot – Alain Monestier – Abbé Guy Pagès – Alain Pascal – Pinatel (dessinateur) – Philippe Prévost – Jean Rémy – Olivier Roney – Jean de Rouen – Catherine Rouvier – Reynald Secher – Marion Sigaut – Dominique Tassot – Arnaud Upinsky – Jean-Michel Vernochet – Hristo Xiep

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    D’autre part, tout au long de la journée, des intervenants de qualité se succèderont à la tribune dans une salle réservée à cet usage.

    Pour cette édition 2018 : l’abbé Xavier Beauvais, Pierre Hillard, Marion Sigaut, Valérie Bugault, Virginie Vota, Johan Livernette, Olivier Wyssa, Carl Lang et Alain Escada.

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    L’année dernière, la Fête du Pays Réel avait déjà rassemblé des dizaines d’exposants et un public nombreux venu de toute la France. Cette année, on pousse les murs et on vous attend tous !

    Vous voulez être exposant lors de la 2ème Fête du Pays Réel ? Contactez le secrétariat spécialement dédié :

    Téléphone: 06 65 40 20 35

    Courriel : paysreel@civitas-parti-catholique.com

    Adresse postale: Journée du Pays Réel – Civitas. Chez M. Thierry Rousseau –  La Bossivière 53290 ARGENTON NOTRE-DAME

    http://www.medias-presse.info/fete-du-pays-reel-deja-plus-de-cent-stands-reserves-pour-le-24-mars-2018/88020/

  • Ce qui paralyse la déradicalisation

    6a00d8341c715453ef01b8d2dd1f77970c-320wi.jpgUn nouveau plan dit de déradicalisation a été présenté ce 23 février par le gouvernement. Les esprits chagrins, dont votre chroniqueur peut éventuellement faire partie, ne manqueront pas de l'imaginer illusoire.

    Le Premier ministre, en effet, détaille certaines mesures techniques qu'il se propose de mettre en place. Hélas, il se retrouve dans une pile de 22 mesures du même type prises ou annoncées en 2014, 80 en 2016 et 60 en 2018 avec, désormais, l'école et la prison en tête des préoccupations et instruments.

    On n'oubliera pas ainsi que, dans les prisons françaises, on compte maintenant 512 terroristes islamistes détenus à ce titre (sigle administratif "TIS") auxquels il faut ajouter 1 139 prisonniers de droit commun identifiés comme radicalisés. Ceci sans parler des individus "fichés S" en liberté.

    Or, si l'on s'en tient aux déclarations d'Édouard Philippe, 250 détenus tout au plus pourront être évalués chaque année.

    On pourrait légitimement compare ces chiffres à ceux, assez flous mais bien plus modestes, des zadistes de Notre-Dame-des-Landes. Devant ces gauchistes et autres écolo-activistes, les pouvoirs publics ont piétiné pendant d'interminables années. On peut difficilement cultiver, dès lors, l'optimisme quant aux perspectives immédiates de la lutte contre l'islamisme radical.

    Nos concitoyens devraient donc s'interroger, une fois pour toutes, sur la paralysie des institutions et des médias face à ce phénomène personne ne pouvant ignorer qu'il menace de plus en plus notre société.

    L'immigration, l'islamisme, l'insécurité, ces trois sujets en "i" qu'on nous dit incorrect d'associer, reviennent ainsi en ritournelle dans la préoccupation des Français, débordant les médias.

    Les gouvernants successifs après un effort de négation incroyable depuis 30 ou 40 ans semblent même cependant avoir choisi, sinon d'y faire certainement face, du moins de changer légèrement de discours.

    On ne nous chante plus par exemple le refrain des loups solitaires. On l'aura entendu naguère en boucle chaque fois que frappaient, précisément, le contraire de la solitude, c'est-à-dire des réseaux. La mode change, conformément à son destin qui tend à la démoder. On nous parle donc désormais de déradicalisation mais aussi de pratiques administratives restrictives de l'invasion migratoire.

    Certes, mais qui croire ?

    Le 21 février, à l’Assemblée nationale Gérard Collomb ministre de l’Intérieur développait quelques points techniques de la loi asile et immigration que prépare le gouvernement. Le même jour on apprenait que Jean-Michel Blanquer, ministre de l’éducation qui se dit nationale, envisage pour sa part de serrer la vis aux écoles musulmanes. Telle est l'interprétation officieuse diffusée par les commentateurs agréés d'une proposition de loi portée par une sénatrice UDI. Cette dernière, Françoise Gatel, prévoit d’encadrer plus étroitement l’ouverture des écoles hors contrat. L’affaire a été débattue le 22 février au Sénat. Hélas, l'ambiguïté demeure, puisque le projet, s'il aboutit, pourrait bien atteindre aussi les écoles vraiment libres, catholiques notamment, qui ne produisent aucun terroriste, ceci contrairement à l'éducation dite nationale.

    Tout cet effort, pourtant limité, reste paralysé, dénigré, entravé par divers groupes, dont l'extrême gauche ne détient malheureusement pas le monopole.

    On entend parfois, certes, sur ce terrain, d'heureux réquisitoires contre un certain islamo-gauchisme. Figure emblématique de cette attitude, Edwy Plenel s'illustre ainsi à la tête de Mediapart. Pour ces militants du clavier, défendre l'islamisme, en niant, en sous-estimant, en révisant à la baisse l'horreur des crimes, revient à manifester cette sollicitude privilégiée pour l'étranger, dont une certaine gauche se réclame. Le musulman est ici confondu avec le Maghrébin.

    Ne nous dissimulons pas, en regard, que les ex-compagnons de route du parti communiste ou les ex-trotskistes ne sont, malheureusement, pas seuls en cause.

    Les bobos, mais aussi une certaine frange des habitants des beaux quartiers, ceux qui ne descendent jamais au métro Château d'Eau, les gens qui ne sortent de la gare du Nord que pour monter dans un taxi, restent eux aussi très généreux, avec ce qu'ils considèrent, au fond, comme une réserve naturelle de domesticité. Que leur grand cœur s'exerce aux frais des Français moyens, contribuables et corvéables à merci, cela n'échappe plus à personne.

    Pour eux, métaphoriquement, critiquer la prédication mahométane entrave le libre contrat de travail avec l'immigré éventuellement en situation illégale. Cette remise en cause indispose également les relations excellentes avec la clientèle des palaces parisiens.

    C'est donc bien cette attitude commune à toutes nos pseudo-élites qui paralyse par avance toute politique contraire à l'islamisme radical.

    JG Malliarakis 

    6a00d8341c715453ef01b8d2dd1f8a970c-320wi.jpgEn relation avec cette chronique

    "La France en danger d'islam" par René Marchand

    à commander en ligne aux Éditions du Trident :

    - sur la page catalogue de l'éditeur

    - ou par correspondance en adressant un chèque de 29 euros aux Éditions du Trident, 39 rue du Cherche-Midi 75006 Paris.

    http://www.insolent.fr/