France et politique française - Page 3120
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Zapping ERTV Juin 2016 - 2ème quinzaine
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Sisco : agressés par des adultes musulmans, les jeunes Corses répliquent…
Caroline Alamachère Riposte laïque cliquez ici
une attaque raciste et kouffarophobe qui a eu lieu sur une plage de Sisco au Cap Corse, après que des individus arabo-musulmans s’en soient lâchement pris à des adolescents.
La presse unanime relate l’agression en distinguant bien les agresseurs « des jeunes d’origine maghrébine », « de la communauté musulmane », alors que ceux-ci, aux dires de témoins, auraient en réalité été âgés de plus de 40 ans, tandis que les agressés, non armés, sont « des jeunes Corses » âgés, eux, de 15 à 18 ans.
Le tableau est posé.
Selon le témoignage d’une maman de l’un des agressés, les victimes se trouvaient sur une crique, « armés de leur serviette de plage », lorsque des individus en bandes armés, eux, de « haches, couteaux et harpons » et de matraques sont venus les poignarder, frappant notamment sur la tête le plus petit d’entre eux. Même en bande, le courage n’est pas la qualité première de ceux qui ont pour ordre divin de frapper les kouffars.
Le tort des Corses ? Avoir pris, de loin, des photos du paysage sur lesquels apparaissaient des personnes vêtues de tenues exotiques (les femmes étaient en « burka ») datant d’une lointaine époque et donc aussi incongrues que celles de Jacquouille-la-Fripouille en plein 21e siècle. Ce n’est d’ailleurs certainement pas un hasard si les agresseurs sortis de leur propre Moyen-Age s’en sont également pris aux voitures garées là, puisque les femmes en burka ont crevé les pneus, tout comme Jacquouille en panique devant un moyen de transport moderne frappait « la chariotte du diable » du facteur.
L’affrontement aurait fait une demi-douzaine de blessés, dont une femme enceinte ainsi qu’une autre personne dans un état très grave du côté des Maghrébins.
La maman, décrivant une « scène de guerre » dans laquelle sont intervenus une centaine de policiers et de gendarmes, poursuit son témoignage : « le copain de ma fille, sous ses yeux, a esquiver un coup de couteau dans le ventre ». Trois des pères des jeunes Corses sont arrivés en premier sur les lieux pour tenter de régler la situation, tandis que l’un d’eux aurait esquivé un coup de couteau, avant qu’un autre ne se prenne un coup de harpon.
« Mon frère a été tabassé, il est choqué pour toujours », a déclaré la sœur de l’un des agressés.
Un témoin a déclaré que les agresseurs, âgés de 40 à 50 ans et, semble-il, d’origine marocaine, ont crié « Allah akhbar ! On est chez nous ! », avant de continuer : « on va niquer vos femmes, on va les mettre pleines ! On va s’en prendre à vos enfants ! ». Bref, rien que du classique. Une femme aurait également été lapidée par des Maghrébins, selon un autre témoin de la scène.
Pour comble de crétinerie, des membres des musulmans agresseurs ont mis le feu à leurs propres véhicules…
Après cette attaque par des adorateurs de Mahomet, on ne peut que féliciter la ténacité du maire de Cannes ainsi que celle de Lionnel Luca à Villeneuve-Loubet de n’avoir pas cédé aux revendications communautaires d’islamistes désireux d’appliquer la charia sur notre sol, la justice ayant donné raison à ceux-ci en raison du trouble à l’ordre public que le port du burkini ne pouvait que générer. Nous n’avons, en effet, pas vocation en France à tolérer des revendications d’un autre âge ostensiblement idéologiques, sexistes et porteuses de sous-entendus accusatoires laissant entendre que tous les hommes en France seraient des violeurs potentiels de musulmanes.
Lionnel Luca avait rédigé un arrêté stipulant que « l’accès à la baignade à toute personne ne disposant pas d’une tenue correcte, respectueuse des bonnes moeurs et du principe de laïcité, et respectant les règles d’hygiène et de sécurité adaptées au domaine public maritime » serait interdit. La charia n’a en effet pas lieu d’être en France.
C’est dans ce contexte qu’en fin de matinée, ce dimanche, suite à cette agression kouffarophobe, des manifestants ont été reçus à la préfecture de Bastia. Parmi eux, certains ont crié « aux armes, on va monter parce qu’on est chez nous ! ».
Nous ne pouvons qu’encourager et féliciter nos amis corses pour leur courage et leur refus de ne pas se laisser marcher sur les pieds par la racaille islamiste.
De même, on peut s’interroger sur l’incapacité de Bernard Cazeneuve de faire régner l’ordre « républicain » sur notre territoire, rôle qui lui est pourtant dévolu et pour lequel il est grassement payé. On ne peut que constater que le résultat de sa politique laxiste joue davantage en faveur des racailles qu’en faveur du peuple qu’il est supposé protéger.
Il va falloir que cet improbable régime socialiste annonce clairement la couleur : soit il installe l’islam incompatible avec notre civilisation sur notre sol afin de nous faire disparaître, soit il nous défend de cette « idéologie d’agression » hostile à toute élévation intellectuelle, à toute beauté, et surtout à toute tolérance. En tout cas, il ne peut y avoir cohabitation. Quand on se rend à la plage avec des haches dans le but de frapper des non musulmans, ainsi que l’ordonne le coran, c’est qu’on a la volonté de nuire, qu’on est en guerre.
Si on est en guerre, alors il faut bouter l’ennemi hostile hors de nos frontières françaises afin de protéger les nôtres, point barre.
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Des vacances halal financées par la CAF !
Un « système » qui dépasse d’ailleurs largement le cadre des séjours de vacances, et qu’il devient urgent de « systématiquement » démonter.
Le séjour, prévu du 21 au 28 août, affiche complet. 80 personnes ont ainsi choisi d’aller se ressourcer, en famille, à Pelvoux, dans les Hautes-Alpes.Sur le dépliant, un portrait barbu voisine curieusement avec la photographie d’une jolie petite Heidi à la tresse blondinette. C’est que figurent au programme de ces vacances « baignade-rafting-randonnée », mais aussi « repas halal » et « spiritualité », sous la conduite de l’« invité d’honneur » Aammi Hassen Bounamcha.
Ce camp de vacances, on l’aura compris, est destiné aux musulmans (à moins – ce qu’à Dieu ne plaise – que la petite Heidi ne serve une intention prosélyte à destination de Français de souche déchristianisés et en mal de spiritualité). Si l’on peut regretter ce repli communautaire de la part de gens dont on nous serine qu’il faut « vivre ensemble » avec eux, il n’y a pas de quoi s’indigner qu’ils aspirent à des vacances quelque peu spirituelles au sein d’une nature enchanteresse. Mais pour qu’à la fois un député radical de gauche, Joël Giraud, et la secrétaire nationale de ce même Parti radical de gauche, Laurence Marchand-Taillade, peu suspects de discrimination anti-musulmane, s’en émeuvent, on peut gager qu’il y avait bien dans cette affaire matière à s’indigner. Et, de fait, on reste sans voix.
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Les Cahiers de l'université d'été de l'Union des Cercles Légitimistes de France
Les Cahiers de l'université d'été de l'UCLF de la session 2016 sont désormais en ligne sur Vive le Roy à cette adresse (pdf, 167 pages). Table des matières :
- Le roi sous l’Ancien régime, par François BLUCHE
- De la souveraineté, par Louis de BONALD
- Mgr de Ségur, l’autorité politique et la démocratie
- Machiavel, le pape Alexandre VI et Louis XIV, Modernité ou Tradition ?
- Projet de Charte de la légitimité
- Petit catéchisme des révélations privées
- Christine de Pisan
- Dante, Jean de La Fontaine et Emmanuel Macron : pour le roi
- Principe du moteur de la Révolution
- Leçon de démocratie par Aristophane et un fondateur du Parti Socialiste
- Le combat légitimiste
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Zapping ERTV juillet 2016 - 1ère quinzaine
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Le FN menacé : Que fait le « Régime de Paris » ?
Il semblerait que la nouvelle cible de DA’ECH soit désormais le… FN.
En effet, Dans le dernier numéro de son magazine Dar al-Islam, l’organisation takfirî menace… le Front national. Les militants du parti de droite nationale étant désormais qualifiés d’« idolâtres » et présentés comme « des cibles de premier choix ».
Les fervents républicains que nous sommes attendent donc les réactions et les actes (protection accrue notamment) visant à rassurer de la part de l’État (dit) de droit la formation politique républicaine, reconnue et légale qu’est le FN.
Le manque de réaction tendrait, a contrario, à accréditer l’idée que le « régime de Paris », pour caler notre langage sur celui de la presse-caniveau parisienne lorsqu’elle évoque laRépublique Arabe Syrienne sœur en guerre contre le takfirisme, ne fait que peu de cas de la sécurité de nos concitoyens.
Ce qui, entre nous, ne serait pas vraiment la surprise du quinquennat…
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Et maintenant le burkini enflamme la Corse !
500 personnes se sont rassemblées à Bastia pour exprimer leur colère devant cette bagarre causée par un groupe de musulmans.
On aurait dû se dire que l’affaire était d’importance quand, ce dimanche matin, M. Cazeneuve s’est fendu d’un de ces communiqués dont il a le secret:Dans des circonstances et pour des motifs que l’enquête devra déterminer avec précision, une violente rixe a éclaté ce soir à Sisco (Haute-Corse) entre des riverains et un groupe d’une dizaine de personnes extérieures à la commune. Quatre personnes blessées dont une femme enceinte ont été évacuées vers le centre hospitalier de Bastia. Leur pronostic vital n’est pas engagé. Trois véhicules ont été incendiés, provoquant de fortes perturbations de la circulation et un début de feu de végétation rapidement circonscrit. L’intervention des forces de l’ordre engagées – 100 policiers et gendarmes – a permis le retour au calme dans la soirée.
Le ministre reconnaissait bien la gravité de l’événement, mais mentait, par omission, sur les « circonstances et les motifs » et aussi sur « le retour au calme dans la soirée ». Car rapidement, le caractère intercommunautaire de la « rixe » était avéré et l’origine en serait bien… le burkini. Quant au retour au calme, ce n’était pas tout à fait le cas dimanche matin…Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, immigration, islamisme, lobby 0 commentaire -
Défendre la ruralité
Chers amis,
Depuis quelques semaines notre Premier ministre ne sait plus où donner de la tête, non pas pour gouverner la France, mais pour faire face au Front national, un simple parti politique, en vue d'un scrutin auquel plus de la moitié des électeurs ont, de toute manière, prévu de s'abstenir… Quelle farce !
Notamment, emmenant avec lui une partie du gouvernement dans l'Aisne, il a déployé son plan pour les campagnes. Que souhaite-t-il ?
- Régler le problème des déserts médicaux en promouvant les maisons de santé, sorte de dispensaires qui ne disent pas leur nom, sans doute parce que ceux-ci évoquent le tiers monde. On oublie un peu vite qu'il y en a dans Paris.
- Renforcer la présence administrative défaillante de l’État, en créant dans les anciens bureaux de poste des maisons du service public. (C'était bien la peine de fermer toutes ces administrations pendant vingt ans, pour les rouvrir maintenant et ainsi multiplier les coûts.)
- Donner un parfait accès au téléphone portable et à la connexion internet pour tous les coins de France.
Tout cela est bien beau et bien utile.
Mais d'une part nous peinons à voir la nouveauté de ces mesures, qui occupent les gouvernements depuis une quinzaine d'années sans qu'ils n'aient réussi à enrayer la désertification des campagnes françaises. Par ailleurs, Monsieur Valls, comme ses prédécesseurs, est sans doute atteint de troubles de la mémoire, car il semble ignorer que lui comme les anciens premiers ministres en faisant fermer des tribunaux et des hôpitaux, en regroupant les services des impôts ou de l'assurance maladie, en ne faisant rien contre la fermeture de bureaux de poste, ont largement contribué à l'accentuation de ce désastre, pour des raisons d'économie budgétaire.
D'autre part, nous souhaitons bon courage aux futurs responsables de ces maisons du service public, qui auront à jouer le rôle de conseiller fiscal, d'assistante sociale, de postier, de para-pharmacien et pourquoi pas aussi d'épicier et de pompiste en même temps que de cafetier ? Ce sera un peu l'arlequin des campagnes, et il nous demandera, en guise de bonjour :
- Est-ce à votre percepteur ou à votre premier adjoint au maire, au pompiste ou au postier que vous voulez parler ?
Mieux vaut rire !
Quelle que soit l'utilité de ces mesures, elles ne régleront en fait presque rien, puisqu'elles ne s'attaqueront pas aux causes. On aura beau donner des primes aux médecins généralistes, ils n'iront pas s'installer dans un désert humain. On aura beau financer à pertes des maisons de je ne sais quoi, viendra le moment où elles fermeront faute de revenus. On aura beau demander aux opérateurs téléphoniques et internet de relier chaque hameau, les antennes émettront pour les troupeaux de moutons et des compagnies de sangliers…
Ce qu'il faut avant tout tenter de faire, c'est de repeupler ces contrées en leur rendant de l'attractivité économique.
Parler de ruralité est une sottise de ministre parisien. Toutes ces petites campagnes délaissées sont irriguées par des villes moyennes, elles-mêmes en déshérence. C'est ici que l'on peut commencer. Regardons quelles sont les clefs du succès des provinces rurales en croissance. Dans le grand ouest les campagnes, dans l'ensemble, malgré la crise et les difficultés, se portent bien. La population y est croissante, l'accès aux services publics y reste relativement aisée, on y parle peu d'isolement, en comparaison des grandes provinces du Nord-Est du pays, en Champagne, en Lorraine, dans les Ardennes, ou de celles du centre-est et centre-sud, avec le Nivernais, le Morvan, le Bourbonnais, l'Auvergne, les Cévennes, le Larzac, des pans entiers du Limousin et du Périgord. Dans ces territoires, en effet, le monde rural meurt et les petites villes agonisent.
Dans les provinces de l'ouest de nombreux atouts semblent jouer ; le maillage des villes moyennes est dense, il n'y a pas d'espaces ruraux complètement hors du champ d'une zone urbaine, les routes et les voies de chemin de fer irriguent parfaitement les régions, reliant aisément chaque point, la population est souvent bien formée, enfin, si les services dominent, l'agriculture et l'industrie conservent là un poids important grâce à un système d'organisation propre au grand ouest, avec des structures d'entreprises très familiales, mais reliées à des grands groupes qui leur donnent une solide ouverture sur l'international. C'est grâce à cette alchimie que la Mayenne est devenue un des premiers départements industriels de France, que l'agroalimentaire breton s'exporte si bien, même avec la crise, que les industries du sud Bretagne fabriquent des coques d'avion et des armatures d'éoliennes marines, à force d'avoir travaillé l'acier des navires.
Ce grand ouest pourrait devenir un modèle économique pour les espaces ruraux français. Il dispose d'avantages spécifiques, comme le littoral. Mais le réseau des petites villes se retrouve partout, et d'autres provinces ont des privilèges que n'ont ni la Normandie, ni la Bretagne. Ainsi, de Nantes à Nevers coule la Loire, traversant des régions prospères comme la Touraine, mais aussi d'autres en plus grande difficulté comme la Nièvre et l'Allier.
Que pourrait faire l’État, ici ? Accompagner les acteurs locaux, notamment les entreprises, en jouant son rôle d'aménageur du territoire. Il n'a pas à être l'animateur à la petite semaine des maisons du service public. Cela, n'importe quel buraliste franchisé peut le faire en vendant carnets de timbres et formulaires administratifs à côté des cigarettes et des alcools. Par contre, ce que nul autre que lui ne peut faire, ce serait réunir les groupes industriels nécessaires pour rendre de nouveau navigable la Loire, ou encore rénover les voies de chemin de fer du cœur du pays, en somme désenclaver ces provinces. De même il pourrait soutenir la création d'universités privées dans ces régions, en lien avec les chambres de commerce et d'industrie, pour former une jeunesse en parfaite adéquation avec les besoins économiques et ainsi recréer l'emploi qui manque, attirer les investissements et les cadres… Faire refleurir ces déserts.
Depuis quelques mois des investisseurs chinois aménagent à Châteauroux, sur l'ancienne base de l'OTAN, le plus grand complexe d'entreprises du centre de la France. Mais tiendront-ils longtemps le choc si les infrastructures suffisantes ne sont pas mises en place et les instituts de formation idoines développés directement dans le Berry ?
L’État doit être pilote de la France, dans la tradition capétienne. C'est la voie du bon sens, me semble-t-il, pour rendre la vie aux zones rurales et ainsi rééquilibrer le peuplement de la France, concentré à plus de 70 % dans les grandes villes et leurs périphéries immédiates.
Chers amis, voici un dernier exemple pour la route. L'exemple parfait de ce qui n'a pas été fait et aurait dû l’être… Récemment des industriels laitiers ont été épinglés pour entente illégale sur les prix et contraints à une forte amende. Cette amende sera répercutée, certainement, sur les prix. Les consommateurs avaient déjà été pénalisés, ils le seront de nouveau, et l’État, lui, après avoir tiré un premier bénéfice des hausses de prix via la TVA, en tirera un deuxième avec l'amende et un troisième avec le maintien de prix hauts pour que les entreprises compensent l'amende. Les perdants sont, une fois de plus, les consommateurs et les exploitants agricoles qui eux n'ont jamais bénéficié de ces hausses entendus de prix à la vente. Ces exploitants sont pourtant les premiers aménageurs du territoire rural et des actifs essentiels à la vie de ces provinces. Si M. Valls voulait vraiment redynamiser les espaces ruraux, trois voies s'offriraient à lui : utiliser l'amende pour soutenir le monde agricole, ou, au lieu d'une amende, exiger que la hausse de prix soit traduite par une renégociation des contrats avec les exploitants, ou enfin que les prix publics baissent substantiellement par rapport au trop payé par les consommateurs durant le temps de l'entente illégale et ce pendant une période équivalente à la durée de cette entente, en veillant bien à ce que les exploitants n'en pâtissent point par des diminutions de leurs prix de vente.
Hélas ! Notre Premier ministre est occupé à des affaires plus pressantes… Il est plus aisé de gesticuler face au FN avec des arguments politico-partisans que de trouver des solutions à la déliquescence de notre France…
Charles
Ndlr : Article initialement publié le 19 mars 2015
Durant le mois d’août, et comme chaque année, nous proposons à la lecture quelques articles sélectionnés par la rédaction de Vexilla Galliae et déjà publiés en 2015 sur le site. Toute la rédaction de Vexilla Galliae vous souhaite un excellent été.
http://www.vexilla-galliae.fr/actualites/politique/2093-defendre-la-ruralite-2
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La Manif pour Tous de retour dans la presse
Depuis son annonce d'une nouvelle manifestation nationale, à Paris le 16 octobre, les articles de presse se multiplient sur La Manif Pour Tous, preuve qu'elle ne laisse pas indifférente et qu'elle peut bousculer le jeu politicien.
16 octobre, juste avant le vote pour désigner le candidat des Républicains à l'élection présidentielle, voilà aussi qui va permettre de remettre la loi Taubira au coeur de l'enjeu électoral.
Challenges indique :
"Les dirigeants de la Manif pour tous espèrent ainsi contraindre les candidats à la primaire de la droite à se positionner clairement sur le mariage homosexuel. Un sujet sur lequel les cadres LR n’ont cessé de faire évoluer leur position. Nicolas Sarkozy, après s'être prononcé pour l'abrogation de la loi Taubira en novembre 2014, a expliqué dans son livre La France pour la vie qu’il ne reviendrait pas sur le mariage gay. Bruno Le Maire, qui demandait une réécriture de la partie filiation du texte, a déclaré qu’il ne toucherait plus à la loi. Quant à Alain Juppé, il a fait le chemin inverse, se déclarant dans un premier temps favorable à l’adoption des couples homosexuels, avant de concéder une « question compliquée » lors d’un déplacement récent au Maroc.
Nicolas Sarkozy discrédité
« C'est le plus grand flou », résume le vice-président de la Manif pour tous, Albéric Dumont. « Les avis divergent. Ils ne sont pas au clair avec eux-mêmes sur le sujet. » Hormis Hervé Mariton et Jean-Frédéric Poisson, candidats naturels de la Manif pour tous car « à la pointe du combat parlementaire contre la loi Taubira », et François Fillon « qui a fait une proposition intéressante de réécriture de la loi ouvrant le mariage aux couples de même sexe », les militants contre le mariage homosexuel auront bien du mal à faire leur choix parmi les impétrants. Seule certitude, « ce sera difficile de trouver des points communs avec Alain Juppé », pourtant grand favori de la compétition.
Quant à son plus sérieux concurrent, Nicolas Sarkozy, les cadres de la Manif pour tous lui accordent à peine plus de crédit. « Son cas est difficilement compréhensible, dit Albéric Dumont. On l’a rencontré à plusieurs reprises. Ils nous avait dit droit dans les yeux qu’il reviendrait sur le texte s’il était élu président de la République. Et un an plus tard il change d’avis. Depuis, on a essayé de le contacter… Il ne nous a jamais donné d’explications de vive voix sur son livre. La confiance est rompue. »"
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#OPREMIGRATION : TOURS !
Face à l’invasion migratoire, la Dissidence Française se mobilise ! Afin de faire connaître nos solutions à un nombre maximum de Français, nous avons lancé depuis plusieurs mois une vaste campagne militante dans toute la France : l’Opération Remigration (#OpRemigration).
Il y a quelques jours, nos militants étaient ainsi mobilisés à Tours pour diffuser notre mot d’ordre « Remigration » sur plusieurs ponts d’autoroute.
Voici quelques photos de cette opération.