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France et politique française - Page 2906

  • Alexandre Devecchio : « Derrière l'affaire Théo, les banlieues en sécession »

    Alexandre Devecchio analyse ici fort justement - d'un point de vue factuel - [Figarovox 14.02] comment l'« affaire Théo » est révélatrice des fractures françaises. Et comment les émeutes urbaines mettent en lumière la sécession de certains quartiers et la désaffiliation d'une partie de la jeunesse. Mais laquelle ? Ce vocabulaire est-il approprié ? Et donc, en un sens, la réflexion elle-même ? Les fractures dont il est question sont-elles réellement françaises ? Faut-il consentir à ce terme, en ignorant ce qu'il implique de concession, d'abandons ? Fractures françaises ou fractures franco-islamiques ? ou Français-Etrangers ? Alexandre Devecchio n'ignore pas - son article en porte les traces - que les politiques, les médias, les juges, les associations - le Système - ont forgé tout un vocabulaire ad hoc destiné à cet enfumage de l'opinion, dont ils ont besoin pour que la politique immigrationniste, multiculturaliste et diversitaire en cours soit poursuivie, sans de trop grandes oppositions. Que sur le plan légal, une partie des jeunes, de la jeunesse, des individus concernés, soit de nationalité française change-t-il le problème au fond ? Ici, nous ne le croyons pas. A ceux qui haïssent et combattent la France, la qualité de Français, de jeunesse française, par delà tout formalisme juridique, doit être déniée.  Lafautearousseau        

    4194642768.jpg« Justice pour Théo ! » La banlieue brûle et le même slogan est diffusé sur toutes les ondes. La majorité des médias et une partie des politiques, relayant le discours des « associations », s'indignent, en chœur, des « violences policières » contre les « jeunes » des « quartiers ».

    La visite de François Hollande au chevet de Théodore, dit Théo, 21 ans, blessé jeudi 2 février à la cité de la Rose-des-Vents d'Aulnay-sous-Bois lors d'une interpellation d'une extrême violence n'a rien apaisé. C'était pourtant un geste fort et rare. Pour mémoire, le président de la République n'avait pas rendu visite aux policiers gravement brûlés par une attaque au cocktail Molotov à Viry-Châtillon le 8 octobre 2016. Quatre agents des forces de l'ordre ont été mis en examen, et, si bavure il y a eu, celle-ci doit être sanctionnée de manière exemplaire. Pour autant, en quoi la justice pour Théo passe-t-elle par la destruction de la gare routière de Bobigny ? En quoi justifie-t-elle les voitures incendiées, les bus caillassés ou les commerces vandalisés à Argenteuil ? Est-ce bien pour Théo que retentissent les « Allah Akbar » ? Au-delà des dysfonctionnements de la police, l'affaire Théo est révélatrice des fractures françaises. Elle met en lumière la sécession de certains quartiers et la désaffiliation d'une partie de la jeunesse. Elle témoigne de l'enracinement d'une sous-culture de la haine qui rend possible l'embrasement de la violence à la moindre étincelle. Les casseurs ne se vengent pas seulement des policiers, ils marquent leur territoire et expriment leur ressentiment alimenté par le discours victimaire. Aidé en cela par les professionnels de l'antiracisme. Ceux-là mêmes que le premier ministre, Bernard Cazeneuve, recevait hier à Matignon après deux jours d'affrontements.

    Alors que les échauffourées se multiplient à Aulnay, Bobigny, Tremblay-en-France, Le Blanc-Mesnil, Stains ou Neuilly-sur-Marne, le spectre des émeutes de 2005 est dans toutes les têtes. Comme le souligne Gilles Kepel dans Banlieue de la République (Gallimard), c'est une grenade lacrymogène tirée par la police près d'une mosquée alors que le ramadan battait son plein qui est la cause cette année-là de la propagation des émeutes dans toute la France (elles avaient été déclenchées par la mort de Zyed Benna et Bouna Traoré dans un transformateur à Clichy-sous-Bois). L'incident, grossi et rapporté comme « le gazage de la mosquée Bilal », est alors interprété par une partie de la jeunesse de banlieue comme une déclaration de guerre à l'islam. Il ravive le ressentiment entretenu par des années d'idéologie de la repentance. Durant vingt jours, les violences et les dégradations au sein des cités, comptabilisant 200 membres des forces de l'ordre blessés et 10 000 véhicules incendiés, firent que, pour la première fois depuis la guerre d'Algérie, l'exécutif décréta l'état d'urgence. D'ores et déjà à cette époque, les émeutes illustraient la désintégration en cours. Cependant, sociologues, médias et politiques - omettant qu'aucun sans-culotte de 1789 n'avait jamais crié « nique la France ! » - s'obstinèrent à les analyser dans les termes purement économiques d'un traditionnel conflit de classe, allant jusqu'à les qualifier de « révolte sociale ». On continua à déverser des sommes faramineuses dans la politique de la ville en alimentant les communautarismes, et en recouvrant d'un voile les questions qui fâchent. Quid de la problématique des flux migratoires, des tensions ethnico-culturelles, des pratiques mafieuses ou encore de la montée en puissance de l'islamisme ?

    Depuis les émeutes de 2005, les fameux territoires perdus de la République n'ont cessé de s'étendre et les fractures de se creuser. « Il y a un toboggan dans lequel on est installé depuis plusieurs années qui nous amène à l'irréparable, puisque maintenant ces quartiers produisent des terroristes », constatait Malek Boutih en 2015, lors du dixième anniversaire des émeutes. « Comment peut-on éviter la partition ? » s'interrogeait Hollande dans un incroyable aveu rapporté par Gérard Davet et Fabrice Lhomme. La partition avec la France des cités, mais aussi avec la France périphérique. Les « petits Blancs », victimes de l'insécurité physique, économique et culturelle, chassés des grandes métropoles comme des banlieues sensibles, font eux aussi sécession. Au cri de « Justice pour Théo! », ils risquent fort de répondre, dans les urnes, par « On est chez nous ! ». 

    « Quid de la problématique des flux migratoires, des tensions ethnico-culturelles, des pratiques mafieuses ou de l'islamisme  ? » 

    Alexandre Devecchio 

    Alexandre Devecchio est journaliste au Figaro, en charge du FigaroVox. Il vient de publier Les Nouveaux enfants du siècle, enquête sur une génération fracturée (éd. du Cerf, 2016) et est coauteur de Bienvenue dans le pire des mondes (éd. Plon, 2016).

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • CETA: les mondialistes pris la main dans le sac

    «VRP du libre échange», le commissaire européen au Commerce, la suédoise Cecilia Malmström,  a averti: «Le monde nous regarde». C’est aujourd’hui, en sa présence, qu’une majorité de députés du Parlement européen s’est prononcée en faveur de l’adoption du traité de libre échange entre l’UE et le Canada, le fameux CETA(Comprehensive Economic and Trade Agreement), dont la négociation a été cédée à l’Union européenne, quoi qu’il en dise, par François Hollande, simple gouverneur de province sous tutelle bruxelloise. Un traité qui devra cependant être ratifié par la totalité des Parlements des pays membres de l’UE, ce qui repousse fortement dans le temps son application provisoire, prévue au mois d’avril. Une approbation qui était acquise, les formations de la gauche et de la droite antinationales, européistes étant majoritaires comme chacun le sait au Parlement européen. Le CETA a donc été voté par  408 élus dits conservateurs, socialistes, libéraux, réformistes, sociaux-démocrates - c’est-à-dire par les  députés Français euro-fillonistes et socialo-macronistes.  254 parlementaires dont ceux du FN  s’y sont opposés, 33 se sont abstenus .

    Ce CETA a été d’ores et déjà approuvé le 24 janvier par une large majorité de députés libéraux et socialo-européistes siégeant dans la Commission commerce international du  Parlement européen. A contrario, la Commission de l’emploi et des affaires sociales du PE où, certes , les élus libéraux  et  centristes-fédéralistes (PPE et ALDE) sont minoritaires, a voté  une motion encourageant le Parlement à rejeter l’accord. Outre Marine Le Pen, l’ensemble des autres candidats à la présidentielle française, à l’exception d’Emmanuel Macron qui y est clairement favorable et de François Fillon à la position sciemment nébuleuse, y sont opposés.

    Derrière « l’harmonisation des normes sanitaires et environnementales », l’ouverture promise à nos entreprises de « débouchés » vers l’immense Canada à nos entreprises, toutes choses vantées par les propagandistes de cet accord, la réalité est bien différente. Les écologistes par exemple notent très justement que si le CETA prévoit l’arrêt par étapes des subventions accordées en faveur des énergies fossiles…ledit arrêt n’a aucun caractère exécutoire et contraignant sur le plan légal.

    En revanche  Marine, qui a déposé une proposition de résolution contre l’adoption du CETA la semaine dernière, Bruno Gollnisch, les députés européens FN l’ont dit avec force, le CETA se traduira en fait par une destruction de nos emplois. Cet accord éradique officiellement 99% des droits de douane entre le Canada et l’UE, supprime les contingents, protège très mal nos AOC, favorise les éleveurs canadiens utilisant hormones et activateurs de croissance qui ont des coûts de revient plus avantageux que les nôtres. Quant à certains de nos services publics, ils seront tenus de fonctionner dans une logique purement marchande, au détriment de leur mission en faveur de tous les Français; les multinationales pourront attaquer les Etats devant des tribunaux d’arbitrage, nous assisterons à l’avènement d’une justice privée d’exception qui s’imposera à notre droit national.

    Bien sûr,  le socialiste Martin Schulz, qui a quitté son poste de président du Parlement européen pour  se lancer en Allemagne dans la joute électorale, espérant succéder la chancelière Angela Merkel, est un soutien fanatique du CETA,  comme le président du Conseil européen,  Donald Tusk.  « S’il y a bien une erreur que nous pourrions commettre aujourd’hui, c’est de rejeter le CETA » déclarait M Schulz en octobre dernier: « Le gouvernement suédois (gauche, soutenu par les Verts), le gouvernement deLisbonne (soutenu par la gauche et le parti communiste), le gouvernement italien, la France, l’Autriche, la Slovaquie, la République tchèque. Tous les partis socialistes sont pour. Ce sont les dirigeants socialistes d’Europe, nous sommes en faveur du CETA. C’est un nouveau type d’accord commercial, qui introduit des droits sociaux de base dans nos relations commerciales » affirme-t-il.

    Persécuteur en chef du FN au Parlement européen, à l’origine des attaques judiciaires  et des accusations contre les  députés frontistes, nous avons appris ces dernières heures, via   les révélations du Sunday Times et de Der Spiegel,  que Martin Schulz  « aurait fréquemment utilisé un jet privé coûtant 20 000 euros de l’heure, pour voyager entre Bruxelles, Strasbourg et Berlin. Or, son lieu de travail n’est limité qu’à la capitale belge.  L’ancien président du Parlement aurait aussi demandé à ses assistants de se livrer à des tâches non comprises dans leurs prérogatives. Ainsi, l’un d’eux aurait démissionné après s’être vu demander à plusieurs reprises… de repasser les pantalons de Martin Schulz.»

    «Sont aussi évoquées des pratiques de clientélisme : des alliés de Schulz auraient été nommés à des postes grassement payés au sein de l’administration du Parlement, sans passer par les procédures régulières de recrutement. En outre, les personnes nommées n’auraient, dans de nombreux cas, pas disposé des qualifications requises pour ses postes. En réaction à ces révélations, Ingeborg Grässle, qui dirige le puissant comité de contrôle budgétaire des fonds de l’Union européenne, a déclaré que l’ancien président du Parlement avait créé un système stalinien de clientélisme et qu’il était nécessaire d’ouvrir une enquête. Schulz a outrepassé les règles sans gêne pour satisfaire son ambition politique. J’espère que ces révélations feront l’objet d’une enquête, a-t-elle déclaré. » Si c’est Mme Grässle qui le dit!

    https://gollnisch.com/2017/02/15/ceta-mondialistes-pris-main-sac/

  • Jean David Cattin - « Oubliez l'intégration, c'est un mensonge ! »

  • Les centres de déradicalisation face à l’échec

    (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie)
    Le premier centre de déradicalisation en France n’a plus de pensionnaires. Installé au lieu dit de Pontourny en Indre et Loire, le centre mal nommé de « prévention, d’insertion et de citoyenneté » fraichement ouvert en septembre 2016, a perdu son dernier pensionnaire après que celui ci ait été condamné pour des faits de violences familiales.

    Et ce n’est pas la première des déconvenues à laquelle le centre fait face

    Le centre avait déjà fait face à une impasse de taille lorsqu’un autre de ses pensionnaires nommé Mustafa 24 ans avait été interpellé lors d’une opération anti terroriste à l’occasion d’une permission de sortie. Il avait également tenté par deux fois de rejoindre la Syrie auparavant.

    Mais samedi 11 février, à Beaumont en Véron, les habitants ne se laissent pas faire

    En effet, les habitants de Pontourny sont descendus dans la rue pour manifester contre la poursuite du dispositif. Cent cinquante personnes ont manifesté en dénonçant la gabegie financière d’un centre sans pensionnaires employant une trentaine d’encadrants. Reçus par le premier adjoint au maire, les manifestants réclament l’arrêt du dispositif et une autre utilisation du site pour préserver les emplois. « Pas question de devenir Beaumont en Rouvray, ni qu’il y ait un nouveau Bataclan. Pontourny est un mini château de la Loire, au milieu d’habitations. Cela ne peut pas être un endroit d’expériences à haut risque », proteste Michel Carrier, président de l’association de défense des riverains.
    Expérience pilote portée par Manuel Valls alors Premier ministre, le gouvernement continue de défendre le test comme en témoignent les interventions du ministre de l’Intérieur Bruno Leroux, je cite : « Je peux vous dire que ce centre va rester ouvert ».

    Rappelons également que la semaine dernière les Identitaires ont appelé à la fermeture de tous les centres de déradicalisation, mettant en avant leur incapacité à résister au réel.

    http://fr.novopress.info/

  • Et si la victoire de Marine était voulue par les islamo-gauchistes ?

    Pour l’ultra-gauche le « grand soir » est la motivation première. Or la victoire de Marine à la présidentielle serait déclencheur d’un maximum d’incidents.

    L’affaire du jeune Théo, malmené par la police à Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), n’en finit plus de rebondir à travers de plus en plus de manifestations et de plus en plus d’incidents. Rien qu’à Bobigny, les CRS engagés samedi soir ont tiré plus de 100 grenades lacrymogènes pour faire reculer les assaillants. Dans le Val-de-Marne, le domicile du syndicaliste policier ayant qualifié le mot « bamboula » d’« à peu près convenable » fait l’objet d’une « sécurisation », par peur de représailles. Le policier soupçonné de viol lors de l’interpellation d’Aulnay, lui, est ouvertement menacé de mort sur Internet.

    Pour l’heure, les échauffourées où s’illustrent les bandes restent circonscrites au 93 : Aulnay, Bobigny, Tremblay-en-France, Le Blanc-Mesnil, Stains, Neuilly-sur-Marne. Mais un préfet, sous couvert d’anonymat, déclare : « Le risque de contagion ne saurait être négligé. » D’autant que la liste des grandes villes françaises où se déroulent des manifestations violentes s’allonge : Nantes, Rennes, Bordeaux, Rouen, Toulouse, Marseille. À Paris, vendredi soir, 150 manifestants mobilisés via les réseaux sociaux par la mouvance d’extrême gauche s’étaient rassemblés aux Halles, dans une ambiance très tendue. Le centre commercial a dû être plongé dans un nuage de gaz lacrymogène.

    L’affaire d’Aulnay n’est peut-être pas aussi explosive que l’embrasement des banlieues en 2005, mais les policiers savent que la période électorale actuelle crée une surchauffe avec une écoute accrue des médias. De plus, les forces mobiles, avec Sentinelle, sont sur-employées, sans compter les surveillances exténuantes de points frontaliers comme Calais et Menton.

    Face à cette situation, les services de renseignement tentent d’anticiper les troubles car il est impossible d’écarter l’hypothèse d’un embrasement des banlieues.

    Or, cet embrasement circonstancié est voulu. Soyons clair : le cas Théo n’est qu’un prétexte derrière lequel la gauche la plus radicale s’affaire. Mais pourquoi cette attitude alors que la mayonnaise des incidents s’amplifiant ne peut que favoriser le vote Marine ? Pourquoi l’extrême gauche, mais aussi les islamistes, jouent-ils un jeu avantageant la candidate patriote ? La réponse est simple et se conjugue en deux facteurs :

    – Pour l’ultragauche, le Grand Soir est toujours la motivation première. Or, la victoire de Marine à la présidentielle serait déclencheur d’un maximum d’incidents relayés avec gourmandise par 90 % de la presse. Pour en prévoir les effets, les antifas et autres n’ont pas besoin de Mme Irma : il suffit de voir ce qui se passe aux USA, où Trump est empêtré dans une myriade de contestations et de manifestations, cela sous le regard bienveillant des médias américains. La DGSI sait parfaitement que l’extrême gauche s’active dans l’ombre dans l’espoir d’une « convergence des luttes ». Convergence qui fait apparaître la deuxième composante : les islamistes.

    – Ceux-ci savent parfaitement que les attentats ne suffisent pas pour déstabiliser le pays. Ils n’ignorent pas qu’un jour ou l’autre, il faudra qu’ils s’acoquinent avec « l’idiot utile » : le gauchisme libertaire. Ces naïfs boboïsés deviendront leur caution, leurs troupes de choc qui enflammeront banlieues et grandes villes. Eux aussi ont analysé la situation, ils ne doutent pas que la venue au pouvoir de Marine jettera une majorité de musulmans modérés et de « racailles » dans un islamisme communautarisé. Leur combat religieux bénéficiera, alors, de forces considérables.

    La seule parade à cette situation cataclysmique et notre seule chance de succès est la fermeté de Marine, l’attitude résolue des forces de l’ordre ainsi que de l’armée, et le courage retrouvé de la France « périphérique ».

    http://www.bvoltaire.fr/jeanpierrefabrebernadac/victoire-de-marine-etait-voulue-islamo-gauchistes,313768

  • Marion Maréchal-Le Pen : "Il y a une haine anti-France liée au communautarisme et à la repentance systématique"

     par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/02/marion-mar%C3%A9chal-le-pen-il-y-a-une-haine-anti-france-dans-ces-quartiers-li%C3%A9e-au-communautarisme-et-%C3%A0-.html

  • Carl Lang évoque le partenariat entre Civitas, les Comités Jeanne et le Parti de la France pour les élections législatives de juin 2017

    L’ancien eurodéputé Carl Lang, président du Parti de la France (PDF), évoque le partenariat mis en place, pour les élections législatives de juin 2017, entre Civitas (présidé par Alain Escada), les Comités Jeanne (présidés par Jean-Marie Le Pen) et le Parti de la France.

    http://www.medias-presse.info/carl-lang-evoque-le-partenariat-entre-civitas-les-comites-jeanne-et-le-parti-de-la-france-pour-les-elections-legislatives-de-juin-2017/69397/

  • ANATOLE LEROY-BEAULIEU – LE MAMMONISME ET LA DÉMOCRATIE

    « Autre cause du règne de l’argent, la démocratie. La démocratie fraye, malgré elle, les voies à l’usurpation de l’argent. Un des caractères de nos sociétés démocratiques, c’est la prédominance des intérêts matériels, autrement dit des intérêts tout court, c’est-à-dire de l’argent. Cela, en France, a été la marque de tous nos gouvernements depuis 1830 ; et plus s’est accéléré le courant démocratique, plus ce trait s’est accentué. Presque partout, l’établissement de la démocratie aboutit, — au moins pour un temps, — à la royauté de l’argent. »

    Anatole Leroy-Beaulieu

    http://www.jeune-nation.com/culture/citations/anatole-leroy-beaulieu-le-mammonisme-et-la-democratie.html

  • Civitas présente le programme de la 1ère fête du Pays réel du samedi 11 mars à Rungis

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    Sont déjà inscrits :
    Association Catholique des Infirmières et Médecins, ADMP, Atelier des Mamans de l’Ecole N-D de l’Assomption, Cadets de France, Capucins de Morgon, Cercle National des Combattants, Chœur Montjoie Saint Denis, Cours Maria Goretti, Dominicains d’Avrillé, Echoppe Formes et Ombres (objets médiévaux), Echoppe Fron (porcelaine peinte, vins cuits et sucreries), éditions Charlemagne, éditions des Cimes, éditions La Plume du Temps, éditions Retour aux Sources, éditions Saint-Rémi, éditions Sel de la Terre, éditions Sigest, Fédération Haute Savoie de Civitas (avec produits locaux), Foies Gras du Sud Ouest, Librairie Française, Nation, Parti de la France, Peintre Le Baube (tableaux), Renaissance Catholique, Renouveau Français, Rosa Mystica, SOS Mamans, Synthèse Nationale, UNEC

    Ont déjà annoncé venir dédicacer :
    Pierre-Jean Arduin, Stéphanie Bignon, Yvan Blot, Anne Brassié, Jean-Pierre Dickès, Jean-Arnaud Dollié, Jean-Jacques Doucet, Bernard Gantois, Laurent Glauzy, Pierre Hillard, Youssef Hindi, Roger Holeindre, le dessinateur Ignace, Johan Livernette, Claude Meunier-Berthelot, Philippe Prévost, Marion Sigaut, Jean-Michel Vernochet, Damien Viguier

    Thèmes des interventions déjà annoncées :
    Union de l’Eglise et de l’Etat : question d’un autre âge ? (abbé Xavier Beauvais) – Revaloriser la France rurale (Stéphanie Bignon) – La culture au service du Bien (Anne Brassié) – Réformer l’instruction (Claude Meunier-Berthelot) – Se libérer des forces occultes (Pierre Hillard) - Familles en danger (Marion Sigaut, Dr Jean-Pierre Dickès) – Immigration, submersion, destruction d’une civilisation (Carl Lang, Jean-Marie Le Pen) – Sauver le Pays Réel (Alain Escada)

    http://synthesenationale.hautetfort.com/