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France et politique française - Page 3123

  • Voici la liste des 66 artistes qui ont lancé un appel en faveur des migrants.

    Voici la liste des 66 artistes qui ont lancé un appel en faveur des migrants.
A tous les migrants allez donc loger chez eux ! Ils vous tendent laes mains. Ils vont meme vous donner du pognon !

    Voici la liste des 66 artistes qui ont lancé un appel en faveur des migrants.
    A tous les migrants allez donc loger chez eux ! Ils vous tendent les mains. Ils vont meme vous donner du pognon !

    http://francelibre.tumblr.com/

  • Réserve opérationnelle, garde nationale : pourquoi tout cela n'est pas sérieux

    Le colonel Michel Goya explique en quoi les annonces présidentielles ne sont pas sérieuses et ne relèvent que de la communication électoraliste :

    "Il existe fondamentalement deux approches du rôle des citoyens dans la défense de la nation. La première, reprenant la vieille équivalence tribale entre homme libre et guerrier, considère que la guerre est l’affaire de tous, au moins de ceux qui ont quelque chose à défendre. La seconde estime au contraire qu’il s’agit d’un monopole d’Etat assuré par ses services professionnels. Hormis les volontaires pour intégrer ces services, les citoyens sont démilitarisés et contribuent indirectement à la défense par le biais de l’impôt. La France relève plutôt de cette deuxième tradition (...)

    Et voilà maintenant que l’on se pose quelques questions en constatant les limites opérationnelles, sécuritaires et même sociales de ce modèle alors que nous sommes en guerre contre les organisations djihadistes. On pourrait se demander pourquoi avec un budget annuel de 31 milliards d’euros et 209 000 militaires, nous avons un impact aussi limité sur des organisations de quelques dizaines de milliers de combattants légèrement armés. On préfère s’interroger sur la densité de protection des sites et des personnes en métropole. Pour (...) résoudre ce problème, le Président de la République lance un appel à l’engagement dans les réserves opérationnelles et évoque même le retour à une garde nationale. Tout cela ne paraît pas pour l’instant pas très sérieux, si on appelle sérieux quelque chose à la hauteur de ce que l’on annonce. Cette « levée en masse » est très probablement une levée en masse en plastique.

    Rappelons-le, il y a deux manières de faire la guerre : avec les moyens actuels ou en mobilisant massivement de nouvelles forces. Dans le premier cas, on considère que le rapport de forces est suffisant pour ne pas avoir à changer notre modèle, hors quelques ajustements, et donc par voie de conséquence la société. Dans le second, on considère qu’on ne pourra l’emporter sans monter grandement en puissance et se transformer.Nous sommes actuellement dans le premier cas mais avec un discours qui laisse croire que nous sommes dans le second. On fait semblant de tout changer pour que rien ne change vraiment. Si l’ambition est d’augmenter le budget des réserves de quelques dizaines de millions d’euros (l’opération Sentinelle coûte à elle seule trois fois le budget des réserves militaires) et de faire passer, en 2019, le nombre de réservistes présents chaque jour sur le terrain ou dans les états-majors de 500 à 1000,il ne s’agira que de l’augmentation de la taille de la goutte d’eau.

    Maintenant si l’objectif est d’assurer une capacité de réaction en quelques minutes, voire quelques secondes, sur toute attaque sur le territoire national, alors il faut changer radicalement de regard sur le rôle des citoyens dans la défense de la cité. On peut accélérer les procédures des unités d’intervention et en augmenter le volume, cela restera forcément insuffisant. La seule solution est d’augmenter considérablement le nombre de citoyens armés (et évidemment compétents) et donc, le maître mot est là, de leur faire confiance, ce qui va à l’encontre des habitudes françaises. Cela passe par un meilleur équipement de tous les policiers et gendarmes, sans doute aussi par une meilleure formation au tir. Cela passe forcément par l’emploi d’agents de sécurité armés. Cela passe enfin par l’autorisation du port d’armes à tous ceux qui présentent des garanties de compétence et de fiabilité.

    En regardant une plage du Sud-Ouest de la France cet été, je n’ai pas pu m’empêcher de constater qu’il n’y avait strictement rien (ou alors c'était bien dissimulé) qui pourrait couper court à une attaque du type de celle de la plage tunisienne de Sousse en juin 2015 (et là pas d’excuse de la surprise, cela a déjà été fait). Dans le secteur, nous étions sans doute un certain nombre à avoir l’expérience du combat sans avoir le droit de porter une arme (...). Pourquoi donc ne pas accorder cette autorisation de porter et d'utiliser des armes, outre les policiers et gendarmes hors service, aux militaires en activité ou membre de la réserve opérationnelle n°1 et même n°2 (les « rappelables », 98 000 anciens soldats et 28 000 gendarmes) et au-delà. On m’a fait confiance pendant des dizaines d’années avant de me la retirer d’un seul coup. Je suis même prêt, dans l’esprit des citoyens romains, à payer moi-même mon équipement. On évoque le cas d’Israël mais il y a dans ce pays, un civil adulte sur dix qui dispose d’une autorisation de port d’armes.

    Tout cela a bien sûr un coût, pas forcément très important pour l’Etat, l’appel aux citoyens volontaires et motivés étant toujours historiquement la formule du meilleur rapport coût/efficacité. Bien sûr, il y aura sûrement quelques accidents, pertes et vols d’armes, voire des meurtres (dont la plupart aurait eu lieu de toute façon, avec ou sans arme à feu). On tolère bien cela avec les armes de chasse (car paradoxalement du fait de la chasse la France est aussi un des pays au monde où on tolère le plus d’armes à feu par habitant), pourquoi ne le tolère pas pour assurer la sécurité ? Parce que nous sommes prisonniers de la méfiance de l’Etat envers les citoyens. Il ne s'agit pas de laisser s'armer n'importe qui comme aux Etats-Unis avec les résultats que l'on connait mais de faire confiance envers des citoyens à la compétence reconnue et contrôlée. Précisons que cette compétence, qui induit la capacité à tuer au milieu d'une situation complexe, va bien au-delà de la simple technique de tir.  Encore une fois, on peut considérer que la menace est mineure et gérable. La guerre fait finalement moins de morts que la moyenne annuelle de 800 meurtres. Dans ce cas-là, on continue à lentement améliorer les choses sans rien changer fondamentalement. La réduction du déficit budgétaire reste prioritaire sur la guerre. C'est un choix possible, qu'il faut assumer.

    Maintenant, si on souhaite effectivement comme l’a promis le Président de la République « mettre en oeuvre tous les moyens pour détruire l'armée des fanatiques » alors il faut accorder les actes aux paroles, et pas simplement changer les mots lorsqu’on ne veut pas changer les choses."

    par Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2016/08/r%C3%A9serve-op%C3%A9rationnelle-garde-nationale-pourquoi-cela-nest-pas-du-tout-s%C3%A9rieux.html

  • Patrimoine : 14 des 39 membres du gouvernement sont millionnaires

    Fin juillet, l’autorité chargée de contrôler les déclarations de patrimoine des élus a mis sa base à jour. L’occasion de constater que tous les membres du gouvernement de François Hollande ne disposent pas du même patrimoine.

    La Haute autorité pour la transparence de la vie publique (Hatvp) a récemment renouvelé sur son site les déclarations de patrimoine des membres du gouvernement. En effet, un remaniement ministériel ayant eu lieu en février, les déclarations des nouveaux membres du gouvernement ont été ajoutées à celles existantes.

    Un classement établi par les Décodeurs du journal Le Monde permet de se rendre compte des disparités de patrimoines suivant les ministres et secrétaires d’Etat. Dans le top 3, on retrouve tout d’abord Jean-Michel Baylet (ministre de l’aménagement du territoire) avec 8,7 millions d’euros de patrimoine, suivi par Jean-Marie Le Guen, (ministre des relations avec le parlement) avec 4,1 millions d’euros puis André Vallini (secrétaire d’Etat chargé du développement et de la francophonie) avec 2,88 millions d’euros.
    Les millionnaires…et les autres

    Au total, sur les 39 membres du gouvernement, 14 ont déclaré un patrimoine supérieur à 1 million d’euros. A l’autre bout du classement, cinq ministres ou secrétaires d’Etat affichent un patrimoine inférieur à 100.000 euros. Le premier Ministre, Manuel Valls, ne possède ainsi « que » 44.000 euros de patrimoine. Emmanuelle Cosse, ministre du logement, ferme la marche avec 27.000 euros de patrimoine.

    Pour rappel, la Hatvp a vu le jour en 2013, après le scandale lié à l’affaire Jérôme Cahuzac, qui avait menti sur la détention d’un compte en Suisse. L’autorité indépendante peut demander l’aide du fisc pour vérifier si les déclarations de patrimoine des élus (membres du gouvernement, sénateurs, députés) et responsables publics correspondent bien à la réalité. Selon la Hatvp, plus de 10.000 personnes ont dû remplir une déclaration depuis sa création.

    Concernant les sanctions, l’autorité rappelle sur son site que « le fait pour une personne de ne pas déposer une déclaration de patrimoine, d’omettre de déclarer une partie importante de celui-ci ou d’en fournir une évaluation mensongère est puni d’une peine de 3 ans de prison et de 45 000 euros d’amende ». Plusieurs élus ont déjà été épinglés comme Yamina Benguigui, ex-ministre de la Francophonie, ou plus récemment Henri de Raincourt, sénateur Les Républicains.

     

    La Tribune

    http://www.voxnr.com/447/patrimoine-14-39-membres-gouvernement-millionnaires

  • Nicolas Sarkozy : "Il faut ramener vers nous les électeurs du FN"

    Et c'est reparti pour un tour. Analyse de Caroline Parmentier pour Présent :

    6a00d83451619c69e201b8d20f957c970c-320wi.jpg"Comme toujours, comme il l’a toujours fait, Valeurs Actuelles drague les électeurs du Front national (une Marianne voilée par-ci, un gros clin d’œil à Marion Maréchal par-là) pour les apporter sur un plateau à Sarkozy. Détail rigolo, comme Sarko n’est pas le bon zig et que Valeurs lui fait quand même un peu honte, il refuse de faire grâce de « l’exclu » de sa déclaration officielle de candidature attendue d’un jour à l’autre (il la réserve sans doute au Figaro) que les journalistes sont venus chercher jusqu’au Cap Nègre. Ce qui donne au détour des questions, des tournures assez ridicules comme « si je suis candidat bien sûr » ou bien « ce qui compte, ce n’est pas tant l’annonce de la candidature que ce que je vous dis » etc. Sympa !

    L’objectif pour la campagne présidentielle de 2017 est en revanche clairement annoncé : « Il faut ramener vers nous les électeurs du FN ». Et pour cela, comme s’y emploie le nouveau directeur de la rédaction de Valeurs Actuelles Geoffroy Lejeune, dans la ligne de Kerdrel : faire passer Marine Le Pen auprès des bons bourgeois et des retraités aisés qui le lisent, pour une candidate de gauche qui va désagréablement changer leur vie, un président qui fait peur. Tandis que Sarkozy, qui s’est renié à peu près sur tout et porte toute sa responsabilité dans le bilan, lui, est l’homme providentiel et sécurisant.

    Geoffroy Lejeune a avalé sans sourciller le retournement complet de Sarkozy sur le Mariage pour Tous sur lequel Marine Le Pen n’a jamais bougé d’un iota (seule de tous les candidats à l’élection présidentielle qui déclare qu’elle abrogera la loi Taubira). Si La France c’est pour la vie (titre du chef-d’œuvre de Sarko) ses convictions en revanche, c’est toujours du provisoire. Il est devenu ces derniers mois plus identitaire que Renaud Camus, plus chrétien que Christine Boutin, plus patriote que Florian Philippot, plus attaché aux racines chrétiennes de la France que de Villiers et plus anti-immigrationniste que Le Pen (à la fois pour se démarquer de son concurrent Juppé et pour siphonner les voix du Front national). Alors que tout ce qu’il a fait quand il était aux manettes va directement à l’inverse de ce discours.

    Lui président entre 2007 et 2012, la France a vu le nombre de ses immigrés légaux augmenter de plus de 200 000 par an. Multiculturaliste, immigrationniste, instigateur du Conseil français du culte musulman, il a favorisé les salafistes de l’UOIF au cœur même de ce Conseil, multiplié les rapprochements avec le Qatar dont on sait les liens avec le djihadisme mondial, c’est aussi lui qui a sabré de manière drastique les effectifs des forces de l’ordre, supprimé la double peine, inventé la « discrimination positive ». C’est lui encore qui porte en partie la responsabilité de la guerre en Libye et des Printemps arabes, cause directe de la submersion migratoire actuelle et indirecte de l’émergence de Daesh.

    « Comme si de rien n’était », chante Carla Bruni. Comme si sa responsabilité n’était pas écrasante dans ce que nous subissons aujourd’hui."

    Philippe Carhon  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Autriche, Grande Bretagne, Hongrie... les peuples contre les pseudo élites !

    Roland Hélie

    Directeur de Synthèse nationale

    Editorial du n°43 (été 2016)cliquez ici

    1121466765.jpgNous vous le disions dans la précédente livraison de Synthèse nationale : le monde change. En effet, regardez ce qui s'est passé au cours de ces derniers mois autour de nous.

    En Autriche d'abord, le candidat nationaliste du FPO arrive au second tour de la Présidentielle en avril, ce qui est déjà en soit une belle performance. Au second tour, évidemment, il doit faire face à l'éternelle coalition des nantis et des profiteurs du Système, regroupés derrière un écologiste sur le retour. Ceux-ci n'ont que de mots assez sévères et de coups bas suffisamment malhonnêtes pour tenter de discréditer celui qui incarne l'espérance nationale et identitaire du peuple autrichien. Pour être sûr de conserver leurs prébendes, ces faiseurs n'ont pas hésité à truquer le bon déroulement de l'élection présidentielle. Mais ce qui est trop gros ne passe plus et les irrégularités constatées furent tellement nombreuses que la Cour constitutionnelle a annulé le scrutin litigieux. Les Autrichiens retourneront donc voter. La camarilla politico médiatique dans son ensemble s'était égosillée pour saluer "la victoire de la démocratie". Pas un mot pour condamner les forfaitures avérées des démocrates autrichiens... Ce qui nous intéresse pour notre part, c'est que pour la première fois depuis longtemps un nationaliste, qu'il soit au final élu ou non, arrive à casser un Système qui, pour beaucoup, y compris dans nos rangs, est jugé inébranlable...

    Passons en Grande Bretagne maintenant. Là aussi l'exemple du Brexit mérite d'être médité. Tout d'abord, il y eu l'arrogance d'un Premier ministre en difficultés qui s'auto persuada qu'il allait être plébiscité par un référendum sur l'Europe. Puis, toutes les forces du Système, avec les énormes moyens que cela représente, se sont mises en branle pour faire avaler aux Britanniques la sauce bruxelloise. Tous les arguments, même les plus fallacieux, ont été exploités. Pour faire peur aux Anglais, en cas de mal vote, tout a été imaginé. Et toc, le jour venu, malgré la chape de plomb du prêt à penser, les Anglais ont souverainement décidé de sortir du carcan européen. Nouveau coup dur pour le Système... L'avenir nous dira comment ce Brexit se passera concrètement, mais ce qui compte pour l'heure c'est que, là aussi, le peuple à ceux qui pensaient une fois de plus le maîtriser...

    Dur printemps pour les tenants de la pensée unique !

    Ces deux exemples démontrent que rien n'est fatal lorsque les peuples se réveillent. Il est vrai que l'endormissement est tel que l'on peut comprendre que certains finissent par se décourager. L'exemple du référendum de 2005 reste dans la mémoire collective. Le peuple français avait alors nettement (55 % de non) refusé le projet constitutionnel européen et celui-ci lui a été imposé malgré tout, avec le Traité de Lisbonne, par les petits valets du Système qui sont sensés gouverner notre pays. Mais 2005, c'était il y plus de dix ans... Depuis, qu'on le veuille ou non, beaucoup de choses ont changé.

    Le Nouvel Ordre mondial que voulait nous imposer l'hyper classe mondialiste après la chute de l'URSS au début des années 90 a prit du plomb dans l'aile. La Russie a relevé la tête et l'Amérique, si par chance elle échappe l'hystérique Clinton, adoptera, peut on espérer, une attitude différente de celle qui est la sienne depuis un siècle. Il ne faut donc pas désespérer. La France et l'Europe, telle que nous la concevons, n'ont peut être pas dit leur dernier mot.

    Et au-delà de l'Europe, nous pourrions aussi citer l'exemple de la courageuse Syrie baasiste du Président Bachar Al-Assad. Afin d'étancher leur soif de "démocratie" et surtout leur contrôle sur le pétrole, les mondialistes pensaient mettre à bas ce pays, comme il l'ont fait il y a quelques années en Irak, en Lybie ou ailleurs, en se servant des islamistes sanguinaires pour imposer un gouvernement fantoche à leurs bottes. Mais là aussi, ils se sont heurtés à la résistance farouche du peuple et de ses chefs ainsi qu'à la Russie. L'Amérique a visiblement de plus en plus de mal à s'imposer comme gendarme du Monde.

    L'exemple hongrois

    Prenons maintenant l'exemple de la Hongrie. Nous avons eu le plaisir, lors de notre journée régionale près de Lille fin avril, de recevoir le journaliste magyar Ferenc Almassy venu de Budapest. Celui-ci nous a expliqué la situation dans son pays où le gouvernement semble beaucoup plus s'intéressé au sort du peuple hongrois, lui aussi menacé par l'invasion, qu'aux intérêts de la haute finance apatride. En l'écoutant, je me disais la chose suivante : nous sommes en 2016, il y a 60 ans, en novembre 1956, Budapest et toute la Hongrie se soulevaient contre l'effroyable dictature communiste qui asservissait le pays. Cette insurrection fut réprimée dans le sang par les soviétiques sans que personne, à l'exception bien sûr des nationalistes en Europe, ne réagisse. Les patriotes hongrois, bâillonnés, emprisonnés, assassinés ou contraints à l'exile, s'imaginaient-ils alors un seul instant que, 60 ans plus tard, la Hongrie serait l'exemple à suivre pour les nationalistes européens ? Je n'en suis pas sûr et pourtant, c'est ce qui se passe aujourd'hui.

    Le XXIe siècle sera celui du réveil des identités. Dans le cas contraire, le monde deviendrait un vaste cloaque métissé et robotisé juste bon à obéir docilement à ces pseudo élites qui ne pensent qu'à leurs profits. Pour nous le choix est clair. Face à la soumission, nous appelons à une vaste offensive nationaliste et identitaire. C'est de celle-ci dont nous parlerons le dimanche 2 octobre prochain à Rungis (94) lors de notre Xe journée qui marquera aussi le dixième anniversaire de Synthèse nationale.

    SN 43 flyer 2.jpg

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  • Déjà 30.000 attentats au nom de l’islam depuis septembre 2001 !

    Cette guerre est maintenant en voie d’implantation sur le sol français. 

    Pouvait-il en être autrement d’un journal comme Libération(Observatoire des actes islamophobes), qui nous libère essentiellement de notre bonne humeur, pour dresser un tableau des « actes islamophobes en France depuis le 14 juillet » (au moins 20, rendez-vous compte !) sous l’intitulé « Racisme » ? Nous compatissons donc avec les musulmans, et espérons que les catholiques, protestants, bouddhistes ou autres manifesteront la même solidarité à l’égard de la religion musulmane que celle-ci n’en manifesta à leur égard lors des divers massacres commis à Nice ou au Bataclan au nom de cette théologie. Notons, sur ces 20 « actes », une seule agression physique, à laquelle survécut sans trop de problèmes l’infortuné représentant de la communauté musulmane, contrairement aux 32 morts des attentats de Bruxelles (mars 2016), des 130 morts des attentats de Paris (novembre 2015) ou encore des 85 morts de Nice (juillet 2016).

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  • Annulation des fêtes populaires sous pression du djihadisme : De la capitulation à la soumission

  • L’imposture Trévidic : Le gauchisme judiciaire, allié objectif de l’offensive islamique

    C’est probablement l’une des boursoufflures les plus prisées du moment par la presse progressiste. “L’expert” indispensable qui permet aux doctrinaires de l’irénisme de continuer à s’enfoncer joyeusement la tête dans le sable, quand ce n’est pas ailleurs. Je veux parler du “juge” antiterroriste Marc Trévidic. Il est partout. Il parle. Il a surtout l’air de ne pas digérer le fait de devoir passer la main.

    Dans un entretien au journal communiste L’Humanité – titre qui, au passage, n’existerait plus sans les subventions du gouvernement et du patronat -, l’intéressé livre une série de considérations personnelles sur le djihadisme et ses militants. Des propos particulièrement édifiants sur lesquels il est nécessaire de revenir.

    Premier extrait (source) :

     

    “De la matière humaine”. “Il faut faire attention”.

    Première observation : Trévidic s’est trompé de profession, il a l’âme d’une assistante sociale. Il le dit sans fard : il n’est pas au front, à combattre l’ennemi. Non, il veut sauver les bourreaux. On verra plus loin que le magistrat, usant d’un lapsus on ne peut plus révélateur, assimile d’ailleurs la fonction du juge à celle d’un “bourreau” dans une inversion masochiste de la réalité particulièrement parlante.

    Il n’y a donc pas d’ennemi. Il n’y a que des victimes, à différents degrés. Il y a “les enfants de l’immigration” selon l’expression consacrée chère aux femelles en mal de maternage.

    En somme, vous n’aviez pas regardé avec assez d’attention. Les frères Kouachi, malgré leurs AK-47 et leurs tenues de combat, étaient en fait des adolescents influençables et influencés, tombés dans le djihadisme par hasard. Pour Trévidic, les bouchers sont des victimes au même titre que les personnes exécutées en janvier 2015. Raisonnement d’autant plus commode et politiquement utile qu’il résout la question de l’ennemi comme du conflit, externalisant la cause de la crise et la résumant à une sorte de mauvais génie éthéré évoluant quelque part dans les déserts d’Afrique ou d’Orient, à l’exception notable des “Français de souche” qui semblent, eux, ne pouvoir esquiver aussi aisément les décrets d’accusation.

    Il nous le dit : en fait, nous sommes tous du même camp. Fort de ce qui ressemble à de l’autosuggestion, le magistrat se propose alors de faire dans l’humanitaire, la guerre n’existant pas, faute de combattants.

    Mais qu’en est-il de tous les “Kouachi” de banlieues, amateur de tournantes à base de blanches, de braquages, de coups de lame pour une cigarette, qui depuis 40 ans se livrent à toutes les horreurs imaginables sans jamais que tous les Trévidic de France et de Navarre ne cessent de s’émouvoir de leur sort ?

    Syndrome de Stockholm au cube.

    Autre commodité : elle évacue la question du mal. “L’homme naît bon, c’est la société qui le corrompt”. C’est du Jean-Jacques Rousseau et cela remonte à 1762. Soit 254 ans d’une absurdité convaincue de démence qui continue plus que jamais de ronger une France ravagée par la religion du messianisme socialiste.

    Si la “société” – française, autochtone – n’avait pas autant “tourmenté” ces chères victimes – les islamo-djihadistes donc – jamais ils n’auraient pris les armes contre des civils. Et quels tourments : naturalisation, égalité de droits, éducation gratuite, valorisation “culturelle” à base de rap laïc et obligatoire. Et en cas de déprédations de ces chers petits : animateurs sociaux bardés de rappels mémoriels post-coloniaux sans oublier les commissaires politiques des LICRA, MRAP, SOS Racisme et autre LDH pour servir à la louche du racisme antiblanc et anti-occidental pasteurisé “parce qu’antiraciste”.

    Rien n’y fait. Récurrence gauchiste : l’irresponsabilité le disputant au déni. Le réel ennuie les prélats du progressisme depuis qu’ils sont apparus sur terre. C’est précisément pour dépasser un réel jugé trop limitatif qu’ils sont précisément en croisade. La seule qu’ils admettent.

    Si l’homme naissait bon, la “société” – qui n’est qu’une production humaine -, le serait également. Ce mythe manichéen d’un être humain inaccessible au mal par nature et seulement diminué par la “société” – dominée par les possédants, évidemment – constitue le socle psychologique et idéologique de l’internationale victimaire européenne depuis près de trois siècles. Un poison incapacitant que distille des magistrats démocrates-chrétiens à la sauce Bayrou-Juppé, non sans le concours des incendiaires trotskistes de tous les parquets de l’Hexagone.

    On relèvera l’inévitable baratin marxisant du magistrat : la pauvreté engendre le djihadisme. Trévidic ne brille pas par son originalité : on a même le droit au pauvre nègre malien. Ce qui revient à dire que le pauvre est moralement plus enclin à la barbarie tandis que le riche, de par sa condition, serait lui forcément plus moral et imperméable au phénomène. On peine à croire qu’un juge de l’antiterrorisme évolue dans des catégories aussi molles.

    Que faire alors des innombrables diplômés de l’internationale djihadiste qui rejoignent la lutte pour l’édification du califat planétaire ? Ben Laden était-il un RMIste paumé de Vaulx-en-Velin ou un fils de milliardaires saoudiens ?

    Poussons la logique.

    Lénine était-il un raté de la banlieue de Moscou et Marx un illettré ? Staline fut-il toute sa vie limité à sa condition de petit délinquant géorgien ? Ou bien étaient-ils les tenants d’une lutte révolutionnaire assise sur une vision du monde ? Quand il évoque le “jeune de Tombouctou” (sic) qui n’aurait jamais lu le coran et ce en dépit de son engagement djihadiste, il oublie que les millions de soldats du communisme chinois ou soviétique n’avaient pas davantage lu l’œuvre entière de Karl Marx.

    Trévidic nous expliquerait sans doute, selon sa logique, que ni le “Capital” non plus que le communisme n’auraient de liens avec le bolchevisme. Et que les gardes rouges menés par Trotsky ne seraient, au fond, que des égarés errant sans but dans les plaines de Russie. Les millions d’esclaves engloutis dans les mines du Goulag se verraient soulagés d’apprendre de la bouche du brave homme que nul ne pouvait véritablement être tenu pour responsable. Que Staline, lui aussi, était une victime de quelque chose d’indéfinissable. Mis à part de la “société” tsariste, bien entendu.

    Un raisonnement si anti-historique confine à l’absurde.

    Trévidic démontre paradoxalement un profond ethnocentrisme de facture typiquement gauchiste où le monde fonctionne selon sa propre grille de lecture, laquelle prive d’autonomie le sujet allogène et extra-européen. Trévidic croit que les “enfants de l’immigration” sont à son image. Non, ils sont radicalement différents et le resteront. Eux aussi ont un imaginaire et des références, en l’occurrence archaïques et vieilles de treize siècles, qui contemplent avec un mépris amusé ce genre de bon Samaritain certifié conforme par l’église républicaine.

    Cet ethnocentrisme est également géographique, comme si le djihadisme était lié à l’intégration de populations allogènes dans l’Hexagone. Le djihadisme serait un phénomène hexagonal ? Que faire du Yémen ou de l’insurrection indonésienne en ce cas ? Abu Bakr al-Baghdadi zonait du côté des Buttes Chaumont avant de devenir le commandeur des croyants de Mésopotamie ?

    Outre la démonstration par l’intéressé de sa profonde incompréhension de l’islam au point de le confondre avec la réforme protestante – comme s’il fallait maîtriser le texte coranique pour être musulman ! – Trévidic ne connait tout simplement pas la culture dont il parle. Pas plus en termes historiques que raciaux, géographiques ou ethniques. Ce ne sont que des poncifs moraux issus des salons bourgeois du XVIIIème siècle transposés sur la planète en son entier depuis un pauvre bureau francilien.

    N’en déplaise à Trévidic, le monde ne commence pas à son pas de porte.

    Citons un autre extrait de cet entretien :

    Que pensez-vous de la déchéance de nationalité ?

    Marc Trévidic Non, mais sérieusement, quel est l’intérêt de ce truc ? La déchéance de nationalité est une peine pour faire plaisir au bourreau. Or, la philosophie de la peine doit être de punir, pas de faire plaisir à celui qui l’inflige. La déchéance de nationalité est une mesure qui vise à contenter l’opinion publique et à exorciser notre mauvaise conscience. Son sous-texte revient à dire : « C’est tellement dégueu ce qu’ils ont fait, ils ne peuvent pas être français. »Or, ils le sont. Et puis, qu’on y réfléchisse une minute, que se passera-t-il si les autres pays commencent à faire la même chose ? On commencera alors à se refiler les djihadistes d’un pays à l’autre ? Cela n’a aucun sens. C’est le complexe de Guantanamo : une fois que l’on s’engage sur cette voie, il est très difficile d’en revenir. Les débats sur cette question sont une perte de temps… La question est de savoir comment un Français peut arriver à commettre des actes de terrorisme et à tel point détester la France. Ça, c’est une question fondamentale, qu’on ne résoudra pas en disant : « C’est pas grave, il n’est plus français. » Ça n’est pas sérieux.Il faut être responsable de nos jeunes Français criminels. Poussons plus loin : un tueur en série ou un grand trafiquant de drogue n’est pas très sympathique non plus

    L’utilisation du terme “bourreau” est tellement insoutenable ici qu’il devient évident que Trévidic s’identifie au moins partiellement à la vermine dont il parle. Et on comprend pourquoi : dès lors qu’il croit religieusement en la nature fondamentalement bonne de l’être humain – et à la sienne au passage -, quelques arguties socialisantes suffiront à rendre l’empathie possible envers ces “damnés de la terre” pour reprendre la prose rouge d’antan.

    Dans cet extrait, il pousse ce raisonnement jusque dans ses applications pratiques en affirmant que les égorgeurs du Maghreb et autres subsahariens “sont français”. En fait, le terme “français” est ici parfaitement contingent. Trévidic ne raisonne pas en termes de nationalité mais selon sa conception flageolante et niaiseuse d’une humanité homogène et indivisible. Ces “français de papiers” que sont les Kouachi ou Coulibali ne sauraient être à ses yeux déchus de leur nationalité, non pas tant parce que Trévidic tient en haute estime la nationalité précitée que parce qu’il entend lui faire conserver un caractère internationaliste.  C’est pour que la nationalité française demeure une “non-nationalité”, multiraciale et ouverte à la pénétration islamique, qu’il proteste contre “ce truc” qu’est la déchéance de nationalité.

    Il va même au delà : c’est la possibilité de voir le refoulement massif de la prédation allogène qui le terrorise. Aussi l’affirme t’il : “Il faut être responsable de nos jeunes criminels français”.

    Autant dire qu’une telle stupidité est féconde de meurtres de par l’impunité qu’elle confère à l’ennemi.

    Il développe ensuite sa pensée et pointe du doigt de façon révélatrice le “véritable” coupable : “notre mauvaise conscience”. Le “nous” désignant dans sa bouche les Français de race blanche et de culture ou de confession chrétienne.

    Pour ma part, je n’ai pas mauvaise conscience. Bien au contraire.

    En réalité Trévidic, en fait de parler pour les autres, parle de lui-même et de cette gauche sidaïque qui veut nous faire crever en bloc, nous les Blancs. Il s’agit, encore une fois, de cette tyrannie du masochisme narcissique au nom duquel une serpillère occidentale use de l’autoflagellation pour s’offrir son shoot de nihilisme.

    “Il faut être sérieux”, comme dit Trévidic : les agents démoralisants comme lui constituent à ce stade un appui objectif à l’ennemi envahissant l’Europe. Trévidic a choisi son camp. Sa névrose suicidaire tente de s’articuler pompeusement en un verbiage moralisant pour légitimer ce qui ne relève, au mieux, que d’une trahison en bonne et due forme.

    Qu’un tel nuisible ait pu avoir à traiter l’avant-garde du djihad global agissant en France permet de mesurer le degré de subversion idéologique joué par les forces socialo-communistes depuis un siècle, pour ne rien dire du jacobinisme révolutionnaire.

    Ses appréhensions antiracistes démontrent aussi à quel point la guerre raciale, ethnique et religieuse et la définition du “nous” est le véritable enjeu. Définition indissociable de celle de l’ennemi.

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  • Un gouvernement inadapté

    Par Claude Picard

    Au fil des événements et des attentats, il s’avère que la France est gouvernée par des inadaptés, qui sont profondément inadaptables, tellement ils sont pétris de « bons sentiments », prescrits par la Bible pour soixante-huitards attardés. À commencer par le principal élément, le président de la République, socialiste et laxiste bon teint, qui n’a basé sa carrière politique que sur la recherche, toujours et encore, d’un improbable consensus mou, envers ses alliés et sa propre famille politique. Mais qui ne veut pas entendre la colère d’un peuple qui s’exprime à travers les propositions politiques de l’opposition. Pourquoi, dans ces conditions, répète-t-il à l’envi : « unité nationale, unité nationale » ?

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  • Rencontre avec Eugénie Bastié

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    David L'Epée rencontre Eugénie Bastié, auteur du livre Adieu Mademoiselle (Ed. du Cerf, 2016) et rédactrice-en-chef politique de la revue Limite, qui s'exprime sur le thème de son essai : la manière dont le postféminisme s'est retourné, par aveuglement idéologique, contre les intérêts des femmes réelles.
    Pour en savoir plus : Éléments n°161

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