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France et politique française - Page 2595

  • La crèche non, mais dîner avec les islamistes de l'UOIF, oui

    Au Conseil régional de Bourgogne, Julien Odoul (élu FN) dénonce l'attitude de la présidente Marie-Guite Dufay (PS) qui refuse les crèches de Noël au Conseil régional mais dîne publiquement avec les islamistes de l’UOIF.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La circulaire du gouvernement visant à recenser les immigrés illégaux hébergés dévoilée

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    Ce mercredi, l’Agence France Presse a dévoilé la circulaire du ministère de l’intérieur sur le recensement des étrangers en centres d’accueil d’urgence.
    Celle-ci a pour but d’évaluer la situation administrative des immigrés illégaux hébergés actuellement dans ces centres.

    Différents cas de figures se poseront alors. Les étrangers entrant dans les critères permissifs de l’ONU les définissant comme réfugiés seront alors dirigés vers un logement pérenne. Les autres immigrés pouvant bénéficier du droit d’asile seront alors redirigés vers le dispositif dédié.

    Enfin, les quelques étrangers faisant l’objet d’une obligation de quitter le territoire se verraient proposer une aide au retour.
    Une fois encore, l’accumulation de moyens déployés pour satisfaire des immigrés entrés illégalement sur le territoire laisse rêveur.

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  • Macron à la conquête de l’Europe - Journal du Jeudi 14 Décembre 2017

  • André Bercoff : On assiste aux prémices d’un très grand bouleversement dans les médias, qu’ils soient audiovisuels ou écrits !

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    Début 2018, André Bercoff, Éric Brunet et Gilles-William Goldnadel lancent ensemble une webtélé qui s’appellera La France libre.
    Dans un paysage médiatique en pleine restructuration, l’idée est de faire du décryptage, de l’humeur, de l’humour. Et de mettre des mots sur les maux.

    André Bercoff précise que ce projet cherche aussi à dépasser les clivages politiciens :

    Les étiquettes ne m’intéressent pas du tout. On peut donner l’étiquette que l’on veut.
    Personnellement, je considère que la gauche n’est plus du tout à gauche, la droite ne sait plus où elle est et, quant au reste, les Insoumis ou les centristes, ils ne se portent pas mieux.
    Dans un paysage de décomposition, essayons de prendre des marques et de mettre les mots vrais sur les vrais maux. Je ne sais pas si nous y arriverons, mais nous essaierons.
    Nous avons cette ambition, en tout cas.

    https://fr.novopress.info/208851/andre-bercoff-on-assiste-aux-premices-dun-tres-grand-bouleversement-dans-les-medias-quils-soient-audiovisuels-ou-ecrits/
  • Sécu à la sauce Bercy

    6a00d8341c715453ef01b7c93a938a970b-320wi.jpgEn date du 3 décembre, le Figaro dressait un surprenant panégyrique de la nouvelle ministre de la Santé, Mme Agnès Buzyn. À en croire le quotidien de la bourgeoisie, toutes les fées se sont penchées sur le berceau de cette "hématologue unanimement appréciée et reconnue ". Après une série de références élogieuses l'auteur du texte elle-même, Marie-Cécile Renault ajoute… "N'en jetez plus !"

    Il est vrai que sa devancière Marisol Touraine avait réussi le tour de force de se faire détester par tout le monde.

    La première question que l'on devrait cependant se poser permettrait de préciser à l'attention du public la véritable autorité en matière de sécurité sociale.

    Partons d'une réalité chiffrée. Le 4 décembre les députés présents, à peine une soixantaine sur 577, adoptaient en deuxième lecture le PLFSS, projet de loi de financement de la sécurité sociale, qui devient donc la loi pour l'année 2018.

    Les chiffres de base sont ceux de l'année 2016, les derniers connus par conséquent. Ils établissent pour les régimes obligatoires de base une dépense d'ensemble de 477 milliards d'euros pour 470 milliards de recettes. Étrangement on n'informe l'opinion que du solde, soit 7 milliards, en diminution constante nous invite-t-on à nous féliciter.

    Cette diminution du déficit comptable a vocation à diminuer encore par la grâce d'une hausse de la CSG de 1,7 point, elle-même partiellement compensée par une baisse des charges lesquelles, contrairement à la CSG, ne sont prélevées qu'à partir des revenus du travail. L'intention constante de ce genre de manipulations remonte d'ailleurs à la création de la CSG par le si funeste Rocard en 1991 au taux de 1,3 %, puis son passage à 2,4 % par Balladur en 1993 et enfin sa hausse vertigineuse imposée Juppé et son plan avalisé en 1996, au gré d'une réforme constitutionnelle. Dès lors, en 1998 la CSG atteignait le taux de 7,5 % sur les revenus d'activités, du capital et des jeux.

    En 2018 elle passera donc, et cette fois grâce à Macron, au taux de 9,2 % sur les revenus d'activités, 9,9 % sur les revenus du patrimoine, et 8,6 % pour le revenu des jeux. Elle se sera donc multipliée par 7 et votre chroniqueur ne regrette pas d'avoir prédit à son sujet, lors de son invention : petit monstre social deviendra grand. Il est vrai que ce pronostic pessimiste n'était publié que par l'organe du défunt CDCA, disparu avec la mort violente, et jamais élucidée, de Christian Poucet. Il était interdit de s'y référer, de nous citer, ni même de nous répondre fût-ce indirectement.

    Alors aujourd'hui reprenons le décompte de cette part "sociale" de la dépense publique. Elle est clairement supérieure au budget de l'État : 477 milliards pour la sécurité sociale en 2016 à comparer 259 milliards de dépenses dites pilotables de l'État dans le projet de loi de finances pour 2018. Notons qu'en 2017, le déficit de l’État devrait être supérieur de 7,2 milliards à la prévision initiale. Notons aussi que la nouvelle présentation de la loi la rend de plus en plus illisible

    Dans les dépenses de sécurité sociale, ce n'est pas Me Buzyn, ce n'est pas la branche maladie, et ses 196 milliards de dépenses, c'est la branche vieillesse à 227 milliards qui tient la première place.

    Certes on a pris l'habitude de nous informer seulement sur les soldes de tous ces comptes, et le solde de la maladie est présenté pour le plus préoccupant.

    Mais ce n'est pas le ministère de la Santé, encore moins la représentation nationale, qui compte dans ce débat, c'est l'administration anonyme de Bercy. C'est dans cette immense citadelle de la technocratie, où les ministres ne font que passer, que se prennent les décisions. La qualité scientifique de Mme Buzyn n'est qu'une galanterie. La santé des assurés sociaux n'est qu'un point de détail. Les cochons de payants n'ont qu'à se taire et à obéir.

    Et, ne nous y trompons jamais, c'est cette sauce Bercy qu'on appelle le modèle français.

    http://www.insolent.fr/2017/12/secu-a-la-sauce-bercy.html

  • Éric Zemmour : “Qui est Johnny et qui ne l’est pas ?”

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    Les polémiques se multiplient après la manifestation à La Madeleine autour de Johnny Hallyday. On aurait pu croire pourtant à une unanimité nationale.

    Il est mort comme il a vécu. Dans le fracas et le bruit. À 17 ans, la jeunesse cassait les fauteuils pour ses concerts, tandis qu’écrivains et ministres s’étripaient dans la presse à son propos. À sa mort, tout recommence.

    Ce n’est ni un calcul, ni un hasard, ni une erreur. C’est un destin. Le destin de Johnny. Jeune, il incarnait le coup d’état de sa génération qui arrachait le pouvoir à une société d’adultes qui ne demandait qu’à se laisser subvertir.

    Mort, il voit descendre dans la rue le “petit peuple des petits blancs” (dixit Alain Finkielkrault), cette France périphérique qui communie avec son héros, en se moquant bien de ses frasques fiscales.

    Il est amusant d’entendre ceux qui exigent habituellement de voir de la diversité partout (…) prendre soudain des pudeurs de chaisière pour regretter qu’on classe ainsi les gens par races ou religions.

    Amusant de voir les thuriféraires exaltés de la France black-blanc-beur et du vivre-ensemble rester cois face à cette preuve par le réel que leurs chimères n’existent pas.

  • L'écriture inclusive, un projet mort-né

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    « Ahora, me dirijo a todos los Españoles » Felipe VI d'Espagne

     L'hubris féministe a sans-doute passé les bornes et cela ne lui a pas réussi.

    Le lobby des enragées du féminisme le plus discutable a franchi les limites non seulement de la sottise et de la loufoquerie mais encore tout bêtement du praticable, en tentant de faire passer en force l'écriture dite inclusive.  

    Ce fut organisé comme on tente un coup. En l'occurrence un coup de main linguistique, un coup sur l'écriture d'un peuple, sur une langue écrite, à défaut de pouvoir l'accomplir sur la parole ... Car l'écriture inclusive n'a pas d'effet sur la langue parlée. Elle ne se dit pas autrement que ne se dit l'écriture ordinaire. 

    Louis-Joseph Delanglade a écrit ici-même que le sort de l'écriture inclusive est scellé. Et cela nous semble l'évidence simplement à cause, si l'on peut s'exprimer ainsi, de son impraticabilité. Le Monde - qui a pris fait et cause pour elle - est-il prêt à paraître en écriture inclusive ? Ce serait une excellente chose, s'est amusé à dire Alain Finkielkraut en posant la question, car il y perdrait tous ses lecteurs. 

    Alors, le président de la République, le Premier ministre, le ministre de l'Education Nationale, l'Académie française et une kyrielle d'autorités diverses, ont condamné le projet. Peut-être, d'ailleurs, était-il condamné en quelque sorte de par sa propre nature. Il est mort-né proprio motu

    Mais les manies prétendument féminisantes du discours public continuent de faire rage. Par exemple les ridicules « celles et ceux », « toutes celles et tous ceux », « chacune et chacun » mille fois répétés, mécaniques et stupides. A commencer par le pauvre Macron dont le verbe en est dramatiquement surchargé, encombré, plombé. Et à sa suite, tous les autres.  

    Nous nous rappelons avoir envié les Espagnols lorsque nous avons écouté le discours du roi Felipe VI, en pleine crise catalane, le 3 octobre dernier. Nous nous sommes dit qu'ils étaient peut-être devenus moins stupides que nous ne le sommes désormais. Au début de sa conclusion, le roi déclare : « Ahora, me dirijo a todos los Españoles », « maintenant, je m'adresse à tous les Espagnols ». Il y avait sans-doute peu de risque qu'il se trouve plus d'une poignée de sottes gens dans son pays pour s'aviser que le roi ne s'adressait pas aux Espagnoles ...

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • Zoom - François Billot de Lochner : Non à la république islamique de France