France et politique française - Page 2903
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Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n°462
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Autocritique d'un antifa
Cette fois, ce n’est pas un livre de chevet que l’on vous conseille, mais un symptôme de ce que, enfin ! Les choses change, la France bouge ?
Les classes populaires et le FN est une vaste enquête de terrain, présentée lors de deux journées d'études de la Fondation Copernic, en 2016. En terres de gauche radicale. Un livre issu des mouvances « antifa », qui combattent, par la violence ou l'insulte, les conceptions du monde des lecteurs de Monde&Vie. De prime abord, il semblera étrange de donner de la place à un livre produit par des adversaires qui, dénués de charité comme d'humanisme, considèrent les penseurs chrétiens, réactionnaires ou conservateurs, comme des ennemis à abattre. Bien sûr, ce livre a vocation à penser la rénovation du combat « antifa » contre le FN et au-delà contre tout ce qu'ils considèrent comme un fasciste, une immense majorité du peuple Français en réalité. Il suffit de peu pour être « fasciste » dans la tête d'un « antifa ». Ce livre est pourtant un événement politique et intellectuel. Une solide enquête sociologique de terrain, arpentant bien des espaces de l'électorat du FN, menée avec sérieux. Une enquête rare et même inédite. D'autant qu'elle n'est pas faite, comme un vulgaire et ancien Au front d'Anne Tristan, enquête sur les terres marseillaises effectuée à l'instigation de cette crapule d'Edwy Plenel, et dont l'objectif, selon les dires de la journaliste, était de « bousiller ce parti avant qu'il ne se développe ». Nous étions en 1987 et force est de constater que la méthode employée pour éradiquer le Front National a un tantinet dysfonctionné.
L'ultra-gauche face aux vrais gens
Les classes populaires et le FN, bien qu'issu des mêmes milieux militants, ne ressemble pas au mauvais livre d'Anne Tristan. Il est composé d'études écrites par une quinzaine de chercheurs et sociologues, militants et arpenteurs de terrain, et est divisé en cinq parties. On y traite, pêle-mêle, en tant que sources, du vote frontiste populaire, de la décomposition de la gauche et de la présence du FN dans les milieux populaires comme dans le monde ouvrier, de l'état des quartiers, de l'exaspération des représentants de l'État, à commencer par les pompiers, des jeunes, du déclassement, du poids concret de l'exclusion et aussi de l'erreur originelle de la méthode « antifa » d'opposition au FN.
Et c'est là que le livre de Willy Pelletier et Gérard Mauger est un événement. Le premier, quittant Paris pour vivre dans le Nord de la France s'est fait de nouveaux amis dont il a constaté qu'ils étaient des électeurs FN, et des électeurs ne cadrant pas du tout avec la caricature (beaufs, racistes, analphabètes, etc.) à lui imposée par toutes ses années de militance bobo-gauchistes parisiennes. Ainsi, le FN qu'il combattait et les électeurs de ce parti qu'il méprisait n'existaient pas. La gauche radicale « antifa » pourchassait un ennemi aux contours imaginaires. C'est pourquoi, forts de ce constat, les maîtres d'œuvres de ce livre collectif sont repartis au point de départ, enquêter sur ce qu'ils n'avaient pas compris depuis plus de trente ans. Ayant pris conscience que leur combat « au nom de la tolérance » a été un combat « intolérant » (ce sont leurs propres analyses), nos auteurs se sont enfin décidés à s'intéresser au FN réel.
Du coup, cette enquête, même marquée par l'impayable vocabulaire gauchiste militant, prend toute sa saveur. Il est simplement dommage qu'une telle prise de conscience, celle du « racisme de l’antiracisme » (c'est eux qui le disent), ait mis tant de temps à naître. Un point qui pourtant a souvent été bien expliqué par les prétendus « néo réacs ». Mieux vaut tard que jamais, dit-on.
Paul Vemeulen monde&vie 2 février 2017
Gérard Mauger et Willy Pelletier (coord.), Les classes populaires et le FN. Explications de votes, éditions du Croquant, collection savoir/agir, 286 pages, janvier 2017
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La macro énormité d’Emmanuel Macron : « Il n'y a pas une culture française » ...
Oui, vous avez bien lu, il a osé le dire : « Il n'y a pas une culture française ; il y a une culture en France : elle est diverse, elle est multiple ». Signé : Macron (lors de son meeting à Lyon, le 4 février 2017).
Sans crainte du ridicule, Macron a donc mis ses pas dans ceux du grotesque Eric Besson, qui avait osé déclarer en son temps* : « la France n’est ni un peuple, ni une langue, ni un territoire, ni une religion, c’est un conglomérat de peuples qui veulent vivre ensemble. Il n’y a pas de Français de souche, il n’y a qu’une France de métissage. »
Que répondre à de tels Niagara de stupidité ? De tels Everest de bêtise pure ? Et encore, on reste gentils, et polis...
Alors, comme ça, il n'y a donc pas de culture française ? Mais, qu'est-ce qu'elle t'a appris, Manu, Brigitte ? Elle n'est pas professeur de français ? Bon, on conçoit sans peine que tu n'as pas dû faire « que » de la littérature quand tu étais avec elle. Il a fallu, sans doute, faire les courses, s'occuper des tâches ménagères, arranger un peu la maison, et puis tout un tas de choses - on n'a pas trop d'idées, là, comme ça - mais vous avez sûrement dû faire tout un tas de trucs, tous les deux, et avoir un temps bien employé. Du moins, on vous le souhaite.
Mais, vraiment, elle ne t'a jamais parlé de Molière ? Ni de Racine ? Exit donc, Racine, et Molière avec...
Et Verlaine ? Non plus ? Et Montaigne, Pascal, Voltaire, Chateaubriand ? Non, vraiment, rien ? Cela ne te dit rien ?
En somme, depuis que tu es avec elle, Balzac est au niveau de Black M (ou, pourquoi pas, au-dessous) ?
Eh ! bien, vive les profs !
On se demande bien à quoi elle t'a servi, Brigitte ! Enfin, on veut dire, « au niveau du culturel », comme on dit dans le jargon. Dans un de leurs meilleurs sketches, Les Inconnus disaient que « dans culture, il y a ture ». On espère que, candidat à la fonction suprême, tu as pris le mot « culture » dans sa globalité, et pas dans une seule de ses « parties » !
Bon, maintenant, soyons sérieux. Le père Besson avait déjà insulté le peuple français ; voici le tour du père Macron, en mode « macro ». Pas de culture française ! Le moindre rappeur sub-saharien, eructeur de sons bizarroïdes sur des textes (?) qui ne le sont pas moins, promu l'égal de François Villon ou de ce pauvre Ruteboeuf qui, pour le coup, aura bien raison de se plaindre et de se lamenter ! Le moindre pourrisseur des murs de nos villes (baptisé « grapheur » par la sous-culture du politiquement correct) promu l'égal de Philippe de Champaigne ou de Cézanne ! On en passe, et des pires !
Osons une question simple ; la seule qui vaille d'être posée, mais c'est une question qui fâche : et si on arrêtait de délirer ?
Et si vous commenciez, un tout petit peu, à ouvrir les yeux, un tout petit peu. A sortir de votre bulle dorée : d'élu, haut fonctionnaire et ministre pour l'un (Besson) ; de banquier, haut fonctionnaire et ministre pour l'autre (Macron).
C'est vrai qu'on vous demande, là, l'impossible : car, si vous faites cela, vous sortez du Système que vous représentez si bien, que vous incarnez, que vousêtes. Et, justement, vous n'êtes plus rien ; du moins, plus rien d'autre que de simples citoyens, comme nous. Vous perdez ce qui vous rend différents. Mais, différents, pas pour le meilleur : pour le pire...
* Nous avions relevé cette grotesque déclaration d’Éric Besson dès qu'elle fut prononcée, le 16 février 2010. A retrouver, le cas échant, au moyen du lien suivant :
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Le délit d’entrave numérique à l’IVG adopté - vendredi 17 janvier 2017
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Manifestation : Vos fraudes sont nos impôts ! - Bande annonce
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On est d’autant plus favorable à l’abolition des frontières extérieures qu’on a la ressource de s’abriter derrière des frontières intérieures
Extrait du livre de Patrick Buisson, « La Cause du peuple » sur la notion de frontière.
« Les partisans de la suppression des frontières se recrutaient quasi exclusivement dans les catégories dont la caractéristique commune était d’avoir les moyens financiers nécessaires pour se prémunir contre les effets délétères du libre-échange et de la libre circulation. On était d’autant plus favorable à l’abolition des frontières extérieures qu’on avait la ressource de s’abriter derrière des frontières intérieures. Frontières spatiales : les privilégiés qui habitaient les centres urbains ne connaissaient de l’immigration que la main-d’œuvre à bon marché des clandestins dont ils s’attachaient les services à vil prix. Frontières sécuritaires : la célébration du métissage se faisait à l’abri du double digicode et, dans les quartiers résidentiels, sous la surveillance de vigiles et d’agents de sécurité, dont le nombre avait plus que doublé en vingt ans ; au reste, le prix du foncier protégeait des réalités les plus déplaisantes de la mixité sociale plus sûrement que les barrières élevées entre les États-Unis et le Mexique ou Israël et les Territoires palestiniens. Frontières culturelles et scolaires : là encore le discours moralisateur dissimulait un féroce égoïsme de classe qui conduisait la nouvelle bourgeoisie urbaine à accaparer le système méritocratique au bénéfice de sa progéniture scolarisée dans les meilleurs établissements. Frontières économiques, enfin : par leur intégration à l’économie-monde, les classes dominantes se trouvaient en situation d’en confisquer la plupart des bénéfices selon le schéma parfaitement décrit par Louis Schweitzer, l’ancien président de Renault, devenu dans l’intervalle une figure emblématique de la « lutte contre les discriminations » quand il déclara : « La mondialisation, ce sont des salaires américains pour les dirigeants et des salaires chinois pour les ouvriers. » Décor flatteur mais trompeur, l’«ouverture» et tous ses sous-produits sémantiques formaient la nouvelle ligne Maginot morale derrière laquelle s’abritaient les intérêts de classe des catégories supérieures, le précipité existentiel du bien-être et de la bonne conscience.
A l’inverse, la France des campagnes et du périurbain subissait les conséquences en chaîne de la globalisation. C’est cette France des nouveaux damnés de la terre évincés des grandes métropoles par le prix de l’immobilier et chassée des banlieues par la pression de l’immigration qui, sous les coups de butoir de l’économie-monde, avait été également la première victime de la recomposition sociale du territoire, la grande perdante de la lutte des places et de la société d’«ouverture» incriminant pêle-mêle dans ce processus d’éviction la responsabilité des oligarchies financières, des élites corrompues et plus généralement celle des «puissants». »
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HAMONISTES, MELENCHONIENS, FILLONAIRES, MACRONEUX & C°
Pieter Kerstens
Tous ces adeptes de la secte mondialiste, dont certains sont de vieilles carnes du Régime, ne vivent que pour défendre leurs privilèges d’une époque révolue.
Ces chacals du système politico-médiatique n’expriment aucune volonté pour rétablir la protection du bien commun dans l’intérêt général. Car sinon, comment expliquer que ni les uns ni les autres ne souhaitent mettre en œuvre des mesures structurelles pour stopper les déficits publics, réduire la dette abyssale qui sacrifie les générations futures, combattre l’insécurité permanente dans les Zones de Sécurité Prioritaires (chaque jour en France 330 voyageurs sont détroussés dans les transports publics) et diminuer drastiquement la pression fiscale à tous les niveaux. Et, en plus, ils ont le culot de nous donner des leçons de bonne conduite ou de morale!
Tous obéissent aux lobbies de l’immigration/invasion, véritable cancer de notre société qui voit de jour en jour s’étendre ses métastases mortifères, au prétexte que ces « migrants » seraient une chance pour nos peuples vieillissants. Aucun ne propose de relancer une véritable politique de la famille, ni de favoriser la natalité pour un rajeunissement de la nation.
Aucun ne veut assumer ni reconnaitre les échecs de la société multiculturelle et pluriethnique. Pourtant c’est bien Angela Merkel qui, le 10/09/2010 devant un congrès de la CDU allemande, avait affirmé que « le multikulti avait totalement échoué », aveu repris par la suite par David Cameron et Nicolas Sarközy.
La mafia socialaud-écolo-libéro-capitaliste (soutenue par le milliardaire Georges Soros) a bien au contraire organisé toutes sortes de campagnes de désinformation et de propagande destinées à nous faire accepter une prétendue cohabitation avec l’Islam modéré (?) au nom du « Vivr’ensemble » et du « Padamalgam », en ouvrant nos frontières à tous, terroristes inclus.
Il suffit d’ouvrir les yeux pour constater que partout dans nos rues et dans nos quartiers, nos coutumes, nos lois et nos traditions sont bafouées par le monde musulman, vecteur d’une barbarie omniprésente (habillement féminin réducteur, abattage animal par égorgement, alimentation halal, excision féminine, ou polygamie) niée par nos gouvernements en quête de clients/électeurs. Et l’utopie du métissage à tous les étages est un crime contre nos peuples.
Cette évolution négative de notre société et la disparition des valeurs ancestrales (qui ont permis à l’Europe de rayonner partout dans le monde au travers des siècles) nous conduiront vers des affrontements inéluctables. L’Histoire fourmille d’exemples et les banlieues s’enflamment.
Le 23 avril et le 7 mai il sera indispensable de brandir un carton rouge électoral pour éliminer les laquais du Nouvel Ordre Mondial qui nous mènent au fond du gouffre et vers le chaos.
Méfions-nous aussi des charmants, des charmeurs et des charlatans…
Ezra Pound écrivait : « Si un homme n’est pas disposé à affronter quelques périls pour ses opinions, ou ses opinions ne valent rien, ou c’est lui qui ne vaut rien ».
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Charles Robin itinéraire d'un gauchiste repenti - Meta TV 3/3
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De nouvelles informations compromettantes concernant Macron
Il était déjà surprenant de constater le silence des médias assourdissant devant un scandale de détournement de fonds publics pour financer la campagne d’Emmanuel Macron.Et pourtant, ce n’est pas tout. En creusant davantage, de nouvelles affaires compromettantes et à peine dévoilées par la presse ressortent. Le leader du mouvement « En marche ! » a par exemple refusé de dévoiler la liste de ses donateurs (source) et la raison semble plutôt évidente.Lors d’un déplacement à Londres, il aurait levé plus de 10 millions de livres sterling à Londres à l’occasion d’un dîner organisé par un cadre de Goldman Sachs (source). Cela pose un problème de taille.La banque d’affaires Goldman Sachs illustre à elle-seule toutes les dérives et excès de la spéculation financière. Elle s’est notamment fait connaître après avoir engrangé des milliards de dollars en misant sur la faillite personnelle des ménages pendant la crise des subprimes.Autre exemple frappant, la banque d’affaires a également parié contre la monnaie unique après avoir maquillé les comptes de la Grèce.Son objectif aujourd’hui est de placer le maximum de personnalités de son réseau au sein des administrations de Bruxelles.La banque a ainsi recruté Manuel Barroso qui a été pendant 10 ans président de la Commission européenne.Son embauche avait provoqué une vive polémique, des interrogations sur une étroite relation entre ce haut responsable politique européen et la banque d’affaires avant son entrée chez Goldman Sachs avaient été émises.Aujourd’hui, elle semble avoir trouvé en l’ancien banquier de Rotschild devenu millionnaire après avoir aidé le suisse Nestlé à racheter une branche de Pfizer aux dépens du français Danone, son candidat idéal.Il faudra certainement se tourner vers les médias étrangers pour être informé sur les réelles intentions d’Emmanuel Macron et ses véritables soutiens envers qui il sera redevable.D’ailleurs, le lanceur d’alerte Julian Assange a affirmé à des médias russes qu’il détenait des informations très compromettantes sur le jeune candidat qu’il aurait recueillies dans les mails d’Hillary Clinton. Les deux personnalités politiques seraient en effet très proches et, drôle de coïncidence, la candidate déchue à la présidentielle américaine est souvent critiquée pour sa proximité très étroite avec Goldman Sachs. -
Charles Robin itinéraire d'un gauchiste repenti - Meta TV 2/3