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France et politique française - Page 2844

  • Jovanovic : « Les élections présidentielles sont manipulées et Macron détruira la France »

    Pierre Jovanovic commente les élections présidentielles et explique le danger de voir Emmanuel Macron devenir président de la république pour le compte des banques internationales.

  • Si ça, c’est pas une télévision aux ordres !

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    Finie, cette époque où on refusait carrément de recevoir Marine ou Jean Marie Le Pen à la télévision…

    Quatre heures dix du matin à l’île Maurice. N’ayant pas eu le courage d’affronter les quatre heures du débat prolongé tard dans notre nuit de l’hémisphère sud, je me précipite sur mon ordinateur pour essayer d’en comprendre les grands moments.

    Rachid M’barki, qui officie ce matin sur BFM TV, finit de passer en revue la performance des différents candidats et enchaîne dans la foulée : « Une enquête a été ouverte à l’encontre du Front national pour cause d’emplois fictifs dans le Pas-de-Calais… »

    Si cet enchaînement n’est pas cousu de fil blanc, alors moi, je suis champion du monde de tir aux pigeons ! Le ton monocorde du présentateur de la chaîne macronisée n’a pas changé d’un iota quand il est passé du sujet du jour à une « information » qu’on aurait pu décaler vers la fin du journal si on s’en tenait aux strictes règles déontologiques du métier de journaliste présentateur objectif. Mais on en est loin. Et, quelques minutes plus tard, que voit-on défiler au bas de l’écran ? La déclaration d’un certain monsieur Griveaux, conseiller d’Emmanuel Macronqui, deux jours plus tôt, au cours d’une rencontre avec Marine Le Pen, lui avait reproché d’être « la mère Noël qui distribue des cadeaux à tout le monde ».

    Discrètement, comme si de rien n’était, cette reprise d’information réchauffée défilait de la manière la plus anodine du monde, comme si elle venait de sortir du four de l’actualité immédiate… C’est ce qu’on appelle du pilonnage en boucle et du journalisme de pacotille.

    C’est à ces petits détails qu’on reconnaît une télévision aux ordres. Finie, cette époque où on refusait carrément de recevoir Marine ou Jean Marie Le Pen à la télévision en alléguant je ne sais quel antirépublicanisme, fascisme ou quelque autre isme de circonstance aggravante. À part Michel Drucker, qui a dit qu’il n’inviterait aucun Le Pen à s’asseoir sur son divan du dimanche et qui s’enfonce chaque jour un peu plus dans le grotesque du parti pris (infantile ou sénile, je n’en sais rien), l’intox est aujourd’hui plus subtile.

    Aviez-vous remarqué que, juste après le premier débat télévisé, les commentateurs présents sur le plateau de BFM TV avaient été unanimes à penser que Marine Le Pen avait été la plus convaincante ? Eh bien, quelques heures plus tard, la même chaîne balançait des commentaires totalement contraires, comme si une bonne âme était passée par là pour les ramener dans le bon chemin de la désinformation…

    http://www.bvoltaire.fr/ca-cest-television-aux-ordres/

  • L’arabe enseigné dans le primaire dès 2017 grâce à Najat Vallaud-Belkacem

    8837-20170407.jpgL’information, habilement noyée par les grands médias dans le flot de l’actualité, est passée quasiment inaperçue. Et pourtant, en signant le 31 mars avec son homologue tunisien une convention prévoyant la mise à disposition de la France par Tunis de professeurs pour enseigner l’arabe dans nos écoles primaires dès la rentrée prochaine, Najat Vallaud Belkacem vient d’accélérer le processus d’assimilation inversée des petits Français déjà à l’œuvre dans notre pays.

    Nous savions, bien sûr, qu’en dépit des nombreuses critiques qu’elle avait essuyées en évoquant ce projet, l’« idéologue » NVB s’y accrocherait bec et ongles, comme elle l’a fait pour l’enseignement du genre et autres réformes criminelles. Aussi, ne sommes-nous pas surpris d’apprendre que, en visite à Tunis à l’occasion du 3e congrès des ministres de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique des pays membres de l’Union pour la Méditerranée, celle-ci a signé avec le ministre de l’Education tunisien, Néji Jalloul, cette convention s’inscrivant dans le cadre du programme « Enseignements de langue et de culture d’origine ».Programme procédant d’une directive européenne de 1977, dont l’objectif est de « faciliter l’intégration » des enfants issus de l’immigration-invasion.

    En réalité, une initiative totalement criminelle. Particulièrement en des temps où des milliers d’enfants français quittent chaque année l’école primaire sans connaître les bases élémentaires de leur propre langue, et encore moins l’histoire de leur pays. Un désastre du reste pensé, organisé et mis en œuvre par les idéologues de l’Education nationale depuis des lustres. Au « mieux », par un égalitarisme obsessionnel ; au pire, dans le but de former des générations de déracinés.

    Pire encore : cette convention, loin de « faciliter l’intégration » des enfants d’immigrés, devrait au contraire renforcer le communautarisme à l’œuvre dans notre pays et même, dans les quartiers ethniques, encourager une assimilation inversée de nos chères têtes blondes, déjà contraintes d’avaler des menus halal à la cantine ou d’observer le ramadan.

    Car, Tunis a beau expliquer que ces professeurs seront recrutés et rémunérés par le ministère de l’Education nationale tunisien, il est évident que, sous couvert d’enseigner l’arabe, certains n’hésiteront pas à inculquer aux enfants le rejet de nos valeurs ni à faire du prosélytisme. Une menace soulignée d’ailleurs par feu le Haut Conseil à l’intégration qui, dans un rapport confidentiel de 2012, parlait déjà d’enseignements « susceptibles de renforcer les références communautaires » et de cours s’apparentant à de véritables « catéchismes islamiques »…

    Franck Deletraz

    Article paru dans Présent daté du 7 avril 2017

    https://fr.novopress.info/

  • Génération identitaire exige l’interdiction de la Rencontre annuelle des musulmans de France

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     La 34e edition des RAMF, la Rencontre Annuelle des musulmans de France, aura lieu du 14 au 17 avril prochain. Cet événement est organisé par l’Union des Organisations islamiques de France (UOIF), une organisation islamiste liée aux Frères musulmans, interdits et classés comme groupe terroriste par de nombreux pays à travers le monde.

    Comme chaque année, ce rassemblement verra se réunir plus de 150 000 musulmans, ce qui en fait le plus important du genre en Europe, et des intervenants connus pour tenir un discours extrêmement radical y prendront la parole. Parmi eux, on trouve notamment l’imam Iquioussen, tristement célèbre pour avoir qualifié les juifs « d’avares et d’usuriers » dans une conférence (cassette audio La Palestine, histoire d’une injustice) ou bien encore Nabil Ennasri, pour qui « le djihad, dans le cadre d’une lutte armée défensive contre un système oppressif,est parfaitement légitime pour le peuple syrien ». (chaîne YouTube Islamotion, 02/06/2014).

    Dans un communiqué, Génération identitaire affirme que « la tenue de cet événement islamiste en France est une insulte à notre peuple et à son identité.Qu’un tel rassemblement puisse être tenu alors que notre pays pleure encore les 250 morts des attentats djihadistes de ces dernières années est inacceptable » :

    « Génération Identitaire exige des pouvoirs publics ladissolution de l’UOIF et l’interdiction de ce meeting. Enfin, nous appelons tous les internautes à utiliser le hashtag #UOIFdissolution afin de faire entendre notre revendication. L’islamisme n’a aucune place en France et en Europe ! »

    https://fr.novopress.info/

  • Comment les types de 68 ont pu autant se tromper et se renier ?

      Les vieux de 68 sont fascinants. Comment ces types plutôt brillants ont pu autant se tromper et se renier ? Comment peut-on avoir aussi peu d’orgueil et d’amour-propre ? Sur le communisme, sur le capitalisme, sur de Gaulle, sur la Chine, sur Cuba, sur la guerre et la paix, sur l’argent, sur le progrès, sur l’Histoire : non contents de s’être gourés, ils passent aujourd’hui leur temps – d’antenne – à donner finalement raison à leurs contradicteurs d’hier après les avoir traînés dans la boue. Sur le thème « il n’y a que les imbéciles qui ne changent pas d’avis » ou « on est les plus qualifiés pour parler de telle ou telle idée stupide ou criminelle puisque nous l’avons eue », ils étalent avec indécence leur nouveau paradigme : je renie donc je suis libre. Libre d’en parler et moi seul.
         Quels étaient leurs illusions d’hier, quel est leur bel aujourd’hui ?
         - Ils brandissaient le « Petit Livre rouge » de Mao en prétendant y trouver les plus audacieuses et les plus révolutionnaires jamais élaborées (entre nous, un ouvrage dans lequel on peut lire « la refonte des intellectuels constitue un très grand problème » ou « la natation a ses lois, il est facile d’apprendre à nager dès qu’on les a assimilées », j’appelle ça un guide pratique de la lapalissade sans effort). Pour eux, le salut allait venir de l’Est asiatique. Las ! Comme Christophe Colomb, en croyant atteindre les côtes de l’Orient extrême, ils ont découvert l’Amérique, sa langue, ses penseurs (de Friedman à Fukuyama), ses feuilletons télé, son esprit d’entreprise, ses bombardiers (si précieux en Irak et en Yougoslavie). Prenez les noms de ceux qui dénonçaient « la sale guerre » contre le glorieux peuple vietnamien : ce sont les mêmes que ceux qui ont récemment applaudi aux glorieuses guerres contre les sales peuples irakien et serbe. On est passé, avec la même béatitude, de « give peace a chance » à « give war a chance ».
         - Ils aboyaient « comme c’est triste d’aimer le fric ». Ils sont devenus les chiens de garde d’un capitalisme français dissous dans le mondialisme.
         - Ils jugeaient, avec Baudrillard, que « le loisir est l’idéologie même du travail aliéné ». Ils sont les plus fervents militants de la réduction du temps de travail au profit du temps libre dont ils firent même, en 1981, un ministère.
         - Ils vouaient aux gémonies le général de Gaulle, même quand le maître Castro expliquait aux élèves July et Geismar médusés que le combattre revenait à se comporter en alliés objectifs de l’Amérique puisqu’il en était l’un des plus grands adversaires. Ils multiplient les hommages à l’homme qui a dit non aux Allemands, aux Américains, au grand capital, à la corruption politique.
         - Ils disaient « l’art, c’est de la merde ». Ils célèbrent bidets de plâtre et tableaux blancs sur fond blanc en accusant ceux que ces œuvres laissent de marbre de se comporter comme les nazis avec l’art « dégénéré ».
         - Ils se répandaient dans leurs journaux en articles haineux diffamatoires et en provocations au nom d’une stratégie de communication simple : plus on dit des horreurs, plus la presse institutionnelle s’intéresse à nous. Désormais maîtres de la presse institutionnelle, ils traquent le moindre dérapage verbal dans les fanzines fachos vendus à treize exemplaires pour en conclure au retour de la peste brune ; c’est faux, mais c’est vendeur, coco.
         - Ils dénonçaient la société de consommation. Ils l’aiment au point de vouloir l’exporter sur toute la planète et notamment dans le tiers-monde, ils appellent ça l’aide au développement et en causent à Seattle ou à Davos.
         - Ils affirmaient « le civisme, c’est le fascisme ». Ils créent des journées citoyennes et supplient que l’on vote.
         - Ils rêvaient d’une société libertaire où l’on jouirait sans entraves et où il serait interdit d’interdire. Ils nous obligent à nous assurer, nous faire vacciner, accrocher notre ceinture en voiture et dans l’avion, traverser sur les passages cloutés, composter notre billet de train, fumer dans les seuls endroits réservés à cet effet, baiser avec des préservatifs.
         - Ils contestaient tout par principe. Ils sont d’accord avec l’ancien leader des hippies américains, Jerry Rubin, pour dire : « Puisque nous sommes la nouvelle majorité du pays, pourquoi devrions-nous contester ? »
         - Ils vomissaient la société du spectacle. Ils sont la société du spectacle.
    Maos, trotskos, dodo, Jean-Christophe Buisson

  • T. de la Tocnaye : « Marine Le Pen baissera fortement la fiscalité des TPE/PME et des ETI » #05

  • L'Action Française appelle à voter pour un candidat du Frexit

    Dans son dernier numéro :

    6a00d83451619c69e201b8d2749d94970c-250wi.png"[...] La France va, dans les cinq prochaines semaines, élire un nouveau chef de l’État. Onze candidats sont en lice. Nul besoin de revenir, dans ces lignes, sur ce que l’Action française pense d’une élection qui, censée rompre avec le régime des partis et les puissances d’argent en dotant la France d’un monarque électif, a laissé ces mêmes partis et ces mêmes puissances financières reprendre la main. Il n’y a pas de bonne république : l’actuelle campagne électorale, qui voit les égouts déborder, nous en fournit une nouvelle preuve.

    Toutefois, les patriotes n’ont pas le choix de l’abstention. Car si l’élection d’aucun des onze candidats ne peut satisfaire le pays, puisque, plus encore que les hommes, ce sont les institutions qui sont en cause, en revanche, il n’est pas indifférent à l’intérêt national, qui est notre seul guide, que l’un soit élu plutôt qu’un autre. Le Bien commun de la nation commande tout d’abord de faire barrage au premier tour aux deux candidats qui entendent poursuivre, voire accentuer la politique conduite par François Hollande, sous le quinquennat duquel la cohésion du pays s’est gravement détériorée sur les plans économique et social : augmentation du chômage, poursuite de la désindustrialisation, destruction de l’agriculture, attaques contre la famille, immigration galopante, terrorisme, communautarisme exacerbé. Or Macron avec la bénédiction du Medef, Hamon avec celle des “quartiers” veulent encore aggraver une situation déjà explosive, tout en continuant d’aller chercher leurs ordres auprès de la chancelière berlinoise ou des commissaires bruxellois. Quant à François Fillon, les affaires qui le concernent ont éclaté trop opportunément pour qu’elles influent sur notre refus de cautionner un candidat dont le conservatisme apparent dissimule mal un vrai opportunisme. Outre ses palinodies en matière économique et sociale, son refus de rompre avec l’Europe institutionnelle lui interdira toute véritable réforme de salut public.

    Parce que, selon le mot du duc d’Orléans devenu la devise de l’Action française, tout ce qui est national est nôtre, « Frexit ! » est le mot d’ordre qui doit présider au choix de tout patriote. C’est pourquoi, considérant que seuls les peuples libres peuvent décider du sens qu’ils donnent à leur histoire, l’Action française appelle à voter, au premier tour, pour un des quatre candidats – Asselineau, Dupont-Aignan, Le Pen ou Mélenchon – qui se prononcent pour une dénonciation des traités européens existants, tout en privilégiant ceux qui envisagent clairement la sortie de l’Union européenne et le retour au franc. [...]"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html