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Une jeune femme a été séquestrée toute une nuit par l’agresseur dans un des logements du Campus, une ancienne résidence étudiante des quartiers nord de Marseille squattée par un très grand nombre de sans-papiers depuis plusieurs années. «Un agent de sécurité a été déployé le soir et nous avons installé des caméras, mais elles ont été dégradées. Rien ne bouge», se désespère un propriétaire joint par Le Figaro.
La récente cérémonie d’ouverture des Jeux Olympiques a fait couler beaucoup de salive et d’encre, pour de bonnes ou (et ?) de mauvaises raisons : il n’est pas dans mon intention d’en tirer un bilan, même s’il est tout de même peu surprenant de constater qu’elle a, en France, rouvert quelques plaies toujours mal cicatrisées et qu’elle a nourri, y compris au-delà de notre scène nationale, nombre d’indignations. Quelques scènes et postures, en effet, gâchent un peu (beaucoup, penseront certains) ce qui devait être, selon les autorités olympiques et sportives, une fête de la paix et de la convivialité, à défaut d’être celle de l’amour universel des peuples les uns envers les autres, un bel idéal, certes, mais rarement atteint…
La France d’Emmanuel Macron n’est pas la mienne. Je ne l’ai pas non plus reconnue dans la cérémonie des JO, emplie de stéréotypes sexués et de flatteries à l’air du temps. J’ai vu, dans la mise en scène de Thomas Jolly, une opération politique pour valoriser la nouvelle France diversitaire promue par le chef de l’Etat. 80% des investissements publics ont d’ailleurs bénéficié à la Seine-Saint-Denis, selon Amélie Oudéa-Castera (Europe 1, lundi). Alors que l’article 50-02 de la charte olympique du CIO stipule : « Aucune sorte de démonstration ou de propagande politique, religieuse ou raciale n’est autorisée dans un lieu, site ou autre emplacement olympique », le pouvoir, désavoué depuis par les urnes, a choisi de passer outre cette interdiction en imposant d’autorité sa vision contestée d’une société post-nationale et post-française.
C’est maintenant un secret de Polichinelle, les 1,4 milliard d’Euros passés dans la dépollution de la Seine n’ont servi à rien. Après le versement de cette somme colossale, un expert de l’eau qui n’a pas l’intention de respecter la doxa de rigueur, explique que « les parisiens et les touristes ne doivent surtout pas se baigner dans la Seine. Contrairement aux sportifs, ils ne sont pas surveillés médicalement ». Et de dénoncer les ouvrages qui ont été construits en pure perte, les réparations sur les mauvais branchements, insuffisantes. Les payeurs, en dernier ressort, les franciliens donc, ne vont pas apprécier la note. Mais mieux, il explique que la somme de 1,4 milliard a été dépensée pour seulement deux sports : les épreuves de triathlon, des 30 et 31 juillet et 5 août et les épreuves de natation en eau libre, des 8 et 9 août, ce qui met la médaille d’or à 700 millions, soit le prix de 10 tonnes d’or. Toujours dans les équivalences, il va en coûter 1.138 € pour chaque Francilien. Que l’on se rassure, ces 1,4 milliard ne sont pas perdus pour tout le monde, en premier lieu pour les entreprises choisies pour effectuer les travaux, en pure perte donc, mais payés quand même.
A Calais la nuit a été rythmée par des rixes entre une centaine de migrants et l’incendie d’un hangar rue Clément Ader. De très nombreux sapeurs-pompiers ont été mobilisés ainsi que les forces de l’ordre. La sous-préfète a passé la nuit sur place. Au total 8 migrants ont été blessés après avoir reçu des coups de bâton. (…)
La France traverse une période profondément troublée et ce, sur tous les plans. Le caractère largement scandaleux et idéologique de la cérémonie d’ouverture des JO, qui a choqué dans le monde entier, en a été, elle aussi, le symptôme. La volonté destructrice de ses auteurs et de ceux qui l’ont commanditée – certains de nos dirigeants – est apparue aux yeux de toutes les personnes de bonne volonté.
Selon Marc Rousset, économiste, écrivain, Auteur de « la Nouvelle Europe Paris-Berlin-Moscou »
Les Médias se hasardent parfois à dire la Vérité, mais en noyant le poisson. !!!.Les dépenses publiques représentent 56,6% de la richesse nationale en France , mais seulement 46,6% du PIB en Allemagne ! Pas un homme politique , de peur de perdre les élections, car comme écrivait Charles Maurras, « A quoi songe un élu, à être réélu ! » ne parle pourtant de ce chiffre très concret, très très parlant de 2 Millions de fonctionnaires en trop, ce qui réveillerait les foules en les sortant de leur torpeur. La France qui subit l’inefficacité du laxisme socialiste de l’UMPS depuis 30 ans, a un plus grand nombre de fonctionnaires en valeur absolue que l’Allemagne, malgré la différence de population !
Avouons qu’ils ont bien fait les choses. Qui ça ? Le NFP. Vous voulez savoir combien vous paierez d’impôts sur le revenu et de CSG si, à Dieu ne plaise, ils venaient à accéder au pouvoir ? Rien de plus simple : allez sur le site ad hoc. Très bien fait, il faut le reconnaître. Lucie Castets, la candidate NFP au poste de Premier ministre, promet une révolution fiscale ? Alors, nous avons fait un petit tour sur ce site, histoire de voir comment et combien la révolution sera fraîche et joyeuse. L’idée générale, c’est quoi ? Passer de 5 à 14 tranches. Avec 5 tranches actuellement, l’impôt sur le revenu se concentre sur les classes moyennes, avance le NFP. Pas faux. Encore faut-il s’entendre sur la définition des classes moyennes. Et la CSG, un impôt qui ne dit pas son nom ? « Chaque salarié·e [sic] paie la CSG au même taux (9,2 %), directement sur son salaire : un·e salarié·e [re-sic] au SMIC paie la même proportion qu’un millionnaire. C’est l’impôt le plus injuste, et très peu de gens le connaissent ! » Pas faux. Mettons. Trêve de théorie et passons aux cas concrets.