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France et politique française - Page 2721

  • Macron: faux libéral, vrai autoritaire

    Macron s’est complu dans ses premières déclarations publiques, comme son discours au Congrès de Versailles, à dénoncer les « démocraties illibérales ». Mais respecte-t-il lui-même le libéralisme?

    Il avait suffi qu’il débute sa campagne présidentielle avec une réputation de libéral pour prendre plusieurs longueurs d’avance sur ses concurrents: il a ainsi d’emblée conquis 10 % de voix de droite sans beaucoup perdre sur sa gauche grâce à ses connivences libertaires.

    Quelques faux-semblants

    D’être issu de l’aile droite du Parti socialiste n’aurait pas suffi. La loi Macron de 2015 avait pour but d’ancrer cette réputation libérale, notamment auprès du patronat. Les réticences qu’elle a rencontrées au parti socialiste – au point de nécessiter le passage en force par le 49-3, n’ont fait que conforter l’image du jeune ministre.

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  • Chalon-sur-Saône, samedi 5 août, le Parti de la France s'opposera à l'installation de migrants dans la ville

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    Samedi 5 août à 14h, place de Beaune à Chalon-sur-Saône, le Parti de la France organise un rassemblement contre l'arrivée de migrants dans l'ancien hôtel Formule 1 de la ville. Merci à tous les patriotes qui peuvent s'y rendre de venir soutenir les militants du PdF face à l'invasion étrangère !

  • Dans Présent d'hier, un grand entretien avec Charles-Henri d'Elloy, auteur du livre "Les enfants de Maastricht". A ne pas manquer....

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    8912-20170729.jpgMarie de Lisle a interrogé Charles-Heni d'Elloy sur son nouveau livre. Un entretien qu'il faut lire absolument. Présent est en vente chez votre marchand de journaux ou en ligne en cliquant ici

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  • Les enjeux d’une chute de popularité

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    Emmanuel Macron vient d’enregistrer la seconde plus forte baisse de popularité d’un Président de la République trois mois après son élection, avec une baisse de 10 points[1]. Le record restant le cas de Jacques Chirac après son élection de 1995 (15 points). Ce n’est pas étonnant, et c’est même logique en un sens. Pourtant, la situation n’est pas ici comparable. La particularité de l’élection présidentielle qui a porté Macron à la magistrature suprême donne une signification spécifique à cette chute de popularité. Dans un monde de communication, rien n’est pire que d’avoir une mauvaise image. Et c’est ce qui est en train d’arriver à Emmanuel Macron. Car, si la prophétie auto-réalisatrice à fonctionné dans un sens, et a permis son élection, elle pourrait fort bien fonctionner dans l’autre sens.

    Le précédent de Jacques Chirac

    On se souvient de l’élection de 1995. Jacques Chirac, concurrencé par Edouard Balladur, avait du gauchir son discours, et faire campagne sur la « fracture sociale » pour l’emporter. Mais, dès son arrivée au pouvoir, il mit en œuvre une politique de droite classique, orchestré à l’époque par Alain Juppé. Cette politique devait aboutir à l’un des plus long et des plus durs conflits sociaux, à propos de la réforme des retraites. Ce conflit obligea le gouvernement d’Alain Juppé de retirer son texte, et déséquilibra toute la politique de Jacques Chirac, aboutissant à la dissolution, et à l’élection d’une majorité de « gauche » en 1997.

    En un sens, c’est un peu ce que l’on constate avec l’élection d’Emmanuel Macron. La réalité du Président n’est visiblement pas celle du candidat, et la distance entre les dires du candidat et les faits du Président égale celle de Jacques Chirac. Après avoir limogé 4 ministres en raison des soupçons que pesaient sur eux, il s’obstine à conserver sa ministre du travail qui traine cependant un lourd dossier derrière elle (l’affaire de Las Vegas). Il est revenu sur ses promesses qu’il s’agisse de l’enseignement supérieur et de la recherche ou du budget de la défense. Il paie ici au prix fort la démission du général Pierre de Villiers, l’ex Chef d’Etat-Major des Armées. Mais d’autres dossiers pèsent aussi lourdement sur sa politique comme l’annonce d’une forte augmentation de la CSG, l’annonce de restrictions budgétaires pour les collectivités locales, ou encore les tergiversations sur la suppression de la taxe d’habitation. Mais, le plus grave est, bien entendu, la réforme qu’il entend faire passer par ordonnances du Code du Travail, une réforme qui va considérablement aggraver la situation des salariés[2].

    Il n’est donc pas étonnant qu’Emmanuel Macron connaisse le même sort que Jacques Chirac en 1995. Et cela pourrait promettre un automne particulièrement chaud[3].

    Emmanuel Macron n’est pas Jacques Chirac

    Mais est-ce réellement la même situation qu’avec Jacques Chirac ? La grande différence est ici le pourcentage des électeurs inscrits sur le total des votants qui ont voté soit pour Emmanuel Macron soit, aux élections législatives pour le parti qu’i a créé, La République en Marche. De fait, Emmanuel Macron est certainement l’un des Présidents les plus mal élus de la Vème République, et il s’appuie sur une majorité parlementaire qui, elle aussi, est certainement la plus mal élue depuis 1958.

    Tout ceci rappelle une métaphore dont les économistes sont friands, celle de la « bootstrap economy »[4]. C’est, en fait, une métaphore avec un personnage de bande dessinée qui court vers une falaise, l’atteint, et continue à courir, jusqu’à ce qu’il regarde le sol sous lui. Et ce n’est qu’à ce moment qu’il tombe…En un sens, nous avons une Présidence qui repose largement sur un effet de « bootstrap ». La capacité d’Emmanuel Macron a exercer le pouvoir dépend largement de l’illusion du pouvoir qu’il peut donner. Si cette illusion se dissipe, alors il sera ramené à la réalité : un Président mal élu, appuyé sur une majorité encore plus mal élu que lui-même.

    Et, c’est pourquoi la chute de 10 points dans les sondages que l’on constate aujourd’hui est, pour Emmanuel Macron, bien plus inquiétante qu’elle ne l’était pour Jacques Chirac. De plus, Jacques Chirac pouvait se targuer d’une certaine expérience en politique, à la différence d’Emmanuel Macron. Pour ce dernier, les fautes qu’il accumule, et il commence à en accumuler depuis ces dernières semaines, vont se combiner dans une interrogation qui agira comme un acide sur sa Présidence : est-il digne d’occuper ce poste ? L’autoritarisme affiché du Président, et qui se révèle dans la direction de LREM commence déjà à provoquer des problèmes avec les « militants »[5]. Si nul ne conteste la légalité de son élection, sa légitimité est de moins en moins acquise

    Le dilemme des souverainistes

    Mais, Emmanuel Macron peut s’appuyer sur un élément qui pourrait le maintenir en place ; c’est l’absence d’une opposition crédible. Les « Républicains » (l’ex-UMP) sont divisés, et certains se sont d’ores et déjà ralliés. Les souverainistes des deux bords sont à la fois peu nombreux à l’Assemblée Nationale (du fait du mode de scrutin) et affaiblis par des problèmes de cohérence dans leurs positionnements, mais aussi par la guerre intestine qui les mine, et qui parfois les oppose. Pourtant, ils devraient savoir qu’ils n’ont aucun avenir tant qu’ils n’uniront pas leurs forces, et ceci n’impliquant nullement que les divergences qui les opposent doivent être oubliées. Mais le politique a ceci de différend avec la politique qu’il se concentre sur ce qui oppose le plus. La question du politique, c’est celle de la relation ami-ennemi. Sans une coordination entre les différentes forces d’opposition un pouvoir affaibli, décrédibilisé et progressivement dépourvu de légitimité, pourra se maintenir. C’est à cette vérité que les souverainistes devront, rapidement, se confronter.

    [1] lejdd.fr

    [2] fr.sputniknews.com

    [3] Voir mon interview-vidéo consacré à cette question : YouTube

    [4] Cette métaphore est prise très au sérieux, comme en témoigne des travaux comme lien – pdf 

    [5] bfmtv.com

    Source

    http://www.voxnr.com/12239/les-enjeux-dune-chute-de-popularite

  • Vive Tepa ! L'aventure Meta TV décortiquée (Daniel Conversano, juillet 2017)

  • « C’est un mensonge de dire que ça n’a rien à voir avec l’islam »

    L’abbé Fabrice Loiseau est le fondateur et supérieur des Missionnaires de la Miséricorde divine, communauté qui repose sur trois piliers : la miséricorde, l’adoration et l’évangélisation, en particulier auprès des musulmans. Un an après l’assassinat du père Hamel par des terroristes islamistes et fort de son expérience de terrain, il donne sa vision de l’islam en France et sur une possible cohabitation avec les chrétiens.

    "Dans le cadre de notre communauté, les Missionnaires de la miséricorde, je distingue bien la question des personnes, de celle de l’Islam. Je vois dans tout musulman un frère et un chercheur de Dieu. On doit garder cette charité, cette compréhension du phénomène religieux, de la vertu naturelle de religion, et donc du respect du chaque homme. C’est ce que le Concile nous invite à découvrir.

    En même temps, j’avoue avoir un jugement sévère sur l’Islam et sur la manière dont cette religion peut être vécue dans beaucoup d’endroits, et particulièrement en France. L’assassinat du père Hamel mais aussi les 260 morts des attentats en 2 ans n’ont fait que conforté hélas la gravité de la situation. Je pense qu’il y a un gros problème théologique dans l’Islam aujourd’hui. Il a toujours été, mais tout particulièrement aujourd’hui et en France. Je vois que l’UOIF est incapable d’analyser un tel événement. Je condamne tout à fait ceux qui disent que cela n’a rien à voir avec l’Islam. On est bien d’accord qu’il ne s’agit pas de tous les musulmans et de tout l’Islam.

    Toutefois, hélas, cette interprétation violente prend ses sources dans le Coran et dans les hadiths. Il est inutile de dire que cela n’a rien à voir avec l’islam. C’est un mensonge de dire cela. J’ai peur que nous allions vers une impasse."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • La baudruche du pseudo Jupiter se dégonfle-t-elle?

    C'est avec avidité, et une belle unanimité, que, dès le début de la semaine, les commentateurs de l'éphémère se sont rués sur un sondage d'opinion publié dimanche 23 juillet. Ce jour-là en effet l'AFP diffusait la nouvelle d'une baisse de 10 points, en un mois, de la cote de popularité du président Macron.

    Jusque-là, les mêmes commentateurs agréés, les mêmes instituts de sondage, les mêmes observateurs de girouettes en avaient fait le roi de la montagne. Certains pensent même que leurs pronostics pendant la campagne présidentielle avaient produit un effet auto réalisateur. À force de nous dire que c'est la mode, cela devient la mode.

    À vrai dire cependant, on attendait désormais avec impatience le commentaire ou l'enrobage des faits qu'en ferait le très boboïsant Castaner porte-parole du gouvernement, si habile ce 21 juillet, deux jours plus tôt à accuser le général Pierre de Villiers d’avoir été "déloyal dans sa communication" et d’avoir "mis en scène sa démission"(1)⇓ Il a donc certainement quelque chose à nous dire sur la chute vertigineuse de popularité du chef de l'État.

    Que s'est-il donc passé de si négatif entre juin et juillet ?

    Tout lui réussissait jusque-là nous démontrait-on.

    Comment en un plomb vil l'or pur s'est-il changé ?

    N'a-t-on pas dans cette séquence, républicaine en diable, franchement battu tous les records du genre.

    Or, les sondages ne sont en général invoqués, et approuvés, que lorsqu'ils indiquent ce que nous avons envie d'entendre. Chaque fois qu'ils donnent des résultats qui nous déplaisent, nous nous souvenons des vices logiques et scientifiques qui les décrédibilisent. Ils ne résultent certes pas d'une science exacte, mais ils nous disent quelque chose de la réalité de l'opinion.

    Et dans le cas précis les faits eux-mêmes sortent de l'ordinaire ;

    Le candidat Macron se réclamait d'une double appartenance inédite "et de droite et de gauche".

    Le chef de l'État dont on nous assure que le monde nous l’envie, alors qu'une bonne partie de l'Europe le regarde de plus en plus comme l'objet d'une dérision naissante

    La symétrie des erreurs explique en effet la généralité du désamour.

    À droite, la crise ouverte par les déclarations du président contre le chef d'État-major des armées n'est ni refermée ni même dénouée. Elle ne s'est interrompue par la démission du chef d'État-major des armées que d'une manière temporaire. Il subsiste hélas d’autres dommages difficilement réparables et le ministre de la Communication est venu en apporter l'aggravation. Cela confirme une impression générale : les dépenses que l'on qualifie ordinairement de régaliennes : défense nationale, diplomatie, missions de maintien de l'ordre, administration de la justice, missions fondatrices de l'État sont devenues des parents pauvres, occultées par celles, d'invention récente, qui mobilisent la démagogie clientéliste.

    À gauche, l'affaire des prestations APL, rognées de 5 euros, provoque un haut-le-cœur bien compréhensible. Elles ne relèvent pas, en principe, de l'État mais de la sécurité sociale. Versées par les caisses d'allocations familiales, ces dernières n'ont même pas été consultées, aboutissement d'un processus d'étatisation remontant au plan Juppé, à la réforme constitutionnelle de 1996 et aux ordonnances subséquentes. Cette affaire donne le sentiment plutôt écœurant que l'on cherche à faire des économies sur le dos des plus pauvres. Et elle confirme que le nouveau gouvernement représente purement et simplement la prise du pouvoir par les technocrates de Bercy, dès gens totalement coupés des réalités sociales  (2)⇓.

    Au centre, beaucoup de gens imaginaient la renaissance des débats et de la vie parlementaire. C'est le contraire qui s'est produit et la séance du 25 juillet a montré à cet égard que l'on peut toujours descendre plus bas.

    Le prétendu état de grâce n'était qu'un mythe. Reste à avoir désormais jusqu'où ira désormais le processus de désenchantement.

    JG Malliarakis

    Apostilles

    1. Et dans les colonnes du Figaro, s'il vous plaît... 
    2. cf. notre chronique du 20 juillet < a href="http://www.insolent.fr/2017/07/necessite-dune-rupture-avec-bercy.html">Nécessité d'une rupture avec Bercy 

    http://www.insolent.fr/

  • Un entretien avec Arnaud Menu, directeur de Radio Libertés, dans Présent

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    Interview d’Arnaud Menu, animateur de Radio Libertés.

    Radio Libertés a soufflé sa première bougie en juin. Pourquoi le groupe TV Libertés a-t-il éprouvé le besoin de lancer une radio et comment se porte-t-elle un an après?
    Plus exactement le 21 juin… Le groupe Libertés a décidé de lancer une radio pour la simple et bonne raison que nous voulons aller là où les gens sont, vivent, s’informent, se divertissent, échangent. Or la radio reste un média très utilisé par les Français, surtout le matin. Il était donc impératif pour le groupe Libertés de se doter d’une radio. Une radio généraliste dans laquelle beaucoup de gens peuvent se reconnaître. Radio Libertés se porte bien, notre audience est croissante, nous avons réussi quelques bons coups lors de Matinales spéciales. Nous sommes les seuls à avoir eu des partisans de Trump par exemple au matin de sa victoire. Nous avons également organisé des Spéciales Présidentielles et Législatives où notre analyse détonnait. Bien entendu, nous avons encore du travail à effectuer pour une amélioration pérenne.

    Qu’est-ce qui vous différencie des autres radios ?
    Le ton, la ligne, l’état d’esprit. Complémentaire de TV Libertés, Radio Libertés défend et promeut la culture française et la civilisation européenne. Nous donnons la parole à ceux que l’on n’entend pas sur les autres radios, tout en étant au cœur de la cité. Autant que faire se peut, nous donnons la parole à ceux qui politiquement, culturellement, économiquement agissent pour la France, ses racines y compris chrétiennes, sans oublier l’Europe. Nous refusons tout ce qui avilit l’esprit, l’âme, la promotion de la vulgarité, du bas, du laid. On pourrait dire in fine que Radio Libertés c’est la radio du Beau.

    Les émissions de TV Libertés et celles de Radio Libertés ne se marchent-elles pas sur les pieds ? Avec parfois des émissions similaires sur les deux antennes.
    Non, car dès le début Radio libertés a eu pour mission de redonner une seconde vie aux émissions de TV Libertés. Celles qui correspondent à un format radio ou qui nécessitent peu de travail de montage. De plus, certaines émissions comme « Têtes à Clash » sont faites pour TV Libertés et Radio Libertés. C’est un format fait pour les deux types de diffusion. Bien entendu, nous allons développer les programmes propres à Radio Libertés, mais tout en maintenant la reprise de programmes de TV libertés. Nous sommes un seul et même groupe…

    Vous avez hérité de beaucoup de transfuges de Radio Courtoisie. C’est du déjà vu ou plutôt du déjà entendu. Est-ce que vous n’avez pas le sentiment de refaire parfois une Radio Courtoisie qui se voudrait plus « fun » ?
    Je ne dirai pas du « déjà entendu »… Ces personnes ont été virées par l’ancienne direction de Radio Courtoisie, je le rappelle. Radio Libertés leur a permis de continuer à développer leurs thèmes, de recevoir les invités qu’ils souhaitaient tout en ne reproduisant pas le format des émissions de Radio Courtoisie. Disons que c’est le même ton mais avec un format différent. Il faut surtout préciser que d’autres émissions sont animées par des personnes qui ne sont pas issues de Radio Courtoisie. Radio libertés développe sa propre grille, son propre ton sans vouloir singer ce qui existe déjà. Nous ne refaisons donc pas une Radio Courtoisie, même en plus « fun ».

    Comment écoute-t-on Radio Libertés ?
    Uniquement sur Internet en vous rendant sur la page Radio Libertés du site de TV Libertés ou en téléchargeant l’application TV Libertés pour smartphone Apple ou Android. Nous émettons 24h/24 et 7j/7.

    Vous avez beaucoup évolué en douze mois. Quelles sont aujourd’hui vos émissions phares ?
    Bien entendu la Matinale, que j’anime avec Floriane Jeannin et Thibaud Bastide, que nous diffusons en direct du lundi au vendredi de 7 heures à 9 heures (et de 8 heures à 9 heures, pour la Matinale d’été, depuis le 10 juillet jusqu’au 28 juillet), une Matinale qui reprend les codes des Matinales des autres radios (chroniques, journaux, entretiens, reportages, etc.) mais en assurant un vrai travail de réinformation. Toutes les autres émissions que nous avons créées : Culture en libertés (le mardi à 18 heures) avec Anne Brassié, Le Journal de la réplique (le mercredi à 18 heures) animé par Bernard Antony et son équipe, Synthèse cliquez là (le jeudi à 18 heures) avec Roland Hélie et Philippe Randa, Fréquence Camisole (un vendredi sur deux à 18 heures) ou En attendant le Monde nouveau (un lundi sur deux) sont nos émissions phares. Vous pouvez les écouter, les télécharger, les partager en vous vous rendant sur le compte Soundcloud de Radio Libertés.

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    L'émission Synthèse du 22 juin : Philippe Randa, Jean-Marie Le Pen, Roland Hélie et Pierre de Laubier (NDLR)

    Quelle est votre programmation musicale ?
    Principalement de la variété française, mais nous diffusons également du rock, de la musique classique, de l’opéra, de la musique médiévale, folklorique, celtique, de la country, du bal musette, ou des styles un peu plus pointus comme la new wave. Nous ouvrons également nos antennes aux styles que l’on n’entend pas ailleurs comme le Rock identitaire français. Oui sur Radio Libertés, vous pouvez écouter In Memoriam, FTP, Hotel Stella, Vae Victis ou Ile-de-France.

    Vous avez un point commun (entre autres) avec les journalistes de «Présent », vous vous levez avant 5 h du matin pour animer votre matinale. Comment tenez-vous le coup ?
    C’est peu dire que c’est sportif comme rythme de vie. En fait, chacun des animateurs de la Matinale ne la présente que trois fois par semaine. Ce qui limite en partie l’effort nécessaire. D’autant qu’aux deux heures de présentation j’ajoute pour ma part tout le travail de préparation de la Matinale du lendemain (en fait des cinq matinales), sans oublier tout ce que je dois faire pour la radio. Je me couche tôt en fait et ne sors pas la veille d’une Matinale. C’est la seule solution pour tenir. Et à force on s’habitue.

    Parlez-nous de vos projets pour la rentrée.
    Nous avons le projet de mettre en place une émission de libre antenne pour nos auditeurs. En effet, à l’instar de TV Libertés, le slogan de Radio Libertés c’est « Nous c’est vous ». Il est donc souhaitable de permettre ceux qui nous écoutent de pouvoir s’exprimer tout en évitant la vulgarité, la diffamation et les propos contraires à la loi. C’est le grand chantier de la rentrée.

    Propos recueillis par Caroline Parmentier.

    Présent cliquez ici n°8905 du 20 juillet 2017